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Une poudrière. Prête à exploser. A s’enflammer et à se répandre incandescente à la moindre étincelle, bien au-delà des frontières des belligérants. Entraînant dans son sillage son lot funeste de milliers de morts et autant de blessés. D’innocentes victimes, confrontées au quotidien à la dure réalité de la guerre qui prend ses racines au tréfonds d’une haine sans nom, plusieurs fois séculaires…et inéluctable.

Entre les Palestiniens et les Israéliens, le torchon ne brûle pas d’hier. Le feu nourricier de cette vindicte farouche entretenu tel le « Buisson ardent » de Moïse, à la limite du supportable après les actes perpétrés le 07 octobre dernier sur le sol d’Israël, se consume depuis trop longtemps entre ces deux peuples.

Profond, irréductible, immuable, presque éternel. « Eternel », voilà un étrange mot que celui-ci quand on évoque cette terre dite « Sainte » qui a engendré deux des grandes religions monothéistes. A croire que Dieu, quel que ce soit les attaches spécifiques selon les rites et traditions où on le vénère en qualité de croyant, en aurait presque oublié de bénir ces lieux afin de mieux les préserver du pire…

 

Après une telle tuerie, le pardon est-il possible ?

 

Le pire est toujours à venir, dit-on. Sans doute, cela est-il vrai. Pour les 1 400 malheureuses victimes, la plupart vivant dans des havres de paix – ces kibboutz communautaires rappelant la grande période du « Flower Power » américain où tout n’était que « peace and love » dans un grand élan d’humanisme -, prises par la mort et son visage tragique et injuste au petit matin de ce samedi 07 octobre – le 11 septembre, désormais, de l’Etat hébreu -, combien de victimes corolaires seront écrasées par effet gigogne par les frappes aveugles de Tsahal qui a pour habitude de pratiquer la loi du Talion et son fameux adage plus que jamais d’actualité : « œil pour œil, dent pour dent » ? Cinq mille, sept mille, dix mille ? Plus encore ?

Des femmes, des enfants, des adolescents, des vieillards, des adultes. Tous anéantis par des milliers d’obus et de missiles balancés sans relâche, jour après jour, qui auront blanchi leur nuit de la lumière blafarde de mort.

Oui mais, voilà. Israël, état souverain et démocratique, est en droit de se défendre face aux agressions. Surtout quand celles-ci sont cruelles, inhumaines, barbares, d’un autre temps, inimaginables.

Bébés décapités, fœtus extraits des corps de leurs mères éventrées, personnes handicapées mutilées à vif, personnes âgées calcinées de leur vivant, parents exécutés froidement sous le regard de leurs enfants, viols à répétition, carnages à n’en plus finir dans les kibboutz …comment cela est-il pardonnable ? En acceptant, tel Jésus, de tendre la joue gauche après la joue droite s’il avait été giflé violemment ?

 

 

 

Une frénésie de violences belliqueuses aux quatre coins de la planète…

 

Vu de notre prisme cocardier de petit Français privilégié, vivant dans notre confort tranquille, de nos problématiques et tracasseries administratives et inflationnistes, et surtout la hantise de l’invasion des punaises de lit, le grand buzz de cet automne 2023, il est impossible de juger le contexte. D’en esquisser avec objectivité les tenants et les aboutissants…

Tout juste, faut-il garder la tête froide et suffisamment de discernement pour bien analyser les choses afin d’essayer d’y voir plus clair, de comprendre les enjeux des uns et des autres, et surtout de s’intéresser aux inévitables conséquences que cette nouvelle poussée de fièvre et de violences va engendrer dans l’Hexagone, ainsi que sur le Vieux Continent.

Pour ne pas dire, la planète toute entière qui n’avait pas besoin de cela dans une conjoncture sentant déjà le souffre du nucléaire et de la guerre ouverte aux portes de l’Europe, avec le conflit opposant Russes aux Ukrainiens. Quand ce ne sont pas les Chinois qui s’agitent avec frénésie du côté de Taïwan ou de la Corée du Nord qui s’amuse régulièrement à nous faire peur en balançant en veux-tu en voilà des missiles balistiques intercontinentaux à titre d’essais qui pourraient nous amener tout droit vers l’Apocalypse !

   

Des points de vue à géométrie variable…

Car, manifestement, ce conflit peut aussi s’exporter en France comme ailleurs dans le monde, au-delà de ses appréciations partisanes, selon que l’on soit pour un camp ou pour un autre, on l’aura bien vu ces jours derniers dans de nombreuses métropoles qui accueillent des manifestations, plus ou moins interdites. Un casse-tête de plus pour une administration parfois dépassée par les évènements…

Bien sûr, le Hamas n’est pas un «  mouvement de résistance » comme les autres - la fameuse citation conspuée même par son propre camp et prononcée à la légère par la députée de La France Insoumise Danièle OBONO qui aura perdu une occasion de se taire et a provoqué le courroux de Gérald DARMANIN qui l’attaque en justice ! – mais qui pratique avec délectation des actes de terrorisme, proches de la boucherie.

Quoi qu’en pense et quoi qu’en dise un Recep Tayyip ERDOGAN décapant et imprévisible, qui à sa grande habitude en sa qualité de président de la Turquie, souffle le chaud et le froid, entre Orient et Occident, entre OTAN dont il est membre actif avec le net soutien des Américains qui y ont déployé plusieurs bases militaires et « ami » indéfectible de la Russie du « grand démocrate » Vladimir POUTINE, entre Tel-Aviv dont il cherche les faveurs économiques et les marchés consuméristes afin d’y écouler ses produits, et le Hamas, dont il a reçu il y a peu dans son palais présidentiel à Ankara l’une des têtes pensantes de cette entité qui possède aussi sa branche politique. Un grand écart de pensée à géométrie variable, digne du détroit du Bosphore, ne trouvez-vous pas ?!

Au même titre que jadis, l’ETA ibérique ou l’IRA nord-irlandaise savaient jeter le trouble en représentativité conventionnelle et groupuscules armés de l’ombre, appliquant leur stratégie à grand renfort d’attentats et autres actions spectaculaires, laissant moult cadavres et familles en pleurs sur les lieux de leurs exactions.

Dans le genre, « faites ce que je dis mais ne faites pas ce que je fais », il y a mieux, en vérité !

 

 

Un conflit impitoyable sur fond de territorialité et de religiosité…

 

Reste, que la France qui a enregistré la perte de 35 de ses ressortissants après cette macabre matinée du 07 octobre, est aussi en première ligne de cette poussée de tension avec ce nombre d’otages si important, prélevés à leur liberté. Une dizaine de nos compatriotes, possédant parfois la double nationalité franco-israélienne, croupissent depuis trois semaines dans les geôles des kidnappeurs, terrés comme des taupes dans l’immense réseau de souterrains dont Gaza City est l’épicentre.

Cela explique le récent déplacement du Président de la République Emmanuel MACRON à Jérusalem et l’omniprésence de la ministre des Affaires étrangères, Catherine COLONNA, mobilisée sur le sujet.

Aujourd’hui, des familles attristées – elles sont plus de 220 de toutes identités nationales confondues –  espèrent un retour au calme et une intervention « raisonnée » de Tsahal, l’armée de l’Etat hébreu, afin de préserver le sort des otages. Des enfants, des ados, des femmes, des vieux, des hommes. Des personnes ordinaires embarquées dans une opération extraordinaire…

La question est la suivante : que pèse véritablement la vie de 220 otages même aux origines planétaires différentes dans ce conflit ouvert et impitoyable de cruauté de part et d’autre, sur fond de territorialité et de religiosité qui remonte aux calendes grecques entre les Juifs et les Arabes ?

La réponse, candide, pourrait presque nous être suggérée par l’une des chansons d’Alain SOUCHON, « Et si le ciel était vide… ». Cela changerait peut-être la donne à tout cela, non ?

 

Thierry BRET

 

 

 


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C’est peut-être le remède vital à tous les maux de la société. A ne pas distiller à dose homéopathique si l’on veut en voir les effets le plus vite possible sur le terrain. Rien de miraculeux en soi – cela se saurait ! – mais il repose sur du bon sens et de la pratique quotidienne, pour éradiquer la méconnaissance et la bêtise qui mènent tout droit vers l’obscurantisme.

Ce plan d’actions pourrait s’articuler autour de la lutte contre l’illettrisme. L’une des plaies ouvertes de nos sociétés, dites pourtant civilisées. Un fléau qui concerne, ne serait-ce que dans notre pays, un jeune Français sur dix !

On tombe des nues ou presque à la simple lecture du rapport publié par le ministère de l’Education  nationale, en juin dernier. Un jeune sur dix connaît des difficultés de lecture et d’écriture dans l’Hexagone. Encore plus consternant : près de la moitié de ces 10 % est en situation totale d’illettrisme.

 

La Nièvre dans le trio de tête des mauvais élèves de l’Hexagone

 

Avec un tel constat, observé dans l’une des démocraties les plus puissantes sur le papier de la planète, comment au XXIème siècle peut-on encore tolérer cela ?! Où sont les failles dans le système éducatif et familial pour arriver à ce piètre résultat ? Un résultat qui fait le jeu, en contre-point, de toutes les dérives manipulatrices qui fleurissent çà et là sur les réseaux sociaux. Ou ailleurs ! Car, sans recul ni logique ni discernement, plus rien n’abreuve les neurones : c’est donc l’ouverture vers l’obscurantisme et ses innombrables scories.

Géographiquement, l’étude révèle des faits qui sont pour le moins éloquents : les régions d’Outre-Mer caracolent dans la stratosphère de ces mauvais résultats avec des pics de jeunes illettrés qui atteignent des sommets. En métropole, le bonnet d’âne échoie aux départements du Nord, de l’Aisne, de la Somme. Etrangement, les difficultés à la lecture sont plus développées qu’ailleurs. Ne souriez pas : la Bourgogne Franche-Comté ne fait pas partie des bons élèves ! Nos voisins de la Nièvre le savent à plus d’un titre avec 15 % de jeunes en difficulté…sans omettre les adultes.

 

 

Rompre l’isolement de ces personnes en grande difficulté

 

Dans l’Hexagone, les chiffres font peur : plus de 2,5 millions de personnes savent à peine lire et écrire, soit 7 % de la population. C’est en Bretagne que les gens sont les plus instruits.

Bref, à l’heure de l’intelligence artificielle, cette réalité « invisible » qu’est l’illettrisme est aujourd’hui pointée du doigt par l’Etat. Désormais, la thématique intègre ses priorités. Les départements qui ont la compétence dans la gestion des collèges et les régions qui suivent de très près ce qui se vit dans les lycées leur emboîtent le pas. La lutte contre l’illettrisme est devenue une plaie béante dont il faut résoudre coûte que coûte les symptômes.

Dans la Nièvre, justement – c’est l’un des départements français les plus touchés par ce phénomène qui concerne aussi les demandeurs d’emploi et les allocataires du RSA -, un plan d’actions, baptisé astucieusement « Etre en toutes lettres » vient d’être lancé.

Il comprend quatre articulations : mobiliser et coordonner tous les acteurs du territoire face à ce fléau, proposer un suivi régulier et adapté aux personnes en grande déshérence intellectuelle, faire de l’illettrisme un vrai enjeu de société et assurer une continuité véritable dans toutes les actions qui seront déployées avec le concours de l’Etat.

Avec en toile de fond, rompre l’isolement de ces personnes qui peinent à lire et à s’instruire, et qui progressivement se marginalisent, s’extériorisent de tous les systèmes conventionnels, et…se radicalisent en bout de course, choisissant cette voie comme ultime solution pour exister.

L’Etat souhaite une plus large implication de tous les acteurs institutionnels et économiques de la société. Si l’illettrisme se repère avec facilité sur les bancs d’une école ou d’un collège, il ne doit plus passer inaperçu en entreprises où bon nombre de salariés éprouvent les plus grandes difficultés à lire une feuille de route, voire leur bulletin de salaire.

 

 

Ce besoin de reconnaissance si vertueux et paisible

 

Le chantier est important mais pas insurmontable. D’autant que l’Agence nationale de lutte contre l’illettrisme et les nombreuses associations familiales veillent au grain pour remettre sur de bons rails celles et ceux de nos compatriotes – mais aussi des étrangers – qui se seraient égarés en route.

Ce sont en effet chaque année plus de mille manifestations qui sont ainsi organisées à l’automne avec conférences, débats, expositions, projections de film, remises de diplômes…Un grand pas vers l’encouragement et l’estime de soi !

Tellement fondamental, ce degré de reconnaissance qui est ô combien nécessaire pour ne pas s’éloigner du bon chemin. Celui de la vertu, de l’audace et…de la paix.

 

Thierry BRET

 

 


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L’obscurantisme règne en maître sur le globe. Toujours et encore. Il rôde tout autour de nous. Tapi dans l’ombre, pernicieux. Pour mieux s’abattre sur nos têtes, là quand on s’y attend le moins et que cela fait le plus de mal. Comme à Arras, dans ce lycée Gambetta, pourtant réputé si tranquille. L’effroi, dans toute sa splendeur. La sidération, aussi, car l’impensable se manifeste à nous, à la lumière du jour. Par une trop chaude journée gavée de cet insolent soleil, ne rappelant nullement la nécessaire saison des pluies et la chute des feuilles, préparant les arbres à l’hiver…

Un fait divers tragique, survenant presque jour pour jour, trois ans après un autre triste anniversaire. Celui de la disparition du pauvre Samuel PATY, professeur d’histoire et de géographie qui eut pour son plus grand malheur avoir cru bon évoquer lors d’un cours assuré à l’une de ses classes le rôle des caricatures d’un journal satirique et ses effets dans la société. On connaît la suite. Morbide et inimaginable…glaçante, aussi.

 

Le lourd tribut payé par l’Education nationale…

 

« Plus jamais ça », avait-on lu alors dans la presse et dit dans les cénacles de la politique. Des propos repris en chœur par toute l’intelligentsia bien-pensante de notre Hexagone. De gauche comme de droite. Du centre, évidemment. Mais aussi des extrêmes. L’unité nationale absolue, comme les cinq doigts de la main, autour d’une catastrophe que l’on croyait impossible à vivre dans le pays des libertés et de Jean-Jacques ROUSSEAU !

Etre assassiné pour avoir enseigné. Transmis des valeurs. Fait réfléchir les consciences et surtout apporter de la lumière dans toute cette opacité macabre qui auréole notre existence avec son lot de guerres, de conflits, de crimes, de meurtres, d’épouvante. Quel horrible tableau que celui-là !

Une fois encore, le monde de l’Education nationale paie un lourd tribut à la défense de ces valeurs. Celles qui nous sont chères et qui ont pour appellation la liberté d’expression, l’enseignement, la pédagogie, le civisme, l’apprentissage, la compréhension. L’ouverture sur le monde, aussi. S’instruire n’est-elle pas la plus belle des vertus pour ne pas mourir totalement idiot ?!

 

 

 

Apprendre et penser : les dangers des autocraties

 

Depuis que nous sommes au monde, on n’a cessé de nous le marteler : nous sommes là pour apprendre afin de mieux transmettre. C’est en comprenant les choses, voire en les pratiquants que l’on peut s’évertuer de les changer, de les transformer vers le meilleur, si possible. Or, pourquoi ces enseignants et ces personnels administratifs qui gravitent autour de l’Education nationale sont-ils désormais dans le viseur de ces êtres dénués de discernement intellectuel ? C’est simple : apprendre fait peur ! Cela correspond au savoir qui est perpétué ainsi de génération en génération, un savoir ouvert vers l’universalisme, le modernisme, les technologies, les mathématiques, les sciences, la philosophie, les langues étrangères, la culture…

Pourquoi les jeunes filles et jeunes femmes afghanes sont-elles privées d’école par les talibans ? Parce qu’elles représentent un insidieux danger qui pourrait mettre à mal toute la rhétorique d’un autre âge qui vient enfumer le paysage politique local !

Pourquoi au pays des mollahs – l’Iran –, les femmes sont-elles renvoyées dans les arrières bans existentiels ? Et ne peuvent de facto briller au soleil même si elles peuvent suivre une scolarité ? Parce que leur savoir et leurs diplômes sont des périls pour ces sociétés où le patriarcat règne en dictat absolu ! Les autocraties éprouvent une sainte horreur de l’intelligence collective : comment alors régner dans la facilité si le peuple est en capacité de réflexion ? Quel dilemme, non !

 

 

Le retour de l’obscurantisme, de l’ombre à la lumière

 

Evoquant lors de son allocution officielle le nouveau drame vécu au Proche-Orient, jeudi soir dans les journaux de vingt heures télévisés, le Président de la République Emmanuel MACRON avait souligné avec vigueur que ce conflit séculaire opposant Israéliens aux Palestiniens ne devait aucunement s’exporter vers l’Europe, et surtout en France. La réponse à ses craintes ne s’est donc pas fait attendre. Puisque le lendemain, un attentat devait être perpétré de la plus sinistre des façons dans ce lycée d’Arras, condamnant un professeur de lettres, Dominique BERNARD, à une mort atroce, égorgé par arme blanche, près de la cour de récréation de son établissement.

On apprenait presque dans le même temps qu’une deuxième tentative d’assassinat avait été avortée à la dernière minute dans les Yvelines, près de Mantes-la-Jolie, là aussi selon un mode opératoire quasi à l’identique avec un individu sortant d’une salle de prière, un couteau à la main et se rendant aux abords d’un lycée…pour mieux tuer des innocents !

Le retour de l’obscurantisme ne cesse de s’amplifier en ces périodes au contexte international très agité, si tant est qu’il ait vraiment disparu. Plus que jamais, la vigilance s’impose autour des écoles, devenues les cibles privilégiées des terroristes qui ne supportent plus que l’on n’y apprenne et que l’on n’y pense…il vaut mieux en effet rester des moutons de Panurge que l’on manipule et que l’on tue !

 

Thierry BRET

 


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Avis aux cancrelats, blattes et autres cafards, vous avez du souci à vous faire pour vos retraites ! La concurrence est devenue très rude depuis quelque temps chez les nuisibles et autres parasites ; ces fameuses bestioles à multiples pattes et peu ragoûtantes à la vue qui dans la catégorie insectes envahissent de manière très effrontée nos univers cocooning, habituellement si sereins.

Si les rats ont élu domicile dans la plupart des arrondissements de Paris au grand dam de ses habitants, en créant une réelle typicité touristique qui fait rire les visiteurs du monde entier – que l’on se rassure, il n’y a d’ailleurs pas que dans la capitale de l’Hexagone que ces charmants mammifères prolifèrent à tout va à peine la nuit tombée au beau milieu des humains et des immondices qui jonchent certains trottoirs urbains ! -, voilà une nouvelle variante de cette invasion progressive du règne animal qui éclate au grand jour.

Faisant les choux gras de la presse ces jours-ci, provoquant même – ne riez pas, c’est du sérieux ! – une réunion de l’exécutif, cette semaine, en mode interministériel à Matignon, afin d’établir un authentique état des lieux et surtout un plan de bataille devant une situation qui semble déjà échapper à nos gouvernants ! A dix mois à peine de l’accueil des Jeux Olympiques en France : il ne manquait plus que ça !

 

Une hantise nocturne à ne pas en dormir du tout…

 

L’ignoble renégat à l’origine du mal n’est autre que…la punaise de lit ! Depuis lundi, il n’y a pas une manchette de journal, pas une accroche de « une » d’un vingt heures ou d’une radio périphérique qui ne tourne en boucle ou presque sur ce nouveau phénomène de société. Un cas d’école spécifique que la France semble découvrir avec des cris d’orfraie et une consternante innocence : la présence de ces minuscules animaux hétéroptères, avides de sang et de chair fraîche, se ruant sur l’humain la nuit venue !

Brrr, cela fait froid dans le dos rien que d’y penser : sans doute, la moelleuse couche de mon labrador qui ronfle bruyamment devant la chaude quiétude de la cheminée est-elle nettement plus accueillante que mon lit !

Déjà que les chauves-souris n’arrêtent pas de vampiriser nos espaces extérieurs dès la pénombre venue autour des fenêtres, voilà qu’un autre de ces prédateurs sanguinaires – la punaise de lit – va venir nous hanter chaque nuit avec ces petites pattes galopantes sur notre corps et nous incommoder en provoquant à cause de leurs succions malignes d’horribles démangeaisons. Celles-ci seront accompagnées de petites tâches rouge sang – le signe caractéristique de cette présence du démon ! -, à fleur de peau. Quel terrible tableau que celui-ci ! Il nous rendrait presque insomniaque !

 

 

Il y a péril en la demeure avec les punaises !

 

Jamais, les punaises de lit – rendons-leur cet honneur - n’ont connu un tel succès populaire par voie de presse ! L’Etat, on l’a appris de sources officielles, veille au grain Les cinéastes en cruel manque d’inspiration sont déjà sur les rangs pour tourner un biopic, diffusable sans doute sur NETFLIX !

Pensez, donc ! Aujourd’hui, dans cette France fleurant bon la modernité, le progrès technologique et social, l’attractivité à tout crin et le XXIème siècle pleinement assumé, la punaise de lit peut à elle seule mobiliser plusieurs ministères, voire autant de services de l’Etat, afin que l’on traite de son cas de manière hyper urgente, cela va de soi ! Cela change de certains dossiers autrement vitaux qui traînent parfois en longueur !

Y aurait-il péril en la demeure ? A priori, oui ! Car, l’indésirable insecte ne se cantonne pas aux « plumards » aurait savamment écrit Michel AUDIARD mais il batifole un peu partout dans notre environnement proche, investissant les rames de la RATP – il est vrai que ce cher métropolitain parisien est d’une rare propreté à ne pas oser mettre un pied par terre ; et ne parlons pas de l’odeur pestilentielle qui y règne ! -, les wagons de la SNCF – en règle générale, nettement plus accueillant en termes de salubrité que ceux de la RATP ! -, voire les sièges des avions fin prêts à quitter de nos aéroports.

 

 

La psychose de la punaise, priorité hexagonale !

 

La punaise voyage au frais des contribuables, se répandant un peu partout à la vitesse du son en quête de nouvelles proies ! Certains des voyageurs empruntant les transports collectifs n’osent même plus poser leurs têtes sur les reposoirs prévus à cet effet, ni même leurs bagages à main dans les soutes appropriées : bonjour la psychose !

Comme de bien entendu, un nouvel épisode de la COVID nous revient avec force lors de cette excellente période automnale en surchauffe qui accentue la prolifération de toutes les saloperies qui volent dans les airs : le marasme est à son comble chez nos Français qui se sentent « punaisés » à leur triste sort !

Pendant ce temps-là, le monde ne tourne toujours pas rond au quotidien, entre les spasmes des conflits, les soubresauts du réchauffement climatique, les faits divers toujours aussi sordides, les miasmes engendrés par la pénurie d’eau et les catastrophes naturelles, l’inflation expansionniste qui décime les espérances de vie des plus précaires, les dérives des flux migratoires, les états d’âme des puissants qui font et défont la planète, ne pensant qu’à une seule chose : l’exploiter jusqu’au trognon !

S’y besoin, en y employant la force et la méthode impérialiste la plus pérenne : l’autorité !

Bref, il est donc grand temps, pour nous autres Français, de trancher dans le vif sur un vrai sujet de société en proposant le référendum citoyen sur l’acceptation ou pas de la punaise dans notre lit !

 

Thierry BRET

 


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Certes, c’était une promesse de campagne prononcée en 2022. Mais, il semble bien aujourd’hui face à la recrudescence des incivilités et des émeutes à répétition qui secouent régulièrement le pays que le chef de l’Etat ait voulu taper du poing sur la table en prenant cette décision et en l’accélérant coûte que coûte.

Dès le début de la semaine prochaine, en déplacement dans une localité du Lot-et-Garonne, Emmanuel MACRON dévoilera la carte des deux cents nouvelles brigades de gendarmerie qui vont être ainsi constituées dans l’intervalle de 2027 en France.

Qu’elles soient fixes ou mobiles, ces brigades réparties aux quatre coins de l’Hexagone permettront de déployer au plus près des Français plus de deux mille nouvelles recrues, soit 2 144 gendarmes plus exactement, amenées à rassurer et à sécuriser les citoyens dans leur quotidien.

Des citoyens qui n’en peuvent plus de subir les affres des petites frappes dans les banlieues, des dealers et leurs immondes trafics dans les zones urbaines, des cambriolages se densifiant à qui mieux mieux jusqu’aux tréfonds de la rase campagne !

De quoi tordre le cou aux idées reçues et fabriquées parfois de toute pièce concernant le laxisme étatique, et celui de la gouvernance qui ne prendrait pas les mesures adéquates pour endiguer réellement les problèmes.

 

Une mesure historique depuis 1791 !

 

Selon une source élyséenne, cet engagement sécuritaire fort de la Nation n’a d’autre but que d’optimiser les efforts de sécurisation envers les Français. Et, de démontrer en toile de fond que le locataire du Château réaffirme son titre de président des territoires. Même si celui de l’Yonne, en particulier, se sent toujours aussi orphelin de l’absence de visite présidentielle depuis maintenant six ans et le début de la mandature d’Emmanuel MACRON. Il se susurre tout de même dans les chaumières que notre attente ne sera pas vaine très longtemps puisque un prochain congrès national sur la santé, accueilli dans l’antre d’AUXERREXPO le 11 octobre, pourrait voir la venue du chef de l’Etat et d’un quarteron de ministres et secrétaires d’Etat afin d’inaugurer ledit évènementiel ! Mais, là, n’est pas le propos du jour.

Qualifiée « d’effort historique » par le porte-voix de l’Elysée, la mesure est d’importance car jamais une telle décision n’avait été prise depuis l’apparition de la gendarmerie nationale datant de…1791 ! Le 16 février, précisément où fut instaurée la naissance de l’institution nouvelle, résolument plus moderne dans son mode de fonctionnement.

 

 

Brigades mobiles et fixes selon les besoins

 

Si, aujourd’hui, 3 500 brigades de gendarmerie sont opérationnelles sur la France métropolitaine et les DOM-TOM, cela n’était pas suffisant pour répondre aux nouveaux périples d’une société, davantage orientée vers la violence et l’agressivité. Le lot quotidien des faits divers qui ornementent les colonnes de certaines gazettes est là pour le rappeler à nos mémoires : le monde change de peau, comme l’interprétait en 1978 un certain Alain SOUCHON, et il devient laid plutôt que beau.

Dans l’absolu, et la carte hexagonale qui sera officiellement présentée ce lundi 02 octobre dans le Sud-Ouest de la France le confirmera, ce sont d’une à quatre nouvelles brigades qui fleuriront par département. Toutefois, attention, il y a un sérieux particularisme dans ces créations.

Ces nouvelles brigades pourront être mobiles – la majorité d’entre elles, apparemment, pouvant se constituer autour d’une force d’une demi-douzaine de militaires qui pourront se mouvoir à bord de camions ou de véhicules automobile dans les communes ou fixes où dans ce registre-là, elles accueilleront une dizaine de personnels installés dans des locaux à construire, à rénover ou déjà existants. C’est le choix du roi quant à la formule retenue au cas par cas selon les possibilités offertes par territoire en lien avec les élus.

 

 

Plus de 500 brigades supprimées entre 2009 et 2016

 

Mais, attention, précise la source élyséenne contactée ce vendredi après-midi par voie téléphonique, qui dit brigade mobile, dit qualité et sérieux dans les moyens mis à disposition pour les militaires, tant au plan numérique que technologique ! Il ne manquerait plus que cela que les brigades mobiles soient au rabais par rapport aux autres, les fixes, qui disposeraient des édifices et du matériel adéquats !

Si l’enveloppe budgétaire globale s’élève à quinze milliards d’euros sur cinq ans – la somme est inscrite dans la loi d’orientation et de programmation du ministère de l’Intérieur -, il faut savoir qu’à l’unité, le coût d’une brigade mobile à l’année revient à environ 70 000 euros de fonctionnement. Coût nettement plus complexe à calculer pour une brigade fixe qui doit s’appuyer sur les frais inhérents liés aux bâtiments.

C’est à partir de novembre de cette année que les premières brigades mobiles verront le jour. Un sacré pied-de-nez fait aux anciennes gouvernances (surtout celle de Nicolas SARKOZY !) qui avaient largement épuré les forces de l’ordre dite de proximité et supprimé plus de 10 000 fonctionnaires de leurs rôles.

Rendant obsolète et de manière incertaine la présence policière dans les grands ensembles en Ile-de-France ou dans les agglomérations importantes du pays. Sur la période comprise entre 2009 et 2016, ce furent cinq cents brigades qui passèrent de profit à perte, sans crier gare…Or, les mêmes qui avaient pris ces décisions s’étonnent aujourd’hui de la remontée fulgurante des infractions et de l’incivisme dans le pays !

Quant à ces affectations, elles seront déployées dans les territoires ayant besoin de l’Etat et besoin de sécurité. A vrai dire, ce n’est pas ce qui manque dans le landerneau !

Les préfets auront au préalable transmis les dossiers de candidature au ministère de l’Intérieur avant que le verdict ne soit rendu.

Enoncé des réponses : ce 02 octobre avec sans doute des surprises agréables pour certains de nos compatriotes, et son lot de déception pour ceux qui espéraient davantage d’écoute…

 

Thierry BRET

 


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