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Le Forum des Associations reprend ses droits après deux ans d’absence : le bien-vivre à Chevannes mis en lumière…
septembre 04, 2021Richesse locale permettant à chacun d’avoir à proximité de son domicile une activité qui contribue à son bien-être, la vie associative était à l’honneur ce samedi 04 septembre dans la commune. Grâce à un forum plaçant sous le feu des projecteurs les activités de vingt-deux structures dynamiques…
CHEVANNES : Primordiales à la cohésion sociale et au bien-vivre dans la commune, les associations ? Sans doute ! Celles de cette localité périphérique d’Auxerre ont eu l’opportunité de se retrouver samedi 04 septembre pour proposer une découverte aux nouveaux habitants (et pourquoi pas aux plus anciens) de leurs réelles potentialités en matière d’activités.
Organisé de manière biennale, ce forum spécifique accueillait dans la salle polyvalente du village une kyrielle de structures symbolisant le dynamisme de cette bourgade forte de ses 2 300 âmes.
Modélisme, VTT, kick-boxing, football, tennis, gymnastique, théâtre, école de musique, Club de l’amitié, pratique de la samba ou de la danse (DK Dance) côtoyaient des références de la vie associative moins conventionnelles mais aussi importantes que peuvent l’être l’ADMR, les sapeurs-pompiers ou la FNACA.
On notait la présence du Fonds de sauvegarde du patrimoine (la commune a consenti des budgets importants à la réhabilitation de monuments chargés d’histoire) ou de la paroisse.
Pas de baisse des subventions malgré la morosité budgétaire…
Lors de sa prise de parole, Dominique CHAMBENOIT, premier élu, saluait leurs initiatives diverses et variées déclinées tout au long de la saison.
« Les associations méritent d’être mises à l’honneur en leur permettant d’aller à la rencontre de leurs futurs adhérents… ».
Pour l’élu, cela ne fait pas l’ombre d’un doute : l’importance des associations n’est plus à démontrer. Elles sont à ranger parmi les principaux supports de la vie citoyenne.
Porteur de bonnes nouvelles, Dominique CHAMBENOIT a profité de son allocution inaugurale pour annoncer que l’équipe municipale avait décidé de ne pas baisser les subventions accordées à ces entités, malgré la morosité ambiante, synonyme de restrictions budgétaires à tout crin.
Convaincu que le bénévolat et ses principes vertueux possédaient encore de beaux jours, le maire invita ensuite l’assistance, certes un peu éparse en cette fin de matinée, à rejoindre le cocktail.
On notera la présence de la conseillère départementale, Delphine BILLON, venue en famille, venir encourager les associations dont celle de son époux, responsable du kick-boxing. Quant à l’élue auxerroise, Dominique MARY, c’est en amie du monde associatif et en qualité de présidente de Passerelle, qu’elle participait à ces retrouvailles concoctées dans un esprit bon enfant…
Thierry BRET
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La flambée des matières premières contraint la mairie de Sens à différer certaines rénovations de groupes scolaires
septembre 04, 2021La ville de Sens se retrouve indirectement confrontée à la hausse des prix des matières premières. Mais en dépit de quelques déconvenues, elle a pu mettre en œuvre une bonne partie de ses projets de rénovation estivaux. Les élus ont présenté un bilan des travaux réalisés cet été dans et aux abords des écoles pour un montant total de 309 802,97 euros, quelque peu inférieur, de fait, au budget prévisionnel…
SENS : Après un ralentissement forcé pendant la crise sanitaire, l’investissement dans la réfection du patrimoine de la ville commence à retrouver un rythme normal.
« On est vigilant à ce que toutes les écoles puissent bénéficier de rénovations-travaux. Surtout on s’assure que les petites choses, qui ne sont pas forcément très chères mais qui sont indispensables, par exemple un petit endroit pour les vélos, vérifier que les fenêtres s’ouvrent bien et sont sécurisées, un nid de guêpe à enlever, ont été vérifiées avant la rentrée. Il y a eu vraiment un travail minutieux de la part des services pour que toutes ces petites anomalies puissent être réparées avant la reprise des élèves » déclare Paul-Antoine de CARVILLE, premier adjoint au maire chargé de l'Urbanisme, des grands projets structurants et de la gestion patrimoniale.
De nombreuses installations nécessitaient une rénovation, parfois importante comme le remplacement du Système de Sécurité Incendie (SSI) de l’école Gaston Marnot (28 562 euros). Le service Espaces Verts a réalisé en régie, le nettoyage (5 733 euros) et la révision des jeux (1 228,50 euros) pour l’ensemble des écoles.
L’une des plus grosses enveloppes est dédiée au désamiantage et la pose d’un sol souple dans les salles de classe et un bureau du groupe scolaire Aristide Briand, soit un montant de 82 186,44 euros.
Autre gros chantier : la réfection des faux plafonds, installation de placo acoustique, électricité, plomberie et peinture en salle élémentaire et mixte du restaurant scolaire Maxime Courtis. Des travaux qui ont duré environ six semaines et coûté au total 60 028,17 euros.
La hausse des matières premières freine la mise en œuvre des projets de rénovation...
Des chantiers, notamment la réfection des sanitaires de l’école élémentaire Paul Bert et de l’école maternelle Cours Tarbé, n’ont pas pu être réalisés. Entre une absence de candidature aux appels d’offres et des prix exorbitants, la mairie de Sens s’est vue contrainte de les reporter à l’été 2022.
« Parfois, on n’était à trois fois le prix initial. Du coup, c’est impossible de prendre raisonnablement ces tarifs-là. Même d’un point de vue marché public, c’est dangereux parce que c’est anormalement haut. C’est lié au fait que, certes, il y a l’augmentation des matériaux » explique Paul-Antoine de CARVILLE.
Accablées par la crise sanitaire depuis de nombreux mois, les entreprises en ont-elles profité pour gonfler leurs tarifs comme le soupçonne également l’élu ?
Difficile de s’avancer sur ce point. Mais ce qui est certain, c’est que les entreprises du bâtiment et des travaux publics assistent à une hausse inédite du coût des matériaux et des matières premières. Le prix du bois a doublé, tout comme celui du PVC, et l’acier a augmenté de 60 à 70 %.
La Fédération Française du Bâtiment estime d’ailleurs que 15 % des entreprises ont peiné à continuer au moins un chantier durant cet été.
En cause, une pénurie de matières premières à l’échelle mondiale en raison de la reprise des activités de la Chine et des Etats-Unis qui a entraîné une forte demande. Certaines tensions entre des pays, notamment les Etats-Unis et le Canada, auraient limité les exportations de certaines matières premières comme le bois ou l’acier.
Cependant, selon la plupart des économistes comme Philippe CHALMIN, président fondateur de l’Institut de recherches européen sur les marchés des matières premières CyclOpe, ce phénomène d’inflation ne devrait pas s’inscrire dans la durée.
Floriane BOIVIN
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Prise de contact sereine : les BTS du groupe Saint-Joseph-la-Salle vont retrouver les cours en présentiel à Auxerre
septembre 04, 2021La bonne nouvelle a été lâchée par François-Xavier WILLIG, nouveau responsable du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle. Les cours des trois BTS seront assurés en présentiel. Une vraie bouffée d’oxygène pour des enseignants et étudiants sevrés de présence physique durant une saison complexe, imputable à la pandémie de coronavirus.
AUXERRE : L’année dernière, à pareille époque, parents d’élèves et étudiants avaient fait grise mine en étant privés de ce rendez-vous de pré-rentrée indispensable pour prendre la température ambiante. Celle, ô combien nécessaire, de ces retrouvailles (pour les deuxièmes années) et de la découverte pour les néophytes avant de fréquenter l’établissement devant les accueillir tout au long de la saison.
La COVID-19 était passée par là. Avec son lot indigeste de situations ubuesques, de contraintes diverses à respecter et de privations de présence physique, notamment pendant les cours.
Mais, cette fois-ci, les choses semblent être rentrées dans l’ordre. Le successeur de Marc BESANCENEZ, parti depuis sous d’autres cieux pour prendre la direction d’un nouvel établissement d’enseignement privé à Reims, François-Xavier WILLIG s’est voulu rassurant dès l’entame de sa prise de parole : « les étudiants des trois sections BTS se retrouveront en présentiel ! ».
Un ouf de soulagement pour les familles qui assistaient à ce cérémonial convivial de prise de contact.
Innovation avec le BTS Management opération de la sécurité….
Directrice de l’enseignement supérieur au sein du groupe scolaire catholique, Céline MARTI prit soin de présenter l’équipe pédagogique dont quelques-uns de ses représentants participaient à cette soirée informelle.
Professeur de lettres (elle enseigne en parallèle de la direction de l’établissement), Céline MARTI évoqua le charisme lassalien et la philosophie inculquée dans cet établissement, fondé par des frères il y a trois siècles.
« Le jeune est au centre du projet pédagogique, devait-elle expliquer, les équipes sont à son service pour construire son futur en lui transmettant des valeurs humanistes… ».
Trois sections BTS accueillent en cette rentrée une centaine d’étudiants. Pour mémoire, celui du commerce international et celui des métiers du notariat avec un partenariat mis en place depuis longtemps avec la Chambre départementale des notaires. La nouveauté provient du BTS M.O.S., pour Management opérationnel de la sécurité. Ce dernier cursus s’inscrit dans le prolongement du bac pro spécifique pour s’initier aux métiers de cette filière.
Thierry BRET
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A 16 ans, elle pilote seule un avion : Selya LEGENDRE veut vivre le mythe d’Icare à Mach 3 !
septembre 03, 2021Ce n’est encore qu’une adolescente. Pourtant, elle a su faire fi des préoccupations habituelles des jeunes filles de son âge. La tête et l’esprit déjà bien accrochés dans les nuages. Voire au-dessus, dans le ciel. Pour mieux tutoyer les étoiles ? Peut-être ! Selya LEGENDRE ne vit aujourd’hui que pour sa passion : le vol aérien que la demoiselle vient de découvrir en solo à 16 ans, exécutant sa première sortie. En rêvant du summum : intégrer l’armée de l’air et devenir pilote de chasse…
AUXERRE : Il aura suffi d’un simple baptême de l’air pour enclencher au plus profond de son ADN une véritable mutation passionnelle. La fillette venait à peine de souffler les dix bougies de son gâteau d’anniversaire. Elle n’aurait pu imaginer à cet âge aussi juvénile que l’aérodrome de Branches deviendrait un jour son terrain de jeu préféré. Merci, maman et papa !
Aujourd’hui, avec la bénédiction urbi et orbi de son instructeur, Thibault ROUSSEAU, de l’Aéro-Club d’Auxerre, la jeune fille a entrevu le pallier initial qui l’amènera peut-être un jour à transformer le rêve à la réalité. Vivre professionnellement sa passion du pilotage dans le cockpit d’un aéroplane !
Mais, attention, que l’on ne s’y méprenne pas sur les intentions de cette pilote chevronnée en herbe : le but ultime ne sera réellement atteint que lorsqu’elle vivra d’intenses sensations en encaissant Mach 3 à bord d’un Mirage 2000 de l’armée de l’air tricolore !
« J’adore l’aviation, confie-t-elle, je veux en faire mon métier plus tard en devenant pilote de chasse… ».
Un sentiment de liberté et une autre vision sur le monde…
Alors que tant d’autres de ses camarades envisagent d’embrasser la carrière de coiffeuse ou d’infirmière, Selya se projette vers une toute autre dimension. Sa rentrée, elle l’effectue en première générale au lycée La Brosse. Curieux : un établissement d’enseignement agricole pour la future licenciée de la Patrouille de France ?! Ce n’est pas incompatible puisque le site l’accueille dans une série S, à composante scientifique.
Mais qu’éprouve vraiment la jeune demoiselle lorsqu’elle évolue à bord de son avion ?
« Quand on est dans les airs, explique-t-elle, plus rien n’est pareil. Je ressens une sensation de liberté, une autre vision du monde… ».
Mais, avant de se lancer seule dans cette aventure à effrayer tous les parents qui absorbent des anxiolytiques lorsqu’ils choient d’un peu trop près leur progéniture, cette émule de « l’As des As » a dû endurer bon nombre de chausse-trappes et de leçons complexes pour y parvenir.
« Il faut posséder le BIA (Brevet d’initiation aéronautique), commente-t-elle, soit la partie théorie de l’apprentissage additionnée à un certain nombre d’heures de vol… ».
A minima : 45 heures. Toutefois, il n’y a pas d’âge rédhibitoire pour commencer à voler de ses propres ailes. Du moment que l’apprenti pilote puisse atteindre les palonniers !
Le parachutisme, prochain défi de la jeune fille !
Sa première expérience, seule derrière les manettes, Selya l’a vécue il y a peu dans le ciel d’Auxerre. Des instants inoubliables qui resteront à jamais gravés dans ses neurones.
« Ce qui est le plus stressant dans ces conditions, ajoute-t-elle goguenarde, c’est que personne ne peut rattraper la moindre erreur à l’atterrissage ! ».
Un sentiment d’excitation extrême qui fait monter l’adrénaline dans les tours !
Pas étonnant que les géniteurs des adolescents aventuriers se repaissent continuellement de médocs anti-stress !
Prochaine étape dans ce besoin quasi viral de vivre des sensations fortes dans les airs : un saut en parachute à accomplir le 26 septembre prochain.
Avec, comme tuteur, l’un des maîtres de la spécialité en France et à l’international : le vice-champion du monde Paul GRISONI en personne qui vient de réaliser son 22 000ème saut cet été !
Thierry BRET
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Les mots dans leurs diversités culturelles : le festival Parole et Parole(s) à l’heure de la francophonie
septembre 03, 2021Les échanges devraient être fructueux entre les intervenants du plateau conférence consacré à la pratique des langues et langages du monde. Dans le cadre du festival « Parole et Parole(s) », programmé ce week-end à Auxerre, les diversités culturelles occuperont le haut de l’affiche au nom de la francophonie. Elles illustreront l’approche originale de l’usage des mots…
AUXERRE: Ce sera un tour d’horizon éclectique, et sans aucun doute harmonieux, expliquant la manière dont sont utilisés les mots, dans le cadre d’une langue ou d’un langage. Ce voyage linguistique original sera proposé ce samedi 04 septembre par la Maison des Jumelages, de la Francophonie et des Echanges internationaux dans le cadre du premier festival « Parole et Parole(s) ». L’un des nombreux temps forts devant ponctués cette journée, devenue le symbole des arts de la parole.
Accueilli dans la salle de conférence de l’abbaye Saint-Germain, entre 14 et 15h15, le thème mettra en scène plusieurs orateurs de haute volée. A commencer par la présidente de l’association icaunaise, Marité CATHERIN, ardente défenseuse de la francophonie, de ses multiples vertus et de sa promotion.
L’accompagneront dans cet échange le directeur du théâtre des Asphodèles de Lyon, Thierry AUZER, et le poète Mehdi KRUGER qui clôturera son intervention par un concert version slam.
On notera aussi la participation de l’écrivaine franco-libanaise Salma KOJOK, présidente du prix Goncourt de l’Orient.
Thierry BRET
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