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L’excellence citoyenne des apprentis du CIFA de l’Yonne s’inculque avec le port de l’uniforme…
août 20, 2018Blazers foncés et chemises assorties ont très vite constitué la panoplie idoine des jeunes gens qui fréquentent le centre de formation d’apprentis de l’Yonne depuis quelques saisons. Celles et ceux des élèves qui évoluent dans les sections où l’apprentissage des techniques de vente, du commerce et du service le savent bien et apprécient la démarche. De leur côté, les employeurs, partenaires privilégiés du centre de formation auxerrois, approuvent l’initiative vestimentaire voulue par le CIFA. Les maîtres d’apprentissage leur ont aussi emboité le pas. Preuve que l’excellence citoyenne peut également se nicher jusqu’au choix de ses vêtements…
AUXERRE : Favoriser l’excellence disciplinaire et citoyenne au sein d’un établissement pédagogique passe aussi par le port d’une vêture qui respecte les codes de la bienséance, de l’éthique morale et de la neutralité sociale. Au sein du CIFA de l’Yonne, l’une des méthodes préconisées pour arriver à cet objectif prend la forme de l’harmonisation des vêtements parmi les élèves. Depuis deux saisons déjà, et sous l’impulsion coordonnée des équipes managériales et pédagogiques du site, filles et garçons arborent vestes et chemises en conformité avec cet état d’esprit. Sans qu’ils en éprouvent la moindre des contrariétés. Même si la décision aura pu surprendre à ses débuts les plus réfractaires d’entre eux…
Une habitude à laquelle personne n’aimerait déroger…
Les parents de ces apprentis « modèles » ne se sont pas offusqués de ces choix vestimentaires. Bien au contraire ! Ils étaient plutôt demandeurs de retrouver l’application de signes ostensibles de respect et de neutralité. Des valeurs sociales qui leur parlent.
Aujourd’hui, le principe est devenu presque un acquis, voire une habitude à laquelle on ne souhaiterait déroger le moins du monde. Pourtant, rares sont les établissements scolaires et les centres de formation de Bourgogne Franche-Comté, voire au plan de l’Hexagone, à avoir opté en faveur d’une telle ligne de conduite si caractéristique d’une discipline à l’ancienne. Seule une minorité d’écoles privées ouvertes dans le pays obligent encore leurs jeunes pousses à adopter une tenue de circonstance. Quant aux écoles publiques, il y a belle lurette qu’elles ont abandonné l’idée d’imposer une vêture particulière aux parents d’élèves. Laissant libre cours à l’imaginaire débridé de leur progéniture et le choix de pouvoir s’habiller comme elle le souhaite.
Eradiquer les disparités sociales et l’influence des marques…
Pourtant, des sociologues estiment, au-delà de ces préceptes exercés par la discipline citoyenne voulue par les responsables du CIFA que le port de l’uniforme possède deux vertus en soi : celle de la neutralité sociale en éliminant toutes les différences qui peuvent se créer en affichant des produits de marque et celle d’un égalitarisme laïc pur jus où tous les apprenants bénéficieraient des mêmes chances de réussite vis-à-vis de leur scolarité ou dans le cadre de leur apprentissage. Au plan politique, le Ministre de l’Education nationale, Jean-Michel BLANQUER avait déclaré un jour dans la presse être en phase avec ce genre d’initiative qui récuse les phénomènes de mode parfois stupides.
Reste que les apprentis du CIFA de l’Yonne, fiers de leur appartenance et de leurs costumes lors de la cérémonie protocolaire de la remise des prix 2018, en juin, entameront d’ici quelques jours une nouvelle année en étant revêtu de leurs plus beaux atours…Pour la plus grande joie de leurs parents qui ont vu leur progéniture prendre conscience de l’importance du savoir-être en entreprise grâce à cette démarche…
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1 633 entrepreneurs de Bourgogne Franche-Comté, ayant perdu leur emploi, rejoignent les rangs du chômage…
août 15, 2018L’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs a publié ses dernières statistiques cet été. Cette seconde vague de chiffres concerne les pertes d’emploi des dirigeants d’entreprise en Bourgogne Franche-Comté. 1 633 entrepreneurs ont ainsi perdu le leur l’année dernière. Cela représente 3,5 % des pertes d’emploi en France. En 2016, ils étaient cependant 1 799 chefs d’entreprises à avoir rendu les armes à la suite d’une liquidation judiciaire. Soit 7,6 % de plus…
DIJON (Côte d’Or) : A l’exception du Jura, la Bourgogne Franche-Comté enregistre une baisse généralisée du chômage de ses dirigeants d’entreprises. Les statistiques dévoilées par l’association GSC « Assurance perte d’emploi des dirigeants et entrepreneurs » et la société ALTARES, experte en data entreprises, viennent de le confirmer pour l’année de référence, 2017. Cette année, le territoire profite dans la majorité d’une amélioration. Au moment où le gouvernement d’Edouard PHILIPPE a statué sur l’indemnisation allouée aux indépendants en situation de perte d’emploi.
Sur les huit départements qui constituent la région, c’est le Territoire de Belfort qui obtient la plus forte de baisse avec 90 chefs d’entreprises en situation de perte d’emploi au terme de 2017. Soit 18,2 % de moins qu’en 2016. La Côte d’Or se classe en seconde position avec ses 291 entrepreneurs en situation de chômage. Une amélioration très nette est également observable dans l’Yonne où le nombre de dirigeants ayant perdu leur emploi retombe à 200 en 2017.
Nonobstant, quatre départements affichent quant à eux des baisses moins importantes. Il s’agit de la Haute Saône (-5,6 % soit 135 dirigeants touchés), la Saône et Loire (-3,7 % soit 389 chefs d’entreprises), le Doubs qui enregistre une baisse de 1,3 % pour un total de 299 dirigeants concernés. Quant à la Nièvre, elle connaît une très faible évolution avec -0,9 % soit 110 dirigeants.
Le département du Jura voit sa situation se dégrader. 149 dirigeants ont perdu leur emploi au terme de l’année contre 144 l’année précédente. Ce territoire affiche une hausse de 3,5 %.
Le secteur du commerce reste le plus impacté…
Quant aux secteurs d’activités, ce sont ceux du commerce, de la construction et de l’hébergement hôtellerie et restauration qui sont les plus concernés par ces pertes d’emploi. Avec ses 461 entrepreneurs en situation de chômage, le commerce représente 28 % des pertes d’emploi de la région Bourgogne Franche-Comté. On notera que le commerce de véhicules motorisés est le plus impacté avec 90 chefs d’entreprises hors circuit, suivi par le commerce d’habillement (62 personnes) et le commerce de détail alimentaire (55 chefs d’entreprise concernés).
La construction concentre à lui seul 885 pertes d’emploi dont 761 imputées au seul secteur du bâtiment. Quant à l’hébergement, restauration et débits de boisson, il subit là-aussi une recrudescence des liquidations judiciaires engendrant un chômage des entrepreneurs qui culmine à 565 dirigeants en 2017, dont 76 % travaillaient dans la restauration.
Directeur des études chez ALTARES, Thierry MILLON apporte ses commentaires : « La région Bourgogne Franche-Comté a franchi le cap des 2 000 défaillances d’entreprises en 2007 et n’était, depuis, jamais redescendu en dessous, établissant même un record en 2014 à 2 500 jugements. L’année 2017 a confirmé l’amélioration observée en 2016 et permis enfin de retomber juste sous les 2 000 procédures. Ce recul des ouvertures de procédures se traduit naturellement par une baisse du nombre de liquidations judiciaires directes (les deux tiers des jugements) mais aussi de liquidations post redressements judiciaires (les trois quarts). Moins de liquidations judiciaires, c’est moins de chefs d’entreprises en situation de perte d’emploi. Cette année 2018 devrait confirmer, à l’instar d’un premier trimestre très encourageant, la sinistralité des entreprises. Elle est la plus faible depuis 2008 en Bourgogne et même depuis 2005 pour la Franche-Comté ».
Une situation analogue au niveau national bien que le nombre d’entrepreneurs au chômage soit encore élevé…
Dans l’Hexagone, ce sont 50 011 dirigeants d’entreprises qui ont dû faire face à une liquidation judiciaire en 2017. Soit 9,2 % de moins que l’année précédente. L’âge médian de ces personnes s’élève à 45 ans. Sachant que la part des quinquagénaires a tendance à légèrement augmenter.
Les entrepreneurs âgés de plus de 50 ans représentent 35,7 % des dirigeants concernés. On notera que les artisans-commerçants et les gérants de TPE demeurent les plus impactés par la perte d’emploi. 74 % de ces dirigeants ayant rejoint les rangs du chômage géraient une entreprise de moins de trois salariés. 15 % des entrepreneurs employaient entre trois et cinq salariés.
Pour la directrice générale de l’association GSC, Elodie WARNERY, « Le recul du nombre d’entrepreneurs en situation de chômage ces trois dernières années est un indicateur du dynamisme entrepreneurial français. Il est encourageant pour l’avenir. Cependant, le risque d’être confronté à une perte d’emploi n’est pas le même suivant le secteur, la région et la taille des entreprises. Et dans tous les cas, l’entrepreneur doit faire preuve d’agilité et de vigilance face aux évolutions de son marché, aux adaptations nécessitées par le mouvement permanent de son environnement économique, social et juridique. Lorsqu’un homme ou une femme perd son entreprise et par là même son emploi, il n’est pas juste question de perte de revenu mais de perspectives d’avenir pour lui et sa famille. Il y a là une problématique sociale... ».
La majorité des régions françaises est concernée. Le nombre d’entrepreneurs en situation de perte d’emploi est en baisse dans douze régions sur treize. Pour autant, la réalité des territoires apparaît plus complexe. Si l’année précédente, sept régions sur treize enregistraient une baisse supérieure ou égale à 10 %, les résultats 2017 sont très contrastés. Les régions du Grand Est (-12,6 %) et des Hauts de France (-11 %) connaissent une nette amélioration tandis que les pertes d’emploi de dirigeants ont légèrement augmenté en Provence Alpes Côte d’Azur (+0,4 %). Pour huit régions sur treize, la baisse est inférieure à 7 %.
Autre commentaire : celui de Charles BATTISTA, directeur de la communication et des relations externes chez ALTARES.
« Les créations d'entreprises sont au plus haut depuis le début de la décennie tandis que les défaillances d'entreprises sont au plus bas sur dix ans. La France recolle au peloton de tête des économies dynamiques. Pourtant, cette embellie oublie une autre réalité. Alors qu'ils lancent des entreprises, inventent le business de demain, et créent des emplois, les entrepreneurs peuvent chaque jour être confrontés à leur propre « chômage ». Cinquante mille chefs d'entreprises ont été placés devant cette difficulté en 2017 après la liquidation judiciaire de leur entreprise. Oser le risque est l'ADN de chaque entrepreneur. C’est un moteur pour l’économie mais cela ne peut se concevoir sans un filet de sécurité... ».
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Les propriétaires de perroquets Gris du Gabon doivent se manifester auprès de la DDCSPP…
août 14, 2018Dépendant de la Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations, le Pôle vétérinaire, santé et protection animale de l’Yonne recense les propriétaires de cette espèce animale, l’une des plus prisées sur le marché mondial des animaux exotiques de compagnie. Vivant en Afrique, ce perroquet se raréfie à cause du braconnage. Sa protection a été renforcée en 2017. Conséquence : sa commercialisation est désormais interdite vers l’Europe. La détention de ce volatile est soumise à autorisation préfectorale...
AUXERRE : Victime de la destruction massive de son milieu naturel dans les pays d’Afrique équatoriale où il s’épanouit en liberté, le perroquet Gris du Gabon a rejoint la liste des animaux exotiques à préserver. Même si cette variété de volatile est très courue par les amateurs d’oiseaux de compagnie. D’où la hausse du braconnage.
Dans l’absolu, sa protection a ainsi été renforcée de manière drastique l’année dernière. Le commerce de cette espèce prélevée parmi son milieu naturel est strictement interdit. Ce qui oblige les possesseurs de ces animaux, qu’ils soient nés en captivité ou pas, de se rapprocher des services de la Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCSPP) pour en faire la déclaration.
Détenus sans l’autorisation officielle de la préfecture, ces oiseaux pourraient faire l’objet d’une saisie et d’un procès-verbal par la police de l’environnement. Les détenteurs de cette variété de perroquet doivent se déclarer en qualité « d’éleveur d’agrément », à l’aide d’un formulaire CERFA 12447. Ce document est à télécharger sur le site de la préfecture de l’Yonne, http://www.yonne.gouv.fr/Politiques-publiques/Environnement/Protection-de-l-environnement/Faune-captive.
Renseigné, le formulaire doit ensuite être transmis à la DDCSPP, accompagné de tout justificatif permettant de prouver l’origine licite de l’animal dans le cas d’une régularisation. Par ailleurs, l’identification des perroquets Gris du Gabon est obligatoire par bague fermée ou à défaut, un transpondeur électronique, (bague ouverte interdite), attestée par une déclaration de marquage. Enfin, en cas de cession de l’animal et si toutes les démarches précédentes ont été réalisées, la direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL) pourra délivrer l’indispensable certificat intra-communautaire (CIC). En l'absence de ce certificat, la vente, la détention en vue de la vente, la publicité en vue de la vente, le transport en vue de la vente, la mise en vente, la vente et l'achat des perroquets Gris du Gabon sont interdits et ces infractions constituent des délits.
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Avec le marché sud-américain dans le viseur, EUROGERM renforce sa présence en Colombie…
juillet 25, 2018Avec l’ouverture de sa onzième filiale à l’international, le leader dans les ingrédients et auxiliaires technologiques de la filière blé-farine-pain s’offre de nouvelles perspectives de développement dans ce pays de l’Amérique du Sud, riche d’une quarantaine de boulangeries industrielles et de trente minoteries. Depuis Medellin, siège de cette nouvelle filiale, le groupe, côté sur le marché Euronext de Paris, souhaite étendre sa présence technique et commerciale dans cette partie du monde…
DIJON (Côte d’Or) : Déjà présente via ses filiales au Mexique, au Pérou et au Brésil, EUROGERM entend accroître son influence technique et commerciale en Amérique latine avec l’inauguration récente de sa nouvelle filiale, EUROGERM COLOMBIA.
Dirigée par l’ingénieur André BUILES, spécialiste des ingrédients alimentaires et partenaire de la société depuis plusieurs années, cette entité apportera un avantage logistique et une assistance technique locale à la clientèle colombienne. En personnalisant un peu plus ses produits et ses offres de services, l’un des axes de succès du groupe.
Créée en 1989, EUROGERM est devenue le leader national dans son segment d’activité à partir d’une offre originale. L’enseigne commercialise des correcteurs de meunerie, des améliorants de panification et des ingrédients servant à améliorer la régularité, la qualité et la valorisation des produits de la filière blé-farine-pain.
Pour le président directeur général du groupe, Jean-Philippe GIRARD, l’ouverture de cette onzième filiale dans ce pays de l’Amérique du Sud représente une excellente opportunité et constitue une étape essentielle dans la stratégie d’expansion à l’international.
La structure pesait près de 104 millions d’euros de chiffre d’affaires au 31 décembre 2017.
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Après « I-Télé » (devenu depuis « C News ») et France Info, c’est au tour de la chaîne « BFM TV » de s’intéresser de très près à l’actualité de la jeune start-up icaunaise dont le siège social est localisé à Toucy. C’est sur son canal d’information de pure économie, « BFM Business » que le média audiovisuel national a diffusé ce lundi 23 juillet à 19h30 un reportage d’environ cinq minutes consacré au concept inventif de ce nouvel acteur qui évolue sur le marché de l’assurance. Cette émission à forte audience est disponible en replay sur le site du média télévisé…
PARIS : Proposé en simultané sur la radio et sur « BFM Business », le reportage qui présente les activités de la start-up bourguignonne, QAPE, aura permis à son président directeur général, Kim Vu DINH de pouvoir évoquer face à la caméra la genèse et les perspectives de ce concept entrepreneurial, qui aujourd’hui fait de l’audience dans la filière des métiers de l’assurance.
L’émission « PME Stories », très suivie par les observateurs économiques, a pu donner un sérieux coup de projecteur sur cette structure, née de la rencontre de Kim Vu DINH et de son directeur général, Julien MOUCHET, figure emblématique de la vie professionnelle dans l’Yonne. Ce dernier occupait il y a encore quelques années une fonction de vice-président au sein de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne…
Les journalistes de « BFM Business » ont orienté leur sujet sur les origines de cette start-up qui a reçu les encouragements en 2017 du réseau Entreprendre Bourgogne en qualité de lauréat régional.
Un mois de septembre qui s’annonce déjà chargé…
Interrogé sur les retombées attendues par ce reportage, Julien MOUCHET se dit très satisfait de cette médiatisation au moment où QAPE marque les esprits des spécialistes de ce segment de l’activité, en proposant une sérieuse rupture sur ce marché très concurrentiel et parfois conventionnel de l’assurance.
Novateur, le concept défini par la start-up de l’Yonne qui possède une antenne à Paris est de favoriser le retour à la mutualisation tout en créant des outils numériques nécessaires à sa croissance, tant auprès des particuliers que des acteurs des circuits professionnels, via la notion de « e-santé ».
L’automne sera d’ailleurs riche et intense pour QAPE. Avec son partenaire, « BEWELL CONNECT », filiale des laboratoires « VISIOMED GROUP », leader sur le secteur de l’ « e-santé », pour le grand public comme pour les professionnels, qui lui assure le développement de sa stratégie digitale, la structure lancera une application de pré-diagnostic, « KOVERS », dès septembre. Ce dispositif comprendra en outre une variante de télémédecine augmentée à destination des adeptes et pratiquants de sport.
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