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Sportive la plus vendue au monde : la Mustang et son petit goût d’Amérique ont fêté leurs 56 ans…
avril 21, 2020Mythique et très classieuse ! Puissante et aventurière ! La célèbre Ford Mustang demeure l’une des références incontournables de la pratique nerveuse de l’automobile dans le monde. Auréolée de la gloire cinématographique grâce à l’un de ses adeptes chevronnés, le regretté Steve Mc QUEEN (il faut revoir la poursuite culte dans « Bullitt » en 1968), le modèle est aujourd’hui un quinquagénaire en grande forme célébré par FORD…
PARIS: Tout le monde se souvient de l’emblématique « Mustang GT » conduite par l’acteur Steve Mc QUEEN dans ce thriller nerveux et oppressant daté de 1968, « Bullitt ».
En janvier, ce célèbre véhicule qui fit la renommée internationale du long métrage signé Peter YATES a été cédé au plus offrant lors d’une mémorable vente aux enchères pour 3,7 millions de dollars.
L’objet de toute les convoitises rugissait de plaisir dans les rues pentues de San Francisco lors d’une chevauchée interminable devenue culte pour les aficionados du septième art.
Acquise pour la modique somme de 3 500 dollars US par son propriétaire de l’époque, l’automobile s’est négociée en millions de dollars lors de récentes enchères. Preuve que son constructeur, FORD, avait misé juste en créant ce modèle de voiture devenue depuis indémodable !
Née il y cinquante-six ans, la Mustang possède deux couronnes mondiales à son palmarès : c’est la sportive la plus commercialisée de la planète. C’est aussi de manière consécutive depuis cinq ans le coupé le plus vendu au monde. Précisons que les consommateurs américains en sont très friands. La Mustang est la sportive qui fait toujours recette aux Etats-Unis depuis cinquante ans !
L’an passé, le petit prodige mécanique de FORD s’est écoulé à 102 090 unités aux quatre coins du globe. Les ventes ont augmenté de 33 % en Allemagne. Elles se sont envolées de 50 % en Pologne et elles ont doublé de volume en France.
Sur le seul continent européen, le constructeur américain a progressé de 3 % en parts de marché par rapport à l’année précédente avec 9 900 véhicules distribués.
Dans l’Hexagone, on la trouve en deux versions: la Fastback et le cabriolet, dans sa déclinaison V8 5.0l de 449 ch avec boîte automatique à dix vitesses ou manuelle à six vitesses.
L’édition spéciale « Mustang Bullitt » (eh oui en référence au film éponyme), équipée d’un moteur V8 5.0l de 460 ch est disponible en version Fastback dans deux coloris, le « Shadow Black » ou le « Dark Highland Green ».
Comme le spécimen piloté par Steve Mc QUEEN !
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Dans ces moments difficiles à vivre et fort complexes pour nos existences, un peu de fantaisie légère et de sourires grâce à cette tribune qui ne se prête pas au sérieux pour évoquer la pire crise sanitaire que nous observons depuis ces cent dernières années. Même le regretté Michel AUDIARD n’y avait pas pensé !
TRIBUNE: On m’avait dit que « la vie est un long fleuve tranquille » et que « tout le monde, il est beau, tout le monde, il est gentil ». On aurait dû me dire « bienvenue à Zombieland » et bonjour « épidémie mélodie ». Malheureusement, « c’est arrivé près de chez nous ». Nous entrons dans « la quatrième dimension ». Notre vie est conditionnée dorénavant par deux signaux d’alarme : « Alerte » et « Virus ».
Nos braves infirmières, pour « le salaire de la peur » et « pour une poignée de dollars » font face à tout avec un « breaveheart » mais « les héros sont fatigués ». A « 37°2 le matin », celui qui passe à « 100° below zéro » est bon pour un « vol au-dessus d’un nid de coucou ».
C’est un « jeu de massacre » et « l’histoire sans fin ». Nous vivons désormais sur la « Planète interdite ». Mais quand est-ce-que « l’Empire contre-attaque » le virus.
« Y’a-t-il un pilote dans l’avion ? ». « Mais où est donc passée la 7ème compagnie ? ». Les discours nous distillent « vérités et mensonges », « les cadavres ne portent pas de costards ».
« Les sorciers de la guerre » nous jouent « Apocalypse Now » en alternance avec « Mission impossible ». Certains malades sont plus proches d’ « Eléphant man » que de « Gatsby le magnifique ». Monsieur « le Président, arrête de ramer, t’attaque la falaise, arrête ou ma mère va tirer ». Nous aussi, on veut « le masque de Zorro », sinon on est « chocolat ». Arrête de jouer « l’emmerdeur » joue plutôt le « magicien d’Oz » !
« Touche pas au grisbi ! ». « Le loup de Wall Street » fait régner la « peur sur la ville ». Avec son « itinéraire d’un enfant gâté », le « Président » signe « le pacte des loups » en fredonnant « moi y’en a vouloir des sous »… « La ruée vers l’or » et « la chasse aux millions », ce n’est pas pour demain. Attention toutefois « le cave se rebiffe » car « il ne faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages » !
« Les rescapés », « les vieux de la vieille » en ont marre de « la soupe aux choux », « fait gaffe à la gaffe », « papy fait de la résistance » ! Dans nos banlieues agitées les contrôleurs « flics ou voyous » courent après ceux qui prennent « la poudre d’escampette » la jouant « attrape-moi si tu peux ». La règle du jeu, un mètre de distance fait disparaître le « pickpocket »… « La bourse et la vie » obnubile les dirigeants.
Dans les rues désertes, c’est parfois « sauve qui peut » et « la course à l’échalote ». Bon sang, « qu’est-ce qu’on a fait au bon Dieu ! ». On a envie de dire à ceux qui nous dirigent : « prends ta Rolls et va pointer ». « Le jour le plus long » c’est le jour de sa mort.
Demain on risque de « manger les pissenlits par la racine ». « La guerre est déclarée », « la vérité si je mens », « les cavaliers de l’apocalypse » sont de retour ! « Le dénonciateur » et « le corbeau » sont repartis comme en 40… « L’armée des ombres » veille et crée la « psychose ». « Le jour se lève boulevard des illusions », il ne faut pas s’en faire, « nous irons tous au paradis ».
« Un printemps à Paris », désert, « le cercle des poètes disparus » nous prédit pourtant « un papillon sur l’épaule », espérant qu’ « un été meurtrier » n’aura pas lieu et que « le plus dur est derrière toi »…
« La fureur du dragon » s’éteindra doucement faisant place à « la délivrance ». Jouer « l’idiot » dans « le dîner de cons », c’est « l’expérience interdite ». « Marche à l’ombre » et « viens chez moi j’habite chez une copine… ».
« Les visiteurs », même avec le « Mask » sont toujours interdits. « Les diaboliques » sur « la planète terreur » annoncent « la fin des temps ».
Nous, on n’a « rien à déclarer », et « mourir peut attendre ». J’ai rêvé de mettre ma tenue de soirée pour « jour de fête » et danser « la valse de Paris » ou « le dernier tango à Paris ».
Je voudrais remplacer le « buffet froid » par « la grande bouffe », vivre comme « Alexandre le bienheureux » et ne plus avoir « la mort aux trousses ». J’ai hâte que le « voyage au bout de l’enfer » soit terminé, de prendre « le dernier métro » pour « la mélodie du bonheur ».
« Et la tendresse bordel ! ». « Mon nom est personne ».
France C.
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Etes-vous intuitif ? Si oui, écoutez votre petite voix intérieure pour vos objectifs socioprofessionnels…
avril 20, 2020Adoubée de l'Ordre de l'Empire britannique par la reine d'Angleterre en 2004, Eileen CADDY, auteur à succès d'ouvrages spirituels, a su partager ses imprévus intuitifs quotidiens dans son best-seller : « La Petite voix ». Ce dieu intérieur qu'elle nomme comme source de son intuition donne le ton à son expression : « Cherchez toujours la réponse en vous, ne soyez pas influencé par celles et ceux qui vous entourent, ni par leurs pensées, ni par leurs paroles… ». A méditer en ces instants de crise…
TRIBUNE : La faculté à discerner le vrai du faux dans son champ de conscience est quelque fois un sacerdoce. Pourtant, dès l'apparition du genre humain, notre instinct primaire est relayé par l'image d'un homo sapiens à la « clairaudiance » irrationnel. Cet hominidé interagit à ses pulsions pour manger, procréer, et fabriquer. Il se connecte à ses cinq sens. Il n'intellectualise pas, il ressent. En effet, accueillir toutes ses perceptions est sa survie.
Le mot intuition prend sa source étymologique du latin « Intuito » : voire d'un seul coup d’œil…Aujourd'hui, qu’en est-il de toutes ces facultés imprimées dans nos gènes ?
L'intuition n'est pas un talent : elle est la prescience irraisonnée à écouter le murmure de cette « petite voix » très favorable à la prudence. Ce sixième sens s'invite furtivement, subtilement et exclusivement pour dévoiler une pensée fiable et viable. Cette vérité subjective insistera avec entêtement quelquefois pour refléter une idée qui en sera la clé. C'est le garant par écho d'un feeling à suivre pour faire aboutir dans la justesse d'action son objectif.
Je vous le concède : ce flair originel est souvent mis de côté car il s'accorde à la confiance mais en soi. Des facteurs environnementaux, vecteurs d'un détournement à cette ressource peuvent interférer ou altérer cette sensibilité : le stress, le manque de soutien dans des partis pris, la peur du jugement. Pourtant, ce transmetteur a ce génie de vous mener vers des objectifs judicieux dans vos choix de vie personnels et socioprofessionnels.
Comment utiliser à bon escient l’art de l’intuition ?
C'est un abandon à se considérer davantage, tout en acceptant de se laisser guider par l'œil initiatique, ambassadeur d'une présomption d'innocence enfantine. Quelle belle connivence à prioriser en toute sagesse et surtout en se faisant confiance !
L’intuition supplée également une idée furtive. Comme le coup du parapluie où la soudaineté engendrera une justesse d'action sans se poser de question.
De plus, le corps a cette fragrance d'imprimer l'acuité de décisions judicieuses par une sensation de bien-être ou de mal-être sous le signe d'une crispation pour un danger.
L'intuition est la protection d'un allié à initier au quotidien. Elle balaie effrontément le doute si on ne la relaie pas au second degré dans un plan mental. Ce cérébral peut la court-circuiter dans une optique illusoire de sécurité. Mais, le pire serait de ne pas emprunter cette voie.
A l'aborder dans un éclairage externe, l'intuition est aussi l'alliée de la synchronicité à percevoir sous deux angles.
Dans un visuel où des points d'appuis bien spécifiques comme des supports publicitaires se distinguent par un mot ou une phrase. Il existe également dans une transmission auditive par des canaux radiophoniques ou relationnels. Ces deux opportunités à saisir viendront apporter aussi les bonnes réponses. Sceptiques ?
Par expérience, ces deux invitations fédèrent un champ visuel interne et externe au tout est possible.
Carl-Gustav JUNG, éminent psychiatre, le conscientise par ces mots : « L'inconscient nous donne une chance, par ses communications et par les allusions imagées qu'il nous offre. Il est aussi capable de nous communiquer ce qu'en toute logique, nous ne pouvons savoir. Pensons aux phénomènes de synchronicité, aux rêves prémonitoires et aux pressentiments… ».
Ce pare-feu primaire symbolise et favorise la précision pour une vue d'ensemble objective et réaliste. La ressource est dans sa source.
Alors, la transmuter peut se faire en toute impartialité et honnêteté.
Lyvia ROBERT
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La CAPEB à la rescousse avant la reprise : trois cents bidons de gel hydro-alcoolique distribués aux artisans…
avril 19, 2020Sous un agréable soleil printanier se déroulait vendredi après-midi sur le parvis du siège social de la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment la seconde séance d’approvisionnement en solution hydro-alcoolique. Un geste salvateur apprécié par les bénéficiaires qui souhaitent la reprise de leurs activités. Mais pas à n’importe quel prix…
AUXERRE : Séquencée en trois dates, la distribution de produits hydro-alcooliques aux adhérents du syndicat professionnels des artisans de la filière du bâtiment (CAPEB) a rencontré une nouvelle fois le succès ce vendredi 17 avril. Deux jours après le rendez-vous initial qui s’était déjà déroulé dans des conditions similaires au même endroit.
Ce sont au total trois cents récipients de cinq litres de ce précieux liquide qui seront remis in fine aux professionnels de la corporation. L’ultime séance est prévue le mardi 21 avril après-midi, de 14 h à 17 h.
Les responsables du syndicat ont donc convié leurs adhérents qui s’étaient préalablement inscrits à se munir de ce précieux auxiliaire indispensable à la sécurité afin d’assurer la continuité de leurs chantiers.
Une commande avait été générée en amont auprès de la société « AMH Labo » basée à Fontenoy pour pouvoir satisfaire les besoins des chefs d’entreprise qui le désiraient.
Ce geste symbolique permet d’entrevoir la reprise des activités. Même si certaines structures sont opérationnelles et honorent tant bien que mal quelques travaux auprès de particuliers dans le domaine de l’électricité, de la maçonnerie ou de la plomberie.
Des masques aux abonnés absents, des fournitures devenues de la denrée rare…
Toutefois, la majeure partie des artisans ne dispose pas des outils nécessaires (gel, masques) pour assurer la protection optimale de leurs salariés.
« Il serait important d’en bénéficier au plus vite afin de respecter les mesures de sécurisation, a déclaré le président de la CAPEB 89 Jean-Pierre RICHARD qui a rappelé que « son organisme favorisait aussi les démarches administratives parfois complexes dans le souci d’accompagner ses adhérents ».
Autre particularisme qui empêche les entrepreneurs de travailler convenablement : l’observance de la distanciation sociale (de un à deux mètres entre les personnes). Une chose qui est impossible à respecter pour les collaborateurs exerçant leur métier sur un échafaudage.
Quant aux livraisons de fournitures, l’inquiétude grandit. Les importations de carrelage et de céramique en provenance d’Italie ne franchissent pas la frontière transalpine à l’heure actuelle. Il en est de même des composants électriques qui proviennent de Chine. Ces éléments sont devenus aujourd’hui de la denrée rare, difficile à se procurer dans les meilleurs délais.
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« Brûlez Molière » de Jacques MALATERRE a été tourné en Bourgogne : Pierre-Andréa BRET en dévoile les coulisses
avril 16, 2020Diffusé en mai 2019 lors de la cérémonie des « Molières », le téléfilm du réalisateur Jacques MALATERRE consacré à l’illustre Jean-Baptiste POQUELIN, « Brûlez Molière », avait subjugué l’assistance. Par le jeu épuré, authentique et construit de ses acteurs. Mais aussi par cette théâtralité sans artifices qui nimbait ce scénario consacré à l’auteur du « Tartuffe ». Son « making of », le documentaire qui dévoile les coulisses du tournage, se découvre depuis peu sur la toile. Il est l’œuvre d’un jeune bourguignon de 20 ans qui fait ses gammes d’apprenti cinéaste aux Ateliers du Cinéma de Claude LELOUCH à Beaune…
BEAUNE : Et si Molière nous permettait de sortir quelque peu de ce climat anxiogène propre à cette crise sanitaire sans nom qui s’évertue à perdurer ! Un conseil pour apprécier une bonne bouffée d’air pur culturel : visionner le documentaire conçu par une jeune pousse prometteuse du septième art, originaire de Saône-et-Loire. Il a consacré un moyen métrage à l’œuvre télévisuelle produite par le réalisateur Jacques MALATERRE.
« Brûlez Molière », téléfilm programmé le 13 mai 2019 par France 2, avait remporté à l’époque un succès d’estime par la qualité magistrale de sa reconstitution et le jeu sans fioritures de ses acteurs.
Son auteur, metteur en scène et cinéaste avignonnais, avait apporté un soin tout particulier au respect historique et chronologique des faits évoqués par le scénario : une plongée très réaliste sans tabou autour de la création de l’une des pièces maîtresses du dramaturge, le « Tartuffe ».
Créée en mai 1664, l’œuvre fut immédiatement interdite par Louis XIV qui invoqua alors des raisons religieuses. Satire de la bourgeoisie rétrograde de l’époque, encore trop engoncée dans la pratique de valeurs traditionnalistes de la religion, Molière chercha surtout à faire rire la cour en se moquant de ceux qui se servaient de la peur de la mort pour jouer de leur crédulité.
On connaît la suite : pour ne pas passer sous les fourches caudines du Roi Soleil et éviter la censure, il dût réécrire le rôle de son personnage principal afin de l’aseptiser et l’adapter aux bonnes convenances de l’époque…
Un tournage essentiellement réalisé en Bourgogne…
Les premiers tours de manivelle du long métrage produit par « Bonne Pioche » et France Télévisions se donnent en Bourgogne. Une région choisie par Jacques MALATERRE pour la richesse de son patrimoine, en mars 2018.
Après avoir conçu les premiers plans aux studios de Bry-sur-Marne et à Saint-Germain-en-Laye, l’équipe met cap au sud, pas très loin de la capitale.
Les châteaux de Tanlay, d’Ancy-le-Franc, de Bussy-Rabutin, de Nuits-Saint-Georges accueillent successivement interprètes et techniciens. Des scènes seront également réalisées à Noyers-sur-Serein et à l’Abbaye de Fontenay.
Dans le sillage du réalisateur qui a travaillé par le passé avec Richard ANCONINA (« La loi de Christophe »), Patrick SEBASTIEN (plusieurs de ses pièces réalisées en téléfilm dont « Une chance sur six »), se tient un jeune homme épris par les subtilités de l’art cinématographique, Pierre-Andréa BRET.
Son objectif est simple : assurer la captation de la moindre scène, de l’infime détail, de la plus petite des anecdotes liée à la conception de l’œuvre.
« Il s’agissait de ma première expérience dans un long métrage, précise ce résident de Saône-et-Loire, âgé de 20 ans, qui suit depuis trois ans les cours aux Ateliers du Cinéma de Claude LELOUCH à Beaune. Réaliser le « making of » de ce téléfilm a été d’une grande richesse pour moi… ».
Durant un mois de tournage, ce curieux de nature retranscrit pas à pas le quotidien professionnel de celles et ceux qui travaillent avec passion à la réalisation de ce film. Costumiers, décorateurs, accessoiristes, cadreurs, comédiens, réalisateur…rien ne lui échappe.
Une kyrielle de projets dans la tête…
Le comble : lui qui veut tout savoir de cette entreprise peu singulière obtient même un rôle de figurant dans la création artistique de Jacques MALATERRE ! On le voit furtivement apparaître avant la scène de la représentation finale du « Tartuffe », affublé d’un habit de brigadier et frappant de son bâton les douze coups annonciateurs de l’entrée en piste de la troupe.
« Cela m’a permis de comprendre ce que vivent les acteurs en terme de pression avant qu’ils ne jouent leur scène, explique-t-il, quand il y a deux caméras braquées sur vous et que toute l’équipe technique vous observe, ce n’est pas si simple ! ».
A la fin du tournage, Pierre-Andréa BRET avait dans sa besace plus de quarante heures de rushs.
Commença ensuite un long et fastidieux travail de montage et de post synchronisation que le néophyte mena à bien pour aboutir à son projet définitif.
Terminé, le document, intitulé « Les coulisses du Grand Tartuffe ou la découverte de Jacques MOLIERE » fut présenté lors du mois du documentaire dans la bibliothèque Gaspard MONGE à Beaune. Le documentaire se visionne sur la toile depuis peu.
Par la suite, le néo-réalisateur a travaillé d’autres œuvres dans le cadre de sa formation. Notamment des « making of » et un reportage consacré à l’association chalonnaise, « Un Avion, un Enfant, un Rêve », structure présidée par Benoît LEDUC et parrainée notamment par Olivier DASSAULT.
Le film qui en découlera présentait les actions offertes à des enfants malades ou handicapés. Ceux-ci effectuèrent des baptêmes de l’air pendant une journée de solidarité. Le film traduit leurs émotions…
A l’heure où s’écrivent ces lignes, ce féru des salles obscures prépare un court métrage de fiction tourné en réalité virtuelle sur le thème des araignées. Il n’en dira pas davantage sur ce projet, confidentialité oblige. Ce sera son court métrage de fin d’étude aux Ateliers du Cinéma. Avant sous doute une exploitation en salles et dans les festivals ?
En savoir plus :
Lien du making of :
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