Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743
Le préfet visite le site de production de GEOCHANVRE : la découpe laser importée d’Italie est enfin opérationnelle…
avril 21, 2020Le préfet de l’Yonne Henri PREVOST a rendu une visite plus que de courtoisie au site de production du fabricant de géotextiles et de toiles de paillage biodégradable de Lézinnes. Une découverte qui revêtait un intérêt particulier car depuis peu, et après avoir reçu son homologation officielle, l’entreprise de Frédéric ROURE a modifié sa stratégie industrielle en concevant des masques de protection à base de fibres naturelles…
LEZINNES: Décidément, le site industriel du Tonnerrois est très courtisé par les représentants de l’Etat ! On se souvient de la visite, à l’hiver 2019, du préfet de l’Yonne de l’époque, Patrice LATRON, qui accompagné d’un aéropage de plusieurs personnalités institutionnelles et économiques avait pris soin de s’immerger de fond en comble toute une matinée durant chez ce spécialiste de la fabrication de géotextiles et de toiles de paillage.
Cette fois-ci, mesures exceptionnelles obligent, la délégation qui suivait le nouveau locataire de l’hôtel de la préfecture de l’Yonne était réduite à la portion congrue. Masques de protection, gestes barrières et distanciation sociale de rigueur !
Guidé par l’entrepreneur Frédéric ROURE, PDG de la société GEOCHANVRE, le préfet Henri PREVOST s’est longuement attardé aux abords de la nouvelle machine de découpe laser, fraîchement importée d’Italie.
Il est vrai que les services de l’institution préfectorale ont facilité la venue en France de ce matériel indispensable à la conception de masques de protection que la société produit désormais.
Rappelons que la toile servant à la production de ces masques est le résultat d’un procédé de fabrication à l’eau à partir de chanvre cultivé par les agriculteurs de notre territoire.
Homologué par la DGA (Direction générale des armées), ce masque constitue une solution économique (0,80 centimes d’euros par unité) et écologique (il est recyclable) pour tous les acteurs publics et privés qui en ont grandement besoin en cette période de crise sanitaire.
Le terme de cette immersion spéciale à Lézinnes s’est poursuivi à la salle des fêtes communale où les masques sont conditionnés avant d’être livrés par lot et en kit à monter.
Signalons la présence de Jean-Claude GALLAND, maire de la localité ainsi que d’Anne JERUSALEM, présidente de la Communauté de communes Le Tonnerrois en Bourgogne, dans cette petite délégation.
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Un soutien de plus de 400 millions d’euros : GROUPAMA aux côtés des entrepreneurs privés d’activités…
avril 15, 2020Partenaire numéro un du monde agricole, l’assureur mutualiste n’en oublie pas pour autant les autres filières de l’économie française. Le spécialiste de l’assurance et de la prévoyance a estimé son effort pour faire face à la crise sanitaire actuelle à 300 millions d’euros. Une somme qui concerne les entreprises des territoires obligés d’interrompre leur activité. A laquelle, il faudra ajouter les cotisations irrécouvrables qui dépasseront les cent millions d’euros…
PARIS : Les instances supérieures de l’assureur mutualiste français ont fait savoir par lettre interposée à leurs cinq millions de sociétaires leurs positions pour agir avec efficience face au contexte économique actuel.
Président du groupe, Jean-Yves DAGES s’accorde en parfaite harmonie avec le directeur général, Thierry MARTEL, pour que l’intervention porte sur trois axes essentiels à leurs yeux.
En premier lieu, le soutien à celles et à ceux qui continuent à travailler dans des conditions difficiles. Secundo, l’accompagnement envers ceux qui sont dans l’impossibilité de travailler pour les aider à surmonter cette crise sans précédent. Enfin, la préparation de la reprise afin qu’elle ne laisse personne au bord du chemin.
Cette triple action équivaut à un plan de bataille s’élevant à plus de 400 millions d’euros pour le groupe mutualiste. Soit beaucoup plus que les économies liées à la réduction du nombre de sinistres automobiles. Ce schéma tactique suit la droite ligne de la stratégie voulue par l’Etat dans son combat mené contre les effets nocifs de la pandémie.
Une aide légitime aux professionnels de santé…
« Notre premier devoir est d’être toujours en capacité de servir les prestations pour lesquelles vous nous faites confiance, précise ce courrier commun.
En substance, c’est une allusion faite aux assurances dommages comme aux assurances vie. Tandis que les marchés financiers ont été très secoués par cette crise, GROUPAMA rassure en précisant qu’elle reste une compagnie d’assurance solide et solidaire des territoires.
« Tout a été mis en œuvre pour maintenir les garanties à nos assurés en difficulté dans le paiement de leurs cotisations. Nous avons également soutenu la participation des assureurs au Fonds de solidarité nationale initié par l’Etat. Alors que nous sommes la seule profession à ce jour à avoir décidé un tel effort. Ce fonds va représenter à lui seul environ trente-cinq années de cotisations d’assurance contre les pertes d’exploitation courantes… ».
Localement, les Caisses départementales de l’assureur mutualiste ont apporté leurs soutiens aux professionnels de santé qui tentent d’éradiquer la propagation du coronavirus.
Des aides significatives ont été apportées aux centres hospitaliers. Mais, également de manière plus directe, comme par exemple l’aide à la mobilité pour celles et ceux des professionnels du milieu sanitaire qui doivent prodiguer des soins.
Un geste fort en direction des agriculteurs…
En outre, l’état-major de GROUPAMA a décidé de rembourser aux agriculteurs deux mois de cotisation d’assurance de leurs tracteurs. Un geste symbolique afin de les remercier de continuer à nourrir l’Hexagone sans que nous ne manquions de rien.
« Nous redécouvrons en ces moments difficiles que les agriculteurs sont indispensables au monde. Nous sommes à leurs côtés pour soutenir et accompagner toutes les initiatives visant à leur fournir la main d’œuvre nécessaire à la poursuite de leur production… ».
Une manière élégante et élogieuse de rappeler que l’agriculture demeure l’un des terreaux de prédilection du groupe mutualiste…
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
110 Bourgogne : un élan du cœur constructif pour contribuer à l’effort alimentaire national
avril 10, 2020L’esprit de solidarité prévaut. Afin de garantir une alimentation de qualité et en quantité suffisante. Le challenge est d’importance en pareilles circonstances. Mais, il s’applique dans le respect des règles sécuritaires telles qu’elles ont été définies. Les dirigeants du groupe coopératif 110 Bourgogne s’y emploient via l’ensemble de leurs collaborateurs pour préserver la continuité alimentaire.
AUXERRE : En cette période de crise sanitaire aigüe, le monde agricole est en première ligne. Grâce au maintien de ses activités qui sont indispensables à la vie quotidienne du pays. Nourrir l’ensemble de nos concitoyens, mais pas seulement puisque la filière doit assurer la sécurisation du processus de fabrication et d’approvisionnement des denrées alimentaires.
Aussi, il n’est pas surprenant d’observer la mobilisation totale des coopératives qui représentent l’un des maillons forts de ces rouages incontournables à la vie sociale et économique de notre pays.
Les dirigeants de 110 Bourgogne ont parfaitement assimilé ce positionnement. Encourageant la poursuite des activités. Aujourd’hui, tous les salariés sont à leur poste pour répondre à une tâche prépondérante : préserver ce fil d’Ariane vital entre la structure et sa clientèle. Mais, uniquement dans le respect des gestes barrières qui avaient été instaurés dès le 28 février. Bien avant le confinement généralisé à l’Hexagone. A l’époque, cela prêtait à sourire…
Des mesures de sécurité pour préserver la santé de tous…
Respectueux de la démarche RSE, les dirigeants du groupe coopératif Gérard DELAGNEAU, président, et le directeur général, Jean-Marc KREBS, ont défini avec l’avis des membres du CSE, des salariés et des représentants du Conseil d’administration plusieurs mesures concrètes afin d’optimiser ce plan d’action réactif.
Ainsi, la distribution d’équipements de protections individuels tout comme l’encouragement à la pratique du télétravail ont été privilégiés. Sur les sites fermés, la distanciation est devenue une réalité tangible. Quant aux rencontres et autres rassemblements non obligatoires à la vie de l’entreprise, ils ont été placés dans la case des pertes et profits. Jusqu’à nouvel ordre.
Les magasins, GAMM VERT et La VIE CLAIRE, même s’ils demeurent opérationnels afin d’assurer l’alimentation humaine et animale, ont été pourvus de système de commande drive par téléphone avec retrait en caisse. Ce processus garantie une réduction des risques de propagation de l’infection virale avec une présence réduite du personnel in situ et une manipulation des produits limitée à la portion congrue.
D’ailleurs, il est possible de connaître les horaires adaptés de ces commerces en consultant le site www.gammvert.fr
Comme le souligne en substance Gérard DELAGNEAU : « l’agriculture est élevée au rang de secteur stratégique prioritaire : nous nous devons de participer à cet effort national ! ».
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Charte ZNT : les distances d’épandage des produits phytosanitaires sont désormais réduites…
avril 06, 2020Malgré le contexte actuel et l’impossibilité de mener à bien les concertations publiques nécessaires, la préfecture de l’Yonne a donné son feu vert pour que la réduction des distances d’éloignement dans le cas d’épandage de produits phytosanitaires soit autorisée. Un communiqué de presse confirme cette décision prise en fin de semaine dernière…
AUXERRE: Pour les produits contenant les substances les plus dangereuses à la santé : la distance de non-traitement demeure incompressible. C’est-à-dire vingt mètres.
Pour les autres de ces éléments nocifs, et sous réserve d’indications spécifiques, le courrier du préfet de l’Yonne Henri PREVOST est, on ne peut plus clair, quant à sa finalité applicative.
Les professionnels du monde agricole seront dans l’obligation de respecter une distance de cinq mètres pour l’arboriculture et de trois mètres pour la viticulture et les autres variantes de culture.
La préfecture a donc pris les devants sur l’application de cette charte ZNT (Zones non traitées) qui faisait débat depuis plusieurs semaines dans le microcosme agricole.
La Chambre d’agriculture de l’Yonne a démarré le processus de réalisation de la charte départementale d’engagement des utilisateurs agricoles de produits phytosanitaires.
Cette charte devra être finalisée au plus tard le 30 juin 2020 (date actuellement retenue pour sa finalisation). Ses éléments seront mis en ligne sur le site de la préfecture de l’Yonne.
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
CHEMETALL en acteur de la biodiversité : des ruches seront bientôt installées sur le site industriel de Sens…
mars 11, 2020La présence d'un rucher au sein d’une entreprise est loin d’être inconcevable en soi. Le phénomène qui n’a rien de modal s’amplifie d’ailleurs en France depuis plusieurs années. Et lorsque l’on dispose de onze hectares de terrain, où la nature a presque repris ses droits, il est facile d’y intégrer des colonies d’abeilles à son environnement ! L’unité de production sénonaise de la filiale du géant de la chimie, BASF, a sollicité des spécialistes de l’apiculture pour réussir cette implantation. Une manière intelligente et coordonnée de réaliser des choses favorables à la sauvegarde et à la préservation de la nature…
SENS : Un poids lourd de l’industrie chimique qui agit en faveur de la protection de l’environnement ? Ce n’est pas un pléonasme. Mais, bel et bien la réalité parfaitement maîtrisée au sein de la filiale de la société allemande, BASF, le groupe CHEMETALL.
Sur les quatorze sites implantés dans l’Hexagone, onze d’entre eux sont déjà engagés dans cette démarche environnementale très louable. Nouvellement en poste à Sens, Patrick GRUBERT, directeur de l’unité de production de l’Yonne, ne pouvait rester indifférent à ce message fort, véhiculé au sein du groupe.
Ni se soustraire à suivre les traces déjà bien profondes marquées sur le terrain local par son prédécesseur, M. FOUCAUD. Ici, dans cet espace pourtant à risques et classé SEVESO, la biodiversité tient sa place.
Il suffit pour s’en persuader de se promener aux abords des bâtiments industriels et de contempler avec surprise une nature verdoyante où s’ébattent des représentants de la faune sauvage. A commencer par les oiseaux et les ragondins ! Ils vivent en nombre aux abords de la petite rivière qui coule parmi ses parcelles de terre en friche.
C’est ici que seront installés dans quelques jours les ruchers. Dans un endroit retiré de la vie industrielle et à l’abri des regards de la présence humaine. L’enjeu est important pour Patrick GRUBERT qui ne le trouve absolument pas chronophage.
Autour de cet espace, des jachères fleuries faciliteront l’implantation des colonies d’abeilles en faisant office de réservoir nourricier. Il est souhaitable que les insectes pollinisateurs disposent d’un territoire où la nourriture soit abondante. C’est là qu’entre en jeu l’apiculteur qui aidera au développement de ces colonies. En fonction de ses analyses, il apportera le complément alimentaire nécessaire aux besoins vitaux des abeilles.
Une présence insolite de la faune sauvage et de plantes sur le site…
Construit en 1930, ce site industriel assure une production annuelle de 30 000 tonnes par an. Des produits à la toxicité lourde qui servent au traitement de surface (lessivage, dégraissage, protection anticorrosion…) et sont utilisés auprès des groupes industriels de l’automobile, de l’aéronautique, de l’industrie métallurgique.
Il n’empêche que la prolifération de martin-pêcheur, de poissons dans le ru qui s’écoule en arrosant les joncs et les plantes aquatiques, offre un contraste étonnant. Il existe bel et bien un biotope à préserver dans ce lieu qui aurait pu paraître hostile sur le papier.
Le programme d’implantation des ruches débutera en avril. C’est l’association des apiculteurs de l’Yonne qui en assurera la manœuvre technique. En respectant le cahier des charges de la responsable du projet biodiversité au sein de CHEMETALL France, Sandrine LEBLOND.
Cette dernière possède l’expérience requise et un véritable recul analytique sur le sujet. Le groupe industriel a déjà exploité le filon sur l’un de ses sites à Clermont de l’Oise où une production de 150 kg de miel a été obtenue en 2018 sur une zone de 43 hectares, bondée de cervidés et d’animaux de la faune sauvage.
Un mariage entre industrie et nature plausible…
Déployé en mai 2011 à l’échelle hexagonale, ce programme d’optimisation de la biodiversité sert de référence à la filiale française de BASF. Rappelons que le poids lourd de la chimie internationale possède trois cents unités industrielles et emploie plus de 110 000 collaborateurs !
Cet ancrage vers le développement durable aura fait l’objet d’une signature de convention partenariale dans le cadre du concept « ACT FOUR NATURE » par le président de BASF France en personne, Thierry HERNING.
Près de soixante-dix entreprises et une vingtaine de structures partenaires y réfléchissent avec assiduité à la sauvegarde de l’environnement. A l’aide de fiches techniques, chacun des projets est consciencieusement étudié. A l’instar de la faune, de la flore, des insectes qui occupent ces zones.
En 2019, alors que soixante-et-une personnes étaient impliquées sur les projets environnementaux développés par les onze sites de CHEMETALL, 176 heures de formation furent données et 26 actions de communication avec la présence de onze partenaires extérieurs furent réalisées.
Aujourd’hui, ces observateurs atypiques de la nature ont dénombré 172 espèces végétales répertoriées sur les onze sites à l’étude, et comptabilisées des nichées d’oiseaux et d’hirondelles.
Comme quoi, le mariage entre le monde industriel et la nature se révèle tout à fait plausible grâce à de telles initiatives.
Un article réalisé en partenariat avec la Communauté du Grand-Sénonais et la Ville de Sens.
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99