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Etienne HENRIOT (Chambre d’agriculture) : « Il faut rendre espoir aux agriculteurs trop souvent démoralisés… »
octobre 22, 2018La Région Bourgogne Franche-Comté a pris la décision au terme de sa séance plénière du vendredi 12 octobre de décréter un plan d’urgence de dix millions d’euros en faveur des agriculteurs victimes de la sécheresse. La situation est catastrophique pour de nombreux éleveurs et céréaliers. Le président de la chambre consulaire des milieux agricoles nous livre lors d’un entretien sa perception de cette actualité…
AUXERRE : Quels sont à chaud à vos réactions à la suite de cette annonce ?
Le premier semestre 2018 a été favorable à la constitution de réserve pour affourager les animaux pendant l’hiver. Malheureusement, la sécheresse qui sévit depuis fin juin a empêché une pousse normale de l’herbe et a obligé les éleveurs à utiliser depuis juillet les réserves hivernales. Ces réserves détournées de leur usage premier s’avèreront vite insuffisantes. Le recours à l’achat d’aliment sera nécessaire. Les responsables de la Région Bourgogne Franche-Comté ont décidé en session de venir en aide aux éleveurs à hauteur de 10 millions d’euros. Cette décision devrait également impliquer les départements.
C’est une initiative qui est perçue positivement. Est-elle suffisante ? Non, mais c’est un effort à forte portée symbolique.
Le département de l’Yonne fait partie des régions les plus touchées. Hormis la vigne et l’arboriculture, cette sécheresse touche toutes les productions qui sont sensibles aux aléas climatiques. Les cultures récoltées à l’automne ont particulièrement souffert et les rendements sont souvent très mauvais (tournesol, maïs, betterave, etc.). Là aussi, les éleveurs ont peiné à constituer des réserves d’ensilage de maïs pour nourrir leurs animaux. Aucun modèle d’agriculture n’est épargné. C’est aussi une mauvaise année pour les producteurs Bio. La récolte 2019 est déjà impactée, la sole de colza va représenter de 20 à 30 % d’une année normale. Les assolements vont être très perturbés.
La sécheresse qui perdure depuis plusieurs mois dans notre pays concerne principalement les zones centrales et orientales de la France. Quel est réellement la situation en Bourgogne Franche-Comté ? Et dans par extension sur le département de l’Yonne ?
En l’absence d’herbe, les éleveurs sont contraints soit de rentrer prématurément leurs animaux soit de les nourrir au champ et les abreuver régulièrement. Les céréaliers travaillent leurs terres dans de mauvaises conditions, l’impact sera réel pour les mois à venir.
Trouver un équilibre équitable entre les différents protagonistes…
Pensez-vous que ce plan d’urgence soit adapté à la réalité de la situation ? Rappelons que 5 millions d’euros contribueront à des soutiens directs auprès des exploitations ; le reliquat étant affecté au financement de nouveaux bâtiments servant à accroître les capacités de stockage du fourrage…Aurait-il fallu davantage d’argent pour subvenir aux besoins actuels des agriculteurs ?
Le plan d’urgence qui concerne les éleveurs de ruminants se divise en deux parties. Un plan d’urgence de 5 millions d’euros et un plan d’investissement de 5 millions d’euros lui aussi. La règle de répartition de cette aide n’est pas arrêtée à ce jour. La profession est sollicitée pour permettre la mise en place de priorités pour éviter un mitage de l’enveloppe. Ce n’est pas le plus facile que de trouver une règle équitable entre les départements et entre les éleveurs. La Région a répondu rapidement à la demande de la profession. Quel sera le délai entre la décision prise politiquement et l’arrivée de cette aide sur le compte de l’éleveur, nul ne le sait à ce jour.
Cette intervention publique concernera la Région et les Départements. Un avis sur ce choix stratégique ?
L’intervention publique concernera également les Départements. Quelle sera la position du Conseil départemental de l’Yonne qui aurait accepté de contribuer ? Je n’ai pas la réponse à ce jour. Des Départements s’étaient positionnés avant la Région en Bourgogne Franche-Comté. Dans un positionnement régional, il est logique que les départements se saisissent de cette demande.
Mobiliser toutes les énergies régionales et nationales pour aider la profession…
Que faudra-t-il faire à l’avenir si les canicules à répétition persistent dans notre pays ?
Les aléas climatiques se répètent souvent. Changement climatique ou pas, on ne peut pas solliciter régulièrement des plans d’urgence. Il faut que l’agriculture intègre cette réalité et s’inscrive dans un plan de progrès pour faire face à ces aléas. Le bureau de la Chambre régionale de Bourgogne Franche-Comté a décidé de s’inscrire dans cette logique en validant récemment un PACTE (Plan d’Adaptation au Changement climatique sur les Territoires). Les Chambres d’Agriculture doivent s’inscrire dans une politique de collecte de références, de recherche, de formation pour accompagner les agriculteurs. Elles doivent mobiliser les énergies au niveau régional et national pour donner une vision à l’agriculture et redonner de l’optimisme aux agriculteurs trop souvent démoralisés.
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Questionnaire « Auxerre 2030 » : le cap des 500 réponses satisfait déjà les élus de l’opposition…
octobre 22, 2018Lancée il y a plus de deux semaines, sous la forme d’un document papier mais également relayée par les réseaux sociaux, l’enquête d’opinion, concoctée par les élus de l’opposition d’Auxerre sur les perspectives de la ville à échéance 2030, a déjà sensibilisé plus de cinq cents personnes. Le fondement de cette prise de contact indirecte avec les habitants de la capitale de l’Yonne repose sur l’évolution du cœur de ville, la pérennité de ses commerces, le développement de la culture et des loisirs ou encore le plan de circulation du centre-ville. Du grain à moudre pour les concepteurs de ce sondage qui poursuivent l’expérience durant quelques semaines encore avant de tirer la substantifique moelle des réponses obtenues.
AUXERRE : Engagés en faveur de l’essor du chef-lieu de l’Yonne et de son rayonnement tant au plan économique que sociétal, le groupe d’élus de l’Auxerrois et d’habitants, à l’origine de ce questionnaire, se satisfait de la première phase de cette initiative.
Quinze jours après avoir fait circuler cette série d’interrogations sur les perspectives de la ville à horizon 2030, via une quarantaine de thématiques distinctes et complémentaires, un premier bilan a été communiqué de manière officielle.
Plus de 500 réponses ont été enregistrées sur les réseaux sociaux. Rappelons que plusieurs centaines de questionnaires ont été distribués par leurs auteurs sur des points névralgiques du cœur de ville, ses artères principales et parmi les galeries commerçantes.
« D’ailleurs, précise Jean-Pierre BOSQUET, l’un des initiateurs de cette démarche pour mieux appréhender la perception des Auxerrois sur le lieu de vie, beaucoup de retours ne sont pas encore comptabilisés… ».
Et l’élu d’Auxerre de rajouter : « Nous souhaitons que la mobilisation s’accentue afin que toutes les sensibilités puissent s’exprimer et rendent cette enquête la plus proche possible des préoccupations du plus grand nombre d’habitants… ».
Un seuil de retour espéré à plus de mille contacts…
Bien qu’il soit toujours difficile de quantifier le nombre de réponses en amont d’une campagne de communication, les élus de l’opposition de la Ville d’Auxerre tablent sur le millier de retours pour les satisfaire au terme de cette prise de température.
« La consultation des questionnaires est particulièrement motivante, ajoute Jean-Pierre BOSQUET, elle nous permet d’analyser la richesse des idées et des solutions suggérées pour que la Ville d’Auxerre sorte d’une certaine forme d’apathie, comme cela est signifié sur les documents récoltés par l’équipe… ».
Il faudra encore s’armer d’un peu de patience, sans doute dès les premières semaines de la nouvelle année, pour découvrir le substrat définitif de cette enquête d’opinion, première du genre réalisée par l’opposition municipale à Auxerre.
Pour l’heure, via Internet et auprès des commerçants auxerrois, il est encore possible de répondre à ce panel d’interrogations contenu sur ce document.
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Qualité : le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne a atteint ses objectifs de certification
octobre 20, 2018Saluée par le secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean-Baptiste LEMOYNE, à la clôture des Assises de l’énergie, la démarche qualité suivie par le SDEY se concrétise par l’obtention d’une certification officielle. Validée par le Bureau VERITAS, l’initiative fera l’objet d’une remise de diplôme officielle lors de la cérémonie des vœux le 16 janvier 2019 à APPOIGNY…
MONETEAU : Aux côtés de la journaliste de BFM, Nathalie CROISE, spécialiste dans les enjeux du développement durable et de l’économie verte, le représentant du Bureau VERITAS, leader mondial dans l’évaluation de la conformité et de la certification, a expliqué face à un parterre d’élus et d’institutionnels les motivations ayant poussé le SDEY dans cette démarche.
Soucieux d’offrir un service public d’une qualité irréprochable, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne a opté pour la mise en place d’un parcours analytique devant déboucher in fine sur une certification validée par un organisme indépendant.
Le syndicat de toutes les énergies de l’Yonne, opérationnel depuis le 01er janvier 2014 à la suite du rapprochement fusionnel de 23 organismes locaux, avait choisi cette voie afin de mutualiser les ressources locales pour agir de manière plus équitable sur l’ensemble du territoire icaunais.
Une année de travail complexe pour optimiser la qualité…
Or, investir chaque année et répondre aux besoins des communes de l’Yonne dans le domaine des énergies supposaient également de pouvoir offrir un service public d’une extrême qualité. Ce sérieux est désormais reconnu.
Après une longue période, soit une douzaine de mois, de réorganisation de son mode opératoire, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne a atteint ses objectifs de certification.
C’est une belle récompense pour cet acteur clé de l’économie départementale, pourvoyeur d’emplois et propriétaire de kilomètres de réseaux basse et moyenne tension électrique. Précisons que le syndicat gère également pour le compte des communes le réseau du gaz.
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VIIIème Assises du SDEY : oui, à la consommation de l’énergie électrique, mais autrement…
octobre 18, 2018En matière de consommation d’énergie, les collectivités doivent elles-aussi se mettre au diapason de la réalité environnementale. Et de la maîtrise de leur budget tout en garantissant un service de qualité à leurs administrés. Selon différents scénarii qui ont servi de trame de réflexion lors des nombreux débats ayant ponctué ce huitième rendez-vous d’une riche intensité. Déclinées par le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY), ces assises annuelles de belle facture intellectuelle ont une nouvelle fois rempli leurs missions. Celles de présenter des solutions concrètes aux élus afin d’anticiper la saine gestion de la consommation énergétique de demain…
MONETEAU : Consacrées au principe de l’autoconsommation d’électricité, les huitièmes assises du Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne font figure chaque année à pareille époque de laboratoire grandeur nature. Un think tank à dimension humaine au service des communes de notre territoire.
L’organisme présidé par Jean-Noël LOURY (voir son intervention) a une fois de plus réussi son pari. Faire salle comble dans le complexe du Skénet’Eau. Soit une jauge de plus de trois cents personnes qui, pour la plupart, étaient issus des rangs des élus communaux et territoriaux.
Certains étaient également accompagnés de techniciens. Celles et ceux qui sont concernés directement par la maîtrise de la consommation électrique à l’heure du développement durable et des enjeux environnementaux liés à la sauvegarde de la planète.
Comme devait le marteler à maintes reprises le président du syndicat, « nous construisons ensemble l’Yonne énergétique de demain ». Un avis ô combien partagé par l’édile de Monéteau, vice-président du Conseil départemental, Robert BIDAUT, qui avait le plaisir d’accueillir une nouvelle fois cet évènement prospectiviste dans sa finalité.
Plusieurs interventions, entre débatteurs de bon aloi, permettaient de pointer du doigt des sujets devant faciliter la transition énergétique des communes à plus ou moins longue échéance. En particulier, l’optimisation énergétique, un nouveau service dorénavant apporté par les services du syndicat départemental icaunais.
Que ce soit de petites localités ou des agglomérations de plus grande importance, chaque responsable, à leurs têtes, doit aujourd’hui se poser les bonnes interrogations. Comment faire baisser sa facture énergétique en ne remettant pas en péril la qualité du service ?
L’accompagnement des communes : la priorité du SDEY…
Le syndicat de la Bourgogne septentrionale développe depuis plusieurs mois un nouveau service dont sont bénéficiaires ses adhérents. L’apport instructif de deux conseilleurs en énergie partagés a permis d’identifier une dizaine de communes, prêtes à franchir le cap de la consommation énergétique autrement. Un bilan énergétique aura convaincu leurs élus d’appréhender différemment sur cette ligne budgétaire importante de leur budget. « Optimiser sa consommation énergétique, c’est surtout identifier la manière dont on peut réaliser des économies », devait préciser Jean-Noël LOURY.
Partant du postulat, confirmé par les résultats d’un sondage national, que l’idéal de vivre en zone rurale était partagé par 81 % de nos concitoyens, le président du Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne affirma avec volonté qu’il était nécessaire de disposer d’un territoire champêtre moderne. « 56 % des Français considèrent par ailleurs qu’il y a un très net déclin dans les campagnes au niveau des équipements technologiques », devait-il souligner ensuite.
Investir dans les réseaux intelligents…
Depuis que le syndicat ne forme plus qu’une seule et unique entité fonctionnelle à la suite du regroupement des 23 syndicats d’électrification, le SDEY n’a de cesse de se préoccuper de l’aménagement du territoire de l’Yonne. Dès lors, différents réseaux dits intelligents y ont été déployés. A l’instar de l’installation des 115 bornes de charges pour les véhicules électriques ou depuis peu de l’auto-partage, une procédure mise en place sous la forme d’un service public par la commune de Perrigny sur Armançon. Sans omettre l’autoconsommation d’électricité.
Ces assises annuelles auront démontré la vitalité de ce syndicat d’énergies qui n’est, grâce au professionnalisme et à l’expertise de ses nombreux collaborateurs, jamais à court d’idées. Ni de projets…
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Serge GARCIA : « Sens Electronique Numérique Son représente une judicieuse opportunité pour défiSON »
octobre 15, 2018Peu de professionnels de la filière sonore sont référencés en Bourgogne Franche-Comté. Un état de fait dommageable qui n’a pas empêché Serge GARCIA, cheville ouvrière de l’organe qui assure aujourd’hui le développement économique de la filière de l’acoustique et du vibratoire dans l’Yonne, de créer et de porter le concept « défiSON ». C’est dans le cadre de son programme précurseur et unique que la Communauté d’agglomérations du Grand Sénonais et la Chambre de Commerce et d’Industrie initient le projet de journées professionnelles S.E.N.S. (Sens Electronique Numérique Son). Celles-ci se dérouleront les 17 et 18 octobre.
SENS : Entre « défiSON » et la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, l’entente cordiale entamée il y a cinq ans a donné naissance à un partenariat constructif l’identique d’une vieille histoire d’amour. Il aura fallu un peu de patience et beaucoup d’abnégation avant qu’elle n’engendre un concept digne de son rang, qualifié par les observateurs de très haute envergure nationale.
Ces deux jours de rencontres entre exégètes de disciplines technologiques pointues et des faiseurs de l’économie territoriale représentent une réelle opportunité pour le territoire icaunais. Une brillance dont se fera l’écho les plumes expertes de la presse spécialisée. Mais, aussi les réseaux bien intentionnés des cercles industriels.
Et même, s’il y a déjà eu par le passé des conférences passionnantes sur les progrès industriels liés à l’emploi de ces procédés acoustiques et vibratoires, jamais « défiSON » n’avait connu un telle aura.
Ni une notoriété comparable qui lui permette de jouer désormais dans la cour des grands aux côtés de deux partenaires institutionnels emblématiques, le Grand Sénonais et la CCI, embarqués de concert dans le déroulé de ce projet.
Les meilleurs spécialistes français de la filière son…
Car, accueillir sur le même site, icaunais de surcroît, des références nationales, toutes spécialistes incontournables de ces filières, la plupart méconnues du grand public, autour de tables de conférences, d’ateliers démonstratifs et de stands d’exposition est un audacieux pari, tenté dans un esprit coopératif et constructif.
L’évènement est de taille. Mieux : sa conception est unique en France. Le CSTB (le Comité scientifique et technique du bâtiment) n’avait à titre d’exemple jamais eu l’opportunité de prendre part à un tel rendez-vous dans l’Hexagone ! C’est pour dire !
« Nous avons sélectionné les meilleures pointures de ces filières, explique Serge GARCIA, elles auront libre cours de pouvoir exposer leurs points de vue auprès d’un public cosmopolite composé d’industriels, de représentants institutionnels, de professionnels de santé et d’étudiants. Ne serait-ce que le volet médical qui y sera abordé. Les visiteurs, y compris les particuliers, ne peuvent être qu’intéressés par la somme de renseignements et de phases évolutives envisagées demain… ».
Ces journées professionnelles permettraient-elles d’avoir une vision prospectiviste hétéroclite de ce que seront les traitements de certaines pathologies à brève échéance ?
« Dans le domaine de la santé, quand on sait que l’on peut soigner différemment des pathologies sérieuses comme les cancers du sein ou de la prostate par l’emploi de procédés à base d’ultrason, il est capital de le faire savoir autour de soi, commente Serge GARCIA. Il nous est apparu nécessaire de partager ces informations auprès d’un très large public. Et de lui expliquer ce que sera la médecine de demain… ».
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