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« Sortez chez vous ! » : le Comité régional du Tourisme incite à la découverte de notre territoire…
mai 29, 2020Partant du postulat que neuf millions de touristes Français ne se rendront pas à l’étranger cette année, le Comité régional du Tourisme de Bourgogne Franche-Comté lance dès le début de la semaine prochaine une campagne de sensibilisation visant à promouvoir notre contrée. Un petit film résume à lui seul tous les aspects attrayants d’une région qui veut capter le plus grand nombre de visiteurs…
DIJON (Côte d’Or) : Coordonné par le Comité régional du Tourisme avec l’appui de la Région, des huit départements, d’autant d’agences départementales de promotion touristique, des 84 offices du tourisme et des EPCI, le projet est enfin prêt à être visionné sur les écrans des ordinateurs. Via les plateformes multimédia de l’ensemble des partenaires mais aussi par le biais des réseaux sociaux.
« Sortez chez vous » offre en une poignée de minutes un aperçu succinct de cette qualité de vie inhérente à notre territoire qui dispose d’un patrimoine touristique bucolique et attrayant.
Si le document souhaite infléchir les décisions des voyageurs qui n’auraient pas encore arrêté leur lieu de villégiature pour ce prochain été, il s’adresse aussi, voire prioritairement, à celles et à ceux des habitants de Bourgogne Franche-Comté qui seraient tentés de profiter des circonstances exceptionnelles vécues au lendemain du confinement pour s’immerger davantage dans leur terroir.
On l’aura perçu dans les explications fournies par le président du Comité régional du tourisme, Loïc NIEPCERON, « ce film est la vitrine d’une campagne de sensibilisation pour inciter les Bourguignons et les Francs-Comtois à visiter leur région… ».
Face à la crise sans précédent que traversent les professionnels de la filière, susciter de nouvelles envies, celles de voyager moins loin mais d’être dans une optique plus citoyenne, se devait d’être exploré parmi la panoplie de possibilités qu’offre la Région à ce pan de l’économie.
Dès le 03 juin, les vingt-cinq mille opérateurs professionnels que compte le tourisme en Bourgogne Franche-Comté se feront le relais de ces images auprès de leurs cercles relationnels.
D’autres en cours de tournage suivront. Il s’agit de courts métrages réalisés sur les sites touristiques et les musées de notre territoire. Vingt-cinq vidéos sont en phase de préparation.
Jeudi, la filière à travers ses diverses composantes a été réunie par le Comité régional du tourisme qui a soumis ces différentes initiatives pour approbation. L’organisme institutionnel a ainsi pu vérifier que les dispositifs mis en œuvre pour résorber le désastre économique étaient pertinents.
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90 % des apprenants ont bénéficié de cours en e-learning : le CIFA a su anticiper la gestion de la crise
mai 29, 2020C’est l’art et la manière d’anticiper les dossiers. A défaut, de bien gérer une crise sanitaire. Lorsque les dirigeants du CIFA de l’Yonne ont validé il y a deux saisons l’apport du e-learning dans leur établissement, ils ne se doutaient pas que cette solution numérique leur serait d’un grand secours quelques mois plus tard à cause d’un confinement pour le moins inédit. 90 % des apprenants ont pu profiter de contenus pédagogiques durant cette période : tout le monde ne peut pas en dire autant !
AUXERRE : Dès le début de la crise sanitaire, ils avaient préparé le terrain. Celui de la prise d’initiative et de la réactivité pour faire front face à la gabegie qui allait balayer tous les rouages de notre société durant plusieurs semaines.
Quelques heures auront suffi pour réunir et former les équipes éducatives à la pratique vertueuse de la méthode. Avant qu’elles ne soient lâchées dans la nature, confinement et fermeture des portes du centre de formation oblige !
Jusqu’alors, le e-learning était appréhendé de la manière suivante : l’outil révélait ses atouts avec pertinence, certes, mais il n’apparaissait pas encore comme primordial. Ce n’était qu’une solution complémentaire pour suivre des cours mais pas pour les remplacer totalement…
Mais, après le 16 mars, les pratiques coutumières ont volé en éclats, laissant libre cours à l’imagination et au système D.
Cinq heures suffiront pour que les enseignants bénéficient des rudiments nécessaires à une pratique experte de l’outil multimédia. Preuve que la réactivité était bel et bien au rendez-vous dans l’intérêt des jeunes apprentis. Contrairement à ce qui a pu être dit en filigrane par ailleurs…
De l’avis de Michel TONNELLIER, président du CIFA de l’Yonne, et du directeur, Marcel FONTBONNE, le travail fourni par la suite se résume en un seul mot : l’excellence.
Même s’il aura fallu rebondir au pied de la lettre pour pouvoir proposer une offre de cours suffisamment explicite et étayée, conçue avec les moyens du bord mais avec cohérence.
Les programmes pédagogiques (certains existaient sur le concept bien avant la crise sanitaire) ont pu être étoffés sous le contrôle d’une responsable pédagogique. L’offre prenant petit à petit de l’épaisseur tant dans la qualité de son contenu que dans sa quantité.
Des aménagements à la rentrée pour optimiser le e-learning…
Bref : le centre de formation de l’Yonne a réalisé un énorme bond vers l’avant en matière de formation à distance. Une pure logique pour un établissement déjà précurseur en de nombreux domaine, avec un salon de coiffure conçu dans le cadre d’un partenariat à l’estampille de L’OREAL, un espace d’enseignement virtuel unique en France (le Clic Store) ou un restaurant d’application en phase de réaménagement (Le Com’des Chefs) se situant à la lisière d’un « bib » gourmand tant la saveur des plats y est succulente.
L’après COVID-19 modifiera-t-elle pour autant la donne de cet univers aux mille apprenants ?
Marcel FONTBONNE le précise volontiers : « notre métier dans l’art d’enseigner reste le présentiel. Apprendre le geste technique et le répéter au quotidien est fondamental… ».
Mais, le renforcement pédagogique en utilisant les bienfaits du e-learning avec un contenu de formations destinées tant aux apprentis qu’aux adultes en formation continue lui semble une opportunité à laquelle il ne peut plus déroger dorénavant.
Dès l’automne, des innovations importantes devraient se mettre en place. Avec une priorité qui apparaît évidente aux yeux du directeur : le désengorgement de la salle dédiée à la pratique du e-learning.
Et sans doute le suivi des cours pour les adultes qui fréquentent d’ordinaire ces lieux depuis leur domicile.
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L’heure du numérique a sonné pour les commerces de proximité : la Ville d’Auxerre va les accompagner…
mai 28, 2020Le projet de plateforme numérique se veut très novateur. De l’aveu de l’édile d’Auxerre Guy FEREZ. A l’étude, il devra être fonctionnel d’ici le mois de décembre. Juste avant les fêtes de fin d’année, la période propice aux achats en nombre et à la flambée du chiffre d’affaires pour les commerces de proximité…
AUXERRE: C’est l’une des informations importantes évoquées au détour d’une conférence de presse qui a l’heur de capter l’intérêt médiatique. D’autant que le concept, même s’il est déjà usité dans d’autres villes de l’Hexagone n’a pas encore été employé dans celles du cœur de l’Yonne.
Avant Noël, le commerce indépendant sera pourvu de sa propre plateforme numérique. Elle lui permettra de déployer son attractivité via une offre de services qui sera déclinable et accessible à tous, très facilement.
Un clic, une commande passée dans l’un des magasins de son choix et même la possibilité de recevoir la livraison des produits à son domicile : la nouvelle plateforme devrait booster un secteur en proie à de grandes difficultés après la crise sanitaire majeure que nous avons traversée.
La Ville d’Auxerre ne pouvait passer à côté de ce challenge capital : celui d’intégrer dans l’ère du numérique ces « petits » commerces qui parfois sont encore aux antipodes des vertus de cette technologie.
Pourtant, le concept s’inscrit dans l’air du temps. Le e-commerce a connu une croissance exponentielle en 2019, atteignant en France près de 100 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Durant les semaines de confinement, ce moyen moderniste d’acheter et de vendre des produits par la toile a continué de flamber.
Après mûres réflexions et concertations avec l’adjoint en charge de l’activité commerce, Jean-Philippe BAILLY, le maire-président d’Auxerre et de l’Agglo a biffé cette opportunité parmi les sept grandes propositions qu’il souhaite mettre en œuvre pour soutenir ce pan de l’activité économique mis à si rude épreuve avec la présence du coronavirus.
La collectivité aura recours à un prestataire pour affiner ses choix et sa stratégie. Un cahier des charges sera établi avant qu’un appel d’offres ne favorise en septembre la sélection du professionnel devant contribuer à la pertinence et la réussite de ce projet.
Plusieurs dizaines de milliers d’euros seront ainsi budgétés pour y parvenir. On sait également que le projet sera piloté par la nouvelle chargée de mission pour le commerce en poste à la Ville depuis novembre. Une personne qui a officié dans une vie antérieure au sein de la Chambre de Commerce et de l’Industrie de l’Yonne.
En parallèle de cette nouvelle aide technologique au développement des commerces locaux, la Ville proposera également un diagnostic sous la forme d’un état des lieux de la fonctionnalité du numérique auprès des commerçants.
Nécessairement, et afin de se familiariser avec les modes opératoires de cette plateforme, des séances de sensibilisation et de formation seront assurées par des prestataires…
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Elle s’accroît de 2 670 euros par seconde : la dette de la France s’apprécie à la vitesse sidérale !
mai 27, 2020Les prévisions économiques et budgétaires de l’Etat sont très pessimistes pour notre avenir ! Les recettes moins les dépenses donnent le niveau du déficit. En conséquence, avec un PIB (Produit intérieur brut) en diminution approché entre 2 000 et 2 100 milliards d’euros auquel il faut ajouter des dépenses qui explosent : le niveau d’endettement risque de dépasser les 120 % du PIB ! Estimée fin 2020, à plus 2 500 milliards d’euros, la dette de la France représente un additif de plus de 2 670 euros par seconde ! Sidérant…
TRIBUNE : La crise sanitaire nous entraîne vers une crise économique, budgétaire et financière très forte. « Les Français vont souffrir », dixit le président MACRON ! Le « nous allons » aurait été sans doute plus seyant dans la formulation et surtout plus respectueux ! Quand les premiers de cordée méprisent les premiers de corvée, le bail de l’Elysée risque d’être de plus en plus précaire !
Trouver plus de recettes et réaliser moins de dépenses ? Simpliste, me direz-vous ? Peut-être, mais allons plus loin.
Plus de recettes représentent plus d’impôts sur les revenus des particuliers, plus d’impôts sur les sociétés : n’y comptons même pas ! Avec un risque d’inflation avérée, la pauvreté et la précarité vont progresser.
Pour les plus riches, l’Etat devra réfléchir à des barèmes plus équitables. Pour les entreprises, on devra s’interroger sur celles qui délocalisent, créent des filiales afin de limiter leurs impôts en France, tout en profitant des aides publiques liées à la chute des activités : cela devient injuste, non équitable et non égalitaire !
Réduire les dépenses suppose distinguer les dépenses conjoncturelles des dépenses structurelles ! Les diminutions des dépenses de l’Etat concernent surtout le fonctionnement des institutions : frais de gestion, transport et déplacement… Ils projettent de la poudre aux yeux.
Les dépenses structurelles sont principalement liées aux salaires. Pour l’Etat, il faudrait ainsi diminuer le nombre de haut fonctionnaires, réduire les plus gros salaires, revoir le nombre d’élus (députés, sénateurs, maires, conseillers régionaux…).
Partager autrement la valeur ajoutée : pas si simple de changer les mentalités…
Pour nos parlementaires, des coupes franches parmi les frais annexes seraient souhaitables ! Haro sur les avantages en tout genre et surtout, le montant nominal des salaires !
En ce qui concerne le salaire des dirigeants des sociétés privées, il serait de bon ton de fixer un écart maximum entre le plus petit salaire de l’entreprise et le plus important, tout avantage confondu.
On entend souvent dire parmi les réactions la formule suivante : « on risque de perdre nos dirigeants, de les voir partir ailleurs avec les plus gros salaires ! ». Soyons rassurés, l’adjoint de direction promu à ce poste acceptera !
Moins d’activité, c’est aussi moins de TVA donc encore moins de ressources. Seule une relance économique, progressive et réaliste donnera l’impulsion nécessaire au rétablissement de l’activité. Il s’agira aussi de juguler le chômage. Cette relance passe par une relocalisation d’une partie de notre production avec des investissements productifs qui génèrent des emplois, des taxes et des impôts en plus…
On le sait, les Français sont d’une nature solidaire. Mais, de nombreuses mentalités auront du mal à évoluer : gagner plus que « l’autre », prendre des parts de marché au risque de casser des emplois, partager autrement la valeur ajoutée…
Changer de paradigme ou poursuivre sur sa lancée ?
Des chiffres donnent le vertige. Selon l’Institut de prévisions économiques, « Coe-Rexecode », la suppression de l’ISF en 2018 génère un manque à gagner de 3,2 milliards d’euros.
L’ISF a été remplacé par l’Impôt sur le Patrimoine Immobilier. Il est peu pertinent aujourd’hui si on veut relancer le bâtiment !
En conséquence, les 1 % des ménages les plus riches ont gagné 6 % de pouvoir d’achat ! Avec ou sans ISF, la fuite des capitaux poursuit sa course vers les pays les plus attractifs et les paradis fiscaux !
On estime à plus de 200 milliards d’euros les capitaux sortis de France et 400 000 emplois directs qui ont été détruits.
En outre, la suppression de l’ISF n’a pas amoindri la fuite des capitaux des plus fortunés et des entreprises. Rétablir l’ISF, ce serait gagner quelques milliards et montrer aux plus humbles la volonté de mieux partager le gâteau fiscal ! Le rétablissement de l’ISF fut rappelons-le, l’une des premières revendications des « Gilets jaunes ».
Si on se résume, cette crise économique qui arrive tel un cheval fougueux lancé au galop va faire chuter le PIB de près de 10 %. L’inflation se situera à 6 ou 8 %, quant aux revenus individuels, ils vont diminuer. Le chômage sera durablement en augmentation, engendrant un appauvrissement global de la nation, donc une croissance importante de notre dette. Tout ceci va influencer notre porte-monnaie mais aussi exacerber les tensions sociales du pays !
Selon Gérald DARMANIN, le ministre des comptes publics, ces chiffres devraient être revus à la hausse !
Nous ne nous inscrivons pas dans les « y’a qu’à faut qu’on » mais dans l’expression de la volonté de changer de paradigme Or, nous constatons que nous n’en prenons pas le chemin !
Le mot « crise » en chinois est représenté par deux idéogrammes : ils signifient danger et opportunité. Il y a toujours dans une crise la possibilité de changer, de s'ouvrir à autre chose, d'en comprendre les causes et d'essayer d'en tirer les conséquences.
Elle peut être une prise de conscience qui nous permet de vivre autrement, tant au niveau individuel que collectif selon l’écrivain et sociologue Frédéric LENOIR.
Il serait impérieux de s’en souvenir à bon escient avant de redémarrer !
Jean-Paul ALLOU
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Un plan de relance automobile approprié pour Marie-Guite DUFAY vigilante sur la sécurité de l’emploi…
mai 27, 2020La présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté ne cache pas sa satisfaction après l’annonce du plan de relance en faveur du secteur automobile. Ces mesures ont été dévoilées mardi après-midi par le président de la République, Emmanuel MACRON. Pour la représentante de l’exécutif régional, ce plan concilie compétitivité, transition écologique et souveraineté industrielle. Il sera favorable à l’essor du site de PSA à Sochaux…
DIJON (Côte d’Or) : L’élue de Bourgogne Franche-Comté a réagi avec célérité à la suite des annonces faites par le locataire de l’Elysée pour le soutien à l’automobile dans l’Hexagone. Un segment de l’activité économique, il est vrai en berne depuis plusieurs semaines à la suite de la crise sanitaire.
Marie-Guite DUFAY a fait connaître son ressenti par le biais d’un communiqué de presse publié mardi : « l’ensemble des mesures annoncées par la présidence sont de nature à renforcer la compétitivité du site de Sochaux… ».
D’autant que PSA a déclaré que « la nouvelle génération de SUV 3008 déclinable en thermique, électrique et hybride se développera en Franche-Comté ».
Rappelons que la Région a débloqué une enveloppe de 7,1 millions d’euros au titre de l’accompagnement à l’innovation dans le projet « Sochaux 2022 ». Rendant ainsi possible la modernisation de ce site à haute performance technologique pour aborder les enjeux de l’avenir.
Dans le concret, ce sont 55 hectares supplémentaires qui seront aménagés pour permettre l’accueil de nouvelles activités dans l’esprit du pacte de relocalisation souhaité par le président de la République.
Des annonces qui ne doivent pas occulter la sécurisation des emplois…
Parallèlement, l’institution régionale demeure très attentive à l’activité des sous-traitants de l’automobile : ils sont nombreux à exercer leur savoir-faire sur notre territoire.
Dans le cadre du PIA (Programme d’Investissement d’Avenir), elle apporte son soutien aux mutations technologiques qui s’imposent afin que les entreprises puissent se doter des compétences adéquates.
Vigilante, Marie-Guite DUFAY rappelle aussi que « ces annonces ne doivent pas masquer les difficultés sociales que le secteur automobile traverse avec la crise actuelle… ».
En terme clair, la sécurisation maximale des emplois et des compétences est donc à préserver coûte que coûte dans notre contrée.
D’ailleurs, l’ensemble de ces sujets sera évoqué dès la fin de la semaine au cours d’un entretien que la présidente de la Bourgogne Franche-Comté aura avec le ministre de l’Economie et des Finances Bruno LE MAIRE, dans le cadre d’un échange avec l’ensemble des régions.
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