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Le geste d’humeur coûte cher à Jean-Marc FURLAN : l’AJ Auxerre place son coach définitivement hors-jeu…
octobre 11, 2022Le dérapage gestuel de l’entraîneur de l’AJ Auxerre – Jean-Marc FURLAN devait adresser un doigt d’honneur très explicite face caméra aux spectateurs clermontois au terme de la journée dominicale du championnat – lui aura donc été fatal. Son poste de coach, au sein du club bourguignon, est devenu obsolète en l’espace de quarante-huit heures alors que le club occupe une modeste seizième place du classement avec huit petits points…
AUXERRE : Sur la touche et de manière irréversible, Jean-Marc FURLAN ! La nouvelle est tombée froidement en début d’après-midi, ce mardi 11 octobre, et elle a été très vite relayée par la sphère médiatique. Sportive ou généraliste au niveau hexagonal.
Démis de ses fonctions, l’entraîneur de l’AJA, âgé de 64 ans, qui était sportivement dans une très mauvaise passe depuis plusieurs semaines à la suite de défaites successives en championnat, a sans aucun doute payé les pots cassés de son mouvement d'humeur ce dimanche, survenu au terme de la rencontre ayant opposé sa formation aux Auvergnats de Clermont Foot. Un match qui s’est soldé par une nouvelle désillusion au plan comptable puisque l’équipe a été battue sur un score de deux buts à un.
Or, avant que la partie ne s’achève, Jean-Marc FURLAN devait être expulsé des abords du terrain par l’arbitre du match pour ce fameux geste d’humeur à l’encontre du public et de la tribune principale, geste visible de tous puisque filmé par les caméras de télévision.
Un magistral doigt d’honneur brandi en direction du public clermontois, sans doute encore estomaqué par une telle attitude qui émane de la part d’un coach devant montrer l’exemplarité...
Les excuses des dirigeants de l’AJA envers les spectateurs clermontois…
D’ailleurs, cette attitude considérée comme « déplacée » avait été critiquée par les dirigeants du club bourguignon dans un communiqué de presse publié après coup.
« L’AJ Auxerre regrette le geste de son entraîneur qui ne correspond pas aux valeurs de respect et de fair-play prônées et transmises depuis toujours par l’AJA… ».
Le club de l’Yonne s’étant confondu en excuses auprès du public du club visé par ce geste irrévérencieux ainsi qu’auprès de ses supporters.
Est-ce à dire pour autant que l’idylle existante depuis trois ans entre l’AJA et ce coach emblématique qui aura réussi le tour de force de faire remonter la formation icaunaise parmi l’élite allait se terminer ainsi en eau de boudin après une telle péripétie ?
Difficile de le croire, et pourtant, les dirigeants du club (James ZHOU, propriétaire et Baptiste MALHERBE, président) n’ont pas hésité longtemps avant de trancher dans le vif et de prendre leurs décisions. Et de renvoyer sine die le coach girondin, qui était passé jadis par Troyes et le Stade Brestois, dans ses pénates.
En guise de commentaires après son geste très controversé, Jean-Marc FURLAN avait juste mentionné aux journalistes « qu’il n’avait pas de cerveau » lorsqu’il s’agissait de football. Sans pour autant présenter ses excuses et assumant pleinement son geste.
Le coach de l’AJ Auxerre aurait pu risquer une suspension de deux à dix matches de championnat et de coupe si le dossier était passé devant la commission de discipline de la Ligue de Football Professionnel (LFP) en l’état. Au vu des derniers développements et de son éviction qu’il qualifie « d’injuste », qu’en sera-t-il exactement ?
Thierry BRET
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« Vivre avec son diabète » : la piqûre de rappel utile de l’AFD Bourgogne Franche-Comté pour sensibiliser le public…
octobre 11, 2022Informer, expliquer, démontrer, renseigner. Toujours et encore. Malgré les aléas d’une crise sanitaire imputable à une pandémie qui en aura perturbé tout le processus de développement sur le terrain, du moins depuis trois ans. Oui mais voilà, faisant fi de la COVID-19 et de ses miasmes, l’Association Française des Diabétiques de Bourgogne Franche-Comté se rappelle à notre bon souvenir en organisant une nouvelle édition de la journée de sensibilisation, « Vivre avec son diabète ». Un évènement accueilli à Dole ce samedi 15 octobre…
DOLE (Jura): Au-delà de la défense et de l’accompagnement dans leur quotidien des personnes atteintes par cette pathologie, l’Association Française des Diabétiques de Bourgogne Franche-Comté profite le plus souvent de l’imminence de la Journée mondiale du Diabète – elle aura lieu le 14 novembre – pour assurer une prestation informative de belle facture orientée vers le grand public dont elle a le secret.
Un rendez-vous annuel, très suivi par les patients comme par les aidants, ponctué de moments forts à l’instar de conférences, de tables rondes, d’ateliers démonstratifs, mais aussi de bonne humeur et de convivialité.
Cette année, « Vivre avec son diabète » pose ses jalons dans l’une des villes emblématiques du Jura, Dole. Une première pour l’AFD régionale qui dispose aussi de structures départementales afin d’être plus en phase directe avec le terrain. L’accent sera mis côté thématiques sur les innovations médicales et réglementaires en constante évolution.
Une succession de tables rondes, de conférences et d’ateliers…
Au-delà de la prévention auprès du grand public, la manifestation qui verra converger des patients diabétiques des quatre coins de la contrée régionale offrira d’intéressantes confrontations d’idées entre la fine fleur de spécialistes médicaux mais aussi des représentants des sphères institutionnelles et des autorités sanitaires comme l’Agence Régionale de Santé ou les représentants de l’URPS des Infirmiers libéraux.
Frappant aujourd’hui presque quatre millions de personnes dans l’Hexagone, le diabète se révèle être une pathologie insidieuse, sournoise, asymptomatique qui peut évoluer vers de graves complications si elle n’est pas traitée convenablement. Parmi les risques : citons l’amputation des membres inférieurs, la cécité, de graves troubles cardiovasculaires, l’insuffisance rénale chronique, voire d’autres problèmes tout aussi graves.
Bref, on l’aura compris devant les conséquences dramatiques liées à cette maladie, on ne plaisante pas avec le diabète. Même si, paradoxe de la chose, on peut vivre avec et s’en accommoder.
Diabète et travail : l’un des items forts de cette édition…
La délivrance d’informations, la sensibilisation sont des moyens pratiques pour l’AFD BFC, dirigée par Philippe RACLET, de proposer de la nécessaire prévention. Aussi bien envers les diabétiques que les familles.
A Dole, au cours de cette journée de réflexion, agrémentée de visite de stands tenus par des professionnels du secteur sanitaire mais aussi des représentants des milieux associatifs et institutionnels, le public – l’entrée est gratuite – aura la faculté de pouvoir s’immerger dans des sujets intéressants comme le développement de la télémédecine et de la télé-expertise en diabétologie, vivre le diabète avec un cancer, l’apnée du sommeil, la neuropathie diabétique, les nouveautés thérapeutiques ou encore un item important dans la manière d’appréhender le monde du travail lorsque l’on est atteint de cette pathologie.
Un rendez-vous qui a reçu le soutien de la Région, de l’ARS mais aussi de la CPAM, du Département du Jura et de la Ville de Dole, qui en accueillera les participants.
En savoir plus :
Journée « Vivre avec son diabète »
Organisée par l’Association Française des Diabétiques de Bourgogne Franche-Comté
A la Commanderie à Dole
2 rue d’Azans,
Le samedi 15 octobre 2022 à partir de 08h30. Fin des travaux à 17 heures.
Entrée gratuite. Possibilité de se restaurer sur place sur inscription.
Thierry BRET
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URSSAF : les travailleurs indépendants de Bourgogne Franche-Comté, nouvelle priorité de Gaëlle PIRROTTA
octobre 03, 2022Auparavant, elle occupait la fonction de directrice adjointe de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie sur le Territoire de Belfort. Depuis le 19 septembre, la cadre supérieure vient de prendre les responsabilités de directrice régionale du recouvrement des travailleurs indépendants pour le périmètre Bourgogne Franche-Comté…
DIJON (Côte d’Or) : Occupant la fonction de directrice des travailleurs indépendants pour l’URSSAF Bourgogne, Gaëlle PIRROTTA animera également les équipes de l’URSSAF Bourgogne en charge de la gestion et de l’accompagnement des indépendants bourguignons. En lien avec le directeur Lionel MATZ, elle représentera l’organisme auprès des partenaires et interlocuteurs institutionnels pour les questions en rapport avec cette catégorie de professionnels.
Recrutée par Lionel MATZ – directeur de l’URSSAF Bourgogne – et Anne BARRALIS – directrice de l’URSSAF Franche-Comté – Gaëlle PIRROTTA est chargée de la mise en œuvre de la politique nationale de recouvrement des cotisations sociales, mais également de la stratégie d’aide et d’accompagnement décidée par le CPSTI BFC (Conseil de la protection social des travailleurs indépendants).
Après avoir successivement occupé des fonctions d’adjointe de direction à l’Association Hospitalière de Bourgogne-Franche-Comté puis d’attachée de direction et responsable d’un département expertise de la CARSAT BFC, elle a intégré l’En3S en janvier 2019 (58e promotion). Gaëlle PIRROTTA succède à Romain GIBERT. Ce dernier est parti rejoindre l’URSSAF Franche-Comté pour de nouvelles responsabilités, celles de directeur comptable et financier.
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Du rififi autour du permis de conduire : les inspecteurs cesseront le travail le 03 octobre à l'appel du SNICA-FO
septembre 30, 2022Le ministère de l’Intérieur roulerait-il à contre-sens ? C’est la question que se pose sans ambages les représentants du SNICA-FO, le Syndicat national des inspecteurs et délégués du permis de conduire et de la sécurité routière. Une interrogation, ayant pour conséquence de générer un mouvement de grève ce lundi 03 octobre dans l’Hexagone parmi la corporation…
AUXERRE : Le Syndicat national des inspecteurs et délégués du permis de conduire et de la sécurité routière appelle les professionnels de ce secteur d’activité à mettre la clé sous le paillasson ce lundi. Et à cesser le travail !
Une journée du 03 octobre qui sera donc porte close pour les prétendants au permis de conduire, un acte revendicatif pour défendre un service public des examens de qualité en France.
La direction régionale du SNICA-FO de Bourgogne Franche-Comté s’insurge elle aussi contre le tout nouveau projet de réflexion du ministère de l’Intérieur sur la mise en place d’un permis probatoire s’inspirant du permis belge, un projet qui permettrait aux écoles de conduite de délivrer une attestation autorisant temporairement à conduire, dans l’attente d’un examen ultérieur réalisé par un inspecteur officiel.
Or, le contexte économique vécu par le secteur est déjà extrêmement préoccupant selon le SNICA-FO. En effet, depuis 2016, de nombreuses missions des inspecteurs et délégués du permis de conduire, fonctionnaires d’Etat, ont été privatisées, voire externalisées, notamment celle de l’examen du code de la route. Rappelons que le permis AM, celui se rapportant aux scooters et aux cyclomoteurs, a par ailleurs été directement confié aux auto-écoles.
Un ministère de l’Intérieur à contre-courant de la réalité sur le terrain…
« Cela a engendré des fraudes massives et graves, précise le SNICA-FO, notamment avec des salles d’examen non-surveillée, une absence de vérification d’identité, la vente de résultats favorables, l’usurpation d’identité, voire la délivrance d’attestations de complaisance… ».
Bref, rien ne va plus dans le petit monde du permis de conduire où les observateurs ont constaté un effondrement du taux de réussite à l’examen du code de la route, et une méconnaissance préoccupante des règles élémentaires de circulation chez les apprentis conducteurs.
Résultat des courses : le permis de conduire coûte plus cher aux usagers car ils se voient désormais contraints de passer plusieurs fois un examen théorique payant et de prendre davantage de leçons pratiques en auto-école pour acquérir enfin les règles rudimentaires de circulation.
Bref, c’est l’incompréhension totale pour le syndicat national des inspecteurs et délégués du permis de conduire et de la sécurité routière qui pointe du doigt les errements du ministère de l’Intérieur, qui a fait le choix « d’amplifier la fraude » en France.
Thierry BRET
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Le cœur a ses insuffisances que l’esprit doit connaître : la CPAM de l’Yonne encourage les diagnostics précoces
septembre 29, 2022A l’occasion de la Journée mondiale du Cœur – ce jeudi 29 septembre -, la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM) de l’Yonne se rappelle à notre bon souvenir en lançant une campagne de sensibilisation en faveur d’un diagnostic précoce de l’insuffisance cardiaque. Essoufflements, prise de poids rapide, extrême fatigue ou œdèmes constituent autant de signaux d’alerte que nul ne doit ignorer. Surtout quand on a passé le cap des soixante printemps…
AUXERRE: La date n’est pas nécessairement connue de tous. Le 29 septembre, une journée qui correspond à celle du cœur et à sa prévention. Largement relayée, au plan national, sur les antennes de télévision, les ondes des radios et les colonnes de la presse écrite, la campagne de sensibilisation grand public voulue par la Caisse nationale d’Assurance Maladie (CNAM) ne pouvait immanquablement ne pas être déployée au plus près du terrain local. Via les Caisses primaires d’Assurance Maladie.
A l’instar des autres établissements répartis aux quatre coins de l’Hexagone, la CPAM de l’Yonne s’est penchée également sur la thématique, en jouant elle aussi la carte de la visibilité et de l’information.
En appui de la campagne de sensibilisation nationale – elle a été baptisée « Insuffisance cardiaque : et si votre cœur essayait de vous dire quelque chose ? » -, la CPAM de l’Yonne s’est donc intéressée elle aussi à cette pathologie chronique lourde qui affecte chaque année 1,5 million de personnes en France, une maladie qui devrait nettement progresser de plus de 25 % tous les quatre ans !
Seuls 19 % des seniors connaissent l’un des quatre signes d’alerte…
Les facteurs de stress, observés dans un quotidien de plus en plus anxiogène, expliquant en partie cet état de fait. Ce qui est inquiétant alors que la qualité de vie se détériore pour le plus grand nombre de nos concitoyens à l’heure actuelle.
Pour autant, les observateurs estiment – c’est comparable au diabète – que le nombre de personnes concernées par cette pathologie est proprement sous-estimé. Les malades tardent en effet à être diagnostiqués.
Tabagisme, sédentarité, alimentation trop riche, habitudes de vie délétères constituent autant de faisceaux d’incidences possibles au niveau des cibles potentielles de patients. Des personnes âgées de plus de soixante ans, en majorité, mais pas seulement.
Une récente étude publiée par BVA, menée en juin 2022 pour l’Assurance Maladie, mettait en exergue que bon nombre de seniors en connaissaient les signes d’alerte caractéristiques, à savoir l’essoufflement inhabituel, la prise de poids rapide, les œdèmes des pieds et des chevilles, et une fatigue excessive.
Les quatre signes s’additionnant : il est vivement recommandé de consulter son médecin traitant dans les meilleurs délais.
A l’occasion de cette journée, les médecins et les personnels paramédicaux sont également renseignés par la CPAM via les canaux d’informations classiques qui leur sont réservés, notamment le site AMELI ou des newsletters.
En parallèle, l’établissement sanitaire départemental a développé avec ses partenaires un parcours de soin spécifique afin d’optimiser la prise en charge des patients touchés par cette pathologie.
Cette campagne ne sera pas la seule de la saison à voir le jour. Il est prévu une suite, dès 2023, où les bons réflexes à adopter en cas d’insuffisance cardiaque seront expliqués.
Où se situe la Bourgogne Franche-Comté du côté des chiffres ?
Selon les études publiées par la CNAM, près de 41 000 personnes, résidentes sur notre contrée, ont été taxées d’insuffisance cardiaque en 2020, soit 1,5 % de la population totale de la Bourgogne Franche-Comté. Sachant que la prévalence de l’insuffisance cardiaque est légèrement plus basse, soit de 1,3 %. Si cette même prévalence augmente significativement avec l’âge, elle se situe dans tous les cas (40 ans et plus, 60 ans et plus, 75 ans et plus) bien supérieure en Bourgogne Franche-Comté qu’en France, avec respectivement + 2,6 % (40 ans), 4,5 % (60 ans) et 8,8 % (75 ans). On dénombrait plus de 6 000 personnes qui, pour le seul territoire de l’Yonne, sont classifiées dans la catégorie des personnes insuffisantes cardiaques en 2020.
Autres données intéressantes : l’âge médian de la personne insuffisante cardiaque s’élève à 82 ans (il existe peu d’écart d’un département à l’autre en Bourgogne Franche-Comté) et 6,2 % résident en EHPAD sur l’ensemble du territoire régional avec une envolée à 7,5 % pour l’Yonne, département qui enregistre le taux d’occupation en EHPAD le plus élevé.
Quant aux hospitalisations de ces patients, elles concernaient près de 15 % d’entre eux au moins une fois sur les deux dernières années avec un taux de ré-hospitalisation particulièrement important dans l’Yonne où près d’un tiers des patients hospitalisés le sont pour une rechute pathologique imputable à l’insuffisance cardiaque à six mois.
Enfin, les écarts de taux de mortalité de patients insuffisants sont importants au sein de la région : il est de 44 % dans la Nièvre, de 37 % dans le Doubs et en Côte d’Or ; l’Yonne se situant dans la moyenne.
Un mot, également sur les thérapeutes. En 2022, la Bourgogne Franche-Comté accueille 211 cardiologues en exercice en tant que libéral ou salarié d’un établissement. Un peu plus de 70 % d’entre eux exercent en ville à temps plein ou à temps partiel. Quant à la densité de la profession, elle est en deçà de la densité nationale qui est de 7,6 pour 100 000 habitants pour la région et 10,9 pour la France. L’Yonne fait malheureusement partie des territoires où la densité de praticiens cardiologues est inférieure à la moyenne nationale, avec 7,4. Il serait grand temps de remédier à cela et d’inverser enfin cette tendance démographique des cardiologues qui ne nous est pas favorable…
Thierry BRET
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