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Un hélicoptère sera en appui des urgences de la Nièvre : le soulagement mais pas avant 2020...
février 18, 2019Espérée et attendue depuis plus d’un quart de siècle, la décision vient d’être entérinée par la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès BUZYN, à l’issue de sa visite à Nevers. Complétant le parc des cinq appareils déjà opérationnels sur le territoire de Bourgogne Franche-Comté, ce nouvel équipement, pris en charge conjointement par l’Etat et la Région, s’inscrit dans la politique de maillage territorial au niveau sanitaire…A la grande satisfaction de Marie-Guite DUFAY, présidente régionale qui se félicite de cette dotation qui favorise la gestion optimale des urgences médicales.
NEVERS (Nièvre) : Deux hélicoptères sont affectés à Besançon. La Côte d’Or, la Saône-et-Loire et l’Yonne disposent chacune d’un appareil. Aussi étrange que cela puisse paraître, le département de la Nièvre demeurait le parent pauvre de notre territoire, ne bénéficiant pas encore de ce service. Utile et fort précieux pour les urgences médicales vitales.
Or, l’annonce de la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès BUZYN apporte une réelle bouffée d’air pur pour les professionnels du secteur thérapeutique et leurs patients. Doté de cet engin qui permettra d’accélérer significativement les délais d’intervention et de prise en charge de la patientèle, l’hôpital de Nevers pourra mieux gérer les situations à risque et rayonner sur l’ensemble du département.
Un engagement tout particulier de la Région…
Si le coût de fonctionnement de cet appareil, un Héli-SMUR, revient à l’Etat, c’est bel et bien la Région Bourgogne Franche-Comté qui accompagnera, à hauteur de 1,5 million d’euros, les investissements des drops zones existantes. Elles se répartissent sur les sites hospitaliers de Dijon, Chalon-sur-Saône, Mâcon, Sens, Nevers et Belfort-Montbéliard.
Il est prévu, au cours de ces deux prochaines années (2019 et 2020) que l’institution régionale finance également l’installation d’une vingtaine de caméras qui assureront un suivi en temps réel des conditions météorologiques.
Outre des conditions de travail améliorées pour les équipes médicales d’urgence, l’affectation de cet hélicoptère renforcera l’équité sanitaire voulue par la présidente de la Région.
Réjouie, Marie-Guite DUFAY se dit satisfaite de cette décision qui lui « tient tout particulièrement à cœur ».
Une décision qui s’est in fine révélée favorable grâce à l’engagement de la collectivité dont elle oriente la destinée.
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Fraude fiscale : du grain à moudre pour l’administration française, mais à quel rythme ?
février 18, 2019L’évasion fiscale, ça n’est pas seulement une attaque contre le Trésor public. C’est une attaque contre la démocratie toute entière. Contre le consentement à l’impôt. « Elle est inacceptable » devait préciser Bruno LE MAIRE, ministre de l’Economie, lors d’une interview accordée le 06 novembre 2017. Voilà une déclaration à laquelle on ne peut que souscrire à bien des égards…
TRIBUNE : Selon les estimations du ministère des finances, la fraude fiscale coûterait entre 60 et 80 milliards d’euros par an. Gérald DARMANIN, ministre de l’Action et des Comptes publics, a déclaré dans une interview au « Figaro » le 01er février 2018 : « La lutte contre la délinquance en col blanc nécessite des méthodes plus efficaces ». Quant au Premier ministre, Édouard PHILIPPE, il a ajouté de son côté, « vouloir sanctionner les officines qui font profession de contourner la loi… ».
Mais, l’évasion fiscale concerne aussi l’ensemble des professionnels de la filière du droit et des chiffres : les notaires, les avocats, les experts-comptables. Il semble être dans le collimateur du gouvernement depuis quelque temps.
Tout ceci est parfait. En avant « marche », comme la République du même nom ! Mais, dans la réalité, comment cela se passe-t-il ? Racontons une histoire vraie, qui montre comment se traduisent sur le terrain ces magnifiques déclarations sur la lutte contre la fraude fiscale.
Un cas d’école significatif de fraude « organisée »…
Dans une indivision constituée de quatre personnes, tous les indivisaires rédigeaient une déclaration d’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) dont les valeurs présentées pour l’administration fiscale étaient très inférieures à la réalité. Ils ne sont sûrement pas les seuls, parmi les 150 000 assujettis à l’IFI, à avoir pratiqué de la sorte.
Toutefois, et c’est là que le bât blesse, le grand écart entre les valeurs déclarées et la réalité était vraiment excessif : le rapport étant de un à cinq. Autrement dit, la valeur de l’actif immobilier déclaré représentait 20 % de sa valeur de marché.
L’un des indivisaires a fini par dire : « Cela ne va pas. On ne peut pas fonder un revenu sur une fraude fiscale ». Bien entendu, il s’est heurté à un tir groupé des trois autres indivisaires. Et c’est là que l’on retrouve le collimateur que le gouvernement surveille : l’avocat des trois indivisaires est un ancien fonctionnaire des impôts. Un autre avocat, président d’un cabinet d’avocats « de haute pointure », rédige la déclaration fiscale des trois indivisaires contenant ces valeurs formidablement sous-évaluées. Il est donc à la fois le complice et le grand ordonnateur de cette fraude fiscale.
Bien entendu, un notaire de famille est de connivence. Conscient de cette fraude fiscale caractérisée, il avait émis des réserves sur cet état de fait mais cela n’allait pas plus loin. N’est-ce point pourtant un « Officier d’état civil » ?
Excédé, l’un des indivisaires procéda donc seul à la régularisation de sa situation. Comme dans la religion catholique apostolique et romaine, il alla à confesse avec son conseiller fiscal et dit au contrôleur des impôts : « Pardonnez-moi, monsieur le contrôleur, parce que j’ai péché... ».
Ce dernier négocia pied à pied avec le conseiller fiscal du pécheur et lui dit à la fin : « Payez tant et vous êtes pardonné mais ne péchez plus ! ».
Une affaire concrète encore non résolue aujourd’hui…
La Direction régionale des impôts de Paris où résident les trois indivisaires obstinés dans la fraude ayant été mise au courant de la situation fiscale de cette indivision ajouta que « cela n’allait pas se passer comme ça ! ».
Arguant qu’elle était la seule administration à rapporter de l’argent à l’Etat...Aujourd’hui, l’affaire est en cours d’analyse.
Excédé par ce non-respect de l’égalité des citoyens devant l’impôt, l’indivisaire qui était le seul à s’acquitter de l’IFI au juste tarif, écrivit au ministre de l’Economie. S’appuyant sur le postulat que « l’évasion fiscale est inacceptable ».
Ce dernier lui répondit fort courtoisement qu’il transmettait le dossier au ministère de l’Action et des Comptes publics. Puis, plus rien ne se passa.
Alors notre indivisaire écrivit au ministre de l’Action et des Comptes publics. Là encore, on lui répondit avec civilité que « l’on transmettait le dossier au Directeur général des Finances Publiques ». Et qu’il fallait se montrer patient !
Imaginez ce que la fraude peut représenter à l’échelle des 150 000 contribuables assujettis à l’IFI. La sous-évaluation de l’actif immobilier doit toucher … beaucoup de monde.
Les Anglais disent : « The administration grinds slowly but it grinds fine… ». (Littéralement : l’administration moud lentement mais elle mout finement). Voyons, fort de cet exemple encore non résolu au moment où s’écrivent ces lignes, à quel rythme calendaire l’administration française moud-elle ses dossiers ?
Emmanuel RACINE
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La Bourgogne Franche-Comté prête à accueillir la première usine de batteries électriques de France
février 15, 2019Chantre de la transition écologique et du développement durable, la présidente de la Région, Marie-Guite DUFAY, fait montre d’extrême réactivité sur le dossier de la motorisation automobile électrique. L’élue régionale vient de transmettre en bonne et due forme à Emmanuel MACRON le dossier de candidature officiel de la Bourgogne Franche-Comté pour l’obtention du premier site industriel qui fabriquerait ce type de batteries. Un geste fort qui témoigne de la pugnacité et de l’intérêt porté par la responsable de l’exécutif régional à l’essor économique et à la création d’emplois…
DIJON (Côte d’Or) : C’est fait ! D’ici peu, le pensionnaire de l’Elysée disposera en main propre du dossier de candidature de la Bourgogne Franche-Comté dans la perspective de développer une usine de batteries électriques dans notre pays. Ce serait la première des infrastructures à produire l’indispensable mode d’alimentation de ces véhicules dont la prolifération a été annoncée à grand renfort de messages repris par la voie médiatique par le chef de l’Etat en personne.
Interpellée par les divers moyens technologiques existants pour assurer une transition écologique et mobilité optimale (hydrogène), la présidente de la Région s’est très vite engouffrée dans la brèche afin de positionner notre territoire sur de bons rails.
Arguant d’éléments légitimes et reconnus (la région a su développer un écosystème pluriel et efficient), Marie-Guite DUFAY est plus que jamais déterminée à obtenir gain de cause, et faire que la Bourgogne Franche-Comté devienne le premier territoire régional de France à ouvrir un tel site industriel.
Un site d’accueil a d’ores et déjà été identifié. Ce complexe de production de batteries électriques de nouvelle génération pourrait s’intégrer sur la zone de cinquante hectares que le groupe PSA va libérer à Sochaux.
Sur place, le lieu possède une desserte multimodale (fer, route et fluvial) ainsi que des édifices industriels aptes à recevoir une telle activité.
En outre, au plan stratégique, créer cette typologie d’usine à Sochaux ne serait pas fantasque. Le groupe va investir, dans le cadre du projet de transformation de son site historique, 200 millions d’euros pour accélérer l’accueil de tous les types de motorisation en phase avec les enjeux de la transition écologique.
Bref, implanter cette future activité dans cette zone géographique tombe sous l’évidence. Montbéliard, Sochaux et Mulhouse concentrent à eux trois plus de la moitié de la production automobile française.
La filière représente au bas mot 45 000 emplois, en y englobant les constructeurs, les équipementiers internationaux et les sous-traitants.
Prompte à réagir, Marie-Guite DUFAY a su anticiper sur ce dossier. Sera-ce suffisant pour obtenir le marché et convaincre le président de la République de la pertinence de cette candidature ? A suivre…
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Marcel FONTBONNE (CIFA de l’Yonne) : l’excellence est sa passion !
février 14, 2019Etre une référence auprès des entreprises de l’Yonne, plutôt que l’inverse, représente le projet d’établissement du centre de formation auxerrois… Il se veut ambitieux. Et surtout très réaliste ! Se déclinant dans divers domaines au quotidien, cette excellence prend vie et forme dans les items de la citoyenneté, de l’organisation, de la pédagogie, de la finance, de la qualité des matériels et des installations. Favorisant l’innovation, l’image, le dynamisme et la modernité de l’établissement pédagogique dont il a pris les rênes depuis sept ans, Marcel FONTBONNE est tel un triathlète accompli (il le prouvera avec la création du défi culinaire « Iron Cook ») endurant à l’effort et travaillant sur le long terme pour faire aboutir ses projets…Entretien.
AUXERRE : Plus de mille jeunes, en provenance de plusieurs régions françaises, fréquentent le CIFA de l’Yonne. Cela place le centre de formation parmi les premiers de la région Bourgogne Franche-Comté. Eprouve-t-on de la fierté à piloter un tel navire dans l’océan de l’enseignement pédagogique ?
C’est certes une fierté pour quelqu’un comme moi qui a commencé sa vie professionnelle sur les chantiers comme mécanicien avec un simple CAP. Mais, c’est aussi une responsabilité car il faut satisfaire autant d’entreprises partenaires et participer à la construction de l’avenir professionnel d’autant de jeunes. Depuis 40 ans le CIFA a formé de très nombreux jeunes. Bon nombre d’entreprises lui ont fait confiance. A cela il faut rajouter que le navire est co-piloté par des manageurs performants avec des équipes où chacun connaît sa valeur ajoutée et sait ce qu’il doit faire pour conduire le bateau à bon port, y compris par gros temps…..
Le maître-mot du CIFA de l’Yonne, décliné en de nombreuses strates, se rapporte à l’excellence. Est-ce un état d’esprit qu’il est nécessaire de s’approprier pour aller de l’avant selon vous ?
Nous avons décliné cinq excellences au CIFA de l’Yonne. Elles s’accompagnent d’actions concrètes. Par exemple, l’excellence citoyenne oblige notamment nos jeunes au port de l’uniforme afin de les sensibiliser au savoir-être en entreprise, l’excellence pédagogique nous a permis de développer plusieurs concepts (salon émotion, boutique de pâtisserie, magasin virtuel, rue des métiers de bouche, restaurant gastronomique,…). L’excellence des matériels et des installations incite le centre à être doté des équipements de dernière génération. L’excellence financière à obtenir l’un des coûts de formation le plus bas de la Région Bourgogne Franche-Comté tandis que l’excellence de l’organisation a fiabilisé et a rendu plus lisible nos processus de fonctionnement, etc….
Selon moi, avoir pour objectif l’excellence et l’innovation est nécessaire non seulement pour aller de l’avant mais c’est aussi une absolue nécessité pour rendre son travail plus dynamique et intéressant. D’autant plus qu’il ne s’agit bien souvent que de trouver de nouvelles idées ou tout simplement d’apporter des solutions à des problèmes.
L’excellence est-elle une qualité intrinsèque que chacun devrait cultiver en soi au quotidien. Serait-ce une recette miracle pour se forger les bases de l’optimisme dont ont tant besoin les nouvelles générations confrontées à de nombreuses problématiques sociétales ?
D’un point de vue sociétal, je pense que les individus ne sont pas forcément responsables de ce que l’existence leur fait subir. En revanche, ils sont pleinement responsables de leur manière d’y réagir. La prise en compte de la situation, la créativité, l’innovation, l’esprit d’entreprendre sont des outils pour affronter les situations difficiles dans lesquels ils sont placés.
Comment ce décline ce credo au jour le jour dans votre établissement ? Rencontrez-vous des personnes (apprentis, apprenants, personnels…) qui seraient réfractaires à de tels arguments positifs ?
Il est vrai que face à un changement, de contexte par exemple (nouvelle loi sur l’apprentissage), certains pensent davantage aux problèmes qui y sont liés, alors que d’autres recherchent immédiatement les opportunités…. Un manageur doit comprendre qu’un changement entraîne toujours des résistances. Il doit l’intégrer car cela fait partie de son métier de savoir les vaincre. Ces résistances aux changements sont d’autant plus fortes que les situations précédentes convenaient.
Son travail est facilité s’il réussi à inculquer la culture de l’innovation dans son établissement. C’est le cas aujourd’hui au CIFA Yonne où le personnel n’est non seulement plus étonné des changements qui peuvent intervenir mais il est devenu en plus force de proposition dans de nombreuses situations notamment pour l’amélioration de l’outil de formation.
Revenons au contexte pédagogique dans lequel vous évoluez. Trente-deux formations qualifiantes sont proposées au sein de ce centre de formation, du CAP au BTS. Est-ce suffisamment représentatif de la palette de métiers et de filières que vous souhaitez honorer in fine ?
La palette de formation que nous proposons au CIFA Yonne satisfait largement les besoins des différentes branches professionnelles. Lorsqu’une demande lui est exprimée, le CIFA doit veiller à ce que le besoin soit suffisant pour que la section soit viable quantitativement et financièrement.
Quand on pense CIFA, on évoque plus rarement les adultes salariés, les demandeurs d’emploi, voire les employeurs qui sont en quête d’un accessit complémentaire en matière de formation. Quelle est votre stratégie vis-à-vis de ces populations aujourd’hui ?
Nous avons fait en sorte que notre outil de formation soit en capacité d’accueillir des formations pour adultes. Nous devons répondre aux entreprises aussi bien pour leurs besoins en apprentissage que pour leurs besoins en formation pour adultes. Mais bien souvent dans nos métiers ce sont les financements qui font défauts, y compris pour les demandeurs d’emploi où pourtant le CIFA forme pour de nombreux métiers en tension. Pour le public des adultes en formation, nous allons individualiser la formation en proposant des cours en ligne.
Officiellement, un centre de formation d’apprentis se doit d’être positionné comme le passage obligé de toutes les branches professionnelles issues, en ce qui vous concerne, de l’artisanat, du commerce et de l’industrie. Etre l’interface entre toutes ces composantes est-il un réel atout pour accomplir vos missions ?
D’un point de vue personnel, cette diversité de métiers amène une diversité d’actions à engager et de culture à maîtriser. Et donc autant d’idées, d’innovations, de solutions à imaginer…..C’est donc un réel atout pour accomplir nos missions d’autant plus qu’elles sont en relation avec notre vie au quotidien (boulanger, boucher, cuisinier, service en salle, coiffeur,…).
L’exigence et l’innovation sont deux mots essentiels à votre politique de développement. Comment se déclinent-ils avec cette nouvelle année 2019 ?
La jeune génération a un rapport étroit avec l’image, elle "picore" les informations sur de multiples supports (smartphone, médias, etc.). Elle choisit son moment d’apprentissage. Ce sont avec ces contraintes qu’une pédagogie moderne doit se concevoir. Des innovations de plus en plus fortes dans la sphère de la formation à distance (MOOC, cours en ligne, etc.) apparaissent sur Internet avec les nouvelles technologies du numérique (intelligence artificielle, réalité augmentée et virtuelle, entre autres) et enrichissent les modalités d’apprentissage. Le CIFA de l’Yonne ne peut ignorer l’émergence de ces nouvelles technologies et doit adapter ses équipements pédagogiques pour les porter à la hauteur des installations techniques et du matériel dont il dispose (Clic’Store, salon Emotion, boutique pâtisserie, restaurant gastronomique, etc.).
Pour l’ensemble de ces raisons, Il devient nécessaire de définir une nouvelle politique pédagogique du CIFA pour que l’ensemble des actions pédagogiques menées par l’excellence pédagogique restent innovantes.
Avec une enveloppe budgétaire de plus de 4,5 millions d’euros, vous disposez avec le soutien de différents partenaires dont la Région Bourgogne Franche-Comté à hauteur de 53 %, de fonds importants pour assurer le mode opératoire de ce pôle pédagogique. Avec les efforts que vous consentez depuis plusieurs années à la modernisation du site, cette somme est-elle encore suffisante aujourd’hui ?
Cette somme nous suffit pour fonctionner correctement. Cependant comme vous le souligné, le Conseil Régional nous finance à hauteur de 53 %. Nous devons donc trouver les 47 % manquants ainsi que les sommes nécessaires aux investissements.
Pour cela le CIFA a mis en place un département développement qui a réussi jusqu’à aujourd’hui à trouver les financements nécessaires au fonctionnement du centre.
Le nom de Marcel FONTBONNE sera à jamais associé au concept événementiel « IRON COOK », ce défi culinaire national qui a su mettre l’eau à la bouche à de nombreuses étoiles de la gastronomie française. Comment vous est venue l’idée de vous projeter dans un tel événementiel ? Pourrait-on décliner à l’envie et en fonction des sept grandes familles professionnelles que vous représentez à Auxerre un challenge de cette ampleur pour chaque cœur de métier ?
Il se trouve que je pratique le triathlon avec trois épreuves : natation, vélo, course à pied. L’épreuve reine est l’Ironman. J’ai donc transposé l’Ironman en Ironcook avec trois épreuves : une entrée, un plat et un dessert servi à 36 convives jury au rythme d’un repas au restaurant. Ce concours très difficile où les candidats doivent reproduire 36 fois leurs chefs d’œuvre possède une bonne audience auprès des grands chefs de la cuisine française et nous en sommes fiers. Il est difficilement reproductible aujourd’hui sur d’autres métiers mais une étude est en cours pour les métiers du service en salle…
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L’altruisme, source d’actions et de bonheur, pour quatre associations lauréates des Trophées de la Fondation EDF
février 14, 2019Le neuvième rendez-vous de ce concours national, délocalisé dans les régions, a livré son verdict au terme d’une cérémonie protocolaire de belle facture à l’Hôtel de la Région. Au plus près des acteurs locaux, la Fondation EDF a permis ainsi l’attribution de ces récompenses décernées par un jury de personnalités et de salariés de l’acteur majeur de la transition énergétique. Ces structures associatives dont le socle d’intervention repose sur l’altruisme et la solidarité glanent des distinctions pour leurs actions en faveur des moins de trente ans…
DIJON (Côte d’Or) : En présence d’une cinquantaine d’associations et acteurs de la solidarité de Bourgogne Franche-Comté, le groupe EDF, par le truchement de sa Fondation, a plébiscité quatre d’entre elles lors de la cérémonie régionale de la remise de ces Trophées annuels.
Soutenue par le Conseil régional dont l’un de ses vice-présidents, Denis HAMEAU, chargé de l’économie sociale et solidaire qui assistait à cet événement, la Fondation EDF a procuré de la joie parmi l’assistance à l’annonce des résultats.
Ces distinctions mettent en lumière la richesse et la diversité des actions de proximité menées par le tissu associatif dans les domaines de la solidarité. Un vaste sujet qui est depuis longtemps incontournable dans notre société et qui mobilise de nombreux acteurs.
Trois prix nationaux sont revenus à des structures de Côte d’Or, de Saône-et-Loire et de Haute-Saône. Initialement, 33 associations avaient déposé un dossier de candidature. Au plan national, la présence de la Bourgogne Franche-Comté correspondait à 10 % du total de ce dépôt de dossiers.
La Fondation EDF remettait une enveloppe globale de 35 000 euros aux quatre lauréats de cette édition 2019, une somme coquette qui les aidera à concrétiser leur projet.
Délégué régional d’EDF, Yves CHEVILLON, qui remit différentes distinctions lors de cette animation, rappela que l’initiative de la Fondation EDF offrait un prolongement naturel aux propres actions de solidarité portées par l’énergéticien au service des territoires et de leurs habitants.
Des lauréats très investis dans leur domaine de prédilection…
Trophée remis par Denis HAMEAU, le prix offert à CYNECYCLO (10 000 euros) est national. Il salue l’organisation d’un festival de cinéma itinérant inter-régional et écologique destiné au jeune public en milieu rural. La structure est basée en Côte d’Or.
Entité ayant son siège social à Gueugnon (Saône-et-Loire), SYNTAXE ERREUR 2.0 dispense de la formation numérique pour favoriser le retour à l’emploi de jeunes gens issus du dispositif « Garantie Jeune ». Son initiative a été plébiscitée par Francis COTTET, conseiller régional à l’innovation sociale, qui offrit un prix de 10 000 euros à ses responsables.
Enfin, le département de Haute-Saône bénéficie avec AFRIQUE 70 (Puisey) d’un lauréat de belle qualité. Décernée par Laure HERVE, responsable du pôle projets mécénats à la Fondation EDF, la récompense de dix mille euros permit de projeter en avant ce concept qui facilite l’accès de l’eau à neuf villages et un collège du Togo.
Le dernier prix, régional, revint à l’association IDEKLIC (Moirans-en-Montagne Jura) avec un trophée, assorti d’une enveloppe de cinq mille euros, pour son festival culturel en milieu rural. Cette animation concerne la tranche d’âge des 12/16 ans en y associant spectacles et ateliers pratiques.
Ce n’est autre que le délégué régional, Yves CHEVILLON, qui offrit l’honorifique distinction.
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