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Les énergies renouvelables se découvrent par le tourisme : EDF en est le promoteur originel…
juillet 03, 2019L’initiative se veut judicieuse à bien des égards. Elle l’est par sa primauté. Jamais, jusqu’alors, le territoire de Bourgogne Franche-Comté n’avait accueilli un tel projet. Proposer un circuit des énergies renouvelables qui illustre les bienfaits de l’hydroélectrique et du solaire photovoltaïque dans notre environnement. Principal producteur et fournisseur d’électricité en Europe, le groupe EDF souhaite décliner par le biais de ce concept une approche pédagogique originale à la compréhension des enjeux énergétiques de demain. Donnant ainsi les clés du savoir et de la découverte à un large public, y compris celui des scolaires, de se forger une opinion sur ces questions environnementales. Et pourquoi pas, leur inculquer des bribes de réflexion qui leur permettraient de bâtir un futur plan de carrière…
Barrage de CRESCENT : Long de 330 mètres, l’édifice de béton se miroite dans l’eau calme de la Cure. Depuis son accès par la modeste route qui le traverse, l’ensemble offre une vision bucolique de ce Morvan champêtre que les amateurs de champignons et de randonnées sous les bois raffolent.
Trente-sept mètres en contre-bas, ce qui se présentait initialement sous la forme d’un univers lacustre poissonneux, n’est plus qu’une mince coulée d’eau qui s’échappe par des canaux de dérivation.
Entre-temps, l’eau aura fait son œuvre en actionnant les mécanismes en acier de deux énormes turbines qui servent à produire de l’électricité. Bienvenue dans le saint des saints de ce pur produit de l’ingénierie du groupe EDF !
Bâti en 1930, le barrage de Crescent accueille l’une des sept centrales qui forme l’ensemble des moyens de production d’hydroélectricité du producteur/distributeur d’énergie en Bourgogne. Le site est opérationnel depuis 1932. Il y accueille une quinzaine d’opérateurs qui sillonnent continuellement l’un de ces points névralgiques disposés dans la vallée de la Cure.
Un barrage aux multiples interactions bénéfiques…
Le lieu est vertueux. Non seulement, le barrage de Crescent assure la production d’électricité mais en outre il participe au soutien d’étiage de la Seine lors de la période estivale et à la gestion de ses crues dès le retour de l’hiver.
Visiter cet édifice constitue à s’imprégner des enjeux fondamentaux de la production hydroélectrique dont est passé maître depuis plus de soixante ans le groupe EDF. La puissance s’élève à 1,47 MW. La retenue d’eau de ce lac artificiel accueille 4 965 000 mètres cubes de ce précieux liquide.
Accompagnée de techniciens, la découverte du site permet de comprendre le fonctionnement de ce barrage et de son évacuateur d’eau mais aussi de s’immiscer au cœur des installations qui équipent la construction. En terme clair : vous saurez tout de la manière de produire de l’électricité et de l’organisation du circuit d’eau entre l’amont et l’aval du barrage. La production de ces différentes centrales est en moyenne de 80 millions de KWh par an. Soit la consommation domestique d’environ 35 000 habitants. Particularisme des deux turbines, placées à l’intérieur de l’édifice : leur fabrication s’est faite à partir des obus de la Première Guerre mondiale !
Lors des Journées de l’industrie électrique, les 15 et 16 juin, le barrage de Crescent s’est ouvert aux visiteurs. Un public venu nombreux pour y trouver les explications nécessaires sur son mode de fonctionnement. Avec la zone d’exploitation du solaire photovoltaïque de Massangis (à une quarantaine de kilomètres de là), ce circuit est le premier à promouvoir les énergies renouvelables de bas carbone.
EDF utilise ce circuit comme un outil pédagogique…
Si le groupe EDF a fait le choix depuis plusieurs années d’un mix équilibré qui associe nucléaire et énergies renouvelables dans son approche globale de la production énergétique, il veut le faire savoir. Aux acteurs institutionnels, politiques et économiques (ce qui fut le cas lors de l’inauguration de ce premier circuit régional avec un aéropage de personnalités) mais aussi en direction des plus jeunes de nos concitoyens.
La visite de ce circuit s’adresse également aux enfants. Ceux qui fréquentent collèges et lycées afin de sensibiliser ce public juvénile aux métiers du renouvelable. C’est-à-dire les professions issues des filières technologiques de demain, susceptibles de les embaucher.
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Plusieurs associations ont émis le souhait de rejoindre les rangs de l’UDAF de l’Yonne. Leurs représentants ainsi que ceux des vingt-quatre structures déjà adhérentes ont été accueillis par le président de la vénérable institution lors de la récente assemblée générale à Auxerre. Ce fut une excellente opportunité pour Benoît VECTEN de réaffirmer les missions sociétales de son organisme et son désir de développer un véritable maillage associatif au service et en soutien des familles sur l’ensemble de notre territoire…
AUXERRE : Quatre-vingts personnes ont assisté aux travaux statutaires de l’Union départementale des associations familiales de l’Yonne il y a quelques jours au Phare. Parmi celles-ci, des porte-voix de nouvelles structures qui sont désireuses de grossir les effectifs de l’organisme ayant pour idéal l’accompagnement et le soutien aux cellules familiales dans leur quotidien.
L’occasion a été donnée au président de l’UDAF de l’Yonne, Benoît VECTEN, de rappeler les missions principales qui nourrissent les équipes de cette entité qui intervient sur l’ensemble du territoire départemental.
Outre les moments d’échange et de convivialité, le président de l’association ne manqua pas d’évoquer la dimension territoriale des actions de la structure.
L’UDAF de l’Yonne entend bien à l’avenir accroître sa prédominance sur tout le département. Afin d’être à l’écoute et au plus près des familles qui en ressentiraient le besoin.
La présence d’une salariée de l’URAF Bourgogne Franche-Comté, Sandrine EME, permit de mieux appréhender les modes opératoires de trois mille familles de l’Yonne qui ont été passées sous le tamis exigeant d’une enquête d’opinion.
Réalisée sous la tutelle de l’organisme régional, la démarche a offert au travers de ce panel exhaustif une analyse en profondeur sur le comportement sociétal des familles nombreuses et de leurs attentes dans l’Yonne.
Une restitution passionnante qui devait interpeller les différents acteurs de la sphère familiale présents dans la salle…
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Retraites : le système actuel est désormais obsolète, il est impératif de le réinventer !
juillet 02, 2019Il y a déjà vingt ans que le Conseil d’orientation des Retraites (C.O.R), initié par le Premier ministre de l’époque, Lionel JOSPIN, existe. Véritable comité « Théodule », autant dire un énième dispositif de plus dont les prévisions stratégiques n’ont pour objectif que d’intéresser celles et ceux qui les produisent, émet des hypothèses de tout ordre sur les équilibres financiers des retraites pour les prochaines années. Voire les futures décennies, bien au-delà même de l’horizon 2050. La matière grise des esprits éclairés de ce comité atypique puiserait-elle sa source dans l’histoire exotique d’un personnage sorti de l’univers des « Mille et une nuits » de la Perse ? On peut le supposer à la lecture des lignes qui suivent…
TRIBUNE : Je vais vous narrer l’histoire de Nasr Eddin HODJA. Il proposa un jour au Shah de Perse d’apprendre à lire à son âne dans un délai de dix ans. A la fois intrigué et séduit par cette proposition fort curieuse, le Shah l’assura de lui verser une pièce d’or à la fin de chaque mois jusqu’à ce que l’âne parle. Mais, il l’avertit en parallèle que si l’âne restait muré dans le silence à l’issue de ces dix années, lui, Nasr Eddin HODJA serait alors décapité.
À la sortie du palais, les amis de ce personnage furent consternés : « Comment as-tu pu faire une proposition aussi insensée ? » s’exclamèrent-ils !
« Ne vous inquiétez pas, répondit-il calmement le sage, d’ici dix ans ou le Shah ou l’âne ou moi, l’un des trois de toute façon, sera mort… ».
Ainsi, le Conseil d’orientation des retraites prévoyait dans son rapport de 2007 que les caisses de retraite complémentaire, AGIRC ARRCO, seraient en déficit autour des années 2020.
Comment décrire l’improbable : la vision du monde de 2050 ?
Dans l’absolu, l’AGIRC l’est depuis 2010. Malgré tous les artifices comptables possibles et inimaginables. Cette prévision du C.O.R. est à mettre au regard de la dure réalité : en 2016 la somme des déficits AGIRC ARRCO atteignait la bagatelle de quatre milliards d’euros.
Elle s’élevait à trois milliards l’année suivante. Fin 2018, on embouchait les trompettes pour dire qu’elle n’était que de deux milliards. Soit au total, neuf milliards d’euros sur trois ans. Mais, qu’en sera-t-il avec exactitude en 2019 et 2020 ?
Quelqu’un a eu l’idée géniale de fusionner les caisses ARRCO et AGIRC du fait du déficit de cette dernière. Mais, le contraire eut été impossible. Surtout lorsque l’on constate qu’il y a quatre millions de cotisants pour 2,8 millions de retraités ?
Est-il nécessaire d’avoir fait un jour des études à Polytechnique pour comprendre cet exercice d'arithmétique purement élémentaire ?
Cette fusion, dans mon modeste essai intitulé, « Des retraites nous n’en aurons pas ! A moins que … », je l’ai qualifiée « de trou dans le trou », comme le fameux trou du célèbre sapeur Camembert.
Aussi, est-il logique qu’un think tank prévoit que « si rien ne change, la dette vieillesse de 2050 pèsera plus des trois quarts de la richesse nationale… ».
Quand on sait, selon une enquête du Comité Economique, Social et Environnemental, que près de la moitié des Français ne possèdent même pas cent euros dans leur besace la fin du mois. Il n’est donc pas besoin d’être devin pour savoir ce qui se passera d’ici quarante ans. Ce qui semble d’ailleurs être le cadet des soucis de bon nombre de personnes vivant en ce bas monde !
Quant à la notion de « richesse nationale », elle n’est qu’une abstraction stratosphérique pour la majorité d’entre eux !
Ainsi, le C.O.R, les think tanks, les économistes et autres exégètes de la retraite élucubrent de manière récurrente des prévisions inspirées par la brillante et irréfutable pensée du fameux Nasr Eddin HODJA. Dans quarante ans, personne ne pourra venir leur porter contradiction.
Toutefois, réfléchissons quelque peu : quel économiste aurait pu décrire au début de l’année 1914 la situation de l’Hexagone de 1964 ? Ou en 1979, comment se présenterait le monde de 2019 ?
Un système de retraites devenu obsolète et imparfait…
Nos prétendus experts scrutent tous ces espaces intersidéraux par le mauvais bout de la lorgnette. Ils ne voient pas l’immense trou qui se trouve à leurs pieds. Une fosse abyssale vers laquelle nous glissons petit à petit de manière irrémédiable…
En revanche, ce que personne ne veut voir : c'est que le système de retraites, qui a vu le jour en 1945, est totalement obsolète en l’état ! Dois-je rappeler que nous sommes en 2019 !
Depuis, tout a changé. A commencer par la démographie. Il y avait à l’époque sept actifs pour un retraité. Le ratio est maintenant de 1,6. Il y avait 2,2 milliards d’habitants sur Terre dont seulement 600 millions vivaient en économie de marché. Il y a désormais 7 milliards d’individus sur la planète dont 5,5 milliards ont engagé une compétition féroce pour fabriquer et vendre des produits dans le monde entier. Que la plupart du temps les consommateurs n’utilisent pas !
Ne parlons pas du développement exponentiel des robots et de l’intelligence artificielle : cela va éliminer des millions d’emplois à une vitesse vertigineuse ces prochaines années !
Quant à la transition énergétique et le sauvetage de la planète dont on nous abreuve à longueur de journée, cela exige des milliards d’investissements et un changement comportemental qualifié de radical. Or, personne n’ose le dire mais nous ne sommes pas prêts !
Et que dire de tous ces gens qui veulent étayer un bâtiment déjà vermoulu : notre système de retraite hérité de 1945, avec des fétus de paille, qui est aujourd’hui totalement caduque…
Emmanuel RACINE
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Le constructeur lance une nouvelle motorisation essence : MAZDA réussit là où d’autres se cassent les dents…
juillet 01, 2019L’identité de ce nouveau moteur à allumage par compression fait penser à l’un des personnages androïdes qui évolue dans la série culte de la « Guerre des Etoiles ». SkyActiv-X ! Pourtant, cette motorisation novatrice n’est pas le fruit de la science-fiction ! Elle a pour vocation d’équiper les nouvelles Mazda 3 et les CX-30, lancées dès le mois de septembre, et d’optimiser leurs performances.
PARIS : Alors que la plupart des constructeurs mondiaux se jettent à corps perdu et à grand renfort d’investissements dans de nouvelles formes de motorisation (hybride, électrique…), la marque japonaise se distingue en prenant un chemin diamétralement opposée à celui emprunté par ses condisciples.
Elle mise tout, ou presque, sur un moteur à essence qu’elle qualifie déjà de révolutionnaire : le « SkyActiv-X ».
Cet assemblage de technologie et de mécanique suscite bon nombre d’interrogations. Voire de convoitises parmi les acteurs de la filière automobile. Il est d’ores et déjà disponible sur la nouvelle Mazda 3. Celle-ci devient ainsi le premier véhicule de grande série à disposer de ce type de motorisation : c’est-à-dire un bloc essence à allumage par compression.
Objectif avoué de l’ingénierie nippone : gagner davantage de couple à l’aide de ce moteur que sur leurs équivalents alimentés en essence. Le tout, en consommant moins, il va de soi !
D’une puissance de 180 chevaux à 6 000 tours minute, offrant un couple maximal de 224Nm à 3 000 tours minute, ce bloc moteur confirme l’appétence de la marque pour ces technologies où règnent encore les combustibles traditionnels.
Côté consommation, tout en étant respectueuse de la réglementation actuelle, la marque affiche un score de 4,4 l/100 km. Quant aux rejets de Co2, ils se situent en dessous de 100g/km.
Bref, une performance très appréciable pour les distributeurs de la Mazda 3 et du CX 30 qui bénéficieront de ce moteur.
La nouvelle Mazda 3, pourvue de cet additif dont on parle tant, arrivera en concession dès la prochaine rentrée de septembre. Suscitant l’enthousiasme des professionnels. Ils ne manqueront pas, par ailleurs, d’assurer le lancement officiel de ces produits de manière visible.
Présent la semaine dernière à Varsovie pour assister à la convention européenne du constructeur japonais, Yves JEANNIN, dirigeant du groupe éponyme sur les départements de Seine-et-Marne, de l’Aube et de l’Yonne, se dit impatient de commercialiser ce petit bijou fait de modernité et de performance. Le lancement de ces nouveaux véhicules dotés de cette motorisation supposera des opérations de marketing et de communication pour le groupe.
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La campagne de notoriété s’est avérée efficace : la ville de Sens en haut de l’affiche dans le métro…
juin 29, 2019La toute première campagne de marketing territorial instituée par la Ville de Sens en région francilienne a fait beaucoup parler d’elle au moment de sa diffusion. De très belle facture au niveau de l’esthétisme et de la recherche iconographique, les affiches, au nombre de trois, choisies à la suite d’un vote par les habitants de la localité devaient habiller sept cent cinquante emplacements dans le métro. Illustrant différents aspects de la qualité de vie que l’on trouve à Sens, elles ont renforcé la notoriété de Sens qui dispose de beaucoup d’atouts à faire valoir. Tant au plan culturel et patrimonial, que dans le domaine touristique et amélioration du cadre de vie…
SENS : Nom de code stratégique de cette campagne publicitaire réussie : « Sens Intense ! ». Durant plusieurs jours, les voyageurs qui empruntent d’ordinaire les lignes de la RATP dans la capitale de l’Hexagone ont eu le loisir de se familiariser avec les bienfaits de la ville septentrionale de l’Yonne, ses opportunités touristiques et surtout la qualité de son art de vivre. Bref, d’en connaître davantage sur les plaisirs offerts par une agglomération distante d’une petite centaine de kilomètres de leur grande métropole.
Les slogans incitaient vraiment à la découverte et à la curiosité : « 360 ° de patrimoine à une heure de Paris ». Le visuel de cette première affiche dévoilait la richesse du patrimoine de la ville icaunaise. « 37 kilomètres de douceur à une heure de Paris ». Une manière réussie et champêtre de rappeler que les chemins de halage du bord de l’Yonne étaient propices à de belles balades en vélo. La troisième, enfin, rappelait la gastronomie et ses succulences : « 102 grammes de convivialité à une heure de Paris », avec comme point d’orgue photographique, une énorme gougère absolument appétissante qui s’offre au regard gourmand des usagers du métro…
Conçue par les services ad hoc de la ville, en accord avec les élus, la campagne de sensibilisation de la ville icaunaise a atteint ses objectifs. Elle a généré plus de 100 000 vues parmi la population de la capitale qui ne pouvait manquer d’apercevoir l’un des panneaux d’affichage devant l’accueillir.
Le projet se voulait mobilisateur en amont de sa conception. Il l’a été. Un scrutin était proposé aux Sénonais durant deux mois. Ceux-ci s’exprimèrent sur le choix de trois affiches parmi sept possibilités devant couvrir les panneaux d’affichage placés dans le métro parisien.
Déclinée du 29 avril au 05 mai, cette campagne novatrice au plus près de points névralgiques de la capitale a su faire mouche. Logique quand on sait que quelque trente millions de personnes visitent chaque année l’une des plus belles villes du monde.
Or, Paris perd chaque année l’équivalent de 12 000 personnes au profit de la proche banlieue ou de la province. Soit en proportion la population de Sens qui quitte la capitale tous les deux ans. Un phénomène qui ne date pas d’hier et qui selon l’INSEE devrait perdurer jusqu’en 2025.
Permettre le réveil de la ville en promouvant son attractivité…
Soucieuse de valoriser l’image de marque et la qualité de vie proposée par la ville, la municipalité de Sens s’est lancée dans une vaste campagne grand public pour affirmer son identité. Et surtout sa volonté de pouvoir accueillir de nouveaux résidents. Ainsi est né le concept de marketing territorial : « Sens Intense ». Il a suscité un commentaire de l’édile, Marie-Louise FORT ; lors de sa présentation officielle.
« Grâce à cette première campagne d’envergure nationale, nous prenons date avec le réveil de notre ville au plan de son attractivité. Sens possède de sérieux atouts à faire valoir : nous avons donc opté, à l’aide de cette nouvelle étape de communication, d’en traduire l’expression la plus fine de son caractère… ».
Cette phase novatrice de communication englobe la création d’une marque de territoire, le fameux nom de code « Sens Intense », la réalisation d’un film promotionnel (celui-ci a été visionné plus de 60 000 fois), un film conçu en format court et qui se destine à alimenter les réseaux sociaux, la mise en place d’un compte Instagram. Sans omettre, la fameuse campagne promotionnelle dans le métro de la capitale.
A l’avenir, l’opération pourrait se réitérer. Peut-être en la mutualisation afin d’en minimiser les coûts, pourtant maîtrisés.
Un article réalisé en partenariat
avec la Communauté du Grand-Sénonais et la Ville de Sens…
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