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Mises en bouche appétissante malgré la crise : les livraisons de TOQTOQUE fonctionnent à plein régime…
mars 24, 2020Enormément sollicités ces derniers jours, les services de livraison de la marque de prêt à déguster des FESTINS ont du mal à joindre les deux bouts. Tant la hausse des commandes est significative, voire exponentielle en cette période de gestion de crise sanitaire…
AUXERRE : Plus que jamais, et malgré le contexte actuel particulièrement délicat dans lequel nous sommes confrontés, le service de livraison TOQTOQUE est mobilisé afin de garantir l’acheminement dans les conditions optimales requises des déjeuners en entreprise et au bureau.
C’est ce que vient de confirmer le directeur du développement commercial et marketing de la marque propre aux FESTINS de Bourgogne, Matthieu CHAPUIS. La structure doit faire face avec célérité à une très nette augmentation de ses commandes de la part de celles et de ceux qui continuent à œuvrer au niveau professionnel pour le développement économique de notre territoire.
Alors qu’à Sens, le point de vente qui était ouvert le soir à la gare ferroviaire de Sens a été mis entre parenthèse afin de mieux se recentrer sur les services à proposer dans la zone industrielle des Vauguillettes face à la Chambre de Commerce et d’Industrie au Village d’entreprises, l’activité poursuit son essor à Auxerre.
Depuis son lancement il y a déjà deux saisons, la marque déclinée par le spécialiste des réceptions et du service traiteur en Bourgogne propose une formule repas qui s’articule autour de trois plats : l’entrée, le met de résistance et le dessert.
Sachant qu’une sélection est naturellement possible parmi cinq recettes différentes par plat qui se renouvellent ainsi chaque semaine.
Une marque décomplexée pour sensibiliser le monde des start-up…
Des cinquante couverts journaliers qui étaient réalisés jusque-là chaque midi dans la capitale de l’Yonne en période normale, les demandes ont été très nettement revues à la hausse depuis le début de la crise imputable à la propagation du coronavirus COVID 19.
Deux véhicules à l’estampille de la marque sillonnent ainsi les zones d’activité d’Auxerre afin d’y livrer les repas consommés sur place par les salariés des entreprises.
Côté emploi, la marque TOQTOQUE rétribue trois personnes à temps complet et une apprentie en période normale. Jouant avec volontarisme la carte de la digitalisation afin de décomplexer sa présence vers les start-up, FESTINS a su grâce à cette marque spécifique du prêt à déguster sur le lieu de travail s’ouvrir vers une nouvelle clientèle.
Plus à même de découvrir une cuisine gastronomique à coûts accessibles. Aujourd’hui, la tendance en termes de résultat se symbolise par une forte croissance à deux chiffres.
Les évènements actuels traduisent avec pertinence et réalisme le bien-fondé de son usage au quotidien pour celles et ceux qui travaillent et doivent se nourrir…
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UIMM et syndicats à l’unisson : ils appellent à la reprise du travail dans des conditions sanitaires irréprochables…
mars 23, 2020L’heure est au rassemblement. A la concertation, aussi. Mais surtout à l’unité. D’une seule et même voix, l’Union des industries et des métiers de la métallurgie (UIMM) ainsi que trois organisations syndicales représentatives (CFDT, CFE-CGC, Force Ouvrière) se mobilisent pour assurer les modalités d’une reprise progressive des activités industrielles dans des conditions sanitaires optimales…
AUXERRE: Prendre ses responsabilités, c’est l’affaire de tous. Chacun le sait. Dans la filière industrielle, l’initiative initiée par l’UIMM et trois organisations syndicales représentatives (CFDT, FO et CFE-CGC) n’a d’autre objectif que de remettre l’appareil industriel en route. Après quelques moments de flottement, survenus en toute logique la semaine dernière.
Il est vrai que face à l’inquiétude croissante liée au contexte si étrange de la pandémie virale, et après avoir observé une légère dichotomie dans les discours officiels, les quatre alliés de circonstance avaient pu observer le ralentissement, voire la cessation partielle ou totale des activités sur le territoire. Mais, il est essentiel que la vie économique et sociale de la Nation soit restaurée. Dans le droit et le respect sanitaire que chaque salarié peut attendre et espérer.
Comme le précise Claude VAUCOULOUX, délégué général de l’Union des industries et des métiers de la métallurgie, « il en va de l’avenir de notre pays et de notre industrie ainsi que la préservation des emplois ».
Conséquence : l’IUMM et ses partenaires syndicaux demandent aujourd’hui que les entreprises identifient en priorité les activités vitales nécessaires à leur fonctionnement, à celles des filières utiles au pays, ainsi que celles intra-filières.
Le respect des consignes pour garantir la sécurité dans le travail…
« En concertation avec les salariés et leurs représentants, nous demandons expressément que les entreprises adaptent scrupuleusement leur environnement de travail en mettant en place les mesures organisationnelles, collectives et individuelles, qui facilitent la sécurité sanitaire de tous, ajoute Claude VAUCOULOUX, c’est-à-dire la mise en pratique des distances de sécurité, les gestes barrières, la mise à disposition d’équipements individuels (gants, masques…), de produits désinfectants, du lavage des vêtements de travail, voire d’une nouvelle organisation dans le travail… ».
Sachant que ce plan de prévention est adaptable et suit l’évolution de la situation au jour le jour. Jugées indispensables, ces dispositions permettent selon les quatre partenaires de créer des conditions favorables d’un retour progressif à l’activité.
En conformité avec les instructions qui émanent des ministères de la Santé et des Solidarités, et du ministère de l’Intérieur.
« Notre objectif est d’assurer la sécurité de tous afin de permettre à chacun de retrouver la confiance et la sérénité nécessaires pour travailler, conclut le délégué général de l’UIMM. L’industrie doit, dès que possible et dans de bonnes conditions sanitaires, retrouver un niveau d’activités satisfaisant dans l’intérêt de l’ensemble de nos concitoyens… ».
A court terme, la résorption des difficultés dans lesquelles notre pays se trouve à l’heure actuelle en serait grandement facilitée. Bref : ce plan d’action commun est plus que jamais l’affaire de tous…
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Santé et sécurité sur les chantiers : la grande preuve de civisme attendue et espérée par la FRTP…
mars 23, 2020Certes, le secteur des travaux publics et du bâtiment continuera après accord avec les ministères concernés à assurer le déroulement des chantiers dans le cadre du service public. Mais, pas à n’importe quel prix ! Faisant état, il y a quelques jours, de sa colère et de sa stupéfaction, le président régional de la Fédération des travaux publics de Bourgogne Franche-Comté, Vincent MARTIN, réclamait davantage de protection pour les salariés…
DIJON : Irrecevable ! Inconcevable ! Voire irrespirable, aussi, ce souffle de tension qui a éclaté au grand jour le 19 mars dernier, face à l’envolée de boutique des principaux acteurs de la filière du BTP.
Alors que le président de la République demandait instamment à la population de rester confinée chez elle afin de juguler tant bien que mal les effets dévastateurs de la pandémie de ce coronavirus ; dans le même temps, les ministères ayant un attrait direct à la chose économique intimaient l’ordre à celles et à ceux de nos concitoyens pouvant se rendre sur leur lieu de travail de le faire coûte que coûte.
En ligne de mire : le secteur des travaux publics et du bâtiment était l’un des premiers concernés. Car, évidemment, le télétravail ne pouvant s’adapter qu’à de rares exceptions à cette corporation.
Dans un communiqué de presse qu’il devait rendre public le 19 mars, le président de la FRTP (Fédération régionale des travaux publics), Vincent MARTIN s’insurgeait vertement contre ce double langage peu académique.
« Les chefs d’entreprises sont responsables et veulent assurer la protection des salariés et de leurs familles, et participer ainsi à la mobilisation collective pour enrayer la pandémie... ».
Bref, une position mettant en exergue la prise de conscience solidaire des entrepreneurs face aux risques encourus par leurs salariés.
Se refusant de mettre en danger leur personnel, le porte-flambeau de la FRTP demandait au gouvernement, à l’instar des responsables nationaux et régionaux d’autres fédérations professionnelles comme la CAPEB et la FFB, de suspendre les chantiers immédiatement et ce, pour une durée initiale de quinze jours. L’initiative pouvant être étendue à un mois au minimum…
De nouvelles dispositions seront détaillées dans les prochains jours…
Au terme d’échanges soutenus ces jours-ci, les représentants des entreprises du BTP et du gouvernement devaient trouver un terrain d’entente, s’accordant sur plusieurs principes permettant de renforcer, dans les prochains jours, la continuité de l’activité du secteur et la poursuite des chantiers.
Différentes mesures devraient être détaillées dès cette semaine pour accompagner les professionnels du secteur.
Dans le cas des chantiers de travaux publics, comme par exemple les infrastructures de transport ou les travaux de voirie, les grands maîtres d’ouvrage au niveau national et les préfets au niveau local coordonneront et prioriseront les chantiers à poursuivre ou à relancer.
Dans le cas des chantiers très complexes, un délai pourra être nécessaire afin de définir des procédures à adaptées. De même, une attention particulière sera portée pour les chantiers au domicile des particuliers. Surtout lorsque ces derniers sont présents, ce qui est majoritairement le cas en cette période de confinement.
Santé et sécurité deviennent donc les mots d’ordre prioritaires à respecter désormais pour les intervenants de ce secteur. Les dispositions mises en place d’ici peu avec l’assentiment du gouvernement seront-elles suffisantes pour apaiser la colère des fédérations professionnelles et rassurer leurs salariés ?
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Prévues les 13 et 14 mars, les journées « portes ouvertes » du compagnonnage se vivaient déjà comme un moment de rencontre intense entre les familles, les jeunes, les métiers et les responsables de la vénérable institution séculaire. Or, le coronavirus a balayé les espérances les plus optimistes du prévôt de la maison des Compagnons d’Auxerre. La mort dans l’âme, Dimitri ANDRIOT a dû procéder à leur annulation en dernière minute. Refusant au passage l’accès à quelques familles et jeunes gens désireux d’en connaître davantage sur les métiers de l’artisanat qui sont enseignés par ce système d’apprentissage noble et performant…
AUXERRE: Cela aurait dû être une grande fête. Et un moment propice pour faire toute la lumière sur les us et coutumes séculaires qui sont véhiculés par cette belle école de la vie et de la formation professionnelle. Le symbole flamboyant du compagnonnage et de son fameux Tour de France ! Oui mais voilà, le hasard en a voulu autrement. Ou plutôt la malchance.
Il aura fallu ce maudit coronavirus et sa circulation tous azimuts sur notre territoire pour que tous les plans tirés au cordeau par le prévôt de la célèbre maison auxerroise soit à jeter par terre !
Programmées de longue date, les traditionnelles « portes ouvertes » de ce centre de formation aux vertus si caractéristiques n’y auront pas échappé. Annulation sine die. Alors que tout était paré pour accueillir le public, c’est-à-dire des familles et ces jeunes gens désireux d’en connaître davantage sur les réelles opportunités offertes par cet enseignement de belle qualité déontologique.
Même la direction régionale de la vénérable institution avait encore pensé maintenir l’évènement vingt-quatre heures auparavant. Mais, à l’instar des très nombreuses manifestations pédagogiques, culturelles et sportives qui ont rejoint le lot de la catégorie des pertes et profit en l’espace de quelques heures, les Compagnons du Devoir n’ont pu aller jusqu’au bout de leurs désirs.
Ceux de charmer et d’enthousiasmer celles et ceux qui rêvent d’une autre forme d’apprentissage. Celles et ceux qui veulent sublimer le travail manuel à son expression la plus aboutie pour en faire un « chef d’œuvre » : celui de leur quête professionnelle…
Pour l’heure, et devant ravaler une déception légitime qui est tout à fait naturelle, Dimitri ANDRIOT a adopté la mise en place de cours de substitution par le biais de la technologie (e-learning) pour occuper ses troupes.
Une manière de répondre positivement par le sens de l’adaptabilité à cette situation inhabituelle qui ne doit pas remettre en cause la qualité de l’enseignement prodiguée en ces lieux. Une initiative louable avant le juste retour des choses…bientôt ?
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Les stratégies prises par les staffs décisionnels des constructeurs automobiles sont uniformes et se dévoilent les unes après les autres. Après RENAULT et PSA, c’est au tour du japonais TOYOTA de fermer boutique et de suspendre la production de ses véhicules dans ses usines européennes en raison de la pandémie galopante de coronavirus.
PARIS : L’impact économique et social sera indéniable pour le fabricant automobile nippon. Mais, au vu des perspectives de ventes à court terme et des difficultés logistiques à maintenir en état les chaînes d’approvisionnement, il n’existait pas d’autre alternative pour le constructeur que d’arrêter temporairement ses activités. D’autant que la sécurité et la santé des employés guident avant toute chose les choix de l’entreprise.
Voulant faire preuve de réactivité face à la propagation du coronavirus sur le Vieux Continent, TOYOTA a donc organisé jusqu’à nouvel ordre la suspension progressive de ses activités, notamment sur ses sites de production en Europe.
L’arrêt des usines du groupe asiatique est entré en vigueur le 18 mars pour une durée indéterminée. Cela concerne l’unité de production implantée dans la région de Valenciennes (Onnaing). Mais aussi les ateliers de fabrication de Grande-Bretagne, de Pologne, de République Tchèque et de Turquie.
Cependant, les activités indispensables telles que la distribution de pièces pour l’entretien et la réparation des véhicules (ceux de la sécurité publique) sont maintenues.
En parallèle, la direction du groupe assure toujours des activités sur les projets portant sur le lancement de nouveaux modèles. En marge du redémarrage.
Depuis l’archipel, d’autres informations ont par ailleurs précisé que « le maintien des opérations dans le réseau de réparateurs et de distributeurs (ventes véhicules neufs et activité après-vente) sera évalué en fonction de la situation de chaque pays, voire de chaque région ».
Précisons que dans les pays où des mesures de confinement ont été adoptées par le gouvernement (ce qui est notre cas dans l’Hexagone), les show-rooms des concessionnaires ont été totalement ou partiellement fermés.
Toutefois, la continuité de service des concessionnaires demeure possible par voie électronique ou téléphonique selon les cas.
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