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L’esprit du grand large souffle sur le lycée Vauban, vivier de jeunes recrues pour la Marine nationale…
novembre 30, 2020Coquillages et crustacés. On connaît la célèbre ritournelle popularisée par le joli minois de Brigitte BARDOT au temps de sa splendeur langoureuse. On ne savait pas, en revanche, que parmi les élèves qui fréquentent les classes professionnelles préparant aux métiers de l’hôtellerie restauration certains pouvaient prétendre rejoindre la Marine nationale pour y faire carrière ! Une opportunité maritime qui s’appuie depuis quatre ans sur un partenariat…
AUXERRE : L’initiative est rarissime dans le landerneau régional. Mieux : elle est unique et tout à l’honneur du lycée des métiers de l’Yonne qui a su en poser les jalons initiaux.
Dans ce lieu de savoir-faire, permettant d’embrasser une carrière dans l’hôtellerie et la restauration, voire celui plus exotique de s’illustrer dans le monde des cocktails grâce à ces mentions spécifiques, espérer tôt ou tard rejoindre la Marine nationale n’est donc pas une ineptie en soi.
Les embruns maritimes ont beau souffler loin des rivages icaunais, les jeunes « moussaillons » esthètes des arts de la table et des métiers de bouche du sérail bourguignon peuvent s’ils le désirent, après une phase préparatoire prise en charge financièrement par la Marine nationale, intégrer ce corps d’armée pour y exercer leur profession.
Car, c’est bien connu : dans les forces militaires, il y a pléthore d’opportunités pour s’insérer dans la vie active !
Initiée à l’origine en 2016, la convention de partenariat qui lie le lycée des métiers Vauban à la Marine nationale vient d’être prorogée de trois années supplémentaires. Selon la sage décision, prise par la directrice de l’établissement pédagogique, Capucine VIGEL, enthousiaste par ce projet.
L’expérience si elle demeure unique n’en est pas moins passionnante tant au plan intellectuel (la découverte des us et coutumes à bord d’un bateau, le rituel pour dresser la table du pacha – le commandant de bord –) qu’au plan des perspectives d’emplois offertes in fine.
De jeunes mousses avides d’en savoir plus sur les us et coutumes militaires…
A l’issue de leur diplôme, les apprenants peuvent bénéficier d’un contrat déclinable pendant un an, avant de s’embarquer sur un bateau pour y vivre une aventure inoubliable.
Début octobre, vingt-quatre de ces élèves, répartis en petits groupes, ont pris connaissance des potentialités de carrière existantes dans ce corps militaire. Le second volet de cette séquence découverte a eu lieu ce lundi 30 novembre.
Mais, malheureusement, sans la présence du premier-maître, Mme GUILLAUMAIN, cheffe de cuisine, qui fut refoulée le matin même par la gendarmerie nationale alors qu’elle sortait de la capitale par l’autoroute et qui s’est vue délivrée une amende conséquente malgré l’attestation en poche faisant foi de la nécessité de son déplacement professionnel dans l’Yonne !
Toutefois, cela n’empêcha nullement les deux intervenants militaires (le capitaine de frégate commandant Sylvain LE HOUSSEL et le premier-maître Sylvain OLIVIER) de délivrer leurs connaissances aux jeunes « mousses » avides d’en apprendre davantage sur les subtilités de la marine et de ses codes gastronomiques.
D’ores et déjà, et le rendez-vous est biffé dans les agendas des intéressés, quatre enseignants de Vauban dont les professeurs de cuisine Frédéric BENUCCI et Jérôme DE MEYERE iront s’immerger au cœur de la base navale de Cherbourg en octobre 2021. Ils y accompagneront une demi-douzaine de jeunes gens volontaires pour appréhender l’esprit du grand large. Et respirer l’air pur de ces embruns salvateurs…
Thierry BRET
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Les victimes de violences conjugales disposent de 12 places d’hébergement : l’Yonne renforce son dispositif…
novembre 30, 2020Douze. C’est le nombre de places d’hébergement qui viennent d’être créées sur notre territoire afin de répondre aux urgences vitales des femmes qui subissent au quotidien des outrages conjugaux. Une cellule de prise en charge est aussi opérationnelle pour renforcer le suivi des situations les plus complexes…
AUXERRE : Les violences faites à la gent féminine sont croissantes avec les périodes successives de confinement. Et sur ce registre très douloureux, l’Yonne n’est pas un département qui demeure inactif. Bien au contraire.
Engagé dans une démarche volontariste, notre territoire vient de prendre un certain nombre d’initiatives dans sa lutte contre ce méprisable fléau. La Journée internationale du 25 novembre aura permis de le rappeler à bon escient.
D’une part, une cellule de prise en charge des femmes victimes de violence est désormais fonctionnelle afin de suivre pas à pas les problématiques de ce fait de société.
D’autre part, ces malheureuses victimes de la vindicte masculine peuvent être hébergées en urgence dans l’une des douze places d’hébergement qui peuvent les accueillir sur l’ensemble du territoire départemental. Une création qui fait suite à un appel à projets national issu du Grenelle contre les violences conjugales.
Organisés en concertation avec les centres commerciaux LECLERC (Auxerre, Migennes, Saint-Denis-les-Sens), des points d’accueil éphémères tenus par les services de la CIDFF et ADAVIRS ont pu sensibiliser le jour J la population sur les dérives vécues en couple. Une manifestation à laquelle participait le préfet de l’Yonne Henri PREVOST à Auxerre…
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Ce mardi 1er décembre devrait être chaud bouillant pour la présidente de l’exécutif de Bourgogne Franche-Comté. Participant au comité de suivi du fonds de développement de l’industriel américain GENERAL ELECTRIC, Marie-Guite DUFAY entend bien défendre le projet de reprise d’activité déposé par les salariés de GE Hydro. Contre l’avis du directeur général de la filiale française…
DIJON (Côte d’Or) : Entre GENERAL ELECTRIC et l’exécutif de la Région Bourgogne Franche-Comté, le torchon brûle. Surtout après l’annonce de nouvelles suppressions de postes dans le cadre de la réorganisation de l’industriel américain. Ce sont 300 emplois qui sont sur la sellette dont 240 affectés au site de Belfort dans la branche du « steam power ». Celle qui conçoit la fabrication des turbines présentes dans les réacteurs des centrales nucléaires.
S’entretenant il y a peu avec le ministre de l’Economie et de la Relance Bruno LE MAIRE, Marie-Guite DUFAY endosse une fois de plus sa vêture de chevalier blanc, en défenseuse toute acquise à la préservation de l’emploi dans sa zone géographique de prédilection.
Favorable à un rachat par EDF et FRAMATOME de l’ensemble de la branche énergie de GENERAL ELECTRIC, ce qui favoriserait la création d’un grand groupe énergéticien aux couleurs nationales, l’élue régionale sollicite pour la énième fois la présidence de la République.
Depuis deux ans, Marie-Guite DUFAY multiplie en effet les contacts auprès d’Emmanuel MACRON afin que ce dernier s’empare enfin du dossier. En vain. Pour l’heure, rien ne bouge et ses demandes restent lettres mortes.
« Sans l’intervention du chef de l’Etat, nous assisterons à la destruction massive d’emplois et de compétences uniques au monde, souligne-t-elle dans un communiqué de presse, les intérêts de notre pays et la filière française de l’énergie sont menacés… ».
Exit le temps des promesses, des mensonges et des trahisons…
Fustigeant l’attitude du géant américain qui n’a pas tenu ses promesses (« depuis le rachat de la branche énergie d’ALSTOM, ce n’est que mensonges et trahisons…), Marie-Guite DUFAY dénonce la stratégie de l’industriel.
Une politique qui touche à la souveraineté industrielle de la France tout en mettant en péril notre indépendance énergétique et notre sécurité nationale à terme.
Il y a un an, GENERAL ELECTRIC s’était engagé après d’âpres tractations à signer un accord pour pérenniser l’activité gaz à Belfort. Mais, aujourd’hui, les négociations ne sont toujours pas abouties.
Quant aux mille emplois promis en France par l’industriel nord-américain, ils se sont évanouis comme par enchantement dans la nature. Laissant la place, en revanche, à de multiples plans sociaux ou de départs volontaires qui se succèdent en cascade.
Enfin, rappelons, qu’au mois de septembre dernier, ce sont 83 salariés de la filière Hydro qui ont été sortis des effectifs au nom d’une restructuration comptable.
Mardi, face à Hugh BAILEY, directeur général de GE France, et contre son avis, la présidente de région soutiendra mordicus les intérêts des salariés de GE Hydro qui consiste en une reprise de leur activité. Une rencontre qui sera certainement « électrique » entre les deux parties…
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Le droit aux libertés trouve toujours ses ardents défenseurs : l’Assemblée Populaire d’Auxerre ne faillit pas
novembre 28, 2020Evocateur, le nom de code identifiant la manifestation de la semaine dernière résumait à lui seul l’importance de l’engagement : « itinérance mémorielle en hommage à nos libertés ». Malgré le confinement et l’état d’urgence sanitaire, mais bel et bien dans le respect des gestes barrières et du port du masque, près de cent cinquante soutiens à l’APA répondirent présents en faveur des droits les plus élémentaires d’une démocratie : la liberté…
AUXERRE : Certes, l’itinéraire initial, une boucle de 2,8 kilomètres à parcourir dans l’hyper centre de la capitale de l’Yonne, aura été quelque peu raboté à la dernière minute ou presque. De neuf centres mètres, précisément, sur ordre de la préfecture. Une décision prise en ce sens, eu égard au contexte sanitaire du moment.
Mais, in fine, de manifestation en plein centre-ville, là où sont implantés les commerces de proximité servant de cause originelle à ce rendez-vous revendicatif populaire, il n’y aura pas !
Le cortège se sera rabattu sur un tout autre périmètre, celui des boulevards périphériques de la ville. Moins pourvus en échoppes artisanales et en commerces indépendants, mais offrant davantage d’espaces à la déambulation de manifestants.
Qu’à cela ne tienne ! Sur un parcours qui ne s’y prêtait guère puisque un peu trop excentré de leur objectif initial, les organisateurs de l’Assemblée Populaire d’Auxerre (APA) auront réussi leur pari de faire converger près de cent cinquante personnes désireuses de se mobiliser contre le cruel manque de liberté.
Utilisant les réseaux sociaux pour faire circuler l’appel à protester en amont, l’APA avait labellisé cette première manifestation déclinée à son estampille sous le sceau de « Gilets Jaunes ». Un clin d’œil ostentatoire au deuxième anniversaire du fameux mouvement populaire qui a rapidement fait tache d’huile dans l’Hexagone à l’automne 2018.
Des lieux d’arrêt très ciblés pour véhiculer les messages…
Le cortège démarra face au cinéma CGR dont les portes sont closes depuis plusieurs semaines. Un geste symbolique pointé comme un index dénonciateur en direction d’un lieu culturel ayant eu à subir la fermeture durant la période de confinement.
Le deuxième arrêt fut réservé à la première Maison du Peuple, près du passage Surrugue, un bâtiment emblématique chargé d’histoire érigé en 1903. Toute une époque !
Les banderoles se déroulèrent bon train durant la déambulation. On pouvait y lire les slogans suivants : « Etat d’urgence = libertés en danger » ou encore « Confinement, couvre-feu, état d’urgence : et nos libertés ? ».
Puis, ce fut au tour du Musée d’histoire naturelle (autre site culturel inactif depuis plusieurs semaines) de faire stopper la progression du cortège. Les restaurants ne furent pas oubliés avec un message déployé devant l’un d’eux, évoquant la mort d’un commerce essentiel à notre lien social…
Le gilet jaune symbole fort de l’union des colères…
Point névralgique de toutes manifestations qui se respectent, le Rond-Point de Paris accueillit les prises de paroles libres de celles et ceux qui souhaitaient s’exprimer en de pareilles circonstances, microphone en main.
Ce fut le cas d’une journaliste, adhérente au SNJ (Syndicat national des journalistes) qui parla notamment du grave recul de la liberté d’information dans notre pays. Une ultime étape avant la dislocation du cortège, place de l’Arquebuse.
De l’avis des organisateurs, tous se disent très satisfaits de cette opération revendicative. La première en période de confinement.
« Nous avons été touchés par de nombreuses personnes présentes et de leurs remerciements pour avoir organisé cette manifestation. Plusieurs sont venus nous dire que cela les remobilisait au milieu du confinement en leur montrant qu’il nous reste encore quelques maigres libertés d’action. Au-delà la réussite du nombre avec cette mobilisation (145 personnes selon les forces de l’ordre), c’est la diversité des profils des personnes qui nous réchauffe le cœur… ».
En filigrane, on l’aura bien compris pour l’APA, aujourd’hui comme hier, le gilet jaune demeure le symbole fort de l’union des colères.
Des colères qui pourraient bien se manifester de nouveau dans la rue si le contexte sanitaire actuel devait persister un peu trop longtemps…
Thierry BRET
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L’intelligence technologique au service de la conduite : NISSAN LEAF première belle surprise de 2021 ?
novembre 28, 2020Déjà une décennie de présence grâce à deux générations de modèles. Synonymes de succès qui se traduit par la vente de 500 000 exemplaires, dont 180 000 en Europe. Fleuron de la gamme électrique du constructeur japonais, la LEAF plaît aux consommateurs de l’Hexagone. La preuve, ils ont acheté 25 000 de ces véhicules. Un chiffre qui augmentera au premier trimestre prochain avec la mise en vente de la version 2021…
PARIS : C’est l’effervescence dans le réseau des concessionnaires NISSAN. Les commandes de la LEAF 2021 sont ouvertes depuis plusieurs semaines. Afin d’assurer les premières livraisons de la petite dernière issue de la gamme électrique du constructeur nippon et ce, dès le début de la nouvelle année.
Pionnière de la mobilité 100 % électrique depuis 2010, l’automobile a été totalement renouvelée sept ans plus tard. Pour sa nouvelle version, l’ingénierie propose un produit qui accentue sa connectivité en lui apportant des équipements supplémentaires.
Cette berline compacte est toujours disponible en deux versions. La LEAF 150 ch/40 kWh équivaut à plus des trois quarts des ventes et la LEAF e+ 217 ch/82 kWh, commercialisée depuis dix-huit mois.
Davantage de technologies embarquées à son bord…
La Nissan LEAF a inauguré la conduite assistée « ProPILOT » en Europe. Cela constitue l’étape initiale menant à la conduite autonome. Elle bénéficie également de la technologie « e-Pedal ». Ce qui permet d'accélérer, ralentir, freiner et même s'arrêter avec la seule pédale d'accélérateur dans 90 % des cas. Pour cette version 2021, plusieurs technologies de sécurité s'y ajoutent : un détecteur d'angle mort intelligent et un système de maintien dans la voie qui équipent désormais tous les modèles.
On l’aura compris : le constructeur choisit de lancer sur le marché l’une de ses automobiles les plus connectées, à l’image de JUKE début 2020. Grâce à l’application spécifique, on peut optimiser de nouvelles fonctionnalités comme le verrouillage/déverrouillage des portes à distance ou l’autonomie et l’état de charge. Les conducteurs peuvent recevoir une alerte si le véhicule sort d'une zone ou dépasse une vitesse préalablement prédéfinie. Cerise sur le gâteau : le Wifi est accessible sur simple abonnement.
Innovation particulière : un rétroviseur intérieur ultra intelligent….
La plupart des conducteurs en ont déjà fait l'expérience. L'usage du rétroviseur intérieur peut être perturbé par la présence d’un objet volumineux que l'on transporte à l’arrière. Voire par la tête d’un passager. Ne parlons pas des conditions météo parfois très défavorables. Pour garantir la vision optimale dans toutes les situations, NISSAN innove sur la LEAF 2021 en introduisant un rétroviseur intérieur intelligent à affichage numérique.
Celui-ci comporte deux positions : un rétroviseur-miroir traditionnel et un mode écran. Quand le mode écran s’active, il est alors connecté à une caméra fixée en haut de la lunette arrière. Il suffit au conducteur d'actionner une commande située en bas du rétroviseur pour passer instantanément d'un mode à l'autre.
Ce système, déjà plébiscité sur de nombreux véhicules de la marque au Japon et en Amérique du Nord, a su faire ses preuves. Ce rétroviseur intérieur intelligent à affichage numérique sera disponible de série sur la finition « Tekna » du futur modèle tant attendu en 2021.
Pour conclure, précisons qu’une toute nouvelle couleur de carrosserie s’ajoute à la gamme chromatique. Il s’agit d’un coloris gris argile qui peut aussi se décliner avec la présence de noir sur le toit.
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