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Comment réduire une dette ? Enfin une explication claire !
avril 29, 2020Imaginons un état lambda fortement endetté. Un état X lui accorde une aide de sauvetage de 100. Lambda rembourse tout de suite l’état A, pour la somme de 100. Ce même état devait 100 à l’état B. Il en profite pour rembourser un autre état qui apure un peu de sa dette auprès de la BCE. Ce qui permet à la Banque Centrale européenne d’accorder un prêt de 100 à l’état X !
TRIBUNE : Une journée maussade dans un petit bourg ensoleillé au fin fond de la Grèce. Il tombe une pluie battante et les rues sont désertes. Les temps sont durs. Le pays est très endetté : tout le monde vit à crédit.
Arrive un riche touriste français. Il arrête sa belle voiture devant le seul hôtel de la ville et il entre. Il pose un billet de 500 euros sur le comptoir et demande à voir les chambres disponibles afin d’en choisir une pour la nuit.
Pour 500 euros, le propriétaire de l'établissement lui donne toutes les clés et lui dit de choisir celle qui lui plaira. Dès que le touriste a disparu dans l'escalier, l'hôtelier prend le billet de 500 euros, file chez le boucher et règle la dette qu'il a envers celui-ci.
Le boucher se rend immédiatement chez l'éleveur de porcs à qui il doit 500 euros et rembourse sa dette. L'éleveur, à son tour, s'empresse de régler sa facture à la coopérative agricole où il se ravitaille en aliments pour le bétail.
Le directeur de la coopérative se précipite au pub régler son ardoise.
Le barman glisse le billet à la prostituée qui lui fournit ses services à crédit déjà depuis un moment. La fille, qui occupe à crédit les chambres de l'hôtel avec ses clients, court acquitter sa facture chez notre hôtelier qui pose le billet sur le comptoir, là où le touriste l'avait posé auparavant.
Le touriste français redescend l’escalier, annonce qu’il ne trouve pas les chambres à son goût, ramasse son billet de banque et s’en va ! Personne n’a rien produit ! Personne n’a rien gagné !
Mais plus personne n'est endetté ! Et le futur semble beaucoup plus prometteur ! C’est ainsi que fonctionnent les plans de sauvetage au profit des pays de l'Europe en difficulté ! Ce n'est pas la peine d'avoir fait de hautes études pour comprendre ce cycle de la circulation monétaire…
Jean-Paul ALLOU
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Une plateforme qui favorise le lien social et la solidarité : « J’aime mon territoire » initiée par le Crédit agricole…
avril 28, 2020A l’initiative du Crédit agricole Champagne-Bourgogne, il est possible depuis le 09 avril de créer de la proximité et des échanges altruistes via une plateforme numérique. L’établissement bancaire déploie ce dispositif, à l’instar des 38 autres caisses régionales, dans les quatre départements de sa zone de couverture sur les principes de son leitmotiv : « Agir chaque jour dans votre intérêt et celui de la société… ».
DIJON : Etre solidaire entre nous. Et surtout renforcer les liens avec autrui. Plus que jamais, cela devient une nécessité dans cette période de confinement qui peut s’avérer très perturbante et anxiogène à bien des égards du fait de sa longueur.
Aussi, c’est dans cet état d’esprit que le Crédit agricole, via l’ensemble de ses caisses régionales dont celle de Champagne-Bourgogne, a lancé une plateforme numérique interactive afin d’y développer de nouvelles formes d’échanges entre les personnes.
Une initiative judicieuse portée autour de deux axiomes : le désir de se rapprocher de l’autre par la voie de la communication et assouvir ce besoin de solidarité inéluctable qui s’est fait jour depuis le commencement de la crise sanitaire.
Baptisée, « J’aime mon territoire », cette plateforme d’entraide est un précieux auxiliaire à la création de nouveaux liens sociaux entre ses utilisateurs. Accessible à tous, depuis un ordinateur, une tablette ou un mobile, ce vecteur de communication favorise la proximité et le désir de partage.
Parmi ses principaux usages, citons la proposition d’aides spécifiques, la publication d’informations utiles pour le réseau local, des renseignements précis sur l’évolution de la crise sanitaire en France et dans sa région, la diffusion de pages dédiées aux associations, aux commerçants, aux producteurs locaux ou groupes d’intérêts à relayer.
En savoir plus :
Plateforme de solidarité collaborative :
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Pas de chinoiseries avec Pékin : la dépendance industrielle et financière de la France va perdurer encore longtemps !
avril 28, 2020Il aura fallu la crise sanitaire du coronavirus pour que l’on s’aperçoive que nous étions très dépendants de la Chine dans la conception de nombreux produits pharmaceutiques et industriels. Tous les « y’a qu’à faut qu’on » de la politique nous racontent qu’il est important de réindustrialiser la France. Mieux encore : les dirigeants hurlent « haro sur le baudet » en nous racontant que si les mesures prises n’ont pas été développées à temps, c’est à cause des Chinois. Mais, c’est bien méconnaître la culture de ce pays qui n’aime pas perdre la face…
TRIBUNE : Partout on entend dire que les disciples de Mao n’auraient pas été honnêtes quant à l’ampleur de l’épidémie, devenue pandémie et que nous sommes des victimes de leurs mensonges ! Mais bien sûr !
Ce qui devient grave, c’est de méconnaître la culture asiatique en général et chinoise en particulier. Peu de personnes peuvent imaginer ce que représente « perdre la face » pour un Chinois.
C’est pourtant ce que nous faisons en poussant des cris d’orfraie en les traitants de menteurs sur la place publique. C’est plus qu’intolérable et insupportable pour un habitant lambda de l’Empire du Milieu. On peut s’attendre à quelques représailles, si nous poursuivons les chinoiseries contre Pékin.
De quoi parlons-nous ? D’abord, le terme « chinoiser » remonte au XVIIIème siècle. Il désigne un échange tatillon et pointilleux. Par ses caractères, la langue chinoise nous est d’ailleurs incompréhensible.
Quitter la Chine pour produire en France ? C’est un véritable « casse-tête », chinois, bien entendu ! Réindustrialiser est dans les tuyaux depuis quelques années et nous avons vite baissé les bras…
Pourquoi ? Parce que de telles opérations demandent des capitaux importants et des investissements en matériels démentiels : notre outillage est non seulement absent des entreprises et les machines restantes sont devenues obsolètes ! Petite précision : dire « obsolescence programmée » est impropre, c’est « durée de vie programmée » qu’il faut utiliser ! L’obsolescence, c’est le niveau de dépassement technologique.
Le dernier président Français qui s’est intéressé à l’industrie était Georges POMPIDOU. Après lui, on s’est attaché à organiser le « désert » industriel que l’on connaît. Plus grave, dans de nombreux cas, nous avons non seulement délocaliser la production vers la Chine mais aussi transféré les technologies qui vont avec !
Les savoir-faire ont disparu…Résultat : nous ne trouvons plus la main-d’œuvre qualifiée pour produire. Qui devra nous former pour pouvoir le faire, d’ailleurs ? Devinez un peu !
23 grandes marques françaises passées sous pavillon chinois…
Etat des lieux en chiffres : la Chine est devenue la deuxième économie mondiale. Elle représente 20 % de la richesse planétaire, 30 % de la production manufacturière et 30 % du commerce international. Des chiffres impressionnants qui sont le fruit des délocalisations massives d’une industrie européenne à la recherche de coûts salariaux très bas ! La Chine, c’est aussi une production textile dominante dans le monde avec 90 % des smartphones, 80 % des jouets et la majorité des principes actifs de l’industrie pharmaceutique.
A titre d’exemple, les Chinois produisent 90 % de la pénicilline, 60 % du doliprane, 50 % de l’ibuprofène…Sans compter les 23 marques françaises passées sous pavillon chinois : Lanvin, Saint-Hubert, Salomon, Club Med, Naf-Naf, l’OGC Nice…
Au-delà des effets d’annonce qui prônent la désindustrialisation, on comprend qu’il faudra beaucoup de monnaie et énormément de temps, ne serait-ce que pour les produits pharmaceutiques. Sachant qu’il faut quelques années pour obtenir les agréments.
Alors ne chinoisons pas trop avec nos amis d’outre-Grande Muraille ! Ils pourraient eux aussi nous chinoiser en retour…
La Chine finance notre système de retraite et la sécurité sociale !
Si nous parlons monnaie : en plus des échanges commerciaux, regardons de plus près notre dépendance concernant le rachat des dettes de l’Occident par la Chine !
Cerise sur le gâteau : les Chinois sont de redoutables créanciers ! Les bons du trésor américains sont achetés par Pékin à hauteur de plus 1 100 milliards de dollars !
Afin de soutenir l’économie européenne aux fins de faciliter leurs exportations, les Chinois ont largement investi dans la dette de l’Europe. Le secteur social français (retraite et Sécurité sociale) est largement financé par la Chine.
80 % de notre dette sociale est détenue par la Chine et le Japon ! En France, le déficit de la Sécurité sociale est estimé à plus de 40 milliards d’euros !
En plus, les deux tiers de la dette publique, soit plus 2 400 milliards d’euros, sont financés par les investisseurs internationaux avec une présence massive des investisseurs asiatiques !
Si la Chine décide de se séparer de ses créances sur les états, elle provoquera la panique sur les marchés. De plus, demain, qui va racheter nos titres d’Etat pour financer nos dettes ?
A ceux qui disent : « de toute façon, face à cette crise personne ne remboursera ses dettes », on peut répondre par un risque de conflit armé et surtout n’oublions pas, que face aux créances impayées, les Chinois se payent directement sur « la bête » en prenant le contrôle des infrastructures des pays concernés !
Bref, consolons-nous avec un verre de « Baijin » ou une chope de « Tsingtao » ! Et « qing-qing », comme on dit en Chine (le tchin-tchin à la française) ! Ou mieux encore, entrons dans la ronde de cette vieille comptine enfantine : « Tchin, tchin, et patachin, j’aime la Chine et mon chapeau chinois… » !
Jean-Paul ALLOU
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Premiers frémissements chez les concessionnaires : BMW se prépare à rouvrir ses points de vente européens
avril 27, 2020Cela s’agite dans les concessions automobiles européennes. Les préparatifs à une réouverture imminente s’amplifient malgré la persistance de la pandémie mais toujours dans le respect des règles de bonne conduite eu égard aux mesures de protection. C’est le cas en Belgique où le groupe BMW ouvrira dès le 04 mai certains services de son réseau de concessionnaires avant de pouvoir accueillir du public la semaine suivante…
BRUXELLES (Belgique) : Le communiqué de presse est parvenu sur les mails des rédactions de ce jour. La filiale belge du groupe BMW rouvrira progressivement les concessions de ses marques BMW et MINI d’ici quelques jours dans le plat pays. Une réouverture qui s’effectuera dans le respect d’une sécurité très stricte des gestes barrières et des mesures de protection.
Il est précisé également que la numérisation poussée du travail sera effective après la crise inhérente à la propagation du coronavirus.
A partir du 04 mai, le réseau belge mettra à disposition de sa clientèle certains de ses services. En espérant proposer la totalité de ceux-ci dès la semaine suivante.
Ce qui se passe outre-Quiévrain représente un signe avant-coureur de la réouverture de l’ensemble des filiales européennes et mondiales du constructeur allemand.
Environ 80 % des points de vente au détail en Europe et 70 % de ceux qui opèrent une activité commerciale aux Etats-Unis sont actuellement fermés. Dans un certain nombre de pays, y compris l’Allemagne, les détaillants sont interdits par la loi de vendre des véhicules.
En France, les concessions du groupe sont temporairement fermées. Et le demeureront tant que le plan du gouvernement PHILIPPE ne sera pas dévoilé et adopté par le Parlement. Ce qui sera chose faite ce mardi 28 avril…
Pendant la pandémie actuelle de coronavirus, la protection des employés et la prise de responsabilité envers la société demeurent la priorité numéro un de BMW Group. Le résultat des ventes du premier trimestre a été éclipsé par l'impact mondial de COVID-19 et les effets de la fermeture temporaire d'un grand nombre de points de vente. Le Groupe BMW a livré au total 477 111 (‑20,6 %) véhicules premium BMW, MINI et Rolls-Royce à ses clients au cours des trois premiers mois de cette année.
Des mesures pour contenir la pandémie…
Le Groupe BMW a pris des mesures visant à contenir la propagation du COVID-19. L'entreprise fournit des véhicules aux établissements sociaux et de santé pour assurer la mobilité des aides et des travailleurs du secteur de la santé. Sur ses sites allemands et internationaux, le constructeur aide également les institutions sociales et publiques en faisant des dons de biens et de matériaux tels que des masques respiratoires et des désinfectants. La société travaille actuellement en étroite collaboration avec son réseau mondial de fournisseurs pour se procurer rapidement les masques respiratoires et autres équipements médicaux nécessaires. Il étudie également la possibilité de produire lui-même des masques médicaux.
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La communication numérique au top depuis le début du confinement : les agences spécialisées ne chôment pas !
avril 27, 2020C’est une constatation flagrante depuis plusieurs semaines : il y a une recrudescence d’intérêt de la part des entrepreneurs pour la communication digitale. Alors qu’en période de crise, le premier budget impacté durablement est celui de la communication, il s’avère qu’il n’en est rien aujourd’hui. Du moins pour tout ce qui a attrait à l’outil technologique qui permet de transmettre les informations sur les réseaux sociaux…
AUXERRE : C’est ce que vit au quotidien l’agence de communication « COMMUNIK & VOUS » depuis plus d’un mois déjà. Les quatre personnes embarquées dans cette aventure professionnelle au sein de cette structure ont fort à faire pour répondre aux besoins en cascade des TPE/PME de notre territoire.
Toutes n’ont qu’une seule envie : faire savoir qu’elles existent encore par la voie des réseaux sociaux.
Connexions via Facebook, vers Instagram ou sur Twitter se multiplient. A l’instar des grandes métropoles de l’Hexagone, l’Yonne n’est pas en reste pour alimenter ces puissants réseaux devenus au fil des ans de véritables influenceurs. Tant au niveau de l’opinion et des débats d’idées que de la consommation et du développement des affaires.
Qu’il s’agisse de Cédric, informaticien de profil, Marina experte dans l’art du graphisme et de la valeur ajoutée apportée aux outils papier ou Cyrielle, spécialiste en community management, tous ont à cœur d’apporter leur savoir-faire à leur chef d’entreprise qui pilote ce navire avec maestria, Fanny VIAUT.
Gérer l’urgence des entrepreneurs qui veulent être présents sur la toile…
L’équipe, même en état de confinement, n’aborde pas la crise sanitaire en dilettante. Il faut gérer l’urgence des besoins. En particulier l’animation des réseaux sociaux de la clientèle qui profite de l’outil pour communiquer à loisir vers sa cible.
Aspect positif : l’agence de communication auxerroise a même pu développer son portefeuille avec l’apport de nouveaux clients durant cette période complexe. Mais, revers de la médaille : le flux d’activité restreint sur d’autres postes n’a pas permis d’honorer toutes les priorités évènementielles des entreprises ayant dû annuler leurs opérations au cours de ce printemps.
L’amorce de la reprise du 11 mai incite donc les entreprises à multiplier les messages vers les réseaux sociaux. Créant un vent d’optimisme, certes encore mesuré, dans le microcosme entrepreneurial de l’Yonne…
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