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En attendant le retour à la normale : le « C1 Plaisir » a grand soif de libertés retrouvées…

« En attendant les jours meilleurs où le restaurant de Bellechaume pourra accueillir sa clientèle en salle, Véronique PEZIN propose avec le chef des plats à emporter chaque jour tout en ayant diversifié ses activités autour de multiples services et de l’épicerie… ». « En attendant les jours meilleurs où le restaurant de Bellechaume pourra accueillir sa clientèle en salle, Véronique PEZIN propose avec le chef des plats à emporter chaque jour tout en ayant diversifié ses activités autour de multiples services et de l’épicerie… ». Crédit Photo : C1 Plaisir.

Le petit village situé en lisière de la forêt d’Othe est toujours dans l’attente de l’évènement. Ses habitants, ainsi que les autres convives de passage, aimeraient profiter pleinement du nouvel établissement dont le démarrage officiel coïncidait avec la date du 01er mars. Mais, il n’est guère facile de s’y retrouver aujourd’hui avec un calendrier peu fiable, plombé par ce maudit coronavirus qui perturbe sans cesse les agendas !

 

BELLECHAUME : On en a encore eu la confirmation mercredi soir aux alentours de 20 heures en scrutant les directives élyséennes. C’est sûr : pour découvrir la panoplie complète de recettes proposées par le chef qui officie en cuisine de ce commerce de bouche, il faudra s’armer de patience et ronger son frein en attendant des jours meilleurs.

Et, croiser les doigts pour que la levée des mesures restrictives qui nous ont éloignées depuis si longtemps des salles de restauration se fasse.

Toutefois, il reste toujours la possibilité à la clientèle de se sustenter en optant pour la formule des plats à emporter. Moins conviviale, certes, quand on désire se poser à une table en humant l’atmosphère ambiante d’un établissement traditionnel mais toujours aussi efficace pour satisfaire de manière immédiate son envie première : c’est-à-dire sa faim.

Au-delà de ce détail nutritionnel, le geste permet de faire fonctionner le commerce et par les temps qui courent, les restaurateurs ayant choisi cette formule pour continuer à exister ne s’en plaindront pas !

Selon son humeur et les ingrédients qu’ils souhaitent travailler en cuisine, le chef concoctera alors divers plats du jour pour inscrire le « C1 Plaisir », nom de baptême de la maison nouvellement ouverte, dans la durée.   

Parallèlement, et dans un souci de diversité comme on aime encore les trouver dans les campagnes, le « C1 Plaisir » fait aussi office de dépôt (le pain, la presse, mais aussi les colis et même la possibilité de retrait en numéraire…), tout en accueillant une épicerie. Très utile lorsque l’on vit à une trentaine de kilomètres au nord-est d’Auxerre !

Une fois que la COVID ne sera plus qu’un lointain souvenir, l’établissement géré par Véronique PEZIN accroîtra son amplitude d’ouverture au niveau de ses horaires, tout en recevant la clientèle en salle ou au bar près du baby-foot. Bref : de véritables plaisirs qui rappelleront la vie d’avant…

 

Thierry BRET