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La contestation gagne bon nombre de chrétiens : le pape François est-il encore prophète en son Eglise ?
décembre 28, 2023Le pape François est fortement décrié. Tant au sein de l’Eglise qu’à l’extérieur. Il ne souhaite plus gouverner mais ordonner. Ainsi, il restreint l’action des évêques : de nombreuses initiatives doivent être soumises à Rome, seul décisionnaire dans des cas devenus très fréquents. Ces prises de positions concernant la pollution et l’immigration interpellent de plus en plus le monde, qu’il soit chrétien ou non…
TRIBUNE : Le pape François resserre l'étau autour des traditionalistes. Lors d'une audience accordée récemment au cardinal anglais Arthur ROCHE, préfet du dicastère pour le culte divin et la discipline des sacrements, le pape a formellement validé un rescrit, sorte de décret juridique, retirant quasiment tout pouvoir de gestion du dossier traditionaliste aux évêques locaux, au profit du seul Vatican. Rome devient ainsi le décideur ultime sur deux points précis. Le premier est l'autorisation éventuellement accordée à de jeunes prêtres ordonnés après le 16 juillet 2021 de célébrer la messe selon l'ancien missel de 1962, en vigueur avant le concile Vatican II, surnommée « messe en latin ». Le second est la possibilité d'utiliser une église paroissiale ou d'ériger une paroisse personnelle pour la célébration eucharistique selon l'ancien rituel. Sur ces deux points, l'évêque local ne pourra plus rien décider sans le feu vert romain.
Du rififi dans les paroisses…
C'est Benoît XVI qui avait permis en 2007 que la célébration de la messe selon l'ancien rituel catholique soit possible au titre d'un rite « extraordinaire » et dans un souci de « réconciliation ». Mais le succès pastoral obtenu depuis par ces communautés traditionalistes, aux États-Unis et en France notamment (affluence, forte présence de jeunes et de familles, vocations sacerdotales et religieuses nombreuses), a conduit François à abroger juridiquement le 16 juillet 2021, cette libéralité pour éviter, disait-on à Rome, la constitution d'une Église catholique « parallèle », considérée très critique sur la réforme liturgique du concile Vatican II.
Cette disposition est également contraire à l’autorisation de Saint Jean-Paul II : autoriser la messe en latin à condition d’être soumis à l’autorité de Rome et sous le contrôle de l’Évêque local. Ainsi, en juillet dernier, quinze jours avant la date, les ordinations prévues à Toulon furent annulées par Rome. L’évêque local s’est vu flanqué d’un évêque coadjuteur, son futur remplaçant d’ici à quatre ans maximum. Ledit évêque est bien connu en Côte d’Or : Monseigneur François TOUVET fut en effet prêtre à Is-sur-Tille et Selongey. Il est reproché à Monseigneur REY d’être trop laxiste en matière du rite imposé par Vatican II ! Aux Etats Unis, de nombreux évêques contestent le bien-fondé de la décision papale !
Une fin de règne complexe pour François, sourd aux critiques et solitaire !
Gouverner l'Église catholique n'est pas une sinécure, mais diriger le Vatican est encore plus périlleux. Malgré ses talents de fin politique et son fort caractère, François, 85 ans, se heurte comme jamais, en cette onzième année de pontificat, à une série d'adversités. Il y a évidemment, avec François, des antagonismes puissants, liés à sa forte personnalité réputée « clivante ». Son caractère tranchant, son style autoritaire sont le lot quotidien d'un Vatican où l'on entend ces qualificatifs. Il y a aussi des colères papales et beaucoup se disent « terrorisés ».
A Rome, une campagne d’affichage sauvage accuse le pape François d’hypocrisie. Jusqu’ici en grande partie souterrain, le mécontentement contre le pape François d’une partie des courants conservateurs de l’Eglise catholique prend la tournure d’une fronde publique. En 2017, les Romains ont pu découvrir, placardées sur les murs de la capitale italienne, quelque 200 affiches anonymes apostrophant durement le pontife. « Tu as placé sous tutelle des congrégations, évincé des prêtres, décapité l’Ordre de Malte et les Franciscains de l’Immaculée, ignoré les cardinaux… Mais où est ta miséricorde ? » est-il écrit, en dialecte romain. L’enquête menée par la police italienne semble s’orienter vers des cardinaux romains qui auraient financé les affiches ! L’étincelle qui mit le feu aux poudres : le pape a démissionné le Grand Maître de l’Ordre de Malte.
Des prises de position à caractère politique
Le pape avait indiqué qu'il se rendrait à Marseille, mais « pas en France », signifiant ainsi que son déplacement n'aurait pas valeur de visite d'État mais serait consacré à la question migratoire. Une position politique largement contestée par beaucoup : chrétiens et non chrétiens. Interférer ou donner des conseils aux états riverains de la Méditerranée ne s’inscrit pas dans les prérogatives d’un « chef » religieux !
François soulève des réflexions qui peuvent sembler éloignées de la foi catholique ou des valeurs chrétiennes. Elles portent sur l'orientation politique, et de fait économique, du chef suprême de l'Église catholique romaine. « Estne Pontifex cornu sinistrum » ou, en français, « le pape est-il de gauche ? » Est-il un conservateur de droite ou un progressiste de gauche?
Pour le Saint-Père, qui est Argentin, cette notion peut paraître anecdotique. Mais son parcours, qui est passé par le courant de la « théologie du peuple » proche de la « théologie de la libération », lui a donné une sensibilité politique qu'il n'a jamais reniée.
Cette question est d'ailleurs soulevée depuis des années. Son énoncé est simple, et la réponse l'est plus encore : le pape François est indéniablement de gauche. Ses prises de positions sociales, sur les questions migratoires ou sur sa vision géopolitique le rendent même plus proche de « LFI », que des partis de gauche plus modérés. Le pape semble plus proche de l’évangile selon « saint MELENCHON » que des lettres de saint Paul !
Même le leader de La France Insoumise l'a admis en dévoilant en 2017 qu'il était « le seul homme politique français de gauche qui lise toutes les encycliques ! ».
Les positions politico-économiques du pape sont même publiquement affichées dans deux textes explicites : l'exhortation apostolique « Evangelii gaudium » et l'encyclique sociale « Laudato si ». Dans le premier, il expose clairement sa pensée sociale en dénonçant « une économie de l'exclusion », « la nouvelle idolâtrie de l'argent », « l'argent qui gouverne au lieu de servir », « la disparité sociale qui engendre la violence ».
« Le pape François est-il devenu le vicaire de la gauche immigrationniste et de l’islamisme conquérant ? », titrait en 2019 un article de « Valeurs Actuelles ». Plein de contradictions, un fort caractère, conservateur pour les uns, trop progressiste, pour les autres, trop à gauche, rejeté par une partie des chefs de l’Eglise et de certains chrétiens, adulés par d’autres… Bref, on reste plus dans les caractéristiques d’un responsable politique que de celles d’un guide spirituel, capable d’apporter la paix et de s’insurger contre les violences faites aux chrétiens dans le monde, et la déchristianisation de la France !
Pour l’ensemble des chrétiens aujourd’hui, le plus grand pape fut Jean-Paul II, et pour nos amis juifs, c’est Jean XXIII qui reçoit la palme…
Terminons avec un peu d’humour : « Le pape est mort, un nouveau pape est appelé à régner. « Araignée », quel drôle de nom, pourquoi pas libellule ou papillon ! ». Jacques PREVERT.
Jean-Paul ALLOU
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Villes et Villages Fleuris délivre récompenses et…végétaux à planter : l’Yonne à l’heure du pouvoir de la chlorophylle !
décembre 27, 2023Dites-le avec des fleurs ! Ou avec des arbustes ! Voire, pourquoi pas quand il est possible de les transporter hors de scène, d’arbres de très belle taille, à planter ! L’Agence de développement touristique et relais territorial des offices de tourisme, Yonne Tourisme, a donc procédé il y a quelques jours à la remise des prix du palmarès 2023 de l’une des manifestations phare de l’année, suivies par bon nombre de collectivités, campings et écoles : le concours des Villes et Villages Fleuris. Un pur moment de bonheur où les végétaux sont enfin à la fête !
APPOIGNY : Pour une fois, on ne les détruit pas. Ni, on ne les coupe à la sauvette pour un quelconque prétexte fallacieux où le végétal, pauvre victime expiatoire de l’inconstance intellectuelle des hommes, finirait au pilori pour une raison ou pour une autre. Il paraît même que certaines communes à gouvernance écologiste de l’Hexagone sont devenues les cibles préférées de protestataires désinhibés qui en veulent en découdre avec tout ce qui est vert et qui pousse ! N’importe quoi !
Heureusement, dans l’Yonne, le végétal règne en maître, dans nos villes et nos campagnes, presque absolu. Mieux ! On encourage à les entretenir, à les préserver, à les planter et à distinguer celles des collectivités qui les honorent en embellissement leurs rues, leurs infrastructures, leurs habitations, leurs jardins publics, leurs écoles, leurs campings. Chaque année, à pareille époque, se déroule un évènementiel qui distille un palmarès. Celui des Villes et Villages Fleuris de l’année écoulée : il récompense toutes ces communes qui ont pris fait et cause pour le végétal, leur abondance et leurs diverses variétés et formes d’expression.
Maitresse de cérémonie du soir : Isabelle FROMENT-MEURICE. On ne présente plus la conseillère départementale de l’Yonne, investie dans la vie politique depuis plusieurs années.
Un rendez-vous très suivi par les collectivités
En revanche, cette dernière possède une autre étiquette à son actif, celle d’être la présidente de l’agence de développement économique, Yonne Tourisme. Une institution départementale qui sait mettre en relief tous les avantages attractifs de notre territoire. Dont celui du fleurissement et la valorisation de la végétalisation des localités icaunaises, item de plus en plus apprécié de la part des touristes de passage en nos terres mais aussi des habitants desdites communes plébiscitées par les membres du jury. D’ailleurs, Isabelle FROMENT-MEURICE n’est-elle pas la présidente du comité du fleurissement de ce concours ?
A la tribune, aux côtés de son président, Patrick GENDRAUD – il adore cette cérémonie où l’on parle de plantes et de fleurs -, et de Nathalie LABOSSE, conseillère régionale, la présidente de l’agence Yonne Tourisme rappelle les règles du jeu de ce rendez-vous, fort bien suivi par bon nombre d’élus mais aussi de représentés des services techniques des communes.
« Ce soir, seront dévoilés les labellisés de 2023, les propositions de labellisation de 2024, mais aussi des prix spéciaux départementaux et selon les catégories, ainsi que les récompenses remises aux campings de l’Yonne, et le prix des écoles de l’Yonne, explique-t-elle, des prix auxquels nous sommes très attachés car notre credo c’est le travail de l’attractivité du territoire… ».
Fleurir sa ville ou son village ne sert pas uniquement les intérêts touristiques, évoqua la vice-présidente du Conseil départemental, à l’aise face au public « c’est aussi pour le plaisir de les habiter ». D’où la notion d’attractivité résidentielle qui permit à l’élue de l’Yonne d’enchaîner sur des explications détaillées.
« C’est un point très important, confirma-t-elle, que dans notre département où la population est un peu vieillissante au niveau démographique, nos villes et nos villages continuent de vivre en bénéficiant d’un environnement fleuri et végétalisé de belle facture. Il faut que les habitants s’y sentent bien... ».
Promouvoir l’attractivité résidentielle, vecteur de développement économique
Quant à la notion de fleurissement, elle a évolué au cours de ces récentes années. En effet, autrefois était nommé village fleuri une localité qui possédait des plates-bandes extrêmement bien tenues en son cœur, aujourd’hui, c’est d’arriver à mélanger un complexe un peu urbain dans un village avec des trottoirs et certains aménagements en matière d’urbanisation et un fleurissement qui ne serait pas là par hasard mais comme étant l’illustration d’une pousse quasi naturelle. Les pelouses ne seraient pas, de fait, tondues au cordeau mais favoriseraient l’évolution de cet environnement pseudo naturel, protecteur de la faune et de la flore. Laissant éclore des herbes folles mais travaillées dans un souci d’esthétique…et de retour à la nature. Une nature qui doit reprendre ses droits, sans l’apport de pesticides.
« C’est cela aussi, l’attractivité résidentielle, soulignera Isabelle FROMENT-MEURICE, celle que nous devons encourager… ».
Un message empreint d’écologie qui aura été très apprécié par le président GENDRAUD avant que soit proclamé le palmarès de ce verdict 2023, établi le 16 novembre dernier à Dijon en présence de Julien FAIVRE, directeur du Conseil national des Villes et Villages Fleuris.
Les résultats :
66 communes ont participé à ce palmarès 2023 ainsi que des campings et des écoles.
Communes de l’Yonne labellisées en 2023
Obtention du label VVF une fleur :
Fontaine-la-Gaillarde, 505 h
Noyers-sur-Serein, 612 h
Malay-le-Grand, 1 543 h
Vallan 680 h
Obtention du label VVF trois fleurs
Gron 1 223 h
Renouvellement du label deux fleurs aux communes de
Cheny 505 h
Saint-Privé, 612 h
Saint-Denis-les-Sens 1 543 h
Tonnerre 680 h
Renouvellement du label trois fleurs à Chablis
Propositions de labellisations 2024
À l'issue de ses visites du mois de juillet 2023, le Jury départemental a établi les propositions de labellisations suivantes, qui seront évaluées au cours de l'été 2024 par le jury régional des Villes et Villages Fleuris de Bourgogne-Franche-Comté :
◼ Pour le label 1 fleur, les communes de :
- CHARBUY 1 950 h
- CHICHÉE 315 h
- COULANGES-LA-VINEUSE 859 h
- SAINT-BRIS-LE-VINEUX 1 054 h
VILLES ET VILLAGES FLEURIS
1re catégorie - Communes de moins de 200 habitants
DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES - 286 h. – pour la mise en valeur des sources de la Druyes, un espace soigné et agréable, véritable lieu de vie avec le parcours de santé, l'aire de jeux et la guinguette.
Catégorie - Communes de 501 à 1 000 habitants
COULANGES-LA-VINEUSE - 825 h. – pour la nouvelle création paysagère du Jardin des Dames, véritable îlot de fraîcheur en cœur de bourg, et pour la végétalisation des rues en concertation avec les habitants.
4e catégorie - Communes de 1 001 à 2 000 habitants
SAINT-BRIS-LE-VINEUX - 1 054 h. – pour l'aménagement de la ceinture verte autour du village et du maillage permettant de découvrir le bourg et son patrimoine.
VILLES ET VILLAGES FLEURIS
PRIX SPÉCIAUX DÉPARTEMENTAUX
Prix Coup de cœur du Jury
CHICHÉE – 315 h. pour l'implication exemplaire de bénévoles dynamiques et passionnés, en lien avec la municipalité, qui œuvrent en faveur de la végétalisation du village pour un cadre de vie agréable.
- SAUVIGNY-LE-BOIS – 730 h. pour le jardin potager pédagogique mis en place par la commune dans le cadre des activités périscolaires. Ce jardin a été récompensé au niveau national cette année par la Société Nationale d'Horticulture de France.
Prix de la 1re participation
Ce prix est destiné à encourager une commune ayant fait des efforts particulièrement remarquables la 1re année de son inscription.
- CHARENTENAY – 305 h.
- SERGINES – 1 300 h.
Prix de l'Arbre
Ce prix récompense les communes ou particuliers qui, possédant un arbre remarquable, ont mis en place des mesures visant à le protéger, l'entretenir dans les règles de l'art et le promouvoir.
La commune de MALAY-LE-GRAND – 1 580 h. pour son remarquable Tulipier de Virginie, bien entretenu et préservé, situé dans le parc municipal derrière la Mairie.
Prix du Jardinier Michel-Viault
Récompense un travail d'excellente qualité, mené par un ou plusieurs agents communaux - ou par des bénévoles - qui se sont investis de façon exemplaire dans le fleurissement de leur commune.
◼ L'équipe de jardiniers de la commune de CHARBUY – 1 950 h.
PRIX DÉPARTEMENTAUX ACTIONS EN PARTENARIAT
Prix des Campings Fleuris
En partenariat avec la Fédération départementale de l'Hôtellerie de Plein Air
Présidente : Pascale CAMONIN
Catégorie Campings communaux ou intercommunaux
- 1er prix : Camping Les Coullemières à Vermenton
- 2e prix : Camping Sous Roche à Avallon
- 3e prix : Camping d'Épizy à Joigny
Campings privés ou associatifs
- 1er prix : Camping Au Bois Joli à Andryes
- 2e prix : Camping Beauséjour à Sergines
Félicitations du Jury :
- Camping Le Moulin Jacquot La Belle Étoile à Accolay / Deux-Rivières
- Camping Le Parc du Château à L'Isle-sur-Serein
- Camping La Gravière du Moulin à Lézinnes
- Camping de l'Armançon à Saint-Florentin
- Camping Le Bois Guillaume à Villeneuve-les-Genêts
Prix des Jardins des Écoles de l'Yonne
Ce prix récompense les plus belles réalisations en matière d'atelier de jardinage dans les écoles.
Présidente : Annie THIROUARD
Catégorie écoles primaires :
- 1er prix : École primaire des Clairions à Auxerre
- 2e prix : École primaire de Rogny-les-Sept-Écluses
- 3e prix : École primaire de Beauvoir
Catégorie activités périscolaires, centres de loisirs et établissements spécialisés :
- 1er prix : Accueil périscolaire ACLM de Charmoy
Félicitations du Jury :
- École primaire Marcel-Pagnol à Migennes
- École primaire de Venizy
LISTE DES COMMUNES DE L'YONNE LABELLISÉES
Communes Communes
Arces-Dilo Bléneau Champcevrais Cheny
Chitry-le-Fort Escamps
Crain Lavau
Étigny Massangis
Fontaine-la-Gaillarde Quincerot
Gisy-les-Nobles Saint-Denis-lès-Sens
Gland Saint-Privé
Gurgy Sauvigny-le-Bois
L'Isle-sur-Serein Tonnerre
Lasson Villeneuve l'Archevêque
Malay-le-Grand
Mézilles Communes
Nailly Avallon
Noyers-sur-Serein Chablis
Perrigny Chevannes
Quarré-les-Tombes Gron
Rogny-les-Sept-Écluses Joigny
Saint-Fargeau Migennes
Saint-Florentin Monéteau
Toucy Paron
Val-de-Mercy Saint-Georges-sur-
Vallan Baulches
Vaudeurs Saint-Julien-du-Sault
Vincelles
Commune
Sens
Thierry BRET
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La vidéo, atout cœur pour relayer les messages des entreprises : ça va tourner avec PAYMAL NETWORK !
décembre 27, 2023C’est une nouvelle corde à son arc. Une de plus, pourrait-on dire ! Depuis le lancement de son bureau de presse, spécialisé dans la communication des agences de design, d’architecture, d’hôtels-restaurants, du tourisme ou de l’industrie, en 2009, Christophe PAYMAL ne cesse de diversifier ses activités à l’échelle hexagonale – le garçon est très bien implanté à Paris – comme en Bourgogne Franche-Comté. En ajoutant la ligne « vidéo et image » à son catalogue, il compte bien engranger de fructueuses affaires en 2024…
CHEVANNES : Ca phosphore beaucoup dans la tête de ce truculent personnage. Un communicant pur jus, il pratique son métier avec passion et bonheur. C’est suffisamment rare pour le signaler dans un secteur fortement concurrentiel où l’a peu près n’est pas autorisé.
Ici, dans ce sérail à réserver aux initiés, on parle de relations publiques, de relations presse, de communication digitalisée ou sur papier, à l’ancienne, avec attachées de presse, journalistes free-lance, entre convivialité et expertise. Le Nirvana de la communication !
Une communication dans la plus pure des traditions entrepreneuriales qui garde encore ses vertus et ses lettres de noblesse dans la filière. Christophe PAYMAL s’est donc fait un nom. Un patronyme à l’anglaise qui lui aura permis de tester ses capacités internationales pour s’envoler vers des expériences heureuses de l’autre côté de l’Atlantique. Aux States, tout d’abord, dans l’une de ses mégalopoles de référence, « Big Apple », évidemment, c’est-à-dire New York, la venteuse et si tempétueuse au niveau de l’esprit, du fun et de sa qualité de vie !
Ensuite, il y aura le retour sur Paris. PAYMAL is back et le fait savoir autour de lui, lui qui rejoindra de prestigieuses agences de communication aux raisons sociales connues et reconnues chez les aficionados : « Carré Noir », « Dragon Rouge ». Tout un programme en somme qui exacerbe sa puissante créativité.
Une nouvelle corde à son arc : l’image via la vidéo
Ses sphères d’influence sont le design et ses designers (parfois fantasques mais toujours situés aux confins du génie et de la créativité), l’architecture – ce n’est pas pour rien qu’il s’intéresse aux vielles pierres et qu’il vit aujourd’hui dans un ancien presbytère à l’atmosphère cossue et intimiste -, le tourisme, aussi, via deux de ses vecteurs les plus représentatifs que sont l’hôtellerie et la restauration. Ah, ces arts de la table qui font grâce aux épicuriens que nous sommes !
On peut revendiquer la terminologie traditionnelle et non galvaudée de la communication et de ses valeurs tant au niveau des méthodes que de l’esprit sans pour autant ne pas se désintéresser de l’évolution du métier et de ses nouveaux outils digitaux.
Christophe PAYMAL le prouve en ajoutant une nouvelle corde spécifique à son arc, devenu une harpe mélodieuse au fil du temps, en proposant désormais la communication par l’image, via la vidéo. Pour se faire, le chef d’entreprise s’est appuyé sur les compétences d’un spécialiste de la technique, un vidéaste auxerrois, « véritable geek » selon le portrait qu’il en fait, Geoffrey MANCIAUX. La première des réalisations filmées a vu le jour en ce mois de décembre qui s’achève doucement sur une note de température peu hivernale. Un clip réalisé au profit de la société VALOUR + LEMAIRE, spécialiste comme les puristes de gin, de brandy et de spiritueux le savent, de conception maison de produits à consommer avec extrême modération ! La structure de Tonnerre se sert de ce document comme d’une carte de visite : idéale pendant la période des fêtes afin de vanter la qualité et la gamme de leurs nombreux produits.
Valoriser le savoir-faire des entreprises sur les réseaux sociaux…
« L’image donne un sens à notre évolution naturelle, explique Christophe PAYMAL qui pourrait aussi s’adjoindre les services de nouvelles belles plumes rédactionnelles dans les semaines à venir – chut, c’est encore un secret que nous révélerons un peu plus tard ! – d’autres projets de très courts métrages sont déjà en préparation… ».
Notamment dans le domaine du tourisme et de l’hébergement d’hôtes.
Co-auteur avec le journaliste de France 2 Jean-Claude ALLANIC d’un ouvrage faisant référence sur le sujet cette année (« Parlez-moi de moi, je veux le 20 heures ou les dessous des relations presse », publié aux éditions Designfax), Christophe PAYMAL, aujourd’hui à 100 % bourguignon, veut s’adresser aux TPE,PME et collectivités locales afin de proposer ces nouvelles prestations, au résultat probant et résumé en trois à quatre minutes, pour valoriser leur image et savoir-faire. Une stratégie qui s’avère payante pour les structures ayant déjà fait appel à ses services, y compris pour les diffusions de ces clips sur les réseaux sociaux.
Thierry BRET
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Marie-Louise FORT « panthéonisée » à sa manière à l’Amphi : son souvenir planera à jamais sur le Grand Sénonais…
décembre 26, 2023Dès le premier regard jeté sur le petit cadre de plexiglass, contenant son portrait posé sur le mur de l’amphithéâtre communautaire, c’est le sourire éclatant, plein de joie et empli de vie qui saute aux yeux. Celui d’une femme agréable, à l’allure soignée, respirant le dynamisme, épanouie dans son rôle d’édile de Sens et de présidente de la Communauté d’Agglomération du Grand Sénonais. Une femme en parfaite maîtrise de ses moyens, sûre de son fait mais malgré tout, figée ici pour l’éternité. Une grande dame de la politique régionale au caractère parfois bien trempé, Marie-Louise FORT. Un personnage public qui « siègera » désormais de façon intemporelle parmi les élus de la communauté…pour mieux les inspirer et les guider ?
SENS: Bien sûr que chacune et chacun aura ressenti sa présence en ces lieux qu’elle avait inaugurée il y a quelques années en arrière. Même éthérée et évanescente, parmi l’assistance. Il ne pouvait en être autrement, d’ailleurs vis-à-vis de ce vibrant hommage rendu à l’une des grandes absentes physiques de ce rendez-vous.
Tour à tour, les interlocuteurs se succédant au pupitre du nouvel hémicycle communautaire en feront même mention dans leurs propos chargés en émotivité. Comme si, intérieurement, ils le désiraient de tout leur cœur. Et si elle apparaissait vraiment devant eux, le sourire aux lèvres et le mot de courtoisie l’accompagnant ?
Marc BOTIN, tout d’abord, son successeur à la présidence du Grand Sénonais, avec une once de fébrilité dans la voix lors de son discours.
Puis, Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental, qui pour rien au monde n’aurait voulu manquer ce déplacement capital dans la grande ville de l’Yonne septentrionale pour saluer la mémoire de celle avec qui il chicanait de temps à autre dans ce jeu politique qui n’est pas sans amitiés !
Wassim KAMEL, enfin, ce nouveau sous-préfet de l’arrondissement sénonais, dont les paroles, prononcées à chacune de ses interventions publiques, sont empreintes de sagesse, d’humanisme et de profonde sérénité. Un représentant de l’Etat à même d’être en phase directe avec les citoyens…
Une fois le voile tombé, de la stèle commémorative posée là sur le mur à hauteur de regard près de la sortie de l’amphithéâtre, on ne peut être frappé que par cette vitalité que dégageait l’aura de cette femme, totalement investie à ses missions d’élue. Marie-Louise FORT ! Comme elle portait si bien son patronyme même si elle nous a quittés trop vite, trop tôt…à cause de trop d’investissements de sa personne à vouloir résoudre les problématiques des autres, peut-être ?
On nomme cela l’altruisme, la solidarité, la générosité, l’implication, la rigueur, le perfectionnisme…, le sens du devoir et du service.
S’attarder un instant sur cette plaque de plexiglass où figure un joli portrait tout sourire de la disparue, permet d’y découvrir le vadémécum succinct de cette dernière, mais aussi d’y lire une petite phrase, attribuée à Madame ROLAND en 1864, qui résumerait presque, pour celles et ceux qui la connaissaient bien, ce singulier personnage de la politique régionale inoubliable et dorénavant immortelle. « Le sentiment est mon guide. Puisse-t-il me tenir lieu d’esprit et de talent !… ».
Tout est dit ou presque en ces quelques mots limpides et clairvoyants. Sans doute, Dominique, son époux, et sa fille, Mathilde, auront reconnu l’un des leitmotivs préférés de leur proche parente dont on évoquera la mémoire en ces instants.
Une Marie-Louise FORT « panthéonisée » à sa manière dans le saint des saints de ce que représente la vie politique et publique du Sénonais : ce fameux amphithéâtre, siège des assemblées communautaires, où désormais son éternel sourire de lumière éclairera les travaux…
Thierry BRET
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Un front consensuel pour le nouveau lycée du nord de l’Yonne : Julien ODOUL rallie toutes les parties prenantes !
décembre 24, 2023On se pincerait presque le derme tant l’image qui nous est proposée là, se veut rarissime dans le landerneau de la politique icaunaise. Des élus, certes de droite, mais tous unis et parlant d’une même voix sans l’once d’une attitude politicienne néfaste, au service d’une noble et juste cause. La nécessité de se voir doter un jour (quand ?) d’un nouvel établissement scolaire, un lycée, qui viendrait désengorger les infrastructures de Sens, archi bondées au niveau de ses effectifs et de ses classes. Quand les élus de LR, du RDPI (Rassemblement des Démocrates, Progressistes et Indépendants) ou du RN sont sur la même longueur d’ondes, en somme. Et ce n’est pas une légende de Noël !
VILLEBLEVIN: On peut ne pas partager les mêmes idées politiques et finalement se retrouver sur la même ligne de défense (ou d’attaque constructive selon les cas) d’un projet, surtout lorsque ce dernier doit agir dans l’intérêt général des citoyens. A quelques jours de la fête de la Nativité (Noël pour les incultes !), le miracle a eu lieu ou presque au foyer communal de la localité quasiment la plus septentrionale de notre territoire, située à quelques encablures de la Seine-et-Marne limitrophe. Certes, il ne s’agissait que de représentants politiques estampillés de la droite républicaine et souveraine, mais tout de même, cela n’arrive pas tous les jours dans le sérail icaunais !
Déjà, sur le carton d’invitation médiatique, adressé quelques jours auparavant par le député de la troisième circonscription de l’Yonne, Julien ODOUL, on pouvait s’y reprendre à deux fois au niveau de sa lecture pour bien assimiler ce qui allait se tramer dans la bourgade du nord de l’Yonne un peu plus tard.
Non seulement, le nom du parlementaire et porte-voix du Rassemblement national y figurait en pôle-position mais en outre il était assorti des patronymes de Grégory DORTE, le premier vice-président de la majorité départementale (LR/UDI) de l’Yonne, de la conseillère départementale Dominique SINEAU et du président de la Communauté de communes Yonne Nord, Thierry SPAHN. Manquait à l’appel, sur le papier, le sénateur de l’Yonne et proche de la gouvernance étatique en sa qualité d’ancien ministre, Jean–Baptiste LEMOYNE, qui se sera greffé entre-temps sur ce rendez-vous qualifié d’historique par le représentant de la formation bleu marine.
Une réunion non partisane, sans clivage et pas artificielle…
Bref, on l’aura compris la future manifestation qui allait se vivre devant une trentaine d’élus et membres des autorités éducatives et administratives autorisées (curieusement, il manquait à l’appel les représentants des lycées JANOT et CURIE de Sens, retenus dans le même laps de temps par une réunion dite extraordinaire !), présentait des arguments nécessitant un long déplacement depuis la capitale de l’Yonne vers VILLEBLEVIN, même passé les horaires respectables pour jeter un journaliste sur la route, soit à 19 heures !
Bon, c’est sûr, pour les puristes de la petite phrase et de l’envoi de banderilles acerbes mais bien contenues, il y aura quelques moments croustillants à se mettre entre les oreilles avec certains protagonistes plutôt amusé par les circonstances, et ce dès le début de la prise de parole explicative !
Péremptoire, Grégory DORTE balancera tout de go dès que le micro lui fut tendu « qu’il n’avait pas voté Marine LE PEN » lors des dernières présidentielles ! Réplique instantané d’un Julien ODOUL, arborant un complet sombre et cravate bleu foncé, « c’est vrai qu’avec Grégory, nous nous sommes souvent frittés par le passé et que nous ne partageons pas les mêmes idées ! ».
Une manière concrète et courtoise de marquer les territoires politiques respectifs de chacun, sous le trait de l’humour, avant de revenir à des choses nettement plus sérieuses. Grégory DORTE et Julien ODOUL étaient à l’origine de cette rencontre, façon pose de jalons initiaux afin de bien cerner la problématique.
L’énoncé du problème revenait au député qui rappela en guise de préambule les choses suivantes : « En mars dernier, nous avons interpellé le gouvernement et la Région Bourgogne Franche-Comté sur la nécessité de construire un nouveau lycée dans le nord de l’Yonne. Afin d’anticiper la croissance démographique de notre territoire et de renforcer son attractivité, de répondre aux enjeux liés à la surpopulation scolaire des lycées de Sens, et de favoriser l’accès à un enseignement de qualité et de proximité, nous avons décidé d’organiser une réunion d’information avec l’ensemble des élus concernés et les autorités éducatives et administratives… ».
« Circuler, il n’y a rien à voir ! » : la réponse de la Région…
Observant l’absence de débats sur le sujet au sein de l’hémicycle régional qu’il côtoie pourtant très régulièrement, Julien ODOUL reprocha à la Région BFC de ne pas avoir provoqué de discussions à propos de ce projet prometteur et porteur d’avenir pour le nord de l’Yonne.
« Nous sommes tous convaincus de la pertinence de ce dossier, projet à la fois d’éducation et d’attractivité, mais aussi social et qui prépare les années à venir de ce secteur géographique. Depuis trop longtemps, nous sommes les parents pauvres de la Bourgogne Franche-Comté en termes d’investissements et de transports. On semble vivre comme dans un no man’s land ! Est-ce imputable à notre éloignement avec Dijon ? Ou à notre proximité relative avec l’Ile-de-France ? On a un vrai souci sur l’avenir de ce territoire… ».
Comme à son habitude, le numéro cinq du Rassemblement national ne fut pas tendre avec l’exécutif régional à qui il demanda des comptes. « Il n’y a rien de pire que d’étouffer un débat et de museler une discussion… ». Une petite flèche que le parlementaire eut le plaisir de décocher en direction de Marie-Guite DUFAY !
« Comment expliquer que ce soir, opportunément, il y ait une réunion du Conseil d’administration des lycées de Sens en même temps que notre réunion d’information, s’interrogea dubitatif mais un brin ironique Julien ODOUL, je le regrette, naturellement, tout comme je regrette l’absence de la Région et de ses représentants que nous avons sollicités plusieurs fois déjà ! Invités à prendre part à cette rencontre, la réponse a été très claire : « Circuler, il n’y a rien à voir ! ». ».
Le SRADDET contredit les arguments démographiques de la Région
Côté arguments, dont ceux avancés par les acteurs bloquants de ce projet (le ministère de l’Education nationale, le rectorat et la Région BFC) – chacun se renvoyant la balle sans vouloir trop se mouiller selon le député de l’Yonne -, la démographie est en ligne de mire.
Principale théorie dont la Région se fait écho : la perte du nombre des élèves d’ici une décennie dans l’Yonne, selon les courbes statistiques fournies par le rectorat. Des arguties que Julien ODOUL balaie du revers de la main.
« D’autres arguments en contradiction avec ceux annoncés par la Région sont à prendre en compte, souligna l’orateur, ils émanent de la Région elle-même, dans le cadre du SRADDET (Schéma régional d’aménagement, de développement durable et d’égalité des territoires) avec une perspective d’évolution en 2050 des données démographiques. Que dit le SRADDET ? Il affirme que la Région Bourgogne Franche-Comté vivra une évolution positive de sa population à horizon 2050 de l’ordre de 13 %. Soit dans les faits pour le département de l’Yonne de 60 000 habitants supplémentaires. Des personnes qui s’installeraient en priorité dans le nord du département, du fait de la proximité avec la région francilienne… ».
Une perspective sérieuse qui pourrait être applicable d’ici 25 ans, avec une hausse tangible de la population importante, dont des jeunes gens en âge de fréquenter des établissements scolaires donc des lycées, il va de soi.
Partant de ce postulat, les élus ayant provoqué ce rassemblement informatif ce jeudi invitèrent chacun des acteurs de la scolarité et institutionnels à se poser les bonnes questions pour élargir l’offre pédagogique de ce territoire, en privilégiant les investissements – l’édification d’un nouveau lycée au nord de Sens afin de résoudre en parallèle la problématique des trajets et celle des journées interminables de cours pour certains élèves – mais aussi en réduisant la voilure au niveau de la surcharge des effectifs en classe à Sens. L’une des grosses difficultés à l’heure actuelle dans les deux lycées sénonais, ayant provoqué la grogne et des remous dès la rentrée de septembre chez les syndicats d’enseignants.
Consensuel jusqu’au bout des ongles – ce n’est pas si souvent lorsqu’il expose ses idées ! (« Il se Macronise » plaisantera même Jean-Baptiste LEMOYNE à son endroit !)-, Julien ODOUL rappela en guise de conclusion ce « nécessaire besoin de rallier toutes les parties prenantes au-delà des étiquettes politiques » afin d’offrir une vie scolaire de proximité et de qualité digne, au nord de l’Yonne. Comme un cadeau de Noël, en somme !
Thierry BRET
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