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Ca y est. Le funeste chiffre est tombé. Mettant très mal à l’aise la communauté internationale, dans son ensemble, qui constate et observe les faits mais qui n’agit pas. Ou si peu. On relèvera tout de même une résolution du Conseil de Sécurité des Nations Unies, visant à arrêter les combats, et une comparution devant la Cour internationale de Justice pour des crimes de « génocide » contre l’Etat hébreu. Mais, rien n’y fait. Les chiffres progressent et la barre des 35 000 victimes mortes (113 000 au total en y incluant les blessés, femmes et enfants) vient d’être dépassée depuis quarante-huit heures. Marquant ainsi d’une pierre blanche, l’histoire de l’Humanité…

 

HUMEUR : A ces chiffres-là, déjà édifiants, il faut ajouter les dix mille disparus. Le tout obtenu dans un contexte très particulier, celui de la guerre sans limite, de la privation de droits et de toit en déplaçant les populations, de famine et de destruction massive. Bien sûr, nul ne peut occulter de la mémoire ce terrible jour du 07 octobre 2023 où près de 1 400 personnes ont péri dans des conditions particulièrement atroces alors qu’elles vaquaient à leurs occupations ordinaires de petites gens. Oui, mais la loi du talion, selon le principe de l’application « dent pour dent », « œil pour œil », n’est-elle pas transgressée en l’état actuel des choses par ses auteurs ? Même les Etats-Unis, soutiens inconditionnel d’Israël, commencent à hausser le ton devant la situation dramatique vécue par le peuple palestinien, vivant dans la bande de Gaza…L’Union européenne, lui emboîtant le pas.

Dimanche, le ministère de la Santé à Gaza a publié un dernier communiqué, en dévoilant le nombre de tués (35 034) et de blessés (78 755) depuis le 07 octobre. Trop, c’est trop : il est temps que ce massacre cesse.

 

 

Le PCF veut empêcher le bain de sang à Rafah…

 

Comme le réclame la Fédération du Parti Communiste français, via son antenne de l’Yonne et sa secrétaire départementale, Marie-France GHERSI-BURIER.  

« La prise de contrôle du point de passage de Rafah, seul lieu d’entrée de l’aide alimentaire, bafoue l’arrêt de la Cour internationale de Justice qui enjoignait le gouvernement israélien d’arrêter les opérations conduisant à un risque génocidaire. Elle aggrave les menaces d’un risque d’embrasement généralisé… ».

Le PCF exprime ainsi sa solidarité envers les victimes civiles palestiniennes de cette nouvelle offensive, et exige que la France prenne des initiatives concrètes pour contraindre le gouvernement de Benyamin NETANYAHOU à arrêter ce bain de sang et à accepter un cessez-le-feu immédiat et permanent. Cela permettrait aussi de libérer les otages israéliens comme les prisonniers palestiniens.  

D’ailleurs, Marie-France GHERSI-BURIER parle de sanctions à appliquer envers l’Etat hébreu. « Des criminels de guerre, précise-t-elle dans un récent communiqué.

« Il faut suspendre les accords d’association entre l’Union européenne et Israël, arrêter la livraison d’armes – les Etats-Unis ont adopté cette mesure selon la volonté de Joe BIDEN -, rappeler l’ambassadeur de la France pour consultations, traduire le chef du gouvernement et ses ministres devant la justice internationale. Si la Cour pénale internationale émet un mandat d’arrêt contre eux, alors la France devra faire tout son possible pour qu’il soit appliqué… ».

Quant à la reconnaissance de l’Etat de Palestine, il devient urgent que la France le fasse, sur la base des frontières de 1967 avec l’est de Jérusalem pour capitale, aux côtés de l’Etat d’Israël. Un avis émis par le PCF que bon nombre de Français approuvent à l’heure actuelle. Avant qu’il ne soit trop tard…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Il n’y a pas de mots devant une telle horreur. Pas une once de pitié ni de considération circonstancielle à avoir devant les auteurs présumés de ces faits. Graves. Lourds. Pesants. Insoutenables. Des actes de barbarie, d’un autre temps, d’un autre monde, de mœurs que l’on pensait d’autrefois, voire oubliés depuis si longtemps dans notre existence, que ne pourraient renier les pires des terroristes possesseurs de couteaux aux lames si tranchantes et si affûtées. Des actes à proscrire de ce XXIème siècle, pourtant au firmament de la technologie, de l’IA  et des progrès scientifiques…Tu parles !

La nature humaine est ainsi faite : chassez le naturel, il revient au galop à la vitesse de la lumière surtout en matière d’abrutissement, de monstruosité, de vices sans vertus et de « conneries » en tout genre, en veux-tu, en voilà ! Et là, l’humain de ce siècle en totale déliquescence avec lui-même n’est pas mal non plus dans son genre…

Ici, dans le cas présent, c’est l’un de ces faits divers des plus sordides que même les journalistes ont dû mal à expliquer et à narrer dans leurs colonnes, tant l’envie de vomir – pour ne pas dire gerber -  leur remonte dans la gorge, et qui se fait jour au plus grand nombre d’entre nous.

 

Les animaux ont des droits sur cette planète qui est aussi la leur…

.

C’est donc un chien, une simple bestiole à quatre pattes – le meilleur et plus fidèle ami et compagnon de l’homme précise l’adage - qui en est devenue la malheureuse et innocente victime. L’expiatoire victime, devrait-on dire, pour on ne sait quel faute impardonnable qui méritait de facto la peine de mort sans jugement aucun et de la manière la plus odieuse qu’il fut. Un acte gratuit, teinté aux relents de cette emprise ordinaire de l’alcool qui fait tant de ravages dans nos campagnes hexagonales, visiblement selon les premiers témoignages. Et alors, est-ce vraiment défendable et excusable en soi ? Que nenni !

Que l’on soit bourré, analphabète, idiot du village, intellectuel ou sain de corps et d’esprit, le respect de l’animal est une règle d’or à ne jamais transgresser.

Eu égard à Dame Nature qui les accueille sur cette planète qui est aussi la leur et où ils possèdent des droits. Eu égard, aussi, à tous ce qu’ils peuvent apporter de bon pour améliorer la triste condition de l’homme dans cette société insipide, incivile, contradictoire dans ses us et coutumes de la vie ordinaire. Faite d’individualisme et de jalousie.

Alors, quand on lit entre les lignes d’une dépêche traitée dans la catégorie « faits divers » par un quotidien régional ce qui va suivre, notre sang ne peut que bouillir à 180 degrés dans notre corps et notre esprit demander justice et réparation – si tant est qu’il soit encore possible de le faire – devant de tels cas, franchement irrécupérables.

 

 

Un monde meilleur où ne vivrait pas cette pitoyable espèce humaine…

 

Les sévices et actes de cruauté envers les animaux sont déjà abominables en tant que tels lorsqu’ils sont perpétrés. Mais, quand ces actions gratuites et sanguinaires se transforment en scénario façon film d’horreur à la Stephen KING juste pour le plaisir de faire mal alors l’irréparable est commis et on ne peut plus grand-chose pour celles et ceux qui les commettent. Circuler de la société, il n’y a vraiment plus rien à voir, n’y à faire pour celles et ceux qui commettent de telles méfaits ! De sinistres personnages à bannir à jamais de notre vie.

Comment s’appelait ce chien déjà ? Médor, Oscar, Pollux, Vegas, Lucky (auquel cas le pauvre, il n’en aurait pas eu beaucoup de chance) ou Maya ? A quelle race appartenait-il ?  Nul ne le sait. Même pas le procureur de la République qui instruit l’affaire, c’est tout dire sur l’état de la pauvre bête quand on a retrouvé ses restes !

Dans les faits, le malheureux animal a reçu suffisamment de coups de couteau dans le flanc, avant d’être décapité avec une tronçonneuse pour qu’il passe de vie à trépas en rejoignant, on l’espère, un monde meilleur où surtout cette pitoyable race qui vit sur Terre, l’espèce humaine, ne viendra plus jamais l’embêter…Le paradis des chiens existe, c’est certain…

 

La mobilisation de tous les adorateurs des animaux !

 

Mais, jusqu’où l’humanité va-t-elle descendre dans les abîmes les plus profondes de la répulsion et de l’effroi ? On pensait avoir tout vu en cette année 2024, comme les précédentes, déjà gorgées d’immondices répugnantes quant au savoir-faire de l’homme en matière de cruauté si finement aiguisée. Et bien non !

Les scènes macabres se succèdent aux scénarii de la peur et de l’épouvante : l’humain est encore loin d’avoir dévoilé toutes ses ressources et ses potentialités en termes d’absurdité et de répugnance. Nimbées de bain de sang et d’hémoglobine à haute dose. Et pour une fois, il n’était pas question de diffuser ces outrages imbéciles sur les réseaux sociaux pour en faire du buzz !

Mais, sincèrement, posez-vous donc la question une bonne fois pour toute en prenant le temps de la réflexion devant une glace : qui oserait découper la tête de son chien à la tronçonneuse parce que celui-ci, selon toute vraisemblance et d’après les aveux des placés en garde à vue, aurait coursé un chat, lui-même victime de maltraitance par ce même couple infernal déjà bien connu de la Justice ?

Il faut être sérieusement dérangé du cerveau, non ? A condition qu’il y en ait un qui soit renfermé dans la boîte crânienne de ces « Ostrogoths » …

Bien sûr, justice devra être rendue à l’issue de la comparution de ces rustres, sortis d’un autre âge, à l’automne prochain devant un tribunal correctionnel. Bien sûr, un avocat assurera leur défense dans les règles de l’art, plaidant les circonstances atténuantes (il faudra nous expliquer lesquelles par ailleurs !) et le mauvais comportement « évident » de l’animal envers ses maîtres.

Mais, tout de même, jusqu’où peut aller l’absence de docilité d’un chien s’il est déjà battu à coups de ceinturon tous les quatre matins par ses maîtres irascibles et qui y prennent un malin plaisir !

Face à ce genre de dossier, de plus en plus récurrent, il est impératif que la Fondation « 30 millions d’amis », la SPA, ainsi que toutes les associations de la protection animale, de la nature et de l’environnement, y compris les politiques et les acteurs engagés de la société civile, prennent partis en faveur de cet animal torturé par ses horribles propriétaires.

Des bourreaux qui, eux, n’y laisseront pas leur vie in fine aux termes de la procédure juridique quel que soit le verdict.

« On n’achève pas bien les chevaux », disait le film ; dorénavant, dans l’Yonne car c’est bien dans ce département déjà bien fourni en affaires criminelles des plus sordides par le passé, que l’« on décapite même les chiens ! ». Ignoble et « dégueulasse »…

 

Thierry BRET

 


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Certes, il pointe en neuvième position sur la liste. Ce qui n’est pas si mal, après tout, sur un total de 81 candidats choisis à l’échelle de l’Hexagone. Même si ses chances d’obtenir le « Graal européen » au terme de la soirée dominicale du 09 juin sont infinitésimales pour ne pas dire plus, il n’empêche que le colistier de « Défendre les Enfants » auxerrois se prend au jeu et s’offre une tribune médiatique, ne serait-ce que pour être l’un des porte-étendards de la cause enfantine, dans l’Yonne. Une cause, quasi oubliée par les ténors de la vie politique tricolore (comme à peu près partout d’ailleurs en Europe !) qui repose sur la défense des droits parentaux et la protection de l’enfance. Une enfance qui a grandement besoin d’être sécurisée dans le monde actuel…

 

AUXERRE: Pour l’heure, il a mis de côté son projet de livre afin de se consacrer pleinement à la campagne des européennes. Non, pas à la rédaction d’un roman au style ampoulé comme certains savent si bien le faire dans le giron territorial, non, lui, ce qui le passionne vraiment, ce sont les ouvrages à vocation pédagogique, incluant réflexions et conseils. Deux de ses opus (« Débloquez votre potentiel » et « Vers une communication non violente ») se vendent d’ailleurs via les canaux de distribution numériques habituels sur AMAZON !

Le futur bouquin, à la composante très juridique, traitera précisément du thème qui l’obnubile le plus à l’heure actuelle : la place de l’enfant dans la société contemporaine, un enfant devant subir de plein fouet les affres de la séparation familiale et ses aléas. Des aléas que l’on suppose terrible dès que la relation entre mari et femme, en procédure de divorce, tourne au vinaigre, voire en conflit d’intérêt larvé…

 

Déjà dans la course à l’Europe en 2019

 

« Ce sera une autre version du pire et du meilleur occasionné par la vie de couple, concède Daniel DELVERT, un garçon brillant qui ne s’est jamais trop éloigné de la vie politique et citoyenne locale, au sens noble du terme.

Cette fois, l’Auxerrois s’affiche ouvertement sur une liste totalement méconnue ou presque de la sphère publique, qui avait déjà beaucoup dépensé en énergie lors de la précédente édition des échéances européennes, en 2019, sous les couleurs de « Défendre les Enfants ». En cette année 2024, c’est rebelote donc pour cette formation composée de purs représentants de la société civile, des personnes de toutes obédiences et de tous horizons qui possèdent le même dénominateur commun : la protection de l’enfance dans cette Europe tourmentée et perturbée par tant de miasmes ! Une Europe, peu encline à de très rares exceptions à placer l’enfance et ses droits parmi ses priorités stratégiques…

 

De la convergence d’opinions à la conversion dans les faits

 

A la lecture de cette liste, ces 81 patronymes livrés à notre connaissance tel un inventaire à la Prévert, pas de noms connus. Pas de poids lourds de la politique nationale, non plus, placés en guise d’arbitrage politicien dans les fondements de cette suite de 81 noms propres pour donner le change !

Bref, ce sont des Français « bien ordinaires » mais qui savent certainement de quoi elles et ils parlent car confrontés sans doute au quotidien aux vraies problématiques de la vie de parents séparés, divorcés, en procès, veufs, en prise directe avec la justice, ou aux problématiques inhérentes à l’insécurité intrafamiliale (c’est très dans l’air du temps malheureusement), la vie, la vraie, quoi ! C’est sûr qu’à la lecture de leur profession de foi, de l’énergie, elles et ils en ont à revendre en leur qualité de membres de plusieurs associations partenaires et mutualisées dans la défense des valeurs portées par cette candidature.

Le leader de ce mouvement parental au service des intérêts ô combien légitimes de leur progéniture se nomme Gaël COSTE-MEUNIER. Il occupe la première place de cette liste qui n’est pas certaine à quasi 100 % de figurer dans les bureaux de vote le 09 juin prochain, faute de moyens financiers évidents, par bulletin interposé à imprimer !

« Ce qui me plaît dans la démarche de ce mouvement, confie Daniel DELVERT, c’est cette convergence d’opinions et d’idées allant dans la même direction : la défense de l’enfant. Parmi les associations présentes dans cette liste, on y trouve des responsables associatifs favorables à la garde alternée, à la défense des enfants placés dans les ASE (Aide Sociale à l’Enfance), à la protection des enfants autistes, ceux qui sont maltraités… ».

 

Des chiffres à faire froid dans le dos

 

L’enfance maltraitée, parlons-en, justement ! En l’espace de deux à trois ans, le nombre de cas enregistré a explosé en France. Une hausse de 20 % ! Touchant aujourd’hui plus de 340 000 gamins et adolescents, des « invisibles » dont on ne parle jamais ou presque dans le landerneau politique…A de rares exceptions.

Les chiffres fournis par Daniel DELVERT – il est très bien documenté sur cet épineux sujet de société – font froid dans le dos. En 2023, 2 500 enfants mineurs ont subi des viols ou ont été battus. Les cas de harcèlements prolifèrent à la vitesse de la lumière, quasiment en toute impunité pour leurs auteurs. Quant au nombre de femmes ayant eu à subir des outrages incestueux durant leur enfance, il s’élève désormais à…6,7 millions de personnes en France. Cela se passe de commentaires, dans cette société dite de progrès, d’intelligence et accessoirement, civilisée !

Les revendications sont nombreuses, on l’imagine aisément pour « Défendre les Enfants ». Citons quelques exemples. Respect par la Cour  Européenne des Droits de l’Homme qui est en charge de l’application de la Convention internationale des Droits de l’Enfant (CIDE), une justice moins laxiste, plus efficace et possédant désormais des budgets adaptés à l’ampleur de la tâche – « Nous défendons une part du budget de la justice supérieur à 0,30 % du budget de chaque état au minimum, sous la forme d’une directive », précise notre interlocuteur icaunais -, une modernisation générale des services publics de justice et de travail social qui doivent effectuer leur transition numérique à l’identique de la Sécurité Sociale, la réaffirmation des droits parentaux – « il est préférable de soutenir les familles plutôt que de les décomposer et d’en gérer les conséquences… »-, une protection de l’enfance pleinement européanisée avec un portail numérique pour le suivi des informations de l’enfant et la protection de celui-ci face aux agressions physiques, sexuelles, psychologiques, et des contenus pour adultes sur Internet, et la promotion des résidences alternées en France.

A ce propos, l’Hexagone figure toujours comme l’éternel retardataire sur ce dossier, restant le mauvais élève et bon dernier de la classe avec seulement 11,2 % de résidences alternées mis en exergue pour les enfants de divorcés.

Il est donc grand temps que les choses évoluent dans la bonne direction dans le pays des Droits de l’Homme, qui semble parfois l’oublier, en rappelant qu’un enfant a besoin de ses deux parents pour se construire. Tel sera le message fort que Daniel DELVERT et la liste « Défendre les Enfants » feront circuler durant cette campagne qui gagne enfin en visibilité…

 

Thierry BRET

 


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Serait-ce parce que le bénévolat n’attire plus autant que jadis au sein des structures associatives que la présidente du CIDFF 89 (Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles) Simone PARIS a fait une légère entorse au protocole habituel d’une assemblée générale statutaire ? En tout cas, la responsable de l’entité icaunaise qui se bat bec et ongles pour protéger les droits de la gent féminine (et de leurs enfants) a voulu récompenser les fidèles de la première heure, leur remettant des médailles honorifiques…Une manière symbolique de commémorer les trente années de l’association.

 

AUXERRE: Les anciens membres du conseil d’administration sont à l’honneur au sein du CIDFF 89 ! Preuve de la longévité de ladite structure, le Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles qui, comme sa raison sociale l’indique, œuvre depuis trois décennies au service de celles et de ceux (par extension leurs enfants) qui subissent et souffrent de violences intrafamiliales, puisque telle est désormais l’usage usuel en termes de sémantique de nos jours.

Avant même qu’elle ne présenta le rapport moral de la structure, au cours d’une assemblée générale ordinaire accueillie une fois n’est pas coutume dans les locaux lumineux et ultra modernes de la Maison de la Coiffure, Simone PARIS, présidente en chère, tint à mettre sur un piédestal honorifique quelques valeurs sûres du monde associatif. Des personnes engagées dans la lutte en faveur de la reconnaissance des droits des femmes depuis tant d’années. Vaste programme, par définition !

Si la figure emblématique que représente Monique DESNOYERS – ancienne élue de la Ville d’Auxerre sous l’ère de Guy FEREZ – avait fait part de son absence en s’excusant, il n’en fut rien en revanche de Joël REMY (tiens, tiens, un homme qui est plébiscité pour son engagement et sa sagesse éclairante sur le droit des femmes, cela mérite bien quelques lignes de sympathie !), d’Andrée DEBERT, toujours à l’écoute et de bons conseils (dixit Simone PARIS) et surtout la présidente-fondatrice et présidente d’honneur désormais, Marie-France JEANSON qui étaient tous les trois présents afin de recevoir leurs précieux sésames.

 

Entre congratulations et récompenses en guise de mise en bouche

 

Une présidente-fondatrice qui avait pris sous son aile l’actuelle responsable du CIDFF 89 en lui transmettant tous les arcanes nécessaires afin d’assumer la fonction et par capillarité, sa succession.

« Marie-France, les femmes de l’Yonne te doivent beaucoup avec la mise en place de cette association, souligna avec une pointe d’émotivité dans la voix, Simone PARIS, sous le regard bienveillant de l’intéressée et de son époux, Guy PARIS, président d’AMIDON 89. Au nom de tous et de toutes, je te dis un immense merci… ».

S’en suivie la remise de médailles, avec en guise de hors d’œuvre un homme, Joël REMY qui ouvrit donc le bal, avant les deux autres récipiendaires féminins. Sous le feu nourri des applaudissements du public. Et comme un bonheur ne vient jamais seul, précise l’adage, Simone PARIS fut à son tour saluée pour ses dix années de présidence par les membres de son conseil d’administration.

« Nous connaissons toutes et tous les projets ambitieux que tu portes pour le CIDFF de l’Yonne, et ton implication au sein de la structure… ». Fin du chapitre introductif !

Toujours en marge du bilan de l’année écoulée, Simone PARIS mit l’accent sur le changement d’orientation vécu par les deux juristes de la structure, et surtout leur remplacement en septembre.

 

L’IVG, le caractère fondamental de la liberté des femmes dans la Constitution

 

« C’est dorénavant, Carolane et Julie, qui forment le nouveau binôme de juristes de l’association, apportant avec leur jeunesse et envie de réussir une dynamique ô combien salvatrice pour le travail de l’association, expliqua Mme PARIS. Un regard neuf sur notre fonctionnement et de fortes compétences en droit de la famille… ».

Des éléments que ne manquèrent pas d’apprécier les personnes constituant l’auditoire du jour dont notre ami Serge LE DOUSSAL (ex-président de la Franck Pineau et soutien inconditionnel du droit aux femmes) qui devait les féliciter publiquement après avoir posé quelques questions d’usage, en fervent adepte de la conversation !

Le 08 mars 2024 fut également salué comme une date historique pour la présidente, très à l’aise à son pupitre. Une date importante avec à l’inscription au sein de la constitution de la Vème République (1958) la liberté garantie des femmes pour recourir à l’interruption volontaire de grossesse (IVG).

« C’est la manière de réaffirmer le caractère fondamental de cette liberté en France, insista Simone PARIS, une avancée pour le droit des femmes… ».   

 

 

 

Pour celles et ceux (surtout ceux évidemment !) qui auraient encore douté de la pertinence et de l’intérêt existentiel d’une telle structure dans le département, les informations qui allaient suivre devaient clore de manière définitive les débats ! Oui, le CIDFF 89 – la structure n’est pas contestée fort heureusement ! – témoigne de la réalité de la situation (celle-ci ne cesse de se détériorer dans l’Yonne pour la population féminine), en étant une référence incontestable des droits et de la défense de ces victimes intrafamiliales. Sujettes aux violences de leurs maris, époux, conjoints et compagnons.

« Si l’accès aux droits demeure une priorité, concède la présidente, les sollicitations pour les questions de violence et la charge de travail induite par la gestion des téléphones « graves dangers » ne cesse d’augmenter… ».

Prouvant, une fois de plus, que le sexisme ne recule pas dans l’Yonne. Il prend sa source dans la famille, se cristallise à l’école et s’amplifie dans les contenus numériques. D’où l’intervention directe des deux juristes de la structure auprès des plus jeunes, dès la maternelle jusqu’au lycée.  

Plusieurs partenariats ont vu le jour en 2023 afin de prêcher la bonne parole aux quatre coins du territoire. Le premier avec « France Services » (Etat), le second avec l’Association des Maires Ruraux de l’Yonne, structure présidée par Dominique CHAPPUIT.

 

 

Une affaire de famille pour en protéger d’autres…

 

Evoquant les finances, le nerf de la guerre de toute association qui se respecte, Simone PARIS déplora lors de l’assemblée générale 2023 un « financement qui n’était pas à la hauteur des besoins ».

Or, la responsable de la structure pourra toujours brûler un cierge pour honorer la « Bonne Mère » car un financement d’Etat (reçu, certes, trop tardivement au cours de l’exercice) permit in fine de recevoir un salutaire coup de pouce de 70 % de mieux, à l’instar de nombreux autres CIDFF de France !

Conséquence, c’est de manière excédentaire (+ 20 819 euros) que l’association bascula en 2024, avec l’opportunité financière assurée de pouvoir subvenir à un recrutement – il est en cours – sur un poste de chargé d’accueil et de secrétariat. Ce qui fit dire à Simone PARIS : « la trésorerie est bonne, la « boutique » est bien tenue ! ».

Autre chose, plus tendue, c’est le nombre de cas de violences intrafamiliales qui explose dans le département. En 2022, les juristes du CIDFF 89 avaient tenu 1 330 entretiens individuels dont 217 à caractère violences sexistes et sexuelles ! Très inquiétant.

Rien que l’année dernière, ce sont 183 femmes de notre territoire qui ont évoqué lors de ces contacts privilégiés et confidentiels avec les juristes du CIDFF 89 leur situation de violences. Si la plupart ont été subies dans le couple, que penser de celles qui surviennent sur le lieu de travail ?!

Cette année, Simone PARIS, outre les rapprochements avec le dispositif « France Services » - il existe 33 espaces dans l’Yonne – et l’Association des Maires Ruraux de l’Yonne, entend bien lancer de nouvelles initiatives préventives.

Notamment dans le Sénonais, avec l’opération « Angela », une action de formation auprès des commerçants réalisée avec le Grand Sénonais visant à éduquer les professionnels pour porter assistance aux personnes victimes de harcèlements ou se sentant en danger dans les espaces publics.

En parallèle, le nombre de permanences devrait progresser également au sein de la Mission Locale d’Auxerre ou chez le partenaire historique, spécialiste de l’insertion, AMIDON 89.  

Logique, me direz-vous puisque c’est l’époux de la présidente, Guy, qui en est le responsable ?! Oui, mais, informer, orienter, accompagner sur tous les sujets de droits aux femmes et des familles n’est-il pas le propre de tous ? Alors, dans le jeu des sept familles usuel, je voudrais le mari après la femme – un PARIS peut en cacher un autre ! – au service de la solidarité et de l’altruisme ! Qui s’en plaindra ? Personne, assurément…

 

Thierry BRET

 


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La flamme olympique est devenue une tradition millénaire, incontournable et immuable selon un rituel bien établi. Une tradition qui l’emporte encore sur les contingences politico-financières et laisse la place à l’imagination de chaque pays organisateur. Pour les Jeux de Paris 2024, elle parcourra notre histoire, d’hier et d’aujourd’hui, notre quotidien artistique et scientifique. Depuis Marseille où elle arrivera le 08 mai à bord du BELEM jusqu’à Paris.

TRIBUNE : La première torche du « Relais de la Flamme Olympique » de Paris 2024 fut allumée le 16 avril dernier, selon la tradition antique, à l’aide des rayons du soleil, lors d’une cérémonie dans le sanctuaire d’Olympie, en Grèce, où se déroulaient les Jeux antiques. De la Péloponnèse, la flamme olympique a rejoint Athènes pour embarquer à bord du Belém et traverser la mer Méditerranée. C’est le 08 mai 2024, à Marseille, qu’elle débutera son épopée en France.

L’épopée offrira alors une plongée dans l’Histoire de France. Elle créera des ponts entre les époques, en mettant en lumière des sites exceptionnels qui ont contribué au rayonnement de la France, à chaque période majeure de son histoire.  Elle se rendra dans les grottes de Lascaux, sur le site archéologique d’Alésia, dans les cités médiévales de Carcassonne, au Château de Versailles… Elle éclairera les chefs d’œuvres architecturaux que sont les églises et abbayes…sans oublier le mémorial de Verdun ! Le relais mettra en lumière les figures majeures de la France qui continuent d’inspirer et de participer au rayonnement de notre pays : Jeanne d’Arc à Orléans, Charles de GAULLE à Colombey-les-Deux-Eglises…

 

Mettre la lumière sur le patrimoine naturel

 

Il s’agit de valoriser les plus beaux paysages français. Du Mont Canigou au Parc naturel régional du Verdon, de l’île aux Moines à la vallée du Mont-Blanc, des bords de Loire en passant par les parcs naturels, forêts et lacs… la flamme naviguera en Méditerranée à bord du Belém, mythique trois-mâts propriété de la fondation Caisse d’Epargne Belém. Elle traversera l’Atlantique ainsi que l’Océan Indien et le Pacifique à l’occasion du « Relais des Océans » pour se rendre dans six territoires ultra-marins : en Guadeloupe, Guyane, Martinique, Polynésie française, Nouvelle-Calédonie et à La Réunion. 

L’objectif est de focaliser l’attention sur les savoir-faire nationaux liés aux traditions, à la science et à notre esprit entrepreneurial ! La flamme sillonnera les vignobles les plus prestigieux et réputés, à l’instar de ceux de Saint-Emilion, de Chablis ou du Layon, et mettra en valeur les terroirs et la gastronomie qui fait leur renommée. La flamme se rendra également 7 000 kilomètres de là, au centre spatial de Kourou, symbole de l’excellence aérospatiale française. De quoi donner un coup de projecteur aux ingénieurs, entrepreneurs et artisans qui font briller la créativité et le génie français aux quatre coins du monde.  

 

 

Mettre en lumière l’art et le spectacle

 

Dimension essentielle de l’identité et de l’Histoire de France, la culture sous toutes ses formes sera célébrée pendant ces 68 jours de relais. La flamme visitera de nombreux musées, de la Cité internationale de la langue française au musée de la Bande dessinée, en passant par le Louvre-Lens.  La culture, c’est aussi le spectacle vivant : elle ira au Puy-du-Fou, au cœur des arènes d’Arles, et montera les marches du Palais des festivals de Cannes. La musique sera elle aussi au cœur du relais avec huit concerts sponsorisés par un géant du soda, parrain officiel.

Les fédérations et clubs constitueront tout au long du parcours des relais collectifs qui mettront à l’honneur leur sport, en surfant sur les vagues de Biarritz, ou encore en gravissant le Mont-Ventoux, montagne mythique du cyclisme. Le passage de la flamme sera aussi l’occasion de célébrer des hauts lieux d’émotion sportive et infrastructures sportives mythiques entre autres, le Stade de Marseille ou le Stade Geoffroy-Guichard à Saint-Etienne.  Elle passera par le court Simonne-Mathieu de Roland-Garros. Elle traversera l’Atlantique à bord de l’un des voiliers les plus rapides du monde, le Maxi Banque Populaire XI. Enfin, elle mettra en valeur, partout en France, les sites qui accueilleront des épreuves lors des Jeux Olympiques et Paralympiques, à l’image du Centre aquatique olympique à Saint-Denis ou du stade Yves-du-Manoir à Colombes. Un programme riche en émotions partagées et remarquablement exhaustif pour mettre en lumière notre identité nationale.

  

Une organisation bien huilée (sur le papier)

 

Pas moins de 67 départements seront traversés par la flamme olympique. Le premier relais fut assuré par Laure MANAUDOU et le dernier relais sera assuré par Marie-Josée PEREC, notre « gazelle » nationale.

Quant à l’Yonne, elle sera à l’honneur. Sept communes vont voir passer la flamme olympique, le 11 juillet 2024. Le département a fait le choix de débourser les 180 000 euros requis (taxes comprises) pour accueillir la flamme avant les Jeux Olympiques de 2024 dans la capitale. Ce passage symbolique a dévoilé ses contours locaux, le vendredi 23 juin 2023, à Venoy. Les sept villes relais de la flamme olympique dans l'Yonne sont Auxerre, Sens, Avallon, Migennes, Vézelay, Chablis et Saint-Fargeau. La flamme sera portée par cent relayeurs. Parmi ce bel aréopage citons : Eglantine BORGNAT, viticultrice, Jean-Michel LORAIN, chef étoilé de « La Côte-Saint-Jacques », relayeur d’une tradition familiale, Stéphane GILBERT - il a porté haut les couleurs de la France lors des épreuves de tir à l’arc aux Jeux paralympiques d’Athènes en 2004 et de Pékin en 2008. On n’oublie pas l’incontournable, le légendaire Guy ROUX. Au moment de désigner les meilleurs ambassadeurs de l'Yonne pour participer au relais dans le département, Guy Roux s’est posé comme une évidence. L’ancien entraîneur emblématique de l'AJ Auxerre n'est pas peu fier de dire qu'il fait partie des personnalités de l'Yonne retenues pour porter la flamme olympique. Un grand bravo aux organisateurs de ce parcours : on ne peut qu’espérer une belle réussite à une fête du sport, de la jeunesse, et de tous les hommes de bonne volonté.

« L'important dans la vie, ce n'est point le triomphe, mais le combat. L'essentiel n'est pas d'avoir vaincu, mais de s'être bien battu. » Pierre de COUBERTIN.

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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