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Savourer la valeur de l’instant : le lâcher-prise facilite la déconnection contre le stress…
novembre 10, 2019Importé d'Inde dans les années 1970, ce terme sacré signifie « s’abandonner » ». Voire plus précisément « se déposer ». A convoiter avec rêverie ou en pleine conscience, le lâcher-prise ne veut pas dire qu’on lâche sa prise aussi facilement. Dans son ouvrage intitulé, « L'Ecorchée », Donato CARRISI explique ce dont il s’agit dans ces quelques lignes : « on nous apprend à compter les secondes, les minutes, les heures, les jours, les années...mais personne ne nous apprend la valeur d'un instant… ». A méditer avant de tenter l’expérience…
TRIBUNE : Le lâcher-prise, ce valeureux « golgoth », ponctue à l'interrogation le quotidien de tout un chacun. Il aspire à interagir en toute sérénité, sans contrainte mentale dans tous les domaines de la vie. La réalité est bien différente. Le lâcher-prise possède l'art et la manière, très souvent, à s'orienter dans une attitude de parachutage au « je veux tout contrôler ».
Normal, l'environnement sociétal dans lequel nous évoluons, enseigne, depuis le premier souffle de la vie, que tout doit être bien cadré, supervisé, pesé, maîtrisé. Légitime à la réussite et à la performance, mais soumis également à un manque d’épanouissement personnel si cet état d'être fédère de l'impatience et de la propension à la tension.
Le paradoxe du lâcher-prise est d'abandonner ce à quoi nous tenons le plus : maîtriser la situation pour s'assurer et se rassurer de la bonne marche à suivre. Hors ce contexte ne mature pas à la bonne anticipation et solution. Face à une situation de stress, l'approche d'un « no control » se solidarise plutôt à la prise de risque d'exprimer « je me fais enfin confiance ».
Risqué, pas vraiment, c’est autoriser à se laisser porter par la vague de différents flux. Creux ou exponentiels, les vagues à l'âme seront là pour un enseignement très pertinent à la patience et à la seconder dans une approche plus mystique, que tout à un sens.
Côtoyer l’être avec clairvoyance…
Ce mental égotique, précurseur du contrôle et très protecteur, parasitera et émettra des résistances. Le rassurer en toute impartialité le positionnera en maître de sa destinée. Chaque individu a une attitude différente face à cette systémique. La petite enfance, vecteur de soutien ou de souffrance, est l'élément précurseur et un curseur pour prétendre au lâcher-prise.
La victoire psychologique à « lâcher » s'opère dans un premier temps au « tout est possible » si toutes les phases et tous les paramètres auront été mis en action. Dans un second temps, le tic-tac du métronome s'amorcera sur le « stop ». Cet abandon au « je me suis surpassé » et au maintenant je ne peux plus dompter le timing du résultat car tout arrive au bon moment.
C'est également côtoyer cet état d'être avec clairvoyance. La projection d'une situation est plus nette lorsque l'angle de vue est pris avec de la hauteur et du recul nécessaire. Cette attitude limitera aussi l'installation d'une anxiété.
L'épanouissement personnel est un coffret précieux à faire fructifier. Il symbolise d’innombrables valeurs humanistes et spirituelles : le partage à la dynamique d'un donné/recevoir.
Assumer sa liberté d'être pour sa dignité. Etre un pionnier de ses émotions pour se fourvoyer de ce tourbillon d'illusions à la force d'appuyer sur un seul pion : l'Abandon ...
Carole-Louise GAWAIN, auteur américaine, a signé des ouvrages sur le développement personnel. Elle délivre que tous les potentiels de réussite ou d'échec sont le reflet de nos pensées.
Se laisser flotter par les alternatives de la vie, c'est un bénéfice à saisir : « Imaginons la vie comme une rivière. De nombreuses personnes se cramponnent aux berges de peur d'être emportées par le courant mais, à un certain point du cours d'eau, les baigneurs doivent décider de se laisser aller et de faire confiance à la rivière pour qu'elle les emmène en toute sécurité. Ils apprennent alors à « suivre le courant » et se sentent très bien. »
Le premier courant est souvent source d'agitation. Le temps de s'adapter à l'émission de turbulence et d'apprécier la tempérance d'une accalmie. Le « quand », le « comment » sont des influences illusoires dans ce présent. C'est un challenge à différentes mouvances de croire sans voir.
Lyvia ROBERT
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Il en coûtera 1,6 million d’euros d’investissements : DAF LEFEVRE pose de nouveaux jalons dans le Sénonais…
novembre 07, 2019L’implantation de cette enseigne régionale leader dans la distribution et l’entretien de poids lourds dans l’une des zones industrielles situées en périphérie de Sens vient d’être entérinée par le conseil communautaire du Grand-Sénonais. D’ici le terme de 2022, ce nouveau site commercial et SAV à l’estampille du constructeur néerlandais DAF sera fonctionnel sur quinze mille mètres carrés de terrain zone des Vauguillettes…
SENS : Ce n’est plus un secret de Polichinelle pour personne. D’autant que le Conseil communautaire du Grand-Sénonais a pu analyser il y a peu le moindre des éléments réunis dans ce dossier avant de faire connaître sa décision à l’issue d’un scrutin. Celui-ci s’avère positif ; le contraire eut été étonnant…
Le groupe LEFEVRE dont le siège social et administratif est installé depuis des lustres sur la commune de Pontigny est en phase de pouvoir acquérir quinze mille mètres carrés de terrain dans la zone des Vauguillettes à l’est de Sens. L’entreprise a reçu la bénédiction officielle de l’organisme institutionnel pour procéder à cet achat essentiel à son développement.
Déjà présent à Malay-le-Grand sur une superficie de six mille mètres carrés lui permettant d’accueillir techniciens et mécaniciens dans son pôle logistique, DAF LEFEVRE voit grand avec le presque triplement de ses activités.
Non seulement, le groupe dirigé par Fabrice LEFEVRE délocalisera son site originel, devenu au fil des ans trop exigu pour y recevoir ses sept mécaniciens. Mais, en outre, son projet va inclure la pose d’une station de chargement destinée aux véhicules électriques.
De deux à quatre bornes y seront déployées dans le futur pour alimenter les besoins de poids lourds moins consommateurs en énergie fossile. D’autant que le constructeur batave promet des nouveautés révolutionnaires du côté de ses produits motorisés.
Ce qui aurait pu apparaître de facto comme une sérieuse entrave à l’essor de l’entreprise (le manque d’espace) s’en trouvera désormais éradiquée. En bénéficiant d’un garage poids lourds plus spacieux ainsi que d’un show-room de belle taille et ergonomique, le groupe LEFEVRE qui investira 1,6 million dans le projet, peut raisonnablement accroître sa prégnance sur ce secteur d’activité à fort potentiel.
Un article réalisé avec le partenariat de la Ville de Sens et de la Communauté de communes du Grand-Sénonais.
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Les élus de Puisaye-Forterre décollent pour Sofia : les Entretiens de Champignelles se délocalisent en Bulgarie…
novembre 02, 2019La trentième édition de ces séances de travail uniques dans l’Yonne permettant aux édiles de Puisaye-Forterre de se former aux items pédagogiques propres aux élus s’immerge du 03 au 07 novembre dans l’une des contrées européennes les moins connues des Français : la Bulgarie. Un séjour placé sous le sceau de l’amitié européenne et de la connaissance des pratiques administratives et politiques locales…
CHAMPIGNELLES : Cap à l’est pour les édiles et certains conseillers municipaux des communes de Puisaye-Forterre en ce début du mois de novembre.
Trois jours durant, les représentants de ces collectivités icaunaises s’immergeront lors d’un voyage d’étude des plus instructifs au plus près de l’appareil administratif et politique de ce pays des Balkans, l’un des moins connus des Français.
Après la Roumanie l’année dernière, l’instigateur de ces rencontres institutionnelles et éducatives entre les peuples d’Europe, Jacques GILET, a décidé de jeter son dévolu géographique sur une nation de l’ancien bloc de l’Est dont les Français ignorent encore beaucoup de choses : la Bulgarie. Il va s’en dire que ce pays ne se résume pas au seul cliché digne de l’imagerie pratiquée à Epinal avec ses célèbres yaourts !
Le programme de ce séjour didactique se décomposera en deux temps forts : une concentration d’intérêt sur la capitale du pays, Sofia, et une plongée vers des localités, nettement plus rurales, plus à même de ressembler à celles de la Puisaye-Forterre.
Accueillie dans les locaux de l’Institut Français de Sofia par l’ambassadrice de France Florence ROBINE, la délégation de l’Yonne devrait y recevoir moult explications sur la gestion de la vie politique locale ainsi que ses diverses ramifications pratiques en matière d’organisation administrative et territoriale. A noter que ces échanges nourris et enrichissants bénéficieront de la présence de Sylvia GVEORGUIEVA, directrice de l’Association des municipalités bulgares.
Un volet sur la ruralité très renforcé dans cette étude…
L’un des thèmes essentiels de ces travaux qui portent toujours sur la place des communes au cœur des territoires, fera la part à la ruralité. La découverte, deux jours durant, de plusieurs localités bulgares (Tchavdar, Gorna Malina…) permettra d’aborder les projets européens vécus par ces localités champêtres ainsi que la gestion des déchets dans le souci d’optimiser une approche intelligente de la sauvegarde environnementale.
Au-delà de ces visites, il sera naturellement question des budgets (l’une des problématiques essentielles pour un élu local) avec le financement des projets, indispensables au développement et à l’essor économique.
Précisons que cette session de ces trentièmes entretiens se ponctuera le vendredi 15 novembre en journée à l’occasion de la dernière journée de travail consacrée au nouveau statut de maire, un exposé présenté par la sénatrice Dominique VERIEN et le nouveau contrat de cohésion 2021/2027.
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Le Lions Auxerre Phoenix au service de Cap Saint-Martin : la soupe des chefs solidaires est devenue populaire…
novembre 02, 2019Sans jeu de mot aucun, le club service auxerrois remet le couvert pour la troisième année consécutive lors de ce rendez-vous dominical concocté en marge de la Foire Saint-Martin. Ce 10 novembre, gourmets et gourmands mais aussi celles et ceux qui veulent faire preuve d’altruisme convergeront Place de l’Arquebuse pour y acheter et déguster, comme il se doit, de délicieux potages et veloutés délicatement préparés par des toques icaunaises reconnues, ayant un cœur gros comme ça…
AUXERRE : La première étape de cette opération caritative s’est déroulée il y a quelques jours en parfaite osmose, dans un esprit de partage de valeurs.
Les chefs, les bénévoles de l’association Cap Saint-Martin et les représentants du Lions Club Auxerre Phoenix, mobilisés derrière leur président Marc LABARDE, ont participé à la mise en bouteille des succulentes soupes qui seront vendues le jour de la manifestation prévue le 10 novembre.
Ils ont été rejoints dans cette phase de pure logistique par les équipes des FESTINS de Bourgogne, en présence du dirigeant de l’entité artisanale, Didier CHAPUIS, faisant montre d’exemplarité.
Pour cette troisième édition, le Lions Club Auxerre Phoenix ne dérogera pas à la règle de cette sympathique animation sollicitant la générosité des visiteurs de la Foire de la Saint-Martin.
Moyennent quelques euros, ces derniers peuvent goûter sur place, voire emporter à leur domicile, ces savoureuses soupes conçues et travaillées avec leur savoir-faire par des chefs sensibilisés à la cause humaniste, prônée par le club service.
A l’instar des éditions précédentes, les bénéfices de la manifestation seront reversés à Cap Saint-Martin, structure associative venant en aide aux malades de pathologies lourdes et à leur famille. On notait d’ailleurs la présence du président de l’association icaunaise, Gérard LECOLE, aux préparatifs de la manifestation.
Des professionnels de la gastronomie mobilisés pour une juste cause…
Pour cette troisième édition, le Lions Club Auxerre Phoenix a reçu l’aval positif de plusieurs chefs pour assurer la réussite de cette action sociale. On notera donc la participation de Jean-Paul BAUJARD, du « Soleil d’Or », de Charles GREGOIRE, du « J’MCA », de Pascal LOULMET, du « Chaumois » ainsi que d’Eddy PLANCHARD, des Festins. Notons la mobilisation des apprentis du CIFA de l’Yonne (le centre interprofessionnel de formation par l’apprentissage) qui travaillent dans le restaurant d’application, « Le Com’des Chefs ». L’espace viticulteur sera assuré par le domaine Philippe DEFRANCE, localisé à Saint-Bris-le-Vineux.
Afin d’être tout à fait complet sur le dossier, signalons la mise en place d’une tombola (1 euro) qui permettra aux heureux gagnants de remporter en guise de lot principal un repas pour deux personnes dans l’un des restaurants partenaires.
En 2018, les lauréats avaient pu se sustenter agréablement en découvrant le tour de main du chef de l’Auberge des Chenets.
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La réforme des retraites s’invite à Auxerre : Sibeth NDIAYE en détaille les grands principes…
octobre 31, 2019Au cœur de l’actualité depuis plusieurs semaines, la réforme des retraites n’est toutefois pas une obligation. Contrairement à d’autres mesures, prises tout récemment. N’étant pas soumis à une quelconque pression financière sur le sujet, le gouvernement peut se permettre d’évaluer les besoins de chaque régime de retraite à son rythme, et de réfléchir posément. Avant de présenter une série de propositions au cours du premier semestre 2020. C’est ce qu’ont précisé la porte-parole du gouvernement, Sibeth NDIAYE et le secrétaire d’Etat à la protection de l’enfance, Adrien TAQUET, lors de leur venue à Auxerre, dernièrement…
AUXERRE : Une chose est certaine avant que ne tombent sur les télescripteurs médiatiques les premières propositions faites par le gouvernement au cours des six prochains mois : la réforme des retraites concernera les citoyens nés après 1963.
Elle ne devrait s’appliquer qu’à partir de 2025, en sachant que tout ce qui a été acquis le reste avec un calcul favorable, voire plus avantageux pour le futur bénéficiaire.
La visite en territoire icaunais des deux représentants du gouvernement PHILIPPE n’avait d’autres prétentions que de pouvoir expliquer les grands principes de cette réforme qui fait crée le débat parmi la société française.
Un préambule confirmé par les propos de la porte-parole, Sibeth NDIAYE, qui rappela l’importance de ces rencontres auprès des citoyens pour les membres du gouvernement.
« Nous devons nous présenter à eux et écouter en retour ce qu’ils pensent réellement de ce projet de réforme… ».
Une cinquantaine d’Auxerrois eurent ainsi ce privilège d’en savoir davantage sur les arcanes du pouvoir et les réflexions qui en résultent sur un thème chaud bouillant qui pourrait bien mettre la France dans la rue d’ici peu.
Pédagogue, l’experte es communication du gouvernement prit soin de se lancer dans une explication de texte détaillée autour du mode de calcul de la retraite ; tel qu’il fut statué au lendemain de la Seconde Guerre mondiale.
A l’époque, précisa-t-elle, le chômage était inexistant, avec un régime universel et un quota d’actifs équivalent à quatre salariés pour un retraité.
Puis vint le temps de l’adoption des 42 régimes spéciaux (ceux qui occasionnent autant de remous dans la sphère sociale et corporatiste), avant que le système accuse le coup après l’arrivée du baby-boom et de son flux grandissant de jeunes retraités sur le marché de l’oisiveté. Soit aujourd’hui, un actif et demi pour un retraité. On l’aura compris : le système a du plomb dans l’aile…
Un retour au régime universel où tout le monde bénéficierait des mêmes droits…
Dans un second temps, l’intervention du charismatique porte-voix de l’Etat s’orienta sur les parcours de vie. Ceux qui évoluent avec un profil plutôt linéaire.
« Auparavant, poursuit-elle, les gens exerçaient un seul métier durant leur carrière professionnelle. Le plus souvent dans la même entreprise. Et ce jusqu’à l’âge de la retraite. Aujourd’hui, nous constatons des changements tant sur les métiers exercés avec des passages du privé au public ou vice-versa, que sur le cumul de plusieurs régimes, entrecoupé parfois de périodes de chômage… ».
Sibeth NDIAYE ne manqua pas d’évoquer la féminisation des carrières. Celles-ci étant souvent interrompues par des grossesses, voire des temps partiels, avec au final en guise de résultante pour une femme sur cinq, une retraite obtenue à 67 ans.
La porte-parole de Matignon aborda ensuite dans ses explicatifs les grands principes de ce projet de réforme.
Il s’agira avant toute chose de conserver le régime par répartition qui sécurise le système, en revenant néanmoins à un régime universel, où tout le monde sera placé à la même enseigne.
« Chaque heure travaillée donnera droit à des points y compris les petits boulots saisonniers tenus par des étudiants, ajouta la représentante de l’Etat, un seuil minimum contributif de mille euros serait également mis en place… ».
Plusieurs interrogations fusèrent de l’assistance dans l’écoute. Ainsi, Sibeth NDIAYE confirma que le montant du point serait fixé par les exécutifs avec les organisations syndicales, que celui-ci serait indexé sur les salaires des actifs et non sur le point de l’inflation.
D’autres idées furent abordées plus en aval de la réunion : la création d’un carnet de travail numérique afin de suivre l’évolution des personnes au travail. Ce qui pourrait englober la connaissance de leurs droits, la pénibilité, la santé, le handicap, le chômage qui serait pris en compte.
Il y aurait enfin la possibilité de proposer une valorisation progressive pour les femmes avec la prise en compte d’enfants, et ce dès la première naissance.
Des pistes de réflexion qui ont nourri une rencontre studieuse et passionnante, avant que ne soit présenté le futur schéma gouvernemental dès le printemps.
Maryline GANDON
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