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Candidat sur la liste de l’Union Populaire aux européennes, Aureliano LOPES était entouré d’un plateau de choix pour sa première grande réunion publique avec la venue du député LFI de la Somme, François RUFFIN et de sa collègue à l’Assemblée, Nathalie OZIOL, députée de l’Hérault. Se livrant à une attaque en règle contre une Europe jugée trop libérale, les trois « Insoumis » misent sur une participation élevée le 09 juin prochain pour voir triompher leur programme et construire les bases de l’après MACRON.

 

AUXERRE : C’était sans doute la première fois qu’Aureliano LOPES avait à s’exprimer devant un public aussi nombreux et de l’aveu même de l’intéressé : « je ne sais pas pour vous, mais moi j’ai très chaud ! ». Plus de 200 sympathisants étaient présents à Auxerre, obligeant à rajouter quelques chaises en dernière minute. Se refusant à croire que « tout est joué », à contrario des sondages donnant le Rassemblement National sortir grand vainqueur du scrutin de juin prochain, le candidat a rappelé que le premier enjeu de ces élections européennes était bien la participation, soulignant que si la moitié seulement des électeurs s’était déplacée pour les précédentes de 2019, ils étaient 80 % à s’être rendus aux urnes lors des élections présidentielles en 2022. Un delta dont la liste de l’Union Populaire espère bien profiter pour multiplier le nombre de ses députés à Strasbourg et à Bruxelles. Concluant par ces mots que n’aurait pas renié un certain Martin LUTHER KING : « mes amis, je rêve d’un monde meilleur, plus juste, sans discrimination, où les mots liberté, égalité, fraternité ne seront plus bafoués, où l’on pourra vivre dignement de son travail, où chacune et chacun aura accès à l’éducation, à la santé, à la culture, où nous vivrons en paix et ce rêve, il commence le 09 juin… ».

 

 

L’impératif d’aller aux urnes dans deux mois…

 

Comment convaincre les électeurs de l’enjeu du scrutin européen et de son impact sur leur vie au quotidien ? Rebondissant sur l’actualité du jour, Nathalie OZIOL a pour exemple, cité les tarifs de l’énergie : « c’est à partir de l’Europe que naissent les directives faisant que le prix de l’électricité ou du gaz s’envolent… ». Rappelant la lutte menée par sa formation pour le maintien en la demeure, des tarifs réglementés existants, profitant de l’occasion pour tacler les partis adverses : « aujourd’hui, qui a voté quoi au parlement sur la suppression de ces tarifs ? GLUCKSMANN était absent, TONDELIER et BELLAMY ont voté pour, BARDELLA, grand défenseur des causes populaires était là pour une fois, mais s’est abstenu, seul notre groupe a voté contre… ».

Evoquant elle aussi l’impératif d’aller voter dans deux mois « seulement 24 % des électeurs ayant voté LFI à la présidentielle pensent se mobiliser pour les européennes, là où les autres listes misent sur 70 % de participation… ». Pariant que si un électeur sur deux ayant voté Jean-Luc MELENCHON se déplaçait le 09 juin, le score de l’Union Populaire pourrait atteindre 20 %...

 

 

Des portraits au vitriol signés François RUFFIN

 

François RUFFIN a le sens de la formule, même ses adversaires le reconnaissent… Son principal ennemi ? « La finance ! » (rires), mais par-dessus tout, « c’est la résignation, l’abattement, le découragement qui s’installent dans le cœur des gens », sources à ses yeux d’un mal chronique conduisant à l’abstention citoyenne, « qui nous fait dégringoler sur la pente du pire… ». Dressant tour à tour un portrait peu flatteur de quelques figures politiques, que ce soit Gabriel ATTAL, « qui n’a jamais foutu les pieds de toute sa carrière en dehors d’un ministère et qui nous parle de débureaucratiser… ! », Bruno LE MAIRE « « le pire économiste du pays ! L’homme qui creuse les déficits avec une pelleteuse, il doit avoir un abonnement chez Kiloutou pour aller aussi vite… » ou encore Stanislas GUERINI : « on a une crise de vocation à l’hôpital, pilier de l’Etat social, à l’école, pilier de la République et son objectif est de tout casser et licencier les fonctionnaires ! ».

Sans faire de ses propos une attaque « ad hominem » envers cet acteur majeur de la vie politique française et européenne qu’était Jacques DELORS, « sans doute l’un des hommes politiques les plus intègres et les plus honnêtes que nous ayons eu dans notre pays », le député de la Somme n’en a pas moins dénoncé le virage libéral donné par ce dernier à l’économie française à l’aube des années 80, « ouvrant une parenthèse libérale à gauche qui ne s’est jamais refermée depuis… ».

Un tournant de la rigueur responsable à ses yeux d’avoir fait perdre au Parti socialiste l’électorat populaire « et c’est sur ce terreau-là que le Front National a prospéré… ».

Mais François RUFFIN se veut confiant, allant jusqu’à user de l’anaphore façon François HOLLANDE (sans doute à part un prénom partagé, leur seul point commun !) pour mieux marteler ses propos : « il n’y a pas de fatalité et nous pouvons l’emporter ! Notre cap est clair, la gauche n’est pas morte… ».

Un discours qui a enflammé les deux cents personnes présentes, mais il reste sans doute encore du chemin à parcourir pour faire retrouver celui des urnes au plus grand nombre.

 

Dominique BERNERD

 

 


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Parfois clivant jusque dans son propre camp, comme en octobre dernier où il dénotait en tenant une position qualifiant dans un interview le Hamas d’organisation « terroriste », se refusant à des « pudeurs de gazelle », François RUFFIN est devenu ces derniers mois la personnalité la plus en vogue à gauche. Dans un sondage IFOP réalisé en juin dernier, près d’un Français sur deux disait même avoir du député picard, une image positive. L’élu de la Somme est aujourd’hui, ce n’est un secret pour personne, donné comme l’un des candidats potentiels de la gauche aux présidentielles de 2027.

 

INTERVIEW : Vous êtes venu à Auxerre pour soutenir Aureliano LOPES, mais c’est presque de l’entre soi puisque la salle est remplie de sympathisants LFI… En quoi ces réunions ont-elles encore un sens ?

Vous savez, notre vie est faite de débats contradictoires et généralement, nous n’y sommes pas en majorité (rires). Avoir des endroits comme celui-ci où l’on se réchauffe le cœur les uns les autres, c’est important, ne serait-ce que pour diffuser notre parole de manière directe sans passer par les canaux des médias dominants. Rassembler les gens, avoir une fanfare comme ce soir, qui répande de la joie à l’entrée et venir expliquer de manière directe notre ligne de conduite, je pense que c’est de nature à regonfler les cœurs et les âmes. Il y a dans tout ce que l’on fait, un travail du cérébral pour apporter des arguments. Mais aussi un travail qui est de l’ordre de l’émotion, avec pour objectif que les gens présents ce soir, deviennent des acteurs s’ils ne le sont pas déjà et s’ils le sont, qu’ils ne se découragent pas… 

Lutter contre l’abstention, c’est aujourd’hui un défi majeur pour La France Insoumise ?

Oui, notre premier combat, c’est l’abstention et la résignation, le découragement, l’abattement, nos pires ennemis. Nous sommes là pour dire que nous pouvons changer les choses, au moins un peu et pour redonner confiance aux gens… Le pire contre lequel ils ont à lutter, c’est la passivité, une forme de dépression même, qui s’est installée dans le pays et qui a pour conséquence politique, un état d’esprit sur lequel il faut peser en amont… 

 

Sur quels arguments vous appuyez-vous pour convaincre les gens de se rendre aux urnes le 09 juin prochain ?

Je vais vous donner un exemple simple, qui touche tout le monde, particuliers, commerçants, artisans, agriculteurs, industriels et même les collectivités : la facture d’électricité. On sait que le tarif réglementé a augmenté de 45 % dans notre pays, alors que le kWh produit par nos centrales nucléaires est toujours au même tarif. Que se passe-t-il entre les deux, entre la production et la consommation ? Et bien, il y a l’Europe, qui a décidé de faire de l’électricité un marché et d’indexer son prix sur celui des centrales au gaz en Pologne et ce passage par le marché a des conséquences directes sur la facture de chacun. Très concrètement, le seul groupe à avoir voté avec clarté contre ce système, c’est La France Insoumise.

 

Vous refusez toute idée même de marché ?

Il s’agit en premier lieu de se demander si l’on veut penser la société comme un marché global. Le rail est un marché, l’université est un marché etc…, l’Europe nous invite aujourd’hui à tout mettre sur le marché ! Je pense que celui-ci a sa place mais considère que certains secteurs de la société doivent en être retirés. Ma conviction, c’est que ce dont souffrent le plus les Français, c’est un sentiment d’instabilité permanente. Il n’est qu’à voir ce qui se passe avec les agriculteurs face à des prix, que ce soit avec le lait ou comme dans mon coin avec la betterave, ne connaissant que des fluctuations, des divisions, des multiplications. Comment voulez-vous qu’ils puissent, en vivant de la sorte, s’inscrire dans la durée ? Peut-être faudrait-il substituer aux accords de libre-échange que l’on connaît, des accords de coopération, avec moins de concurrence et d’avantage d’entraides ? Des secteurs avec moins de mondialisation et plus de protection ?  

 

 

Le Rassemblement National semble être devenu aujourd’hui un « vote refuge » pour nombre de Français, puisant notamment dans certaines classes moins favorisées ou se considérant comme abandonnées…

Au-delà de ce scrutin européen, il faut regarder la situation avec gravité car de toute façon, quoiqu’il advienne on a une extrême droite qui mis bout à bout, va tutoyer les 40 % et c’était déjà le cas aux dernières présidentielles. Il y a une inscription du nom Le PEN, du FN et aujourd’hui du RN, depuis 40 ans dans le paysage politique une forme d’héritage quand de l’autre côté, disons-le avec franchise, on a une gauche qui s’est perdue avec le libre-échange, celle du traité de Maastricht, une gauche qui a accompagné les délocalisations. François HOLLANDE disait, « perdre les ouvriers ce n’est pas grave… ». Mais, quand on perd les ouvriers à gauche, on perd non seulement un segment électoral, mais on perd son âme au passage et la reconstruction de la gauche va devoir se bringuebaler ce boulet… 

 

LFI semble toujours avoir du mal à mobiliser en zone rurale…

 

Regardons déjà quelles sont les réussites, car on pourrait être dans un pays comme l’Italie où la gauche soit morte et enterrée après l’épisode HOLLANDE et celui de son fils spirituel, Emmanuel MACRON. Si la gauche n’est pas dans la tombe, c’est parce que le drapeau a été maintenu et avec des réussites. Je vais vous en citer trois : les DOM-TOM, les banlieues et quartiers populaires, la jeunesse des centres villes. Et ce socle, il faut le tenir ! Mais il est clair que si l’on veut devenir majoritaire dans le pays, il faut additionner et regarder où l’on rencontre des difficultés. Une difficulté géographique que vous avez mentionnée, en gros, la France des bourgs face à celle des tours, une difficulté à mobiliser chez les salariés se situant un peu au-dessus du SMIC, dans une fourchette entre  1 500 et 2 000 euros et troisième difficulté, démographique celle-là, nous sommes très faibles chez les personnes âgées, de plus en plus nombreuses et qui votent en nombre. D’où un travail entamé, notamment dans les territoires ruraux, pour s’interroger et voir comment faire mieux, là où on est le plus faible.

 

Le Conseil Constitutionnel a retoqué aujourd’hui la demande de référendum d’initiative partagée sur l’immigration, déposée par Les Républicains. Pensez-vous qu’un sujet de cette envergure puisse trouver une solution par l’intermédiaire d’une initiative de ce type ? 

Je suis et c’était l’une des demandes des Gilets jaunes, favorable à ce qu’il y ait instauration d’un référendum d’initiative citoyenne en toutes matières, de manière révocatoire, possiblement constitutionnelle. Et je fais le pari de la sagesse du peuple français, même si je ne suis pas certain du tout que le premier sujet ainsi mis à l’ordre du jour, soit la question de l’immigration. Et si jamais ce sujet devait être mis en débat, nous l’affronterons, je l’affronterai avec la conviction qu’il y a une sagesse chez les Français, dès lors que l’on met les choses en débat sérieusement. J’ai une certaine confiance dans le fait que les moments de référendum sont des moments d’argumentaires très riches et parfois très profonds. Je pense que nous avons besoin que la démocratie respire…   

 

Propos recueillis par Dominique BERNERD

 

 


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Sa carte de visite est plutôt élogieuse. Conseiller départemental de la Drôme et maire de Saint-Vallier – ça fleure bon la terre du rugby rhodanien ! –, ce trentenaire bien dans sa peau et volubile à souhait, diplômé de Sciences Po Lyon, ne pratique nullement la langue de bois pour contrer celles et ceux de ses adversaires qui tenteraient de lui barrer la route. En l’occurrence celle le conduisant, probablement en sa qualité de numéro trois de la liste de gauche (« Réveiller l’Europe »), composée par le Parti socialiste et Place Publique, au poste d’euro député au soir du 09 juin.

 

JOIGNY : Souriant, il a le sens du verbe facile, le nouveau jeune loup de la politique hexagonale, made in Parti socialiste, version drômoise ! Même pas quadragénaire – il doit avoir dans les 37/38 ans à tout casser sur l’échelle de l’existence -, il possède un sens oratoire de belle facture, qu’il saura mettre en évidence, tant devant les militants et sympathisants de la liste portée par Raphaël GLUCKSMANN – une liste pro européenne et qui se reconnaît pour telle, occupant une méritoire troisième position selon les récents sondages – venus le voir en réunion publique que devant les trois journalistes, fin prêts à l’interviewer lors d’une conférence de presse d’avant meeting.

Sa présence en ses murs ? Elle n’est pas décalée en soi.

 

« Que les politiques nationaux s’inspirent un peu plus du terrain ! »

 

« Je connais Nicolas SORET depuis longtemps et nos parcours politiques sont sensiblement similaires... ». Il profitera de cette introduction pour tresser des lauriers au président de la communauté de communes et édile de Joigny, présent à ses côtés qui l’a invité.

« Nicolas fait partie de ces élus inspirants, précise l’orateur de la Drôme, il sait mouiller le maillot tous les jours pour changer le quotidien des gens… ».

Dire le contraire de la part du maire socialiste de Saint-Vallier eut été étonnant, n’est-il pas ?!

A contrario, il tacle gentiment nos confrères de la presse nationale, le garçon : « Vu de Paris et des médias nationaux, dès que l’on parle de la province, on a l’impression que c’est une accumulation de problèmes ! Alors que nous sommes dans une France qui se bat et qui est heureuse de vivre. Or, ce que je souhaite démontrer dans cette campagne électorale de terrain, c’est que nous avons une France des réussites à l’échelle locale, qui sont des exemples à prendre… ».   

Et, vlan, voilà un bon point à l’actif de cette France profonde et périurbaine décernée par le candidat de la gauche modérée !

« D’ailleurs, renchérit-il avec certitude, si la vie politique nationale s’inspirait plus des actions qui sont menées sur le terrain de la proximité à l’échelle locale, je pense que le pays se porterait mieux aujourd’hui ! ».

Une jolie flèche décochée à l’attention des esthètes de la politique parisianiste, grands donneurs de leçons et peu connaisseurs de ce qui se vit dans les campagnes, pas celles de la politique, les autres, de la ruralité !

 

 

Les carences de la production européenne imputables aux libéraux !

 

Adepte du « bon sens appliqué au quotidien », Pierre JOUVET insiste sur cette évidence : « le bon sens paysan nous permettrait de marcher moins sur la tête… ».  Jusque-là, il prêche des convaincus parmi l’assistance, l’orateur du jour ! Mani CAMBEFORT en tête, puisque le premier secrétaire fédéral du PS 89 est aussi de l’invitation pour cette causerie à bâtons rompus avec les journalistes.

Le numéro 3 de la liste emmenée par Raphaël GLUKSMANN considère l’enjeu européen, comme fondamental. Alarmiste, Pierre JOUVET souligne que « la guerre est aux portes de l’Europe, une situation inédite et jamais vue jusqu’alors depuis l’avènement des échéances européennes ». Un contexte géopolitique extrême – il s’est encore renforcé depuis, à la suite des attaques aériennes de l’Iran contre Israël le week-end dernier – qu’analyse l’élu de la Drôme.

« Non seulement, le dictateur Vladimir POUTINE a décidé de mener un conflit à charge contre son voisin ukrainien, mais c’est surtout un combat acharné contre les valeurs de l’Europe auxquelles nous croyons. Mais, l’Europe, c’est avant tout la paix. Et cette attaque des Russes contre l’Europe, c’est une guerre menée contre la démocratie, la liberté, et le modèle économique qui est le nôtre… ».

Un conflit qui se répercute de plein fouet en autant de conséquences néfastes pour l’Europe. « La droite libérale d’Ursula Von Der LEYEN a affaibli notre continent et notre souveraineté nationale, ajoute le parlementaire, on l’a vu lors de la crise sanitaire imputable à la COVID où le seul continent qui se soit exposé au ridicule de la situation fut l’Europe ! ».

Bing, ça tombe comme à Gravelotte dans la bouche du conseiller départemental drômois, « comme nous avions des masques de protection périmés en stock, on est allés piquer ceux des Italiens, voire ceux des Français d’une région à l’autre sur les tarmacs des aéroports pour nous équiper ! Car, nous n’étions pas capables de produire lesdits masques parce que notre souveraineté industrielle a été mise à mal, à cause des libéraux européens ! ».

Ubuesque, n’est-ce pas ? Mais, tellement vrai !

 

« Nous sommes tout sauf des euro-béats ! »

 

L’élu poursuit : « on dit souvent que l’Europe est mal aimé ; je suis président d’une intercommunalité. Soit, si tout va bien, c’est grâce à la mairie. Soit tout va mal, et c’est à cause de la Communauté de communes ! Une intercom, c’est une vision partagée. L’Europe, c’est pareil et c’est ce que l’on en fait ! ».

La liste « Réveiller l’Europe » se définit comme celle, de gauche, qui est pro européenne et qui en assume l’idéologie autour de la santé, la transition écologique, la ré-industrialisation, les grandes mutations sociétales.

« Nous sommes tout cela, affirme Pierre JOUVET, sauf des euro-béats ! Nous savons ce qui ne fonctionne pas. Par exemple, notre dépendance totale ou presque en matière de souveraineté énergétique ».

Et de citer l’exemple de l’Allemagne, pays soumis pieds et mains liés, à la dominante russe en matière d’approvisionnement de gaz. Un épineux problème à gérer de l’autre côté du Rhin.

« Nous n’avons pas été capables d’avoir une politique de souveraineté suffisamment forte. Reprendre la main dans cette campagne, c’est aussi tenir tête aux puissants, qu’ils soient sur la scène de la géopolitique ou des finances. Nous souhaitons une meilleure redistribution à l’échelle de l’Europe, notamment au niveau du pouvoir d’achat, du fait de l’inflation imputable en grande partie aux évènements ukrainiens. ».

Le porte-voix de « Réveiller l’Europe » explique alors qu’il faut prendre l’argent là où il est. « Le gouvernement français au niveau national comme au niveau européen refuse de le faire, s’insurge Pierre JOUVET.

D’où l’idée de développer le concept « Taxe de riche » que les candidats de la liste socialiste et Place Publique défendent bec et ongles parmi leurs projets en s’inspiration d’une initiative d’un élu belge.

« Nous allons mettre en place si nous sommes majoritaires une taxe pour imposer les multimilliardaires et les millionnaires. Il suffit de regarder les résultats obtenus par certaines entreprises du CAC 40 qui réalisent des dividendes de « profiteurs de guerre » comme TOTAL au cours de ces deux dernières années, cela équivaut à 40 milliards d’euros de dividendes ! La redistribution n’a jamais été aussi mauvaise et cela entraîne une défiance généralisée qui amène la montée des populismes et la poussée de l’extrême droite ; le gouvernement français se refusant de taxer les plus riches ou de mettre en place un impôt sur les supers profits… ».

Réorienter l’Europe est l’un des objectifs de la liste de gauche. Comme le stipule Pierre JOUVET : « l’Europe doit s’incarner dans le quotidien des gens, car l’Europe doit être utile au quotidien… ».

 

Le « Mozart » de la finance a échoué !

 

Question : est-ce que les socialistes et leurs alliés peuvent raisonnablement gagner la majorité au parlement européen ? « C’est possible, rétorque Pierre JOUVET, il n’y a que vingt sièges d’écart entre la droite européenne et nous, les sociaux-démocrates… ».  

Un investissement massif en faveur de la transition écologique – un item prégnant dans la campagne de la liste de gauche – est nécessaire, précisera en guise de conclusion l’élu de la Drôme, afin de faire face aux problématiques du climat et de son dérèglement. Quant à la ré-industrialisation de l’Europe et de l’Hexagone, elle est devenue une évidence mais en mettant des mesures de protection drastique envers la Chine et des Etats-Unis.

« Répondre à un marché public en Chine, c’est simple, s’amuse l’interviewé, si vous n’êtes pas une entreprise chinoise, vous n’avez pas le droit d’y prétendre.

C’est interdit ! En Europe, un grand marché public à plusieurs centaines de millions d’euros peut revenir à une entreprise venue d’Asie ou des Etats-Unis ! Il en est ainsi à hauteur de 40 % du marché public ! ».

Considérant que cette liste PS/Place Publique représente le « vote efficace », Pierre JOUVET ne se privera pas d’écorner l’image de Jordan BARDELLA, le porte-flambeau du Rassemblement National qui caracole dans les sondages à plus de 30 % !  

« Jordan BARDELLA ? C’est « Mister Selfie », plaisante le candidat, il ne propose rien ! Il refuse tous les débats mais pour être pris en photo avec ses partisans, il n’y a pas de problèmes ! C’est normal, comme il n’a pas de projets et qu’il n’a rien à dire, il n’y a pas de débats ! ».

Quant à la majorité présidentielle, élue il y a sept ans– elle l’avait été pour faire barrage à la droite souverainiste dixit Emmanuel MACRON -, elle a échoué sur ce registre.

« Plus le chef de l’Etat mène des politiques de destruction sociale, plus le RN progresse, constate amer Pierre JOUVET. Ne parlons pas de la loi immigration et de la retraite ! Ne parlons pas non plus des déficits publics et de la banqueroute de la France ! Le soi-disant « Mozart » de la finance préfère taper sur les précaires et les plus pauvres pour aller trouver de l’argent ! ».

Appelant à une large mobilisation, « Réveiller l’Europe » veut mettre en échec les deux listes portées par le duo RN/majorité présidentielle, en créant, pourquoi pas la surprise de cette échéance européenne.

En jouant la carte de la cohérence politique et en étant la seule liste à avoir déjà présentée l’ensemble de ses candidats, dans un souci de clarification. Un atout dans le jeu politique d’une gauche ragaillardie par la présence de Raphaël GLUCKSMANN, l’homme providentiel ? Il faudra attendre au soir du 09 juin pour le savoir, qu’on se le dise !

 

Thierry BRET

 

 


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Ma foi, l’idée est plutôt originale. Pas commune, certes, mais après tout quand on veut trouver un boulot lorsque l’on est issu de la jeune génération, on peut tout essayer, selon la formule rendue populaire par Laurent RUQUIER, pour y arriver !

Et si le sport était donc devenu un pourvoyeur de jobs ? Pas dans le fait qu’il puisse aider à devenir un coach mental, un préparateur physique ou un technicien de telle  ou telle discipline, mais plutôt que par son intermédiaire, il devienne un véritable vecteur relationnel et expérimental, facilitant contacts et échanges utiles.

La belle affaire, me direz-vous ? Oui, et c’est ce que vient de tester précisément dans l’Yonne, l’une des antennes locales de France Travail (ex-Pôle Emploi) à Auxerre qui n’est plus à une expérience pratico-pratique près. L’une de ces bizarreries structurelles, loin des académismes ordinaires, proposée par la vénérable institution et qui…marche !

C’est sûr, on pourra toujours se gausser, critiquer et blâmer ouvertement sur ce que représente l’agence de l’emploi dans sa quête à résoudre efficacement les problématiques des délaissés du travail en France sur les réseaux sociaux ; mais il est de bon ton aussi de rétablir les choses vis-à-vis de cet acteur institutionnel, clé de voûte dans la lutte contre le chômage en matière d’initiatives et de nouveautés !

 

Valoriser les deux années du CEJ, le Contrat engagement jeunes

 

Celle-ci en est une en la matière. Elle se déroule sur un cadre très éloigné du milieu professionnel : une pelouse. Celle d’un complexe rugbystique qui accueille habituellement les joueurs du club à XV local, le RCA, soit le Rugby Club Auxerrois !

Pour couronner le tout, on y trouve dès le début de la matinée, le jour de cette immersion spectaculaire dans l’enceinte sportive, en survêtements et en baskets, des demandeurs d’emploi.

Bon, on élimine d’entrée de jeu les quadras et autres seniors qui ne sont pas conviés à pareille fête. Trop âgés ou trop rouillés physiquement, allez savoir !

Car, la subtilité de ce rendez-vous matinal et frisquet – ce jour-là un vent glacial balayait le stade Pierre BOUILLOT en tétanisant de froid les sportifs en herbe et les observateurs qui auraient se munir d’une surveste ! – est de ne concerner que les plus jeunes d’entre nous. Celles et ceux, pas de sectarisme entre les sexes, qui bénéficient d’un CEJ, acronyme bien connu de tous évidemment (!), désignant le « Contrat engagement jeunes ».

Conçu il y a deux années, ce CEJ semble déjà donner de bons résultats d’après les spécialistes de la question.

Rappelons qu’il offre au jeune un parcours entièrement personnalisé et ce sur une durée de douze mois. Grâce à un programme intensif d’au moins vingt heures par semaine, le jeune adulte peut ainsi accéder à différents types d’activités qui le rapprocheront à terme d’un emploi durable en sortie de contrat. Ce sont les Missions Locales, qui en sont les porteurs auprès de jeunes gens âgés de 16 à 25 ans…

 

 

« L’Emploi entre en jeu » : recrutés et recruteurs mouillent le maillot !

 

Jusque-là, c’est bien mais rien de vraiment insolite dans l’opération, me direz-vous. Sauf que dans cette manifestation coordonnée entre les services de France Travail et de la MILO (Mission Locale), les recruteurs potentiels sont de la partie !

Tout cela sous couvert de l’anonymat, en se mêlant aux jeunes gens, celles et ceux qui effectuent des exercices de remise en forme sur le terrain, encadrés par les coaches du club de rugby local.

Et là, ce petit jeu – l’opération a été baptisée d’ailleurs « L’Emploi entre en jeu » - mérite tout notre intérêt à bien des égards. Car combiner une animation assumée par ses organisateurs dans un esprit ludique, convivial, voire bon enfant entre recruteurs et recrutés change de cadre habituel !

On se situe donc à des années lumières du sempiternel entretien d’embauche, en face-à-face sinistre dans un bureau sentant bon l’encaustique et ripoliner de frais pour faire bonne impression et surtout intimider le néophyte ! 

 

 

Et pourquoi ne pas étendre l’initiative à d’autres sports ?

 

Ici, c’est vivant, cela a du punch, c’est incroyablement efficace pour gagner en confiance surtout quand on se sent bourrés de complexes ; le plus souvent d’infériorité.

Que des jeunes demandeurs d’emploi pratiquent le temps d’une matinée quelques exercices rugbystiques face peut-être à leurs futurs patrons, ça ne manque pas de sel. J’en vois certains qui, à la lecture de ce propos, imagine très bien plaquer durement au sol leur responsable de service, tamponner allègrement le directeur des ressources humaines, s’agripper en mêlée (attention, tous les coups ne sont pas permis !) à leur patron, mettre un doigt dans l’œil de son collègue irascible ou terminer joyeusement la troisième mi-temps avec les camarades féminines du service administratif d’à côté !

Plus sérieusement, mêmes des réseaux officiels de l’entrepreneuriat, à l’instar de celui porté par la préfecture et de la CCI (« Les Entreprises s’engagent »),  soutiennent une telle initiative qui ne manque pas de piment, en vérité.

Au-delà de la rencontre, c’est le secteur de l’industrie qui vire en grand gagnant à la fin de la matinée avec quelques recrutements assurés au terme de cette initiative à redéployer très vite. Peut-être à base d’autres catégories sportives ?

Cela prouve en cette année olympique que sport et entreprise font bon ménage à plus d’un titre. Même si le rugby dans sa configuration à quinze ne figure pas dans les épreuves disputées tous les quatre ans sous le prisme des célèbres anneaux…

 

Thierry BRET

 

 


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« Plus jamais ça ! ». Foutaise, que cette phrase-là qui fait mal au cœur à l’entendre trop ! Sempiternelle expression, répétée comme une litanie procurant un semblant de bien-être artificiel dans le vide sidéral de nos consciences. Qu’en reste-t-il réellement lorsqu’un nouveau drame se produit, faisant le tour des infos et des réseaux sociaux ?

Il ne se passe pas une semaine, en effet, dans l’Hexagone, ou ailleurs sur la planète, sans qu’il n’y ait un de ces faits divers, qualifiés de sordide qui n’arrive pas qu’aux autres, éclatant à la une des médias.

Rixes, bagarres, tabassages en règle, coups, blessures, harcèlement, chantage, racket, violences aveugles et gratuites contre…des enfants et des adolescents. Dans leur univers proche, c’est-à-dire l’école…Sans omettre, bien sûr, les adultes quand ce ne sont pas les enseignants et les personnels administratifs eux-mêmes qui en sont les principales victimes.

Rien que la semaine écoulée, celle de Pâques pourtant forte en symboles de paix et de fraternité universelle, ce ne sont pas moins de trois sinistres situations, devenues totalement banales dans notre quotidien, qui sont venues nous rappeler la gravité du problème en France. Il y a urgence à résoudre l’équation à x inconnues avant que d’autres morts de jeunes enfants, de collégiens, de lycéens, d’enseignants ne viennent hanter nos nuits !

Montpellier, Viry-Châtillon, Tours…Des villes hexagonales, pourtant distantes et bien différentes les unes des autres. Des agglomérations où il fait bon vivre, en temps normal. Des localités où les enfants sont désormais en proie au danger !

 

L’école de la peur côtoie celle de la haine…

 

A la sortie de leurs écoles, de leurs collèges, de leurs lycées. Un comble qui ferait retourner dans leurs tombes n’importe lequel des érudits et savants qui, au fil des siècles, ont prôné fort justement les valeurs de l’éducation et de la  pédagogie pour tous, distillées via l’école, Jules FERRY en tête ! Qu’elle soit publique ou privée, sans distinguo.

L’école, ce lieu de vie consensuel, de brassage ethnique et sociologique, d’apprentissage à la vie et au civisme, à la découverte de l’autre et à la pratique du respect envers les différences, que plus tard, devenus adultes, nous regrettons tous de ne plus fréquenter car synonyme de jeunesse qui se fane au fil du temps.

L’école de la République, porteuse de la réussite sociale, de la connaissance, des principes vertueux de la laïcité ou de l’approfondissement de savoirs religieux. De la chance professionnelle, aussi, en qualité d’incontournable bagage intellectuel. Il y en a pour tout le monde, tous les goûts et les esprits, selon ses choix et appétences. C’est une des grandes chances offertes par la France, il ne faut jamais l’oublier…cela s’appelle la démocratie !

Oui mais, voilà. L’école dans sa diversité (primaire, collège, lycée) ne fait plus rêver aujourd’hui. Bien au contraire, elle procure d’autres sujets d’appréhension et d’autres sentiments qui ont pour raison d’être la peur et la haine. Incroyable paradoxe !

 

 

Des brimades et des trafics en tout genre dans les établissements

 

L’école des savoirs est devenue ce lieu de vie et de partage où les personnels éprouvent désormais de la crainte, chaque matin, la boule au ventre en y retournant assurer les cours ou leurs travaux d’administrateur.

L’école, lieu de brassage multiculturel ô combien nécessaire pour comprendre l’autre, est devenu un endroit de rancœur, de vengeance, de brimade, de trafics en tout en genre. Même les établissements sont obligés d’organiser régulièrement des descentes de police, accompagnées de leurs brigades cynégétiques reniflant tout sur leur passage dans les salles de cours où l’on parle habituellement de philosophie et de mathématiques ! Des fois que l’on y trouverait de la drogue en mode cannabis ou pire encore ! Ce qui est parfois le cas…

Le mal est profond. Durable et indélébile. Trop de violence chez les adultes. Chez les parents et dans les familles qui sont confrontés aux difficultés de la vie ordinaire, rythmée par le cours logique des choses, entre perte de l’emploi, inflation et crise existentielle. L’individualisme est devenu la religion du XXIème dont l’indifférence, l’injustice et la violence représentent ses modes d’expression les plus abrupts. Mais, la part prégnante de la religion et ses dérives sectaires, voire intégristes et obscurantismes, sont là aussi présentes dans ce qui était autrefois les cocons familiaux.

Le problème ne concerne pas que la France, évidemment. Cette semaine, aussi, un gamin de 12 ans a assassiné avec une arme à feu un camarade de classe qui se moquait régulièrement de lui, cela s’est passé en Finlande, pays réputé pour sa candeur et son calme social olympien…

 

A quand la fermeté pour punir ces barbares ?

 

Naturellement, le rôle infect et nauséabond des fameux réseaux sociaux y est pour quelque chose, comme à son habitude dans toutes les dérives de notre siècle. Ce déversoir d’immondices, jetés en pâture publique sous le prisme le plus souvent de l’anonymat, ne fait pas dans la dentelle au niveau des messages malfaisants adressés vers les plus faibles d’entre nous. Et en priorité, les enfants et les adolescents, la cible idéale toute trouvée de ces oiseaux noirs de la mauvaise espèce. Et encore, c’est une insulte pour les oiseaux.

Ebranlé par ces faits divers répugnants à répétition – des élèves qui se retrouvent dans le coma, en mort cérébrale ou pire encore alors qu’ils sortaient benoîtement de leurs établissements scolaires avant d’être lynchés et victimes de lâches agressions sans nom -, le chef de l’Etat a dit vouloir réagir de la plus forte manière pour que la violence ne soit plus chose commune et banalisée dans l’univers scolaire hexagonal. Il y a du boulot, en effet, pour y parvenir.

Restreindre et pénaliser lourdement les réseaux sociaux qui facilitent le harcèlement et la circulation de ces messages odieux portant atteinte à l’intégrité physique et morale des individus est une chose (et pourquoi ne pas les interdire d’émettre tout simplement ?) ; mais sanctionner de façon inflexible et sans passe-droit de manière pénale les auteures et auteurs de ces actes barbares abjects (voire parfois leurs familles en les privant de certaines ressources) serait on ne peut plus logique qu’une simple remontrance verbale, à défaut d’un avertissement couché de manière anodine et sans conséquence sur le bulletin de liaison scolaire !

Nous autres, citoyens et électeurs de France, sommes en droit d’attendre autre chose de la part de la Justice et de l’Education nationale que du laxisme récurrent, de l’absence d’autoritarisme à tout crin et des manquements réguliers à leurs devoirs de fermeté. Il en va de la sécurité et de l'existence de nos enfants et de leurs enseignants !

 

Thierry BRET

 

 


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