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Le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne créé sa marque, « AVENyR », référente des réseaux connectés
novembre 03, 2017Profitant des Assises de l’énergie 2017 concoctées par l’organisme institutionnel et de leur engouement auprès des élus de l’Yonne mobilisés pour la circonstance, le président du SDEY Jean-Noël LOURY devait dévoiler à cet auditoire studieux l’existence d’un nouveau marqueur qui fera beaucoup parler de lui au cours de ces prochaines semaines : « AVENyR ». Ce référent identitaire à l’étymologie positive résume l’émergence de services novateurs sur le territoire en faveur des réseaux connectés tout en renforçant leur attractivité économique...
AUXERRE : « AVENyR ». Une nouvelle appellation dont il faudra se souvenir autour de soi dans le paysage icaunais car de nombreux élus et acteurs économiques en entendront beaucoup parler au cours de ces prochaines semaines. Surtout quand il sera question d’évoquer la simultanéité des projets de développement des réseaux électriques et les déclinaisons numériques qui pourraient en découler tout naturellement.
Et c’est sous l’égide de cette nouvelle marque que le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) désire se positionner en qualité d’incontournable partenaire de ce développement technologique à forte valeur ajoutée sur sa zone de prédilection.
Créer une véritable dynamique économique sur l’ensemble du territoire : la Smart City
Placées sous le signe de l’innovation et de la réflexion, une thématique confirmée par la présence de hautes pointures nationales lors de débats passionnants, les Assises départementales de l’énergie auront été le théâtre de cette annonce importante pour l’essor de la transition énergétique vécue dans le département le plus septentrional de la Bourgogne Franche-Comté.
La création de territoires connectés est devenue une priorité essentielle pour le SDEY et ses nombreux partenaires institutionnels qui souhaitent conférer une véritable dynamique à notre secteur géographique.
Pourvu de ses huit commissions locales d’énergie, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne peut également s’appuyer sur l’expertise de ses spécialistes des services techniques pour dérouler cet ambitieux programme qui aura indubitablement des impacts bénéfiques pour les politiques innovantes menées par les élus locaux. Autour de trois axiomes que sont la proximité, l’équité et surtout l’efficacité.
Cette politique d’aménagement des territoires connectés (elle donnera naissance de facto aux territoires d’intelligences) s’arcboutera autour de quatre piliers majeurs que sont le développement des infrastructures de la transition énergétique, celui d’un éclairage public économique et connecté, l’accroissement de la mobilité électrique et l’essor de l’auto-partage, enfin, l’appropriation des usages et services numériques pour tous.
Réseaux connectés et territoires d’intelligences pour améliorer la qualité de vie des habitants…
Une stratégie mûrement analysée et soupesée par le président Jean-Noël LOURY et ses proches collaborateurs qui devrait s’avérer payante d’ici peu.
« Grâce à la mise en place de ces territoires connectés, devait-il confier à la tribune lors de son exercice inaugural des Assises 2017, les habitants pourront profiter de services visant à améliorer la qualité de vie de manière optimale tout en augmentant les opportunités économiques induites… ».
Des arguments qui devaient faire mouche auprès des élus nombreux à écouter dans un silence de cathédrale le discours introductif du président. Devant apporter ensuite quelques compléments d’information à l’assistance, Jean-Noël LOURY apportait sa propre définition de ces futurs réseaux connectés dont il vantait les mérites, « l’innovation inhérente aux réseaux électriques est appelée à devenir de véritables réseaux connectés grâce à des unités de production d’énergie renouvelable fonctionnant à partir de l’éolien, du photovoltaïque ou de la méthanisation. Quant au concept des territoires d’intelligences, il concerne les secteurs géographiques où l’apport de toutes les applications numériques peuvent engendrer de nouveaux services à destination des habitants… ».
La combinaison de ces deux thématiques, au demeurant très complémentaires, justifiera l’existence de la feuille de route de cette nouvelle marque « AVENyR », ayant comme objectif de faire fructifier cet ensemble d’idées nécessaires au développement économique et environnemental de notre département. Un projet à suivre de près d’ici les prochains mois…
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BigMat GOURMAND injecte 5 millions d’euros en vue de revitaliser l’ancienne friche industrielle de FULMEN…
novembre 03, 2017Erigé sur une ancienne zone industrielle, le concept novateur du leader du négoce et de la distribution d’équipements et matériaux destinés à la construction et au bâtiment aura pour objectif de réhabiliter un secteur géographique essentiel de la capitale de l’Yonne, sa rive droite. Comprenant un show-room de 3 000 mètres carrés, une salle de réception, un espace de restauration, des surfaces commerciales, et même un parking couvert de mille mètres carrés, le projet atypique de Frédéric GOURMAND, responsable de la société familiale éponyme, et de son beau-frère, Romain TERNAND, sera aussi créatrice d’une dizaine d’emplois supplémentaires sur la place…Un chantier qui devrait voir son terme au cours de l’exercice 2018/2019…
AUXERRE : Le renouveau, tant espéré, du quartier Rive droite d’Auxerre se préfigure à l’horizon 2018 ! Grâce à l’élaboration d’un concept entrepreneurial unique, de très belle envergure, ouvert à l’esprit d’initiative et à la dynamique du territoire qui devrait révolutionner durablement cette zone fréquentée de la ville.
En acquérant les trente-cinq mille mètres carrés de surface où étaient implantées autrefois les vétustes constructions de la société FULMEN, en partie démolies aujourd’hui, et avec le concours de l’agence économique, YONNE Développement, Frédéric GOURMAND, quatrième représentant d’une génération d’entrepreneurs aguerris, aux manettes de l’enseigne BigMat GOURMAND, et son beau-frère, Romain TERNAND, à la tête de la PME du même nom, ont décidé de contribuer à leur manière à ce retour en grâce de l’attrait économique dans ce quartier, parfois oublié des schémas de développement actuels alors que le potentiel existe bel et bien.
« Ce secteur d’Auxerre devrait connaître une très nette évolution dans son approche commerciale avec cette configuration attrayante : cela représente un très sérieux challenge à relever à nos yeux, précise Frédéric GOURMAND, confiant au vu de l’important défi qu’il a choisi de relever en compagnie de son proche parent. Depuis longtemps, nous réfléchissions sur l’émergence d’un concept commercial unique en France en y adossant de la modernité, de l’innovation et davantage de prestations et de services incluant les technologies… ».
Un projet mûrement réfléchi aux multiples possibilités…
Dans sa phase de concrétisation, le concept s’articulera autour d’une vitrine commerciale imposante, de trois mille mètres carrés, disposée en différents univers distincts selon les pôles d’intérêt de la clientèle, professionnelle ou particulière. Un drive s’adjoindra à ce dispositif marketing très bien étudié. Quant au statut du parking couvert, il se justifiera amplement pour faciliter le transbordement des marchandises du magasin aux véhicules à l’abri des intempéries, dépareillant les zones d’utilisation des usagers ce qui permettra d’éradiquer la dangerosité existante sur ces endroits tampons où peuvent circuler de petits engins de manutention.
« Nous voulons rendre plus accessibles ces structures de négoce à un public féminin, ou aux personnes exerçant des activités de bricolage par pur plaisir, en cassant les codes un peu « machistes » que l’on trouve parfois dans cet univers professionnel… ».
Un souci de polissage en matière de communication qui expliquera aussi la présence d’un espace de petite restauration, générée avec l’aide complice d’un spécialiste de la sandwicherie et de la collation à emporter, et l’apport d’amplitudes horaires plus souples, y compris entre 12 et 14 heures afin de profiter du flux de fréquentation orchestré par les entreprises environnantes au futur complexe, voire une main tendue aux apprentis du CFA Bâtiment, localisé non loin de là.
Le futur complexe, et c’était une demande des deux porteurs de projets faite à leur architecte, M. GOULARD, accueillera également un espace réception proposé à la location. Entreprises mais aussi structures associatives pourront y tenir des colloques, des séminaires et des assemblées générales à satiété selon leurs besoins.
Alors que les travaux reprennent leurs droits après plusieurs semaines d’interruption imputables à la dépollution du site (désamiantage), la livraison de ce concept à forte valeur ajoutée économique est prévue courant 2018.
In fine, l’ensemble structurel, après réhabilitation des lieux tout en conservant l’ossature architecturale initiale, s’intégrera avec la présence d’autres enseignes : KILOUTOU, l’une des plus belles vitrines de France, VITALO, le concept de remise en forme à base d’exercices de pédalages sur des cycles positionnés dans l’eau (sa responsable Mme CASADO croule sous les réservations tant le succès est omniprésent) ou le centre d’affaires qui jouxte le complexe où exercent à l’heure actuelle le spécialiste des services à la personne, DOMIFAMILLE et d’autres entreprises.
BigMat GOURMAND, une entreprise de poids avec une centaine de collaborateurs…
Avec ce complexe innovant, l’entreprise Icaunaise, basée à Auxerre mais aussi à Saint-Florentin, devrait créer une dizaine de postes supplémentaires. Et y transférer le siège social directionnel, celui de son GIE (groupement d’intérêt économique) qui accueille en son sein les cellules stratégiques de l’entreprise : la gestion, la comptabilité, la vente, la qualité, la direction…Pour autant, elle ne se séparera pas du site existant.
Gros faiseur dans les domaines du second œuvre et de la construction, BigMat GOURMAND réalise un chiffre d’affaires annuel d’environ 30 millions d’euros, dont 70 % sont imputables à la vente d’une kyrielle de produits à destination des professionnels. Le reliquat concerne les particuliers, prioritairement des bricoleurs avisés, soucieux de bénéficier de conseils qualitatifs et d’exercer leur passion avec l’aide de matériaux fiables et performants.
Jouissant d’une solide expérience autour de la couverture, la zinguerie et l’étanchéité, BigMat GOURMAND travaille avec les leaders de l’isolation et de la conception de plaques de plâtre tels que Saint-Gobain, Isover ou Weber. Entretenant au passage de saines relations partenariales avec les industriels.
Des atouts majeurs qui font de cette structure centenaire, adhérente de ce groupe d’indépendants depuis 1982, un acteur incontournable des milieux du bâtiment et de la construction. Aujourd’hui, le groupement rassemble plus de 110 adhérents pour 330 points de vente en Europe, répartis dans sept pays dont la Belgique, la République tchèque et récemment la Slovaquie.
Ancien membre du directoire national, Frédéric GOURMAND a su profiter de ces multiples expériences pour insuffler une dynamique positive au développement de son entreprise, fédérant l’ensemble de ses collaborateurs derrière ce nouveau projet.
Malgré la conjoncture complexe observée sur le marché de la construction au début des années 2010, BigMat GOURMAND enregistre une recrudescence de ses activités. Ce qui lui aura permis d’initier ce GIE, conçu autour d’un noyau dur, et composé d’une quinzaine de membres, dans le but de se doter d’une plateforme de stockage importante et d’un centre de contrôle et de gestion à la performance inégalable.
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Quelques semaines après sa mise en route au 01er juillet, l’industriel de Sens bénéficie avec le doublement de son laboratoire d’essais d’une aire de travail idoine pour tester les performances et la fiabilité de ses nouveaux ballons d’eau chaude sanitaire. Des opérations qui peuvent se concevoir désormais de manière simultanée avec l’octroi de températures stabilisées. Un vrai confort pour le bureau d’étude et les techniciens de la PME qui développent une gamme de produits innovants…
SENS : Une enveloppe d’1,2 million d’euros a été consentie cette année par la direction de l’entreprise pour assurer l’extension de ce laboratoire d’essais indispensable à sa bonne fonctionnalité. Leader national sur le segment du ballon d’eau chaude sanitaire en France, CHAROT, structure industrielle emblématique de l’Yonne qui vient de célébrer avec faste et convivialité son 85ème anniversaire d’existence, prouve aux observateurs économiques que la « vielle dame » peut poursuivre sa cure de jouvence salvatrice mâtinée de modernisme et de projets toujours aussi ambitieux sans soucis notoires.
Côté emploi, quatre nouveaux collaborateurs viennent de rejoindre le team solidaire de cette entreprise qui se créé d’excellentes perspectives de développement à l’aune de 2018 au niveau de son volume d’’affaires. Un technicien supplémentaire est venu se greffer au bureau d’étude. Celui qui conçoit et assure la faisabilité des diverses gammes de ballon. Trois opérateurs experts en soudure ont complété cette recrudescence d’effectif en cette période automnale. Mais, avec un sursaut potentiel et attendu inhérent à la filière cuves en 2018, il se pourrait que le curseur des embauches progresse encore avec l’arrivée de 5 à 6 nouvelles personnes. In fine, le solde déjà important des cent cinquante salariés serait alors dépassé. Rappelons que CHAROT a réalisé en 2016 un chiffre d’affaires de plus de 25 millions d’euros, soit une hausse de 5 % par rapport à l’exercice antérieur. Consolidant au passage ses excellents résultats obtenus en 2016.
L’amélioration constante de l’outil de production…
D’ailleurs, Pascal CHAROT, le toujours sémillant responsable de l’entité familiale, table sur des perspectives très encourageantes pour les prochains mois à venir. La barre stratégique à atteindre concerne les 30 millions d’euros de chiffre d’affaires en optimisant l’activité. D’où cet investissement consacré au doublement de la capacité de traitement du laboratoire d’essais, qui occupe l’une des zones de production principales du site sénonais. Une envolée providentielle, tout à fait réalisable, qui se traduirait par une augmentation du nombre de collaborateurs en incorporant une vingtaine d’opérateurs de plus…
La récente acquisition d’une grenailleuse (300 000 euros de budget) sert précisément à répondre à l’ensemble de ces besoins. Installée en début de chaîne, la machine améliore considérablement les flux de traitement des ballons d’eau chaude sanitaire. Son action repose sur une optimisation du travail des fonds et de la partie tôlerie de ces produits.
Le dernier né de la gamme des ballons gaz à condensation…
Le lancement d’une nouvelle gamme de ballon gaz à condensation devrait permettre à CHAROT de trouver sa place sur ce marché extrêmement convoité par la concurrence, en phase avec les politiques de transition énergétique du moment. Le dernier né de la gamme s’adresse d’une part aux collectivités mais aussi au marché tertiaire. Sa sortie a eu pour effet de renforcer la présence de CHAROT dans bon nombre de domaines.
Avec son avènement, l’industriel de l’Yonne gonfle de manière tangible un catalogue de produits, déjà conséquent, lui assurant un leadership naturel sur les possibilités offertes par ces systèmes fonctionnant avec le gaz, l’électricité ou le solaire. Bref : de quoi légitimer un avenir radieux et tranquille pour un groupe à forte potentialité…
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« BigMat International Architecture Award » : verdict attendu de la 3ème édition le 24 novembre en Italie !
octobre 29, 2017Profitant d’un colloque européen concocté dans le berceau de la Renaissance italienne à Florence, la première enseigne de négociants indépendants en matériaux de construction, implantée dans sept états du Vieux continent, dévoilera la liste des lauréats de ce challenge international dédié à l’architecture. Un total de treize prix y sera attribué, récompensant six catégories professionnelles ainsi qu’une mention spéciale destinée à un jeune talent...
LUXEMBOURG : C’est dans l’une des plus belles villes du monde, à Florence en Toscane, que le groupe BigMat International SA a choisi d’organiser son futur séminaire en novembre prochain afin d’y présenter à l’ensemble de ses adhérents son plan d’action 2018, décliné autour du développement de sa stratégie mondiale.
Célébrant ses 35 années d’existence l’année dernière à Athènes, l’enseigne ne cache plus désormais ses ambitions de conquête de nouvelles parts de marché à l’international. Présente dans sept pays d’Europe (Région de Wallonie et de Bruxelles Capitale pour la Belgique, République tchèque, France, Italie, Portugal, Espagne et plus récemment la Slovaquie), BigMat est devenue au fil des années une structure incontournable sur l’échiquier européen de la construction. S’appuyant au passage sur un maillage de 890 points de vente.
En marge de ce rendez-vous important qui permettra d’optimiser les performances du groupe afin qu’il puisse maintenir le cap face aux enjeux stratégiques de demain, BigMat proposera la cérémonie de remise des prix, mettant en exergue les valeurs intrinsèques des créateurs de l’architecture. Dans l’enceinte même de l’une des majestueuses réussites du patrimoine florentin : le Palazzo VIECCHO.
Une dotation de 30 000 euros pour le vainqueur…
Si les sept pays où sont implantés les points de vente de l’enseigne sont dans l’obligation d’être représentés à ce challenge, ce sont bel et bien leurs dossiers qui entreront en lice ensuite pour obtenir le Grand Prix international 2017 d’une valeur numéraire de 30 000 euros pour le gagnant !
Précisons que les six catégories concernées par cette honorable distinction seront les suivantes : la durabilité et l’utilisation innovante des matériaux, l’architecture avec la pertinence structurelle et constructive, la ville et le paysage qui concerneront les travaux liés à l’espace public aussi bien urbain que rural, la rénovation, l’architecture éphémère où les projets aborderont les thèmes de la temporalité et la mobilité, et enfin l’architecture d’intérieur avec la préservation de la structure d’un bâtiment en y intégrant les éléments du mobilier et le design industriel.
Quant à la mention spéciale Jeunes Architectes, elle sera décernée à une œuvre construite par un professionnel âgé de moins de 40 ans à la fin des travaux.
Valoriser le patrimoine architectural dans les sept pays où BigMat est présent
Créé en 1981, le groupe BigMat facilite la distribution de matériaux de construction à travers l’association des chefs d’entreprises indépendants en Europe. Mécène, l’entité professionnelle a développé ce Prix d’architecture dès 2005 avec une première édition en Espagne qui avait engendré une très forte participation au niveau national et qui avait valeur de test. Il faudra patienter jusqu’en 2013 pour que l’internationalisation de ce concours professionnel se fasse. L’architecte belge Xaveer de GEYTER en deviendra le premier lauréat. Puis, la seconde édition a salué la performance victorieuse de l’architecte espagnol, Alberto Campo BAEZA, deux ans plus tard à Berlin.
L’objectif de ce prix se résume à la mise en avant des œuvres architecturales ayant apporté une contribution considérable à la culture contemporaine dans les sept pays où sont implantées les vitrines de BigMat. L’entreprise, en sa qualité de mécène, souhaite susciter également des vocations dans la filière de l’architecture…
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Patrick LIEBUS (Président de la CAPEB France) : « Malgré la reprise, la vigilance et la concertation doivent être de mise… »
octobre 28, 2017De passage dans l’Yonne ce 28 octobre et invité à inaugurer l’extension du siège social de la CAPEB à Auxerre, le président national de la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment s’est montré optimiste pour les perspectives de sa filière à l’orée de 2018. A condition, toutefois, que les signes favorables à la reprise se maintiennent durablement. Mais, il prévient aussitôt que cette dynamique et le retour aux carnets de commandes mieux garnis sont assujettis aux décisions gouvernementales à valider lors du projet de loi de finances pour l’année prochaine…
AUXERRE : « Le mode opératoire de la réussite du bâtiment, c’est simple : cela peut se comparer à un véhicule alimenté au Diesel ayant besoin de préchauffage. Si cela fonctionne bien à l’allumage, alors le véhicule atteindra très vite son rythme de croisière… ».
Muni de ses nombreux dossiers, le président de la CAPEB France constate que la reprise tant attendue est bel et bien là. Mais, sans trop d’exagération. Un frémissement subtil qui se traduit néanmoins par les chiffres. Au terme de l’année 2017, ce sont 4 000 nouveaux emplois qui iront grossir les effectifs des petites entreprises de ce secteur d’activité artisanal ayant souffert de la terrible crise des « subprimes » depuis 2008.
« Si nous relançons l’activité de manière pérenne et que la confiance revienne, alors nous pourrons créer de l’emploi et inciter nos jeunes vers l’apprentissage afin d’inverser la courbe du chômage… ».
En l’espace d’une décade, le bâtiment aura perdu près de 50 000 postes parmi ses entreprises. Sauf en 2016. Où l’actif et le passif en matière de solde d’emploi devaient se stabiliser. Un premier signe devant engendrer l’exercice en cours…
Le crédit d’impôt sur la transition énergétique parmi les priorités…
La reprise actuelle sur le marché de la construction, les programmes incitatifs à la rénovation énergétique, la baisse encore relative des charges dans les entreprises et la hausse du pouvoir d’achat chez certaines catégories socio-professionnelles offrent une conjonction favorable à la relance économique. « Mais, attention, insiste le président de la CAPEB, les crédits à l’investissement s’amenuisent depuis quelques mois : cela est très inquiétant… ».
La sonnerie de son portable ramène Patrick LIEBUS à d’autres préoccupations. Celui des combats quotidiens qu’il livre avec pugnacité à la défense des intérêts de ses adhérents. Le premier d’entre eux concerne le crédit d’impôt sur la transition énergétique, débattu la semaine dernière encore à l’Assemblée nationale. Le gouvernement a déposé un amendement à l’article 8 concernant les modifications immédiates voulues sur la diminution de ce crédit, sur les fenêtres, les portes et les chaudières à fioul. Pour l’heure, rien n’évoluera jusqu’à la fin de l’année. En attendant de nouvelles directives…
« Les artisans doivent le savoir : un client qui a bénéficié d’un devis détaillé de la part d’un professionnel et qui propose un acompte en guise de validation des futurs travaux pourra les réaliser aux mêmes conditions l’année prochaine si les documents sont entérinés d’ici la fin de 2017... ».
Prévue en novembre, une rencontre quadripartite entre les ministères du logement, de la transition énergétique, et des finances, à laquelle seront associés les représentants des syndicats patronaux du bâtiment, CAPEB et FFB, permettra de redéfinir le contenu applicatif du crédit d’impôt en 2018. Mais, d’autres discussions sont ouvertes sur l’apprentissage, la formation professionnelle et l’assurance chômage avec le Premier ministre Edouard PHILIPPE qui enregistre un déficit de 39 millions d’euros. S’inspirant de l’exemple concret de nos voisins suisses et néerlandais, notamment en matière d’apprentissage, ces rencontres s’effectueraient de manière bilatérale avec les partenaires des filières professionnelles qui auraient leurs opinions à émettre.
Un tour d’horizon des grands dossiers du moment…
Concernant les ordonnances autour de la réforme du Code du Travail, Patrick LIEBUS estime que « c’est une très belle avancée ». Renchérissant à ses propos, il observe « qu’il y a une réelle prise en compte de l’artisanat et de la TPE. Cela correspond à nos souhaits et nous permet de trouver des solutions tangibles afin de sécuriser l’entreprise. Je pense aux embauches et aux risques de désaveu avec un salarié. Pour éviter les problèmes : il y aura l’existence d’un CERFA qui énoncera les règles devant être respectées avant d’engager le processus d’un licenciement… ».
Quant au RSI, le président de la CAPB est favorable à son adossement au régime général mais sous certaines conditions, à savoir sans hausse des cotisations et en conservant les mêmes prestations. « Nous devons rester gestionnaires de cet outil en notre qualité d’indépendants. La mise en place des deux années de transition me semble très importante afin d’éviter les défaillances… ». Enfin, devait-il conclure sur ce thème : « le régime général devra s’assurer que le système informatique soit en capacité de gérer de manière optimale ce futur adossement… ».
Que pense réellement Patrick LIEBUS du compte pénibilité ? Réponse de l’intéressé : « il faut tenir compte des conditions de travail et permettre aux salariés et aux artisans de pouvoir partir avant à la retraite. Cela suppose là aussi des moyens de contrôle accrus et fiables ». La suspension du dossier concernant le prélèvement à la source se justifie pour le président de la CAPEB : « Il n’est pas question que nos entreprises artisanales puissent devenir des préleveurs d’impôts sur le dos de nos salariés, cela engendrait immanquablement des risques de conflit dans nos entreprises… ».
Contrôler les travailleurs détachés grâce à une plateforme européenne…
Reste le dernier volet de ce long entretien : la révision de la directive sur les travailleurs détachés. « A ce propos, beaucoup de travail doit être encore fait en France mais aussi dans le reste de l’Europe. Aujourd’hui, les orientations vont dans le bon sens, avec la limitation du temps de détachement, l’obligation d’un formulaire « A1 » délivré par le régime de sécurité sociale du pays d’envoi qui déterminera si un salarié est affilié au régime général de son pays depuis trois mois, avant d’être détaché dans un autre pays. L’objectif est de sécuriser le salarié détaché lui-même et de lutter avec efficience contre les travailleurs illégaux qui arrivent en nombre sur le territoire. D’ailleurs, à ce titre, la durée de détachement se fera sur un an avec six mois renouvelables grâce à un accord de l’Etat du lieu de détachement. Enfin, la rémunération doit correspondre à l’équivalence du salarié selon sa qualification. Les primes de déplacement et de restauration devant être payés à part…. ».
Patrick LIEBUS en appelle de ses tous vœux à la création d’une plateforme européenne de gestion et de contrôle qui coordonnerait les travailleurs détachés à travers leurs diverses missions professionnelles. Concluant que ce sujet ô combien actuel ne devrait trouver de véritables solutions que lors de sa mise en exergue : en 2022…
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