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Elle se nomme Tien CHIA-CHEN. Cette spécialiste du tir au pistolet à 25 mètres de distance, originaire de Taïwan (la « Chine-Taïpei » pour toutes les compétitions internationales afin de ne pas froisser les susceptibilités du puissant voisin chinois) passe plus de quatre heures de rang, chaque jour depuis le 08 mai, sur l’une des pistes du stand de tir de La Patriote Sénonaise. Le club icaunais a la chance de pouvoir accueillir la petite délégation de l’état insulaire jusqu’au 28 mai. Histoire, pour cette dernière, de peaufiner au mieux sa préparation aux échéances olympiques…

 

SENS : De la concentration. Une longue observation de la cible distante de 25 mètres et surtout l’attente, le souffle court et le bras tendu, avec un pistolet pesant 1,2 kg à bout de bras que la petite lumière rouge vire au vert ; donnant ainsi l’autorisation de tirer. Le doigt en appui sur la détente de l’arme se relâche de manière soudaine, provoquant une détonation à vriller les tympans : le coup est parti. Impassible, l’athlète de Taïwan recharge minutieusement son pistolet pour la tentative suivante, sous le regard scrutateur de sa coach, Chen SZU-WEI, et de l’interprète, faisant la liaison en anglais avec les autorités locales.

On estime à soixante-dix gestes similaires effectués lors de la séance d’entraînement. Et dire que certains ne considèrent pas le tir comme un sport à part entière !

 

 

Sur le papier et dans ses attitudes, elle apparaît redoutable cette sportive de haut niveau, âgée de 41 ans. A Paris, la championne de tir en sera à disputer ses troisièmes jeux, après ceux de Londres en 2012 et ceux de Tokyo en 2021. Donc, c’est une experte pour savoir gérer le stress et la pression dans une discipline où elle croisera sans doute des compétiteurs hexagonaux puisque le tir est souvent pourvoyeur de titres olympiques et de places d’honneur pour la France à chaque édition des Jeux. Elle retrouvera aussi dans cette catégorie du tir féminin à 25 mètres sa compatriote, Lin YI-CHUN qui, à 42 ans, vient de remporter le titre mondial lors des récents championnats accueillis à Bakou en Azerbaïdjan.

Admiratifs, les élus de l’Yonne, François BOUCHER, vice-président du Conseil départemental en charge de l’Attractivité, des partenariats avec les collectivités et du Sport, et Romain CROCCO, adjoint au maire de Sens, délégué au sport, ont apprécié la démonstration assurée par cette fine adepte de la « gâchette » qui a, c’est sûr, les Jeux de Paris dans son viseur !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Officiellement, il sera inauguré avec les honneurs dû à sa fonction, celui de rendre de précieux services de proximité aux quatre coins du territoire, ce jeudi, en milieu de matinée sur le parvis du « 89 ». Mais, dans les faits, cet astucieux véhicule, totalement relooké et adapté aux besoins des missions de la PMI (Protection Maternelle et Infantile) sillonne le département de l’Yonne depuis le 08 avril dernier. A la grande satisfaction des 29 communes bénéficiaires…et de ses habitants.

 

AUXERRE : Retenez bien l’appellation de ce concept itinérant à l’anglicisme, malheureusement un peu trop prononcé pour les puristes de la langue de Molière que nous sommes : « Family Bus » ! Un « bus de la famille ». Voilà une insolite initiative - mais fort utile visiblement - déclinée par le Conseil départemental dans une configuration usuelle peu commune dont vingt-neuf localités de l’Yonne profitent déjà à bon escient. Sachant que la liste initiale pourra évoluer avec le temps, selon le succès et les besoins à combler, rencontrés ici ou là.

Ce curieux véhicule, une fourgonnette utilitaire à l’estampille reconnaissable de très loin avec ses multiples logos évoquant le CD 89, présente sur l’un de ses flancs une phrase caractéristique qui résume en elle seule la philosophie de ce mode de locomotion. « Des consultations au plus près de chez vous » ! S’agirait-il d’un nouveau dispositif mis en exergue par le pouvoir exécutif de l’Yonne en matière de santé destiné à nos seniors éprouvant des difficultés à se mouvoir en étant éloignés de tout ? Pas exactement dans les faits !

Le « Family Bus », puisqu’il faudra désormais s’accommoder de ce vocable un peu trop marketing, se positionne bel et bien sur le volet sanitaire, mais celui de la jeunesse, en proposant des consultations de puériculture gratuites. Intéressant !

Il met en scène les professionnelles de la PMI (Protection Maternelle et Infantile) qui vont ainsi se déplacer au plus près de leur cœur de cible, les familles, notamment celles vivant dans les zones rurales.

 

Un accueil privilégié pour les enfants jusqu’à six ans

 

Une « action volontariste et innovante », qui comme devait le confirmer Elisabeth FRASSETTO, vice-présidente du Conseil départemental de l’Yonne en charge de l’Enfance et de la Famille, le jour de la présentation officieuse de ce véhicule, rappelait que celle-ci s’inscrivait pleinement dans le cadre de la Stratégie nationale de prévention et de protection de l’enfance 2022/2024, un schéma adopté entre le Département de l’Yonne, l’Etat et l’Agence Régionale de Santé (ARS). Ce dernier visant à assurer à tous les enfants un accès équitable à la prévention santé, financé à part égale par l’Etat et le Conseil départemental.

Dans l’absolu, qui peut bénéficier de ce service mobile et original unique en Bourgogne Franche-Comté ? S’il est piloté par deux agents de la PMI, le bus à la décoration intérieure enfantine accueillera à son bord parents et enfants âgés de six ans et moins. Là, en présence d’une infirmière puéricultrice, la petite famille recevra conseils et préconisations de la spécialiste sanitaire avec à l’appui des éléments informatifs précis : la prise de poids, la courbe de croissance, l’alimentation, l’hygiène, le sommeil, l’éveil, etc.  Un vrai cabinet médical ambulant !

 

 

Cerise sur le gâteau, des informations pratico-pratiques seront aussi communiquées. Notamment sur les aides à domicile et sur l’orientation vers un praticien de PMI, si besoin. Dès l’automne, des consultations de sages-femmes et médicales seront intégrées à bord du mini bus.

Dès avril, le véhicule a circulé dans le département. Se posant par demi-journées fixes dans l’une des vingt-neuf localités choisies lors de cet itinéraire initial. Tout a été prévu et anticipé par les services du département pour adosser la venue du véhicule à un lieu d’accueil qui offre les garanties complémentaires de confort pour la patientèle : sanitaires, point d’eau.

 

 

Permettre à la PMI de faire connaître ses grandes missions

 

Ces « points de rencontre » représentés par ces communes devraient à l’avenir augmenter. Car, c’est évident, ce « Family Bus » qui optimise la visibilité du Département en matière de santé pour les plus petits équivaut à un outil appréciable dans la lutte contre la désertification médicale. L’une des priorités du président Patrick GENDRAUD qui se plaît toujours à rappeler que « le Département n’a pas la compétence en matière de stratégie sanitaire mais fait avec en agissant ! ».

Pour la PMI, l’initiative se veut très bénéfique à plus d’un titre. Ce bus permet de recentrer ses activités sur son cœur de cible (la prévention, la santé et la parentalité), mais aussi d’aller vers l’ensemble des familles de manière universaliste, tout en intervenant en partenariat avec les acteurs locaux de la petite enfance et de répondre aux exigences du terrain, inhérentes à l’adaptabilité des réalités locales.

Bref, si ce « Family Bus » n’existait pas, il serait souhaitable de l’inventer !

 

Thierry BRET

 


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Il n’y a pas de mots devant une telle horreur. Pas une once de pitié ni de considération circonstancielle à avoir devant les auteurs présumés de ces faits. Graves. Lourds. Pesants. Insoutenables. Des actes de barbarie, d’un autre temps, d’un autre monde, de mœurs que l’on pensait d’autrefois, voire oubliés depuis si longtemps dans notre existence, que ne pourraient renier les pires des terroristes possesseurs de couteaux aux lames si tranchantes et si affûtées. Des actes à proscrire de ce XXIème siècle, pourtant au firmament de la technologie, de l’IA  et des progrès scientifiques…Tu parles !

La nature humaine est ainsi faite : chassez le naturel, il revient au galop à la vitesse de la lumière surtout en matière d’abrutissement, de monstruosité, de vices sans vertus et de « conneries » en tout genre, en veux-tu, en voilà ! Et là, l’humain de ce siècle en totale déliquescence avec lui-même n’est pas mal non plus dans son genre…

Ici, dans le cas présent, c’est l’un de ces faits divers des plus sordides que même les journalistes ont dû mal à expliquer et à narrer dans leurs colonnes, tant l’envie de vomir – pour ne pas dire gerber -  leur remonte dans la gorge, et qui se fait jour au plus grand nombre d’entre nous.

 

Les animaux ont des droits sur cette planète qui est aussi la leur…

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C’est donc un chien, une simple bestiole à quatre pattes – le meilleur et plus fidèle ami et compagnon de l’homme précise l’adage - qui en est devenue la malheureuse et innocente victime. L’expiatoire victime, devrait-on dire, pour on ne sait quel faute impardonnable qui méritait de facto la peine de mort sans jugement aucun et de la manière la plus odieuse qu’il fut. Un acte gratuit, teinté aux relents de cette emprise ordinaire de l’alcool qui fait tant de ravages dans nos campagnes hexagonales, visiblement selon les premiers témoignages. Et alors, est-ce vraiment défendable et excusable en soi ? Que nenni !

Que l’on soit bourré, analphabète, idiot du village, intellectuel ou sain de corps et d’esprit, le respect de l’animal est une règle d’or à ne jamais transgresser.

Eu égard à Dame Nature qui les accueille sur cette planète qui est aussi la leur et où ils possèdent des droits. Eu égard, aussi, à tous ce qu’ils peuvent apporter de bon pour améliorer la triste condition de l’homme dans cette société insipide, incivile, contradictoire dans ses us et coutumes de la vie ordinaire. Faite d’individualisme et de jalousie.

Alors, quand on lit entre les lignes d’une dépêche traitée dans la catégorie « faits divers » par un quotidien régional ce qui va suivre, notre sang ne peut que bouillir à 180 degrés dans notre corps et notre esprit demander justice et réparation – si tant est qu’il soit encore possible de le faire – devant de tels cas, franchement irrécupérables.

 

 

Un monde meilleur où ne vivrait pas cette pitoyable espèce humaine…

 

Les sévices et actes de cruauté envers les animaux sont déjà abominables en tant que tels lorsqu’ils sont perpétrés. Mais, quand ces actions gratuites et sanguinaires se transforment en scénario façon film d’horreur à la Stephen KING juste pour le plaisir de faire mal alors l’irréparable est commis et on ne peut plus grand-chose pour celles et ceux qui les commettent. Circuler de la société, il n’y a vraiment plus rien à voir, n’y à faire pour celles et ceux qui commettent de telles méfaits ! De sinistres personnages à bannir à jamais de notre vie.

Comment s’appelait ce chien déjà ? Médor, Oscar, Pollux, Vegas, Lucky (auquel cas le pauvre, il n’en aurait pas eu beaucoup de chance) ou Maya ? A quelle race appartenait-il ?  Nul ne le sait. Même pas le procureur de la République qui instruit l’affaire, c’est tout dire sur l’état de la pauvre bête quand on a retrouvé ses restes !

Dans les faits, le malheureux animal a reçu suffisamment de coups de couteau dans le flanc, avant d’être décapité avec une tronçonneuse pour qu’il passe de vie à trépas en rejoignant, on l’espère, un monde meilleur où surtout cette pitoyable race qui vit sur Terre, l’espèce humaine, ne viendra plus jamais l’embêter…Le paradis des chiens existe, c’est certain…

 

La mobilisation de tous les adorateurs des animaux !

 

Mais, jusqu’où l’humanité va-t-elle descendre dans les abîmes les plus profondes de la répulsion et de l’effroi ? On pensait avoir tout vu en cette année 2024, comme les précédentes, déjà gorgées d’immondices répugnantes quant au savoir-faire de l’homme en matière de cruauté si finement aiguisée. Et bien non !

Les scènes macabres se succèdent aux scénarii de la peur et de l’épouvante : l’humain est encore loin d’avoir dévoilé toutes ses ressources et ses potentialités en termes d’absurdité et de répugnance. Nimbées de bain de sang et d’hémoglobine à haute dose. Et pour une fois, il n’était pas question de diffuser ces outrages imbéciles sur les réseaux sociaux pour en faire du buzz !

Mais, sincèrement, posez-vous donc la question une bonne fois pour toute en prenant le temps de la réflexion devant une glace : qui oserait découper la tête de son chien à la tronçonneuse parce que celui-ci, selon toute vraisemblance et d’après les aveux des placés en garde à vue, aurait coursé un chat, lui-même victime de maltraitance par ce même couple infernal déjà bien connu de la Justice ?

Il faut être sérieusement dérangé du cerveau, non ? A condition qu’il y en ait un qui soit renfermé dans la boîte crânienne de ces « Ostrogoths » …

Bien sûr, justice devra être rendue à l’issue de la comparution de ces rustres, sortis d’un autre âge, à l’automne prochain devant un tribunal correctionnel. Bien sûr, un avocat assurera leur défense dans les règles de l’art, plaidant les circonstances atténuantes (il faudra nous expliquer lesquelles par ailleurs !) et le mauvais comportement « évident » de l’animal envers ses maîtres.

Mais, tout de même, jusqu’où peut aller l’absence de docilité d’un chien s’il est déjà battu à coups de ceinturon tous les quatre matins par ses maîtres irascibles et qui y prennent un malin plaisir !

Face à ce genre de dossier, de plus en plus récurrent, il est impératif que la Fondation « 30 millions d’amis », la SPA, ainsi que toutes les associations de la protection animale, de la nature et de l’environnement, y compris les politiques et les acteurs engagés de la société civile, prennent partis en faveur de cet animal torturé par ses horribles propriétaires.

Des bourreaux qui, eux, n’y laisseront pas leur vie in fine aux termes de la procédure juridique quel que soit le verdict.

« On n’achève pas bien les chevaux », disait le film ; dorénavant, dans l’Yonne car c’est bien dans ce département déjà bien fourni en affaires criminelles des plus sordides par le passé, que l’« on décapite même les chiens ! ». Ignoble et « dégueulasse »…

 

Thierry BRET

 


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Certes, il pointe en neuvième position sur la liste. Ce qui n’est pas si mal, après tout, sur un total de 81 candidats choisis à l’échelle de l’Hexagone. Même si ses chances d’obtenir le « Graal européen » au terme de la soirée dominicale du 09 juin sont infinitésimales pour ne pas dire plus, il n’empêche que le colistier de « Défendre les Enfants » auxerrois se prend au jeu et s’offre une tribune médiatique, ne serait-ce que pour être l’un des porte-étendards de la cause enfantine, dans l’Yonne. Une cause, quasi oubliée par les ténors de la vie politique tricolore (comme à peu près partout d’ailleurs en Europe !) qui repose sur la défense des droits parentaux et la protection de l’enfance. Une enfance qui a grandement besoin d’être sécurisée dans le monde actuel…

 

AUXERRE: Pour l’heure, il a mis de côté son projet de livre afin de se consacrer pleinement à la campagne des européennes. Non, pas à la rédaction d’un roman au style ampoulé comme certains savent si bien le faire dans le giron territorial, non, lui, ce qui le passionne vraiment, ce sont les ouvrages à vocation pédagogique, incluant réflexions et conseils. Deux de ses opus (« Débloquez votre potentiel » et « Vers une communication non violente ») se vendent d’ailleurs via les canaux de distribution numériques habituels sur AMAZON !

Le futur bouquin, à la composante très juridique, traitera précisément du thème qui l’obnubile le plus à l’heure actuelle : la place de l’enfant dans la société contemporaine, un enfant devant subir de plein fouet les affres de la séparation familiale et ses aléas. Des aléas que l’on suppose terrible dès que la relation entre mari et femme, en procédure de divorce, tourne au vinaigre, voire en conflit d’intérêt larvé…

 

Déjà dans la course à l’Europe en 2019

 

« Ce sera une autre version du pire et du meilleur occasionné par la vie de couple, concède Daniel DELVERT, un garçon brillant qui ne s’est jamais trop éloigné de la vie politique et citoyenne locale, au sens noble du terme.

Cette fois, l’Auxerrois s’affiche ouvertement sur une liste totalement méconnue ou presque de la sphère publique, qui avait déjà beaucoup dépensé en énergie lors de la précédente édition des échéances européennes, en 2019, sous les couleurs de « Défendre les Enfants ». En cette année 2024, c’est rebelote donc pour cette formation composée de purs représentants de la société civile, des personnes de toutes obédiences et de tous horizons qui possèdent le même dénominateur commun : la protection de l’enfance dans cette Europe tourmentée et perturbée par tant de miasmes ! Une Europe, peu encline à de très rares exceptions à placer l’enfance et ses droits parmi ses priorités stratégiques…

 

De la convergence d’opinions à la conversion dans les faits

 

A la lecture de cette liste, ces 81 patronymes livrés à notre connaissance tel un inventaire à la Prévert, pas de noms connus. Pas de poids lourds de la politique nationale, non plus, placés en guise d’arbitrage politicien dans les fondements de cette suite de 81 noms propres pour donner le change !

Bref, ce sont des Français « bien ordinaires » mais qui savent certainement de quoi elles et ils parlent car confrontés sans doute au quotidien aux vraies problématiques de la vie de parents séparés, divorcés, en procès, veufs, en prise directe avec la justice, ou aux problématiques inhérentes à l’insécurité intrafamiliale (c’est très dans l’air du temps malheureusement), la vie, la vraie, quoi ! C’est sûr qu’à la lecture de leur profession de foi, de l’énergie, elles et ils en ont à revendre en leur qualité de membres de plusieurs associations partenaires et mutualisées dans la défense des valeurs portées par cette candidature.

Le leader de ce mouvement parental au service des intérêts ô combien légitimes de leur progéniture se nomme Gaël COSTE-MEUNIER. Il occupe la première place de cette liste qui n’est pas certaine à quasi 100 % de figurer dans les bureaux de vote le 09 juin prochain, faute de moyens financiers évidents, par bulletin interposé à imprimer !

« Ce qui me plaît dans la démarche de ce mouvement, confie Daniel DELVERT, c’est cette convergence d’opinions et d’idées allant dans la même direction : la défense de l’enfant. Parmi les associations présentes dans cette liste, on y trouve des responsables associatifs favorables à la garde alternée, à la défense des enfants placés dans les ASE (Aide Sociale à l’Enfance), à la protection des enfants autistes, ceux qui sont maltraités… ».

 

Des chiffres à faire froid dans le dos

 

L’enfance maltraitée, parlons-en, justement ! En l’espace de deux à trois ans, le nombre de cas enregistré a explosé en France. Une hausse de 20 % ! Touchant aujourd’hui plus de 340 000 gamins et adolescents, des « invisibles » dont on ne parle jamais ou presque dans le landerneau politique…A de rares exceptions.

Les chiffres fournis par Daniel DELVERT – il est très bien documenté sur cet épineux sujet de société – font froid dans le dos. En 2023, 2 500 enfants mineurs ont subi des viols ou ont été battus. Les cas de harcèlements prolifèrent à la vitesse de la lumière, quasiment en toute impunité pour leurs auteurs. Quant au nombre de femmes ayant eu à subir des outrages incestueux durant leur enfance, il s’élève désormais à…6,7 millions de personnes en France. Cela se passe de commentaires, dans cette société dite de progrès, d’intelligence et accessoirement, civilisée !

Les revendications sont nombreuses, on l’imagine aisément pour « Défendre les Enfants ». Citons quelques exemples. Respect par la Cour  Européenne des Droits de l’Homme qui est en charge de l’application de la Convention internationale des Droits de l’Enfant (CIDE), une justice moins laxiste, plus efficace et possédant désormais des budgets adaptés à l’ampleur de la tâche – « Nous défendons une part du budget de la justice supérieur à 0,30 % du budget de chaque état au minimum, sous la forme d’une directive », précise notre interlocuteur icaunais -, une modernisation générale des services publics de justice et de travail social qui doivent effectuer leur transition numérique à l’identique de la Sécurité Sociale, la réaffirmation des droits parentaux – « il est préférable de soutenir les familles plutôt que de les décomposer et d’en gérer les conséquences… »-, une protection de l’enfance pleinement européanisée avec un portail numérique pour le suivi des informations de l’enfant et la protection de celui-ci face aux agressions physiques, sexuelles, psychologiques, et des contenus pour adultes sur Internet, et la promotion des résidences alternées en France.

A ce propos, l’Hexagone figure toujours comme l’éternel retardataire sur ce dossier, restant le mauvais élève et bon dernier de la classe avec seulement 11,2 % de résidences alternées mis en exergue pour les enfants de divorcés.

Il est donc grand temps que les choses évoluent dans la bonne direction dans le pays des Droits de l’Homme, qui semble parfois l’oublier, en rappelant qu’un enfant a besoin de ses deux parents pour se construire. Tel sera le message fort que Daniel DELVERT et la liste « Défendre les Enfants » feront circuler durant cette campagne qui gagne enfin en visibilité…

 

Thierry BRET

 


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Demeurera-t-elle longtemps sans réponse ? Son destinataire, « pape » de la protection du patrimoine et grand défenseur des vieilles pierres en France, intercédera-t-il en faveur de ce projet, nécessitant réfection et budget via mécènes et partenaires, en l’inscrivant au « Loto du Patrimoine » 2024 ? En tout cas, le jeune responsable de l’Association Sénonaise pour la Sauvegarde et la Conservation du Patrimoine Sacré (ASSCPS) Mkrtitch MARTIROSSYAN ne s’en laisse pas compter au niveau des initiatives : la lettre ouverte à Stéphane BERN a été expédiée il y a peu à son auguste récepteur. Il y va de la pérennité de la chapelle Saint-Jean-Baptiste, sise dans l’ancien Hôtel-Dieu de Sens, plus qu’un simple édifice religieux décrépi et vétuste, condamné à l’oubli et à l’abandon…

 

SENS : Pour l’heure, il n’y a pas eu encore de réponse officielle. Mais, le destinataire, le plus célèbre ambassadeur de la cause patrimoniale et culturelle de France, prépare peut-être ses arguments pour plaider en faveur de cet épineux dossier. Auprès de la Fondation du Patrimoine ? Via la célèbre opération du « Loto du Patrimoine », celle-ci se déroulant en septembre prochain ou via le ministère de la Culture et pourquoi pas l’Elysée, où Stéphane BERN possède bien évidemment ses entrées au « Château » ? Toujours est-il que l’animateur vedette de la série du «Village préféré des Français » et de sa multitude de déclinaisons dérivées, défenseur de la cause patrimoniale, est nécessairement informé de la réalité de la situation qui se déroule à Sens. Haut-lieu de l’art gothique mais aussi de la chrétienté en France…

Le présentateur de « Secrets d’Histoire » a été interpellé il y a quelques jours par les jeunes membres de l’ASSCPS, structure associative de Sens. ASSCPS : l’acronyme d’une nouvelle société sportive ? Que nenni ! L’Association Sénonaise pour la Sauvegarde et la Conservation du Patrimoine Sacré (eh, oui, cela ne s’invente pas !), créée telle une apparition miraculeuse de la Vierge en mars de cette année a pour vocation de préserver les lieux emblématiques de la ville de Sens, dont la fameuse chapelle Saint-Jean-Baptiste, aujourd’hui menacée par l’usure du temps – une bien cruelle érosion qui abime ce très bel édifice, accueillie dans l’ancien Hôtel-Dieu, voué lui aussi à date à l’abandon – et surtout le manque de moyens financiers pour en assurer la nécessaire réhabilitation.

« Faute de financement, précise son responsable, Mkrtitch MARTIROSSYAN – le jeune homme âgé de 19 ans est originaire d’Arménie – cette merveille architecturale risque de disparaître à jamais, privant ainsi les générations futures d’un héritage précieux… ».

 

Préserver l’identité de toute une communauté

 

A la tête de la structure associative – cette dernière possède son siège social au sein de l’Eglise catholique de Dijon -, le jeune homme d’une rare courtoisie et très respectueux des principes civiques et du savoir-faire a rassemblé autour de lui une poignée de jeunes gens, la plupart des étudiants, passionnés comme lui de défense patrimoniale et d’histoire.

« Voyez cette chapelle, ajoute-t-il en posant près de la barrière qui en occulte l’accès, elle est bien plus qu'un simple monument historique. Témoin de plusieurs siècles d'histoire, elle incarne l'âme et l'identité de notre communauté. Il nous faut la sauver de sa disparition imminente… ».

Son credo est basique : « nous sommes des citoyens ». Mais, sa volonté n’a pas de limite. « Il faut mobiliser tous les acteurs institutionnels et politiques interpellés par ce dossier, confie-t-il, sachant qu’une dizaine de bâtiments issus de ce patrimoine sacré sont négligés à Sens ».

Depuis sa récente fondation, l’ASSCPS s'engage à travailler en étroite collaboration avec les différents acteurs concernés, notamment l'hôpital de Sens, la DRAC, la Fondation du Patrimoine, l'Église et la Ville de Sens, pour trouver des solutions durables à cette crise patrimoniale. Une campagne de médiatisation et de mécénat est également prévue, avec le soutien de personnalités telles que Stéphane BERN, afin de mobiliser les fonds nécessaires à la restauration de la chapelle.

 

 

Un avis de mobilisation est lancé pour sauver les édifices sacrés

 

Mais, attention, la chapelle Saint-Jean-Baptiste n’est pas unique en son genre. Parallèlement, l'association poursuivra ses efforts pour assurer la préservation de l'ensemble du patrimoine religieux de Sens, notamment l'église Saint-Pierre-le-Rond, Saint-Savinien le Jeune ou encore Saint-Antoine. Des actions de sensibilisation et des visites publiques seront organisées pour impliquer la population locale dans cette cause vitale.

« La rédaction de rapports est en cours, assure M. MARTIROSSYAN, ils seront adressés à l’édile de Sens, Paul-Antoine de CARVILLE et au président du Grand-Sénonais, Marc BOTIN, parfaitement enclins à soutenir nos actions… ».

Le jeune étudiant à la faculté de droit à l’Université de Dijon, de confession orthodoxe, ne veut pas que les racines chrétiennes soient désacralisées dans l’oubli de ces édifices laissés à l’abandon.

« Sens mérite mieux que cela, souligne-t-il, ne serait-ce qu’eu égard à l’un des plus anciens édifices religieux de France… ». Pas faux !

Mais, alors, quels travaux réalisés in situ et avec quels moyens ?

Le président de l’ASSCPS possède évidemment des éléments de réponse.

« Dans un premier temps, une étude confiée à Frédéric DIDIER sera financée à 100 % par l’Etat. Les travaux d’urgence, estimés à ce jour à 1 267 949,32 € TTC seront découpés en deux tranches dont la première serait de 600 000 € TTC. Le financement devrait être entre autre assuré par le « Loto du patrimoine », une souscription à la Fondation du Patrimoine dont le porteur de projet serait un service de la mairie de Sens ou l’hôpital de Sens, sur les fonds propres de l’établissement sanitaire, propriétaire de l’ancien Hôtel-Dieu. L’ASSCPS va appuyer cette démarche… ».

Dès cet été, l’association lancera une vaste opération de mécénat. Tous les acteurs économiques de la place seront contactés : Région, Département, EPCI, Ville, ainsi que les entreprises et les fondations. Le financement participatif ne sera pas oublié pour faire appel à la générosité des internautes. Souhaitons qu’elle soit à la hauteur des espérances des jeunes adhérents de l’ASSCPS ! Sinon, il ne leur restera plus que les prières pour arriver à leurs fins…

 

 

En savoir plus :

 

La chapelle Saint-Jean-Baptiste de l’hôpital de Sens faisait partie de l’ancienne abbaye Saint-Jean fondée vers 500 par Saint Héracle, archevêque de Sens. Son chevet, le sanctuaire polygonal et le déambulatoire datent du XIIIème siècle.

Le reste de l’édifice a été reconstruit au XVIème et XVIIème. Les parties du XIème siècle représentent un chef d’œuvre de l’architecture gothique.

L’édifice a été classé parmi les monuments historiques dès 1862. Les couvertures de cet édifice sont aujourd’hui dans un état alarmant. Les charpentes et les voûtes sont menacées en raison des infiltrations d’eau depuis les toitures.

Les voûtes hautes reconstruites au XVIème siècle présentent un défaut de stabilité : cela se traduit par des fissures multiples et des chutes de matériaux.

Les travaux d’urgence sont estimés à date à 1,267 million d’euros TTC et seront découpés en deux tranches dont la première s’élèverait à 600 000 euros TTC.

 

Thierry BRET

 


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