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Pierre GATTAZ évoque les combats du MEDEF en faveur de l’éducation et l’emploi, tout en fustigeant la fiscalité actuelle…
octobre 05, 2017Devant plus de deux cents entrepreneurs du nord de la Bourgogne mais aussi de l’Aube et de la Nièvre, le leader charismatique du patronat français a ponctué son discours mobilisateur de formules optimistes afin de motiver investisseurs et décideurs à croire aux potentialités bien réelles de notre pays. A la fois sur le marché intérieur mais aussi à l’export. Taclant au passage l’ISF et l’ « incomparable » gâchis engendré par cette mesure fiscale faisant fuir les capitaux tout en saluant le retour à la confiance impulsé depuis peu par Emmanuel MACRON…
AUXERRE : Soixante minutes de monologue afin de brosser un état des lieux succinct de l’économie française et de ses perspectives. Tel était le support thématique de l’intervention de Pierre GATTAZ, président national du MEDEF, invité à découvrir les richesses économiques de l’entrepreneuriat dans l’Yonne au cours de la journée de ce 04 octobre, devenu historique pour les représentants locaux.
Etienne CANO, président départemental de la puissance syndicale, et le secrétaire général, Claude VAUCOULOUX, avaient bien organisé les choses en mitonnant un savoureux cocktail de réussites professionnelles à déguster sans modération, permettant à l’homme fort du patronat français de s’immerger parmi quelques talentueuses pépites du cru : FESTINS où l’utile fut joint à l’agréable aux côtés d’Evelyne et Didier CHAPUIS en goûtant les mets, RB3D et son milieu d’exosquelettes de haute technologie qui a fait de cette structure une entité d’exception internationale grâce à Serge GRYGOROWICZ et l’un des fleurons du nouveau pôle aéronautique de l’Yonne, FIGEAC, entreprise à forte valeur ajoutée pilotée par Patrice PARISOT.
« La croissance de la France ? Elle est minable depuis 2007 ! »
Puis, vint le temps de la prise de parole officielle sur l’estrade du Pôle Formation 58 89. Considérant la France comme l’un des plus mauvais pays européens en matière de lutte contre le chômage, le président du MEDEF rappelait quelques fondamentaux en matière de réussite professionnelle, sur la base des compétences et de la progression des talents.
« Le nombre d’apprentis n’est pas suffisant sur notre territoire : il est grand temps que le MEDEF réhabilite cela. Tout le monde souhaite de l’emploi. Mais, mon discours est simple vis-à-vis des élus : c’est l’entreprise et non pas le tissu associatif qui créé la richesse économique de notre nation… ».
Parcourant de long en large l’esplanade de l’amphithéâtre, le conférencier d’un soir abordera ensuite la croissance perdue de la France. « Depuis 2007, la nôtre est catastrophique en comparaison à d’autres états européens ».
Substance nécessaire à la pérennité de l’entreprise et à sa dynamique, la croissance doit se conquérir ailleurs, à l’international. « La France est l’un des derniers pays au monde à vivre en permanence dans la lutte des classes (faisait-il alors allusion, non sans une pointe d’humour, aux quelques velléités contestataires devant manifester aux portes d’accès du centre de formation ?) ; si l’on arrêtait de s’opposer continuellement, nous pourrions bénéficier d’un climat apaisé, en restaurant la confiance et en maîtrisant le chômage à 5 %... Cela serait tellement plus bénéfique à notre pays et à ses entreprises que le reste…».
60 % de jeunes souhaitent devenir entrepreneurs…
Avec ses immenses possibilités, nourries sur le continent africain mais aussi en Inde ou en Asie, la France pourrait très vite jouer les premiers rôles sur la scène mondiale. « Tous ces états éprouvent des envies de mieux vivre, mieux se soigner, mieux s’alimenter, poursuivait Pierre GATTAZ, à tous ces éléments, il faut y ajouter le développement de la téléphonie et du numérique. Les jeunes générations ne s’y trompent pas : avant, ils rêvaient de travailler dans la fonction publique, aujourd’hui, ils souhaitent être maîtres de leur destin en endossant les habits de responsable d’entreprise… car l’industrie leur offre des emplois fantastiques…».
Abordant le Code du travail et ses réformes, Pierre GATTAZ pointa du doigt la maltraitance systématique subie par le patronat en France de la part d’une certaine frange de la population.
« Pour créer de l’emploi, la présence d’un environnement de confiance est indispensable : c’est la moitié du business qui est ainsi effectué. Emmanuel MACRON possède, quant à lui, de véritables convictions entrepreneuriales. Il a parfaitement assimilé le rôle fondamental de celles-ci au cœur de notre société. D’ailleurs, les entreprises ne sont ni de gauche ni de droite : elles sont tout simplement en marche vers leur avenir, fait de prospérité… ».
Quant au cadre fiscal, il doit être incitatif plutôt qu’idéologique selon le patron des patrons et revu dans ses principes.
« Depuis 1983, une épée de Damoclès se présente en permanence au-dessus de nos têtes avec cet impôt injuste qui se nomme l’ISF. Même nos concurrents industriels ont choisi l’exil plutôt que d’être ponctionnés à n’importe quel prix. C’est un vrai drame pour le pays : des centaines de nos compatriotes se sont expatriés à Londres et au Luxembourg. Le MEDEF n’a qu’un unique objectif sur ce dossier : tuer cet impôt stupide… ».
« Il faut remettre les Français au travail… »
Alors que 50 % des patrons recherchent des apprentis, de niveau bac -3 à bac + 5, en vain, les chiffres concernant le chômage des jeunes ne cessent de décoller : + 25 % de hausse cette année. Une statistique qui provoque l’inquiétude de Pierre GATTAZ, désireux que les réformes sociales définies par le gouvernement se concrétisent au plus vite afin de rendre la confiance aux Français mais aussi aux investisseurs américains et asiatiques.
« Depuis quelques mois, le french bashing n’est plus de mise de la part des anglo-saxons : au contraire, il règne une certaine bienveillance, voire une admiration, à notre égard … ».
Mais, le taux de chômage très élevé de la population française (9 %) plombe la reprise économique : « il faut tout mettre en œuvre pour qu’il y ait des résultats en matière d’emploi, ajoute le leader du MEDEF, recréer de l’emploi passe obligatoirement par la baisse des charges. Ce combat, nous allons le continuer encore longtemps jusqu’à l’obtention de résultats… ».
Concluant son intervention en parlant de la nécessaire revitalisation des territoires ruraux, moribonds avec les commerces de centre-ville, Pierre GATTAZ souhaite que cette cinquantaine de bassins économiques oubliés bénéficient à l’avenir de zones franches, servant à les dynamiser au plan économique. Le nouveau combat du responsable du MEDEF national ?
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GROUPAMA Paris Val de Loire informe sur les risques en entreprise afin de les prévenir et mieux les maîtriser…
septembre 27, 2017La notion du risque ne doit pas être abordée à la légère dans le milieu professionnel. Accidents de la circulation sur le trajet domicile/travail, chutes depuis un appareil de levage, sinistres imputables aux incendies ou présence de substances dangereuses sur un site industriel représentent autant de paramètres incontournables que les salariés et leurs employeurs doivent prendre en compte dès le début de leur collaboration…
AUXERRE : Attention danger ! Les risques sont partout ou presque dès que l’on pénètre sur un lieu professionnel. Face à leurs recrudescences, il est légitime de pratiquer des piqûres de rappel sous la forme d’exercices pédagogiques comme l’a si bien proposé l’assureur mutualiste, GROUPAMA Paris Val de Loire, il y a quelques jours dans ses locaux d’Auxerre.
En termes statistiques, ils représentent 6 millions de journées de travail perdu qui se traduisent par 20 % d’accidents mortels, soit un coût du décès évalué à 400 000 euros, et 10 % d’incapacités permanentes (86 000 euros d’enveloppe budgétaire). Hormis ces chiffres vertigineux, l’impact d’une catastrophe physique sur l’un des collaborateurs entraîne des conséquences inaliénables sur les enjeux sociaux et commerciaux d’une enseigne : licenciements, destructions de véhicules s’il s’agit d’accidents de la route, perte de production, altération de l’image et de la notoriété en matière de communication, hausse des cotisations auprès des compagnies d’assurances, etc. Sans oublier les procédures juridiques qui en découleront avec son lot de procès, d’indemnités à verser avec dommages et intérêts supplémentaires en sus.
La prévention en entreprise : obligatoire afin d’éradiquer les risques
« Outre les préjudices moraux et physiques que subira après coup la victime d’un faits divers, beaucoup d’autres paramètres entreront en ligne de compte, précise Delphine LORAIN, juriste, il suffit de s’attarder sur les aspects esthétiques de ces personnes touchées au plus profond de leur chair, et de comprendre que leurs carrières professionnelles seront brisées à tout jamais ou que leur existence familiale et relationnelle sera totalement transformée… ».
Identifiant la typologie de risques pouvant mettre à mal un cadre, un employé ou un ouvrier dans l’exercice de ses activités, mais aussi l’entrepreneur lui-même, Delphine LORAIN s’attarda de longues minutes sur ceux provoqués par la circulation routière et le non-respect du code de la route. Néanmoins, il existe une kyrielle de troubles autour de nous, pouvant générer l’improbable dans notre quotidien : les nuisances vibratoires et sonores, les troubles psycho-sociaux, les expositions chimiques, le stress permanent, le mal-être psychologique…
Appliquer une démarche de prévention pour tous les risques professionnels, adaptée à l’entreprise, consiste à faire un état des lieux précis de ces dangers hypothétiques en les identifiant.
Cela relève du plan d’actions à mettre en phase, en se dotant d’un outil fonctionnel qui limitera les effets pernicieux de ces risques. Quatre leviers essentiels peuvent alors aider à résoudre ces problématiques bien réelles : l’organisation interne de l’entreprise en rationalisant à titre d’exemple les déplacements (navette, visioconférence…), le développement de moyens matériels mis à la disposition des collaborateurs (flotte spécifique), l’adoption de règles de bonne conduite sous la forme d’une charte de déontologie et l’éducation de la performance maîtrisée auprès des salariés.
L’obligation de dénoncer les infractions est applicable depuis le 01er janvier
Dès l’embauche d’une nouvelle recrue, l’entrepreneur s’appuiera sur l’arsenal juridique existant pour instruire son futur collaborateur sur le chemin sécuritaire qui doit être dorénavant le sien. L’exigence du permis de conduire d’un salarié, la connaissance de ses réelles aptitudes derrière le volant et de son état physique/psychologique avec l’aval de la médecine du travail, faciliteront la rédaction du contrat de travail, un document devant stipuler l’ensemble de clauses réglementant la non-utilisation du portable à bord d’un véhicule…
Quant au règlement intérieur, sa rédaction doit comporter l’usage du dépistage salivaire et des contrôles d’alcoolémie si nécessaire afin de s’opposer aux résultats de tests subis par le salarié. Rappelons que depuis le 01er janvier, les entreprises ne peuvent sursoir à l’obligation de dénonciation des infractions au Code de la route.
La cinquantaine d’entrepreneurs présents à cette intéressante conférence sur ces risques dont ils n’avaient pas forcément évalué l’ampleur et les conséquences découvraient ensuite le mode de fonctionnement du centre d’éducation routière, CENTAURE, un complexe situé en Ile de France et filiale de GROUPAMA, ayant comme objectif de modifier les comportements des conducteurs. La présence d’un simulateur de conduite, décliné sur trois écrans, offrit d’agréables échanges parmi les chefs d’entreprise, qui devaient tester leur conduite face à quelques épreuves et…aux surprises inattendues sur une route virtuelle.
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Les secrets du Kremlin se dévoilent avec le journaliste Bernard LECOMTE…
septembre 06, 2017Octobre 2017 : il y a cent ans la révolution russe bouleversait la planète et provoquait une onde de choc irréversible. Ce tsunami politique donnera naissance au communisme et à l’empire soviétique au travers de ses figures de proue (Lénine, Staline, Brejnev…). Auteur d’un ouvrage consacré à l’évolution de ce pays, et spécialiste de l’histoire de la papauté, l’ancien rédacteur en chef du « Figaro Magazine », Bernard LECOMTE, abordera lors d’une conférence débat le destin hors normes de ces hommes d’état. Ce sera le 15 septembre prochain à Champignelles…
AUXERRE : « La Russie de Raspoutine à Poutine… ». L’analogie existante entre ces deux puissants personnages de ce pays continent sont-elles aussi frappantes que cela ? Une interrogation que beaucoup se posent et qui trouvera sans aucun doute des réponses concrètes lors de la conférence débat proposée par le journaliste écrivain Bernard LECOMTE.
A l’occasion du centenaire de la révolution d’octobre de 2017, notre confrère s’installera à la halle culturelle de Champignelles dès 18 heures le temps d’une causerie passionnante sur ce vaste sujet de pure géopolitique.
Répondant à l’invitation de l’édile de la commune, Jacques GILET, Bernard LECOMTE éclairera de ses lumières ces pans d’histoire, teintés de mystères et de complots, qui permettront à l’auditoire de mieux appréhender la Russie contemporaine et surtout les racines du mode opératoire du chef du Kremlin, Vladimir POUTINE.
Au terme de ces échanges, le journaliste Icaunais qui a suivi le déclin du communisme en qualité de correspondant pour « L’Express », dédicacera son dernier opus, paru aux éditions Perrin.
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L’innovation ne peut se faire sans avoir pris au préalable le pouls du terrain. Et des experts. C’est en substance le message clair que le nouveau gouvernement adresse aux professionnels de l’habitat en proposant une large concertation nationale ouverte jusqu’au 10 septembre à laquelle ils sont invités à répondre…
PARIS : Plusieurs dossiers importants attendent les ministres dès la rentrée. Ceux qui concernent l’aménagement ou l’assouplissement de la loi SRU devraient être abordés en priorité lors des premiers Conseils des ministres. Il s’agira pour l’équipe d’Edouard PHILIPPE de peaufiner les grandes lignes de la nouvelle stratégie en matière de logement en France. Un dossier sur lequel le Gouvernement est très attendu par les milieux professionnels et de nombreux corporatismes.
Dans le cadre de la préparation de cette feuille de route qui marquera les directives de l’ère MACRON, le ministre de la Cohésion des territoires, Jacques MEZARD et le secrétaire d’Etat auprès de ce même ministère, Julien DENORMANDIE, ont souhaité lancer une concertation nationale cet été, afin de remonter l’ensemble des propositions émises par les professionnels du secteur mais aussi du tissu associatif et des élus au plus proche des territoires. Cette enquête grandeur nature devra trouver son terme au 10 septembre.
Répondre aux objectifs prioritaires…
Cette concertation induit des échanges techniques et informels avec les différents acteurs de ce segment d’activité mais aussi l’administration. Plusieurs centaines de contributions ont déjà été remises au sortir de la période estivale. Analysées, celles-ci permettront in fine d’apporter les arbitrages qui s’imposent.
Réalisée en ligne, la consultation a pour vocation de répondre à divers objectifs prioritaires. A commencer par le besoin d’accélérer la production de logements sociaux en zone tendue. Mais également de faciliter l’acte de bâtir en simplifiant les normes de construction ainsi que les procédures administratives souvent très nébuleuses. Naturellement, promouvoir la rénovation énergétique des ménages les plus modestes intègre ces objectifs définis par Matignon. A l’instar du développement numérique employé sur ce secteur. Le parcours résidentiel des jeunes ménages, et plus précisément celui des plus jeunes, actifs ou pas, s’inscrit dans cette feuille de route pensée dans toutes les strates de l’Etat. Enfin, le volet de l’insertion n’est pas occulté puisque le Gouvernement souhaite qu’il se développe d’abord par le logement.
Prônant la carte de la mixité sociale et celle d’un logement salubre pour tous, le Gouvernement entend bien s’appuyer sur les recommandations des spécialistes avant de définir dans le détail sa stratégie. S’il réaffirme son attachement aux principes sociaux de la loi SRU, il devrait tenir compte du plus grand nombre d’avis émanant de la commission nationale présidée par Thierry REPENTIN, président de la CNAUF (Commission nationale de l’aménagement, de l’urbanisme et du foncier), pour statuer sur ses futures modalités d’application.
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Conservant l’entière confiance en son groupe, le coach du club de football, pensionnaire de Ligue 2, n’a montré aucun signe d’inquiétude avant la venue de l’US Orléans, le 18 août dernier. Malgré un derby qui se présentait déjà à quitte ou double pour la suite de la saison. Même si ses garçons occupaient alors la quinzième place d’un championnat plein de surprises avec la méforme de grosses écuries (Brest ou Lens), Francis GILLOT n’a pas encore envie de se mettre la pression…
AUXERRE : Il l’a affirmé sans ambages : « j’ai déjà connu ce genre de situation dans les clubs où j’ai évolué par le passé ». Pondéré, calme, mais un tantinet réaliste lorsqu’il évoque le besoin impératif de trouver un buteur, Francis GILLOT, entraîneur de l’AJ Auxerre depuis quelques semaines, maîtrise avec dextérité l’exercice de la conférence de presse. Sans pratiquer la langue de bois…
Pointant du doigt les difficultés vécues par son team à l’extérieur, le coach garde néanmoins en référence le premier match de la saison, celui qui avait opposé les Icaunais aux Lensois et qui devait se conclure sur le score restreint d’un but à zéro en faveur des Bourguignons.
Le syndrome havrais encore présent dans les têtes
Cette rencontre initiale mais prometteuse possédait un certain nombre d’arguments positifs en matière de fonds de jeu. Mais, le coup d’arrêt fut brutal dès la seconde journée de la compétition en Seine Maritime où sur le terrain du Havre (l’un des plus anciens clubs de France), l’équipe termina sa partie avec un moral au plus bas dans les chaussettes après une sévère déculottée de quatre buts à un.
« A domicile, nous savons relever la tête, devait ajouter le coach, avec cette même ossature et sans commettre trop d’erreurs, le groupe peut créer la différence face à n’importe quel adversaire…».
Mais, la double expulsion vécue au Havre a semble-t-il interrompu la belle dynamique pourtant enclenchée sur de bonnes bases. Et puis, la blessure de YATTARA a consterné nombre de supporteurs et provoqué des sueurs froides aux dirigeants du club.
« Son indisponibilité pourrait durer plusieurs semaines, précisa le coach, et le souci qui se présente à nous aujourd’hui est de récupérer un attaquant solide et inspiré ».
Face à la complexité de la situation, l’ancien coach des Girondins de Bordeaux garde néanmoins la tête froide. Il est trop tôt pour sombrer dans les limbes de l’inquiétude.
De la tactique et de l’envie pour déstabiliser l’adversaire
« Je n’analyse pas le classement de ce championnat pour l’heure, devait-il affirmer, je prendrais le temps de le consulter avec attention d’ici une dizaine de journées… ».
Quant aux séances d’entraînement, elles favorisent la précision, les automatismes et la gestuelle entre les joueurs. Mais, il faudrait appliquer ces recettes le jour J au bon endroit et au bon moment pour que cela s’avère efficace. Tacticien, Francis GILLOT en a conscience. Son schéma de jeu évolue selon diverses formules pour déséquilibrer le plus possible celui des adversaires. « La suite de la saison, c’est simple, confia-t-il, on ne calculera pas et on donnera le maximum de nous-mêmes pour remporter le plus de victoires. L’objectif que nous nous sommes fixés reste identique : être dans le premier tiers du classement au terme de cette saison. Mais, pour y parvenir, et avant de tirer trop tôt la sonnette d’alarme, il nous faut persévérer et travailler, en évitant de faire n’importe quoi… ».
Un message sans l’ombre d’une fioriture de la part du vainqueur de la Coupe de France 2013 en qualité d’entraîneur qui a sans doute été reçu cinq sur cinq par l’ensemble des joueurs Icaunais, titulaires et remplaçants…
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