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FRTP/SNCF : le partenariat gagnant/gagnant grâce à la modernisation du réseau ferroviaire régional
novembre 16, 2023Forcément, cela va ruisseler en mode ultra positif pour l’ensemble des professionnels du secteur ! Et le sourire du président de la Fédération Régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté, Vincent MARTIN, en dit long sur les perspectives excellentes à venir ! En investissant 421 millions d’euros pour la modernisation des lignes ferroviaires de notre contrée, SNCF Réseau redonne du baume au cœur à des partenaires indispensables à la réalisation de ces chantiers…
DIJON (Côte d’Or) : Le Forum de l’Economie et de l’Emploi du ferroviaire a vécu sa troisième édition, ce jeudi, réunissant plus de cent cinquante acteurs intéressés par les projets et perspectives de la SNCF en matière d’aménagement des lignes qui traversent la Bourgogne Franche-Comté. Et en premier, les représentants de la FRTP, c’est-à-dire la Fédération régionale des Travaux Publics !
Logique que le président régional Vincent MARTIN soit aux premières loges de ces échanges nourris et constructifs car SNCF Réseau poursuit le travail entamé depuis 2019 avec son partenaire, à savoir la modernisation des lignes ferroviaires régionales.
Une modernisation dont l’investissement s’élève à 421 millions d’euros en 2023, avec une moyenne de plus de 350 millions d’euros chaque année pour les trois prochaines années, qui permet de recruter plus d’une centaine de personnes chaque année.
Rappelons que cet investissement est financé conjointement par l’Etat et la Région ; il profite au plan économique aux entreprises locales qui sont spécialisées dans les travaux ferroviaires mais aussi auprès des nombreux sous-traitants, voire des entreprises d’insertion, qui évoluent dans le domaine de l’emploi.
Logique que le président Vincent MARTIN pose aux côtés du président directeur général de SNCF Réseau, Marc CHABANEL, aux termes de cette journée de rencontres fructueuses pour les travaux publics et les opportunités qui lui sont offertes à l’avenir…
Thierry BRET
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Des travaux pour réduire les dépenses d’énergie : la gare de Tonnerre sur de bons rails grâce à la Région et la SNCF
novembre 15, 2023La gare de Tonnerre a donc subi au fil de ces derniers mois une sérieuse cure de jouvence. Des travaux qui ont été entrepris par la Région Bourgogne Franche-Comté et SNCF Gares & Connexions. Ils avaient pour objectif d’améliorer les performances thermiques de l’infrastructure, de remplacer la toiture et les menuiseries, mais aussi d’optimiser l’isolation de l’édifice tout en ravalant la façade. Epilogue, ce mardi, avec l’inauguration officielle du site…
TONNERRE : Réalisé dans le cadre de la Convention de Financement Patrimoine, entre la Région BFC et SNCF Gares & Connexions, ce chantier a fait l’objet d’une étude d’impact carbone, d’un diagnostic et d’un schéma d’organisation de la gestion des déchets. Autant dire que l’ouvrage favorisant le transport ferroviaire en y accueillant des passagers du Tonnerrois a été relooké selon un cahier des charges environnemental précis, suivi au pied de la lettre par les maîtres d’œuvre et les entreprises, choisies localement.
Un chantier qui s’est décliné en différents travaux d’embellissement (le ravalement de la façade grâce à un décapage permettant une reprise des fissures du bâtiment) comme de l’optimisation des capacités thermiques (une isolation répondant aux indices de performance thermique propre à la réglementation en vigueur) du site.
Esthétiquement, car il en est également question, le remplacement de la toiture vétuste par du zinc offre une agréable vision de l’ensemble. Il était nécessaire de respecter les valeurs environnementales en cours. Sachant que les éléments en bois sont, quant à eux, issus des filières FSC (Forest Stewardship Council) et PEFC (programme de reconnaissance des certifications forestières).
A l’intérieur de l’édifice, au rez-de-chaussée, la réfection complète de dix-huit menuiseries par des supports en acier favorisant les performances thermiques confère un cachet spécifique à la gare.
Quant au coût de ce chantier, il s’élève à 580 000 euros, intégralement financé par la Région Bourgogne Franche-Comté. Le résultat a été apprécié lors de la cérémonie inaugurale par Michel NEUGNOT, premier vice-président du Conseil régional, l’édile de Tonnerre, Cédric CLECH, Marie-Josée VAILLANT, présidente de l’Office de tourisme et maire de Chablis, et Sophie DUCORDEAUX, directrice du développement des gares de Bourgogne Franche-Comté pour la SNCF.
Thierry BRET
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L’Aile ou la Cuisse : le jeudi à Cry, c’est tête de veau !
novembre 11, 2023En ce mois de novembre, période des produits tripiers, notre rubrique culinaire vous emmène déguster l'un des abats préférés des convives icaunais : la tête de veau. Souvent, elle est proposée au menu du jeudi. Le « Restaurant du Pont » à Cry-sur-Armançon n'échappe pas à la règle. Pourquoi ce jour-là ? J'avoue tout de go en ignorer la raison !
CRY-SUR-ARMANCON : La France comptait environ un millier de tripiers en 1970. Combien en demeure-t-il désormais ? Deux cents, tout au plus. Dans l'Yonne, on pense aux sympathiques frangins MAGNONI, présents sur nombre de marchés (Pont-sur-Yonne, Sens, Toucy, notamment...).
Au sud-est de notre département, à une portée d'arquebuse de la Côte d'Or, se dresse le joli village de Cry-sur-Armançon (164 habitants environ). Il est bordé de majestueuses forêts. L'Armançon y coule gaillardement.
Rendre l’hommage qu’ils méritent aux tenanciers de l’établissement
Le « Restaurant du Pont » est l'unique commerce villageois. Poussons-en la porte. Antan, avant que les peintures ne soient refaites, des affiches de « La Française des Jeux » indiquaient quelques gains de grattage en francs français. Rappelons en la matière ce chiffre édifiant : seuls, environ 25 % de villages ont la chance de disposer encore d'un ou plusieurs commerces.
Autour du comptoir en formica, ça discute de façon animée. Ce bistrot, c'est LE lieu de rencontres du village, et l'on ne peut que rendre l'hommage qu'ils méritent à ses tenanciers. Le jour venu, pourront-ils trouver un successeur ? En tous cas, le mâcon est gouleyant. Ce que paraît confirmer le gentil chien de la maisonnée.
La tête de veau, fière représentante du 5ème quartier et des abats blancs
La salle du restaurant est toute lumineuse. Elle arbore sa jaune panoplie. Quelques affiches d'albums de l'indémodable « Tintin », dont « L’Etoile mystérieuse » et son énorme champignon, décorent les murs. Les assiettes de la maison sont siglées. En entrée, le feuilleté de boudin est plutôt bon. L'autre proposition, le jambon persillé, est de conception industrielle, comme les desserts d'ailleurs. C'est un peu dommage. Mais, nous sommes venus pour le plat principal qu'est la tête de veau, fière représentante du cinquième quartier et des blancs abats parmi lesquels les délicats ris, à contrario des abats rouges constitués par foie et autres rognons.
La tête de veau arrive dans des assiettes copieuses plutôt chaudes ! Sa sauce herbée est un rien acide, ce qui est plaisant avec la texture de notre mets. Autour de nous, une petite cinquantaine de convives semblent communier avec le bel abat, tenant de ces savoureux plats populaires appréciés des connaisseurs ! L'atmosphère est plutôt plaisante en ce jeudi, et la petite fille qui fait le tour des tables est plutôt rigolote. Elle est ici comme chez elle !
Un café et voici l'heure de traverser à nouveau le joli pont de pierre. Et qu'on se le rappelle, jeudi prochain, le 16 novembre précisément, c'est le jour du beaujolais nouveau ! Mais demain à Cry, demeurera-t-il un bistrot, ainsi que des amateurs de mets tripiers ?
En savoir plus :
Les - : on aimait ces vieilles affiches en francs français présentés sur ce mur défraîchi. Désormais, c'est plus lumineux, mais...
Les + : bravo aux sympathiques tenanciers de l'unique commerce de ce village.
Contact :
Restaurant du Pont de Cry
02 Rue du Moulin
89390 Cry-sur-Armançon
Tel : 03.86.55.73.09.
Gauthier PAJONA
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Sa présidence chez CERFRANCE BFC s’achèvera le 28 novembre : Eric COQUILLE valorise les bienfaits de la gouvernance à deux
novembre 10, 2023Pour l’un de ses ultimes tours de piste sous les projecteurs, il est parfaitement décontracté et rodé à la pratique de l’exercice, le président de CERFRANCE Bourgogne Franche-Comté. Si son alter ego décisionnaire, mais directeur général de la structure, nommé en juillet, Thomas LEMAITRE découvre les arcanes d’une assemblée de territoire, accueillie dans l’Yonne ; lui, Eric COQUILLE ne les compte même plus ! C’est en affichant un large sourire qu’il s’est donc rendu au pupitre de l’estrade de l’espace culturel ayant reçu la manifestation afin de tirer les enseignements de l’exercice 2023, frappé de plein fouet par la crise économique et l’inflation…Avant d’aborder les perspectives.
APPOIGNY : Il ne pouvait pas manquer de saluer le travail sérieux effectué au cours de l’exercice écoulé, par l’ancien directeur général, Laurent BEURIENNE, parti au premier janvier 2023, sous d’autres cieux promotionnels du côté de la capitale. Un Laurent BEURIENNE qui aura laissé presque une marque indélébile dans le microcosme tant le personnage jouait sa partition avec maestria au sein de l’édifice CERFRANCE régional ; lui qui désormais occupe une fonction à haute responsabilité, au sein du Conseil national du réseau CERFRANCE, à Paris.
Mais, Eric COQUILLE lorgnant vers l’avenir sera aussi mettre en évidence son successeur, Thomas LEMAITRE, dès les premières minutes d’une assemblée territoriale qui s’ouvrait selon le cérémonial habituel.
Un Thomas LEMAITRE qui aura déjà un rôle prépondérant à jouer en cette période automnale en préparant la succession et l’imminent départ du président Eric COQUILLE.
En effet, ce dernier a annoncé son retrait du poste d’administrateur qu’il occupait depuis plusieurs années, en date du 28 novembre prochain, lors de l’assemblée générale annuelle. C’est-à-dire demain ou presque à l’échelle du temps !
Un nouveau président à la tête de CERFRANCE BFC fin novembre
Une manière intelligente de préparer l’avenir de la structure en mode résolument binôme, une structure spécialisée dans l’expertise comptable mais pas que puisque CERFRANCE BFC a su ajouter une multitude de cordes à son arc – c’est devenu une harpe au fil des années ! – au service des entreprises et des entrepreneurs dans leurs quêtes de rentabilité et de sécurisation financière.
Pour l’heure, rien n’a donc filtré sur le patronyme exact qui succédera au président COQUILLE en cette journée du 28 novembre. Toutefois, l’orateur profitera de sa prise de parole, face à un auditoire très attentif, pour préciser que le Conseil d’administration de la structure avait fait le nécessaire en amont pour que les deux rouages de cette indispensable courroie de transmission devant pérenniser le travail de ce leader du chiffre et du droit puissent poursuivre leur travail en toute sérénité.
Le rôle des délégués de territoire, à ne pas oublier…
Insistant sur la vie de ce binôme (président/directeur général), Eric COQUILLE n’hésitera pas à tresser des louanges sur ce mode opératoire très fonctionnel et à s’appesantir sur la nécessaire cohésion décisionnelle propre à ce système de gouvernance associative. Tel que l’a pratique avec succès CERFRANCE.
Sur sa lancée, le président évoqua également la réorganisation de l’entreprise – elle s’appuie sur une stratégie de développement ambitieuse depuis la fusion de 2019 – qui sera largement explicitée au cours de la soirée, trombinoscopes et cartographies en sus, avant d’aborder l’engagement politique de l’équipe.
Il sera ainsi présenté dans le détail le rôle des délégués de territoire, véritable articulation de cette société.
Dans cette longue explication de texte permettant de mieux saisir la gouvernance de la structure, Eric COQUILLE ne pouvait clore ce chapitre sans revenir une fois encore sur la nomination au début de l’été de Thomas LEMAITRE dont nous avions présenté le portrait dans l’un de nos précédents articles.
Un nouveau directeur général qui est depuis bien installé dans son fauteuil de dirigeant, choisi parmi une centaine de candidatures à l’origine. Ce qui n’est pas rien et témoigne, comme devait le préciser le président COQUILLE de l’intérêt porté à CERFRANCE par les cadres supérieurs en recherche d’ambitions…
Thierry BRET
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Trop de numérique : les addictions crèvent l’écran…
novembre 03, 2023Sommes-nous tous désormais intoxiqués et dépendants à la technique ? Oui, ce n’est plus un fait établi, c’est une certitude avérée ! D’ailleurs, une étude mené par le centre de recherche de l'institut Rafael en partenariat avec l'observatoire Santé PRO BTP, l’atteste, chiffre à l’appui : 97 % de nos compatriotes estiment consacrer beaucoup trop de temps aux ordinateurs et aux écrans, en règle générale !
Ouf, voilà enfin une once de jugeote mais cela ne change rien à la problématique du reste ! C’est bien de le reconnaître mais cela n’évite absolument pas cette incurie qui n’est autre qu’une intoxication qui vire à l’indigestion totale, pour ne pas dire à l’addiction complète !
Pensez donc ! Dès potron-minet, quand il ne s’agit pas de la nuit entière – aussi blafarde qu’un écran 22 pouces où les images auraient totalement disparu – et pour le reste de la journée, certaines et certains de nos semblables – ce n’est pas possible, « elles » et « ils » ne nous ressemblent pas à ce point- là ! – vivent, respirent, mangent, travaillent, dorment (s’ils le peuvent encore malgré les maux de tête, les brûlures dans les rétines et des insomnies à n’en plus finir), raisonnent, se meuvent…en technologie numérique !
Purée, cela fait peur ! La France des cerveaux est devenue au fil des décennies la France des robots et des accros qui ne peuvent rien faire ni dire ni agir ni penser sans se soumettre à leur écran d’ordinateur, de tablette, de smartphone, voire encore de leur téléviseur pour les plus anciens d’entre nous. Puisque on le sait, les trentenaires et autres « milléniums » se passent très volontiers de cet ustensile de distraction que l’on appelait jadis une télévision ! C’est vrai, chez certains de ces ados totalement immergés dans leur monde virtuel, une télé n’est autre qu’un Minitel mais en plus grand ! Vu et entendu : aïe, aïe, aïe, bonjour les neurones !
L’addiction numérique poussée vers l’absurde !
C’est pourtant vrai, qu’il est très agréable de se lever le matin en posant le pied gauche de préférence sur le parquet de sa chambre en vérifiant immédiatement s’il y a toujours de la connexion sur le portable – on ne sait jamais, la nuit, certaines entités fantomatiques pourraient se nourrir de cette énergie pour subsister dans leurs hantises ! – afin de découvrir le flot d’informations nébuleuses et mortifères qui inondent à grands coups de notifications sonores ledit appareil, de consulter les yeux encore embuées de sommeil ses messages mails et SMS qui la plupart du temps sont soit un rappel à l’ordre intrusif de votre vie professionnelle qui vous tend les bras pour les heures à venir, soit ne servent strictement à rien, au niveau informatif avant de se mouvoir, encore vêtu de son pyjama, vers la cuisine pour y prendre son petit-déjeuner !
Remarquez, vous n’avez pas encore franchi la porte de la cuisine que déjà vous vous précipitez vers l’écran du téléviseur dans le salon, cette fois, avant d’en allumer l’une des chaînes en boucle pour mieux pouvoir se gorger d’immondes nouvelles venues des quatre coins de la planète, mauvaises comme de bien entendu à grand renforts de meurtres, assassinats, attentats, guerres, menaces nucléaires, destruction des peuples, catastrophes naturelles, et qui pourraient vous donner la nausée avant d’avaler thé ou café. Dans la salle de bains, on sera accompagné de sa tablette pour y vivre les ultimes péripéties de sa série sur Netflix ou Disney + en cours.
Dis « Monsieur Apple ou Samsung, tu ne pourrais pas les faire waterproof tes tablettes, ordinateurs et autres portables pour que je puisse en profiter à loisir sous la douche ?! »…
Et ceci n’est que le début de la journée, évidemment.
Un monde dépourvu de supplément d’âme
Inquiétant, n’est-ce pas ? Mais, malheureusement, cette sinistre réalité est vécue par 97 % des Français qui considèrent passer trop de temps devant les écrans. Même si – cela pourrait nous rassurer quelque peu – 92,5 % de la population hexagonale possède un accès à Internet.
Moralité, il ne reste plus grand monde dans ce pays qui ne soit pas encore contaminé par le virus numérique qui se répand plus vite que notre ombre et la COVID réunies !
Bon, soyons sérieux. A l’heure où la 5G se propage progressivement dans les grandes agglomérations, à l’heure où la nécessaire fibre optique gagne de plus en plus terrain sur l’ADSL, à l’heure où l’intelligence artificielle est capable de ressusciter et purifier la voix de John LENNON pour en faire, associée aux prestations vocales et instrumentales de ses trois autres complices, l’ultime tube des BEATLES à paraître en 2023, à l’heure où les progrès scientifiques puisent leurs ressources dans les miracles de la technologie et des DATA, il serait inconvenant de faire la fine bouche devant tant de prouesses, indispensables à l’humanité.
Toutefois, l’accélération de l’incivilité, de l’individualisme, de la permissivité imputable à l’existence de ces mondes connexes – metaverse – et virtuels ne peuvent qu’engendrer si l’on n’y prend pas garde vers le déclin de la pensée et de l’intellectualisme. La chaleur humaine et la relation à l’autre, aussi. Bref, un monde dépourvu d’âme…
Qu’il s’agisse de réseaux sociaux (« asociaux » serait le terme le plus approprié à utiliser au vu de ce qu’il en découle réellement au quotidien), de jeux de hasard faisant miroiter fortunes et gains à tous les étages, de jeux vidéo qui plongent ses aficionados vers des mondes imaginaires où ils sont parfois les héros surarmés et immortels tuant tout ce qui bouge, des jeux d’argent en ligne où l’appât du gain attire jusqu’aux allocataires du RSA… : il y a manifestement danger à trop les pratiquer.
Pourtant, la France n’est que le quatorzième pays de l’Union européenne à être pourvu en accessibilité à Internet. C’est dire si le problème addictif de l’usage des écrans est devenu mondial – cela concerne majoritairement les jeunes générations mais pas que – et affole dans leurs alcôves spécialistes de la santé, enseignants, éducateurs, psychologues, ainsi que les parents.
Ce n’est pas tout de constater qu’on use et qu’on abuse de trop d’écrans dans son quotidien, pour y accomplir diverses tâches. Il serait bon d’y ajouter aussi de salvateurs remèdes et sortir de cette frénésie absurde où même les vieux couples se retrouvant dans une salle de restaurant passent plus de temps à pianoter sur leurs smartphones austères et froids sans se dire un mot, que de simplement se parler et se conter fleurette. Où est donc le romantisme d’antan ?!
Ces comportements numériques, addictifs, voire totalement maladifs pour certains ne sont finalement que le reflet de notre société actuelle, dite « civilisée », faite de désamour et de déshumanisation. Un précipice vers l’abîme…
Bonne lecture : moi, je retourne devant mon écran pour y rédiger l’article suivant !
Thierry BRET
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