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Premières mondiales à vivre depuis son fauteuil : BMW dévoile ses nouveaux roadsters ce 19 novembre !
novembre 18, 2020Deux nouveaux roadsters vont être dévoilés aux férus des deux-roues et autres aficionados de la marque allemande ce jeudi 19 novembre au beau milieu de l’après-midi. Il sera possible de vivre cette présentation digitale comme si vous y étiez et de s’émouvoir de cette double initiative déclinée par BMW MOTORRAD !
MUNICH (Allemagne) : Ils seront révélés au monde entier à partir de 16 heures ce jeudi 19 novembre. Depuis l’Allemagne, deux nouveaux modèle de roadsters conçus par l’ingénierie du constructeur d’outre-Rhin vont être présentés dans le moindre détail lors d’un évènementiel retransmis via la magie du numérique.
Pour suivre cet évènementiel à distance, et depuis chez vous, il suffira pour les amateurs de belles cylindrées (et accessoirement de la marque germanique) de se connecter à la page officielle de BMW MOTORRAD sur Facebook mais aussi les chaînes You Tube du constructeur BMW et de sa filiale moto.
La retransmission sera également visible depuis la page LinkedIn de BMW Group.
Alors, ne boudez pas votre plaisir !
En savoir plus :
Présentation officielle de BMW MOTORRAD
Jeudi 19 novembre 2020 à 16 heures
A suivre sur :
https://www.facebook.com/BMWMotorrad
https://www.youtube.com/BMWMotorrad
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73 milliards d’euros vont être investis d’ici 2025 : les technologies du futur, cœur de cible de Volkswagen
novembre 14, 2020Premier constructeur automobile à s’engager en faveur de l’Accord de Paris, Volkswagen vise à devenir climatiquement neutre d’ici à 2050. Le groupe a l’intention de lancer environ 70 modèles 100 % électriques au cours des dix prochaines années. Une vingtaine de ces modèles sont déjà en production et cinquante autres devraient suivre. Pas moins de soixante modèles hybrides sont également prévus d’ici à 2030 dont plus de la moitié sont déjà en production.
PARIS : Le groupe Volkswagen accélère sa transformation pour devenir une entreprise de mobilité digitale. Comme il en a été décidé lors du Cycle de Planification 69 (Planning Round 69), le constructeur va consacrer environ 73 milliards d’euros à l’électrification, aux motorisations hybrides et à la technologie digitale au cours de ces cinq prochaines années. L’annonce a été faite à l’issue de la réunion du Conseil de Surveillance il y a quelques jours.
Les investissements en immobilisations et en recherche & développement destinés aux technologies d’avenir représenteront 50 % du total des investissements du groupe (150 milliards d’euros) contre 40 % auparavant.
Les investissements dans la transformation numérique doubleront pour atteindre 27 milliards d’euros d’ici à 2025, reflétant ainsi la volonté de l’entreprise d’Outre-Rhin de renforcer ses capacités logicielles. Environ 35 milliards d’euros seront consacrés aux véhicules électriques. Et près de 11 milliards d’euros supplémentaires iront au développement de versions hybrides des modèles existants.
Le Cycle de Planification s’appuie sur une croissance modérée de l’économie mondiale au cours des cinq prochaines années. Une croissance assortie de différences régionales est également prévue dans les différents marchés.
La hausse de 30 % de la productivité et les économies réalisées au niveau administratif permettront de garantir l’aspect financier de la transformation. Le groupe travaille aussi méthodiquement à l’optimisation de son portefeuille de produits.
Une enveloppe de 27 milliards d’euros pour la transformation digitale
C’est ainsi que les variantes de modèles, les combinaisons moteur-transmission et les fonctions qui sont moins demandées seront progressivement éliminées afin de réduire la complexité et d’améliorer l’efficacité du portefeuille. La planification exclut les joint-ventures chinoises qui ne font pas partie du groupe consolidé et qui financent leurs investissements (usines et produits) à partir de leurs propres ressources.
Compte tenu du rôle crucial que les logiciels joueront dans la réussite future de Volkswagen, les dépenses d’investissement consacrées à la transformation digitale atteindront 27 milliards d’euros, soit le double du montant prévu dans le Cycle de Planification précédent.
Ce montant inclut les dépenses consacrées à la division « Car.Software », qui a été lancée avec succès en début d’année. L’objectif est de créer une série de logiciels exclusifs qui seront déployés dans le projet Artémis d’Audi à compter de 2024.
La part de l’entreprise consacrée aux logiciels passera de 10 % à 60 %. Une large partie des fonds destinés à la transformation numérique seront, en outre, investis dans les domaines cruciaux que sont l’intelligence artificielle, la conduite autonome et la numérisation des principaux processus opérationnels.
Une réorganisation de la production en Allemagne et en Tchéquie…
À Salzgitter, Volkswagen va investir environ un milliard d’euros dans la technologie des batteries, un secteur essentiel. En coopération avec son partenaire de joint-venture suédois NORTHVOLT, le groupe va construire une unité de production de cellules qui sera mise en exploitation en 2024 et améliorera la compétitivité de l’Allemagne en tant que bastion industriel.
Un nouveau modèle s’ajoutera à son portefeuille : un nouveau SUV ciblant le marché européen qui sortira de la ligne de production à compter de 2024. Le site produit déjà toute la famille Golf et ses dérivés, le Volkswagen Tiguan et le SEAT Tarraco.
À l’avenir, Volkswagen Véhicules Utilitaires produira l’ID. BUZZ1 100% électrique sur son site de Hanovre, parallèlement à trois modèles SUV 100 % électriques pour d’autres marques du groupe. Le site de Hanovre accélère ainsi la transformation vers la mobilité électrique qui a déjà débuté.
La transformation progresse également à l’usine Volkswagen d’Emden. Les travaux de construction en vue de la transition vers la mobilité électrique sont en cours et le deuxième modèle électrique destiné au site a maintenant été défini.
Outre l’ID.4, le modèle Volkswagen Aero, quatre portes, 100 % électrique devrait y être produit à compter de 2023.
Dans le même temps, la Passat, qui est actuellement assemblée à Emden, sera produite à Bratislava en Slovaquie à compter de 2023 (avec la famille ŠKODA SUPERB) ; ce qui permettra d’exploiter des synergies au sein de la famille de véhicules.
Le déménagement de la production de la SUPERB qui quittera l’usine tchèque de Kvasiny pour rejoindre Bratislava donnera à ŠKODA la capacité nécessaire pour mener à bien son plan de croissance en République tchèque.
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Coup de froid sur le Bosphore : les relations franco-turques attendent des jours meilleurs…
novembre 09, 2020Entachées par des sautes d’humeur et quelques invectives à la limite de la politesse et du civisme entre leurs deux dirigeants, les relations politiques entre la Turquie et la France se sont refroidies depuis plusieurs mois. Pour autant, les deux pays sont unis par l’alliance de l’OTAN. Ils doivent faire front commun face aux tentations hégémoniques qui pourraient déstabiliser le bassin de la Méditerranée…
TRIBUNE: Retour vers le passé sur le fameux empire Ottoman pour mieux comprendre l’agressivité actuelle du président Recep ERDOGAN. Cet empire débute son histoire dès le XIIIème siècle. Constantinople (Istanbul) en devient sa capitale deux siècles plus tard. Ces nouveaux conquérants s’emparent de la Syrie, de l’Egypte puis sous le règne de Soliman le Magnifique, les côtes d’Arabie, l’Irak et le Maghreb.
En Europe, Belgrade, l’île de Rhodes, Malte et la Hongrie tombent sous le joug Ottoman ! La ville de Vienne, en Autriche, résistera victorieusement à l’invasion. Le XVIIème siècle est marqué par le déclin de cet empire qui perd dans la foulée les possessions des Balkans, du Moyen-Orient et d’Afrique.
En 1821, une série de crises diplomatiques et militaires accélèrent le processus de démantèlement de l’Empire. Une révolte, soutenue par les Russes, éclate en Grèce en faveur de l’indépendance des Hellènes. La même année, la Moldavie, la Serbie et la Valachie (future Roumanie) deviennent autonomes tandis que les Français débarquent en Algérie.
Durant la guerre de 14-18, les Alliés occupent Istanbul et se partagent l’Anatolie. Les Grecs s’emparent alors de Smyrne (Izmir). C’est à partir du XVIème siècle que l’Arménie passe sous contrôle des Ottomans. Serait-ce déjà une guerre de religion ?
N’oublions pas que l’Arménie constitue le berceau du christianisme dès l’an 300 après J.C., son territoire historique s’étend jusqu’aux frontières de l’Europe.
Le 24 avril 1815, la Turquie décide d’en finir avec les Arméniens. On estime le génocide à près de 1,5 million de morts ! Aucun pays d’Europe n’interviendra. Seule l’Allemagne dépêchera des observateurs afin d’étudier la façon dont on organise un génocide ! On connaît hélas la suite…
Stratégiquement, les Turcs vont inclure dans leur conquête le symbole de l’Arménie : le Mont Ararat. Lieu mythique à plus d’un titre pour les Juifs et les Chrétiens : c’est le lieu présumé de l’Arche de Noé. Aujourd’hui, les bergers ont laissé la place aux trafiquants de drogue.
Mais qui sont finalement nos alliés naturels ?
Cette immersion dans l’histoire est nécessaire. Elle permet de mieux appréhender le sens historique des conflits d’hier, de ceux d’aujourd’hui et peut-être de ceux de demain. Les problèmes syriens, kurdes, en Grèce, en Azerbaïdjan, en Egypte… montrent l’implication passée et actuelle de la Turquie.
On le voit bien, la Russie est un allié historique de l’Arménie et l’Allemagne est plus proche d’une collaboration effective avec les Turcs qu’avec d’autres pays d’Europe, notamment la France. La communauté turque est dominante en Allemagne alors qu’Angela MERKEL inflige en permanence des camouflets au locataire de l’Elysée !
Notre Président demande une indépendance militaire européenne : aussitôt c’est le véto systématique de la part des Allemands. L’Allemagne impose l’OTAN et la collaboration avec les Etats-Unis. Ridicule : à plus ou moins court terme, les USA quitteront l’OTAN. L’Allemagne veut nous imposer les avions militaires américains et écartent les Rafales ! Où sont réellement nos alliés ? Les Américains ? Les Allemands ? Je ne le crois pas !
L’histoire ancienne et présente le démontre ! Au risque de choquer, la Russie semble plus proche de nous et devient un allié efficace, voire incontournable, dans la résolution des conflits au Moyen-Orient.
Une question nous interpelle alors : Recep ERDOGAN est-il devenu nostalgique de la domination ottomane ? Sa stratégie d’agressions permanentes constitue-t-elle un choc de civilisations et au pire, les prémices d’une « guerre de civilisations » ? La civilisation musulmane face à la civilisation « judéo-chrétienne ». Mais, le « Grand Vizir » turc semble avoir oublié qu’il a face à lui une culture « gréco-latino-judéo-chrétienne » ! Dans la foulée, nos dirigeants ont, quant à eux, oublié l’histoire de l’origine des guerres et les fondations de nos alliés naturels !
Promouvoir un dialogue apaisé mais pas à n’importe quel prix !
Si la joute acrimonieuse entre Paris et Ankara va crescendo, la Turquie constitue une source importante de déstabilisation de la paix dans le monde. L’intervention en Syrie, les forages en Méditerranée, le soutien inconditionnel à la Lybie et au « pays frère » qu’est l’Azerbaïdjan, par tous les moyens dans le conflit avec l’Arménie dans le Haut-Karabakh le prouvent…
Tandis qu’Emmanuel MACRON évoque la responsabilité criminelle du président turc, ce dernier met en doute la santé mentale de notre dirigeant ! Du spectaculaire, certes, dans les mots mais un état de fait triste pour le dirigeant politique.
Le harponnage au laser d’un bâtiment de guerre français en Méditerranée en septembre a même failli entraîner une riposte militaire française…
Dans la foulée, le président turc n’hésite pas à se mêler de la politique intérieure française en matière d’immigration, de gestion du conflit terroriste, voire de notre capacité à vivre libre. Il est vrai que les manipulations du pouvoir montrent son totalitarisme et sa volonté d’afficher la religion musulmane comme la « contrainte » nécessaire à toute législation. Si le père fondateur de la Turquie moderne Atatürk avait fait de l’église-mosquée Sainte-Sophie un musée, ERDOGAN l’a de nouveau consacrée au culte musulman.
Toute cette poudre aux yeux n’est que le non-dit de la place de l’islam en Europe. Cependant, question religieuse mise à part, l’attitude du président turc en Méditerranée pose problème au sein de l’OTAN dont la Turquie constitue l’une des pièces maîtresses avec la deuxième armée en nombre d’hommes.
Peut-on encore rester confiant devant un partenaire qui s’en prend aux alliés d’hier (les Kurdes face à Daech), instrumentalise les menaces d’aujourd’hui et intimide ses propres alliés au sein de l’Alliance ?
Les marges de manœuvres pour restaurer un dialogue méditerranéen sont faibles face à ces attitudes belliqueuses.
Dans les années 50, on s’écriait : « Who lost China ? ». Aujourd’hui, on peut dire « Who lost Turkey ? » (Qui a perdu la Turquie ?). Depuis quelques années, on réclame des sanctions contre la Turquie mais l’Allemagne les refuse.
Toutefois, les présidents français rejettent l’adhésion de la Turquie dans l’espace européen : trouver des coupables est moins efficace que de trouver les marques d’une diplomatie apaisée !
Promouvoir un dialogue apaisé avec nos voisins turcs, oui, mais pas à n’importe quel prix ! Fort heureusement, il faut noter quelques signes d’espoirs : la grande majorité des expatriés turcs vivant sur notre sol respectent la République et refusent d’être amalgamés aux intégristes politiques. Et surtout, il existe en Turquie une opposition à la politique jusqu’au-boutiste de Recep ERDOGAN ! Même si ces derniers sont pourchassés et jugés, il s’agit d’un courant de pensée plus proche « des droits de l’homme » que du « guide du dictateur »…
Face à la volonté de boycotter les produits français, est-il nécessaire de bouder les « kébabs » ? Certes, non !
Jean-Paul ALLOU
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Pas si simple de pouvoir commercialiser dans des conditions optimales sa gamme de véhicules dans un pays où la recrudescence de la pandémie explose au quotidien. Au cours de ces dernières vingt-quatre heures, cent mille nouveaux cas se sont déclarés d’est en ouest de la première puissance mondiale…
Etats-Unis : Une chose est sûre : le constructeur américain essaie tant bien que mal à conserver le cap de la dynamique commerciale dans l’un des nations les plus perturbées par l’épidémie de coronavirus.
Au mois d’octobre, la marque du continent américain a commercialisé plus de 181 000 véhicules (un chiffre qui ne prend pas en compte les poids lourds) grâce à son réseau de concessionnaires.
Deux modèles se sont distingués. L’emblématique Lincoln qui a su tirer son épingle du jeu marketing avec une progression de 2,8 % des ventes à l’instar de Corsair qui a même dépassé 37 % de hausse !
Toutefois, FORD a vu ses résultats chuter de 6,1 % dans un contexte que l’on imagine très délicat. Son modèle le plus vendu Outre-Atlantique reste néanmoins le pick-up F 150. Sa version relookée devrait boostée les opérations commerciales du constructeur, sans doute à horizon 2021.
L’un des porte-parole du groupe a précisé par voie de presse que le constructeur publierait dorénavant davantage d’informations sur ses performances afin de rassurer les investisseurs. Surtout pendant la période complexe de la pandémie.
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La Région peaufine son plan d’accélération de l’investissement en faveur du tourisme…
novembre 05, 2020Le vice-président en charge du développement touristique Patrick AYACHE ne cesse de le marteler : la Région se mobilise en faveur de la filière. Un secteur économique en réelle souffrance qui est affecté par la succession de vagues épidémiologiques. Contraignant les touristes à demeurer cloîtrés chez eux. La riposte prendra la forme de plusieurs initiatives. Elles seront dévoilées le 13 novembre lors de la séance plénière…
DIJON (Côte d’Or) : Voilà un secteur d’activité fondamental de notre territoire qui était à l’éclosion de jolies perspectives économiques pour l’année 2020 avant qu’un virus improbable ne vienne le clouer au sol. Ou presque. Que peut faire ce segment indiscutable de notre activité sans la présence du moindre visiteur dans ces lieux de référence patrimoniale ?
Peu de choses, en vérité pendant la période de confinement. Mais, derrière les châteaux, les musées, les sites d’exception qui forgent la notoriété de la Bourgogne Franche-Comté bien au-delà de nos frontières, il y a des femmes, des hommes et des entreprises en déshérence. Soit 50 000 professionnels qui ne vivent et raisonnent qu’au service de l’accueil de la clientèle, la promotion d’un cadre idyllique ou la satisfaction de fidéliser durablement celles et ceux qui aiment flâner au détour d’un haut-lieu culturel.
Face à ce frein sanitaire préjudiciable à la pérennité des entreprises, la Région tente de sauvegarder du mieux possible la filière et ses inestimables emplois.
Solennel, l’air grave, le vice-président en charge du développement touristique Patrick AYACHE a donc profité de sa prise de parole lors d’une conférence de presse concoctée par Bourgogne Franche-Comté Tourisme pour lister plusieurs pistes devant répondre aux attentes actuelles. En premier lieu, un plan d’accélération de l’investissement touristique.
L’itinérance et le tourisme durable : deux vecteurs à déployer…
Ce dernier s’intègre parmi le plan de relance global (40 millions d’euros) décliné à l’échelle du territoire. Sans trop en déflorer son contenu, l’élu franc-comtois a simplement insisté sur le focus ambitieux qui lui serait donné. Notamment dans le domaine du tourisme durable, une thématique en pleine expansion à l’heure actuelle qui favorise la sauvegarde de la planète.
Une incitation à la mue des stations de montagne qui vivaient traditionnellement autour des activités liées à la présence massive de la neige s’impose. A terme, ces centres d’accueil en altitude optimiseraient leurs activités de loisirs durant les quatre saisons calendaires. La Région devrait pousser à la reconversion de ces stations d’hiver en y mettant les moyens financiers conséquents.
Seconde suggestion de l’élu : l’essor de l’itinérance. Un tourisme qui séduit de plus en plus les randonneurs qu’ils soient pédestres, à cheval ou à bicyclette. Notre territoire figure, à ce titre, parmi les références leader dans l’Hexagone. Un effort sera mis tout particulièrement autour de six destinations itinérantes d’exception. Des destinations qui seront dévoilées par Patrick AYACHE le 13 novembre prochain lors de la session plénière de l’exécutif.
La Région apportera aussi son soutien à toutes les initiatives valorisant le tourisme durable à travers de grands évènements structurants.
Aider les investissements en hôtellerie et dans l’hébergement…
Enfin, Patrick AYACHE eut un mot sur l’une des composantes de ce tourisme si éclectique dont on parle peu : celui issu de l’environnement social. Un pan d’activité qu’il considère aujourd’hui comme « malade », voire « inadapté » par rapport à la mise aux normes d’aujourd’hui. « Nous allons essayer de les rénover afin de répondre aux attentes réelles du moment… ».
Le vice-président conclut son intervention en évoquant un concept dont les origines sont cent pour cent régionales mais qui essaime désormais ailleurs sur d’autres territoires : un outil d’aides aux investissements touristiques de type hôtellerie et amélioration des équipements dans le secteur de l’hébergement.
Autant de moyens anticipatifs que l’élu régional présentera en séance le 13 novembre afin de les déployer dès le terme de ce nouveau confinement au service de l’attractivité de notre territoire.
Thierry BRET
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