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Le nombre de ses commerçants progresse : le marché de Gy l’Evêque ne connaît pas la crise

« Dès dimanche 11 octobre, le marché de Gy l’Evêque  change de physionomie en accueillant de nouveaux artisans. Une évolution positive malgré la crise sanitaire qui favorisera la hausse de la fréquentation et le chiffre d’affaires… ». « Dès dimanche 11 octobre, le marché de Gy l’Evêque change de physionomie en accueillant de nouveaux artisans. Une évolution positive malgré la crise sanitaire qui favorisera la hausse de la fréquentation et le chiffre d’affaires… ». Crédit Photos : Didier RIMBAULT.

La crise actuelle ne semble pas porter atteinte au moral des commerçants non sédentaires qui fréquentent le petit marché de la commune périphérique d’Auxerre. De nouveaux stands font ainsi leur apparition dès ce dimanche 11 octobre. Un atout non négligeable pour son gestionnaire Didier RIMBAULT qui voit croître son œuvre avec une régularité constante…

GY L’EVEQUE : Petit à petit, l’oiseau fait son nid. L’adage sied à merveille pour qualifier la progression de ce marché de campagne qui ne cesse depuis ses origines de gagner en attractivité.

Pour s’en convaincre, il suffit de se rendre dès potron-minet sur la place qui jouxte le parvis de l’église chaque dimanche. Là, s’affairent dans l’enthousiasme et la bonne humeur des commerçants qui apportent une incontestable plus-value pour redonner un sens à la vie économique.

Malgré un contexte plombé par la présence de l’infection virale, de nouveaux artisans ont fait le choix de soutenir l’initiative initiée par Didier RIMBAULT. Faire de ce marché « plaisir » un espace commercial s’inscrivant progressivement dans le marbre.

 

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Hausse de la fréquentation et du chiffre d’affaires…

 

Dès le 11 octobre, Gy l’Evêque accueillera des exposants supplémentaires à l’image de la fabrication du boudin noir tenue par Johnny ROGUET et son épouse, le « Royaume de l’Océan » où Pierre propose des produits de la mer (moules, huîtres…), le domaine vinicole de l’Erable, avec Delphine et son époux ou encore un stand vestimentaire (présence physique par quinzaine) et un commerçant qui vend des matelas (Yoann) une fois par mois.

De quoi étoffer une offre qui, certes, n’est pas encore pléthorique mais qui a le mérite d’exister et de faire vivre ce commerce de proximité dont tout le monde se réclame désormais.

Les commerçants déjà présents (le fromager, le traiteur, les fruits et légumes…) voient d’un très bon œil cet agrandissement. Nécessairement profitable à tous en termes de développement, de fréquentation et de chiffre d’affaires.

Précisons que le port du masque est obligatoire afin de respecter les gestes barrières tels qu’ils ont été adoptés par l’arrêté préfectoral concernant cette typologie de manifestations. La distance minimale reste d’un mètre entre chaque personne.