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Il se dit têtu et engagé. Fidèle et loyal vis-à-vis des autres, aussi. Exigeant envers lui-même, dévoué et rigoureux, le natif de la vierge qu’est Ludovic DAME sait qu’il endosse une vêture adaptable à ses ambitions professionnelles. Pourtant, le challenge n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît. Car succéder à l’inamovible Jacques BLANCHOT, seize années à la tête de la direction des établissements départementaux de GROUPAMA PVL dans l’Yonne mais également en Seine-et-Marne, s’apparente presque à un pari des plus fous !

 

AUXERRE : Dans la vie, il a deux passions ce fringuant jeune homme de 46 ans ! Il le dit lui-même en empruntant une célèbre expression méridionale : « je suis fada du numérique ! ». Pourtant, que je sache, Biarritz où il a donné son premier souffle d’existence au monde ne se situe pas vraiment près de la Canebière ! Mais, c’est ainsi. Le garçon aime le soleil et la chaleur, de celle qui rayonne visiblement dans son âme quand il parle de lui. Il se livre avec sincérité.

Ludovic DAME (damé) avec un accent aigue sur le « e » au titre de la prononciation, a poussé le luxe, à son domicile, de s’installer une table basse connectée dans son salon ! « J’ai toujours été dingue de ces nouvelles technologies, précise-t-il le regard presque émerveillé dans les yeux. Les tablettes, les Go Pro, les drones, je le vis avec un réel enthousiasme…». On dirait un grand gamin !

L’autre versant de sa personnalité se rapporte à la chose automobile. Le nouveau patron de GROUPAMA dans l’Yonne et la Seine-et-Marne aime les sports mécaniques. Tant mieux ! Car, l’assureur mutualiste possède parmi ses innombrables activités la gestion du centre de sécurité, CENTAURE, situé en lisière de la Francilienne en Seine-et-Marne où régulièrement néophytes de la conduite automobile et férus de sensations fortes s’y retrouvent avec plaisir pour y parfaire les techniques de la maîtrise de leur véhicule. Via des obstacles et des exercices appropriés.

 

Tomber dans la potion magique de l’assurance mutualiste

 

Le numérique et l’automobile. Curieuses martingales pour ce natif de la vierge, un signe plutôt calme et éthéré d’ordinaire ! Oui, mais ce sont là les archétypes même d’un responsable entrepreneurial dans le vent qui se doit de gérer de façon optimale la destinée de deux caisses départementales de GROUPAMA, celle de l’Yonne et de la Seine-et-Marne.

Perfectionniste jusqu’au bout des ongles, volontaire, Ludovic DAME est aussi un humaniste convaincu. « Toutes les causes soutenues par mon groupe assurantiel me conviennent parfaitement, commente-t-il, je pense aux enfants malades avec l’association des Petits Princes, mais aussi à la déclinaison de ce programme hexagonal de former plus d’un million de nos concitoyens aux gestes qui sauvent via le concours de secouristes ou de représentants des forces de l’ordre… ».

En la matière, GROUPAMA n’est pas en reste avec ses opérations « Dix de Conduite », la prévention aux cyber-attaques et à la sécurité destinée aux seniors, le rayonnement par la cohésion sociale via les valeurs du sport. Le soutien à l’éducation, aussi, en encourageant les jeunes à suivre le BTS assurance et son enseignement, distillés à Toucy ou à Troyes.

Lui, Ludovic, il est tombé dans cette potion magique du mutualisme et de la solidarité, il y a 24 ans de cela. Pourtant, il a longtemps hésité avant de devenir professeur d’espagnol, ayant effectué ses primes études à l’Université de lettres de Dijon. Mais, la langue de PICASSO et de CERVANTES ne l’ont pas plus inspiré que cela, au bout du compte ! C’est dans le domaine commercial que notre homme s’engage au tout début des années 2000, signant un premier contrat chez GROUPAMA. L’affectation lui plaît : ce sera la vitrine commerciale d’Avallon !

« Cela m’a plu, concède-t-il, je suis devenu chargé clientèle agricole durant six années de mon existence… ».

 

Etre sensible aux valeurs humaines…

 

Le garçon a de l’envie. Il fait ses gammes en apprenant tout ce qui est bon à prendre. La production, le terrain, les sinistres, ses premiers pas en qualité de coordonnateur, avant de devenir manager ! Avec un terrain de prédilection qui lui est cher et qui lui va comme un gant : le secteur automobile ! Un département où le nombre de sinistres annuels dépasse allègrement les 60 000 dossiers ! En sus, Ludovic DAME est cornaqué par Maître Jacques BLANCHOT qui a repéré en lui de véritables atouts de leader et de décisionnaire. Cela va le placer sur orbite. En 2021 où il s’installe à Amiens, la belle ville de la Somme réputée pour sa majestueuse cathédrale gothique et de manière anecdotique par les macarons de la famille de… Brigitte MACRON ! Il y reste deux ans avant d’effectuer son come-back par la grande porte en 2023…

Le 01er octobre, il assume la succession de Jacques BLANCHOT, méritant retraité aux multiples occupations, à la tête de vingt-trois caisses locales réparties sur les deux départements, la Seine-et-Marne et l’Yonne.

« Mon credo, c’est d’apporter de la qualité dans la relation client, souligne-t-il, sans oublier d’augmenter le sociétariat au sein du groupe mutualiste… ».

Une feuille de route qui s’appuie sur une solide force de frappe, comprenant 120 technico-commerciaux.

Quelle griffe va-t-il apporter dans sa gestion au quotidien de la fonction managériale ?

« J’ai une vision macro et micro économique, souffle-t-il, je suis très proche de mes équipes. Je suis sensible aux valeurs humaines. Je serai un directeur de nouvelle génération… ».

Avancer ensemble, créer de la valorisation : autant de mots qu’il emploie pour indiquer le cap à ses collaborateurs. Une équipe qui le lui rend bien et qui se sent comme du temps de Jacques BLANCHOT en parfaite osmose avec leur capitaine de jeu.

Ludovic DAME ? Un nom à ajouter à son carnet d’adresse pour les décideurs de l’économie et les partenaires institutionnels. C’est sûr : ce garçon fera parler de lui dans les mois à venir, lui qui incarne les valeurs de cette entreprise assurantielle, vouée à s’ancrer davantage encore sur le territoire…

 

Thierry BRET

 

 


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Le système bancaire français est sur la sellette. Certaines sont fragilisées par les crises économiques successives. D’autres risquent peut-être de fermer leurs portes dès cette année. Heureusement, il existe aussi des banques très solides ! Les plus fragiles font l’objet de griefs récurrents de leurs clients. Le plus souvent, ils sont relatifs à des propositions commerciales exacerbées ou à des produits qui ne conviennent pas, tant sur l’épargne que sur les crédits.

 

TRIBUNE : Suite à l’effondrement des marchés boursiers, les pertes considérables par les assurances-vie entraînent souvent la mise en cause de sous-informations ou de conseils inadaptés. Notons que les conseillers des banques ne peuvent en aucun cas s’engager sur des conseils boursiers directs. Ils engagent leurs responsabilités. Il y a quelques années, un établissement fut condamné à indemniser des particuliers qui avaient subi de fortes pertes sur leurs SICAV.

Il est nécessaire d’être vigilant sur les crédit-relais qui sont victimes de la crise immobilière. L’avance consentie pour acheter un bien immobilier est mise à mal quand il faut vendre sa résidence pour acquérir le nouveau bien.

Du côté des frais, on assiste à une multiplication exponentielle de ces derniers au niveau de certaines banques. Il s’agit notamment des frais de retraits d’espèces en agence, des frais de mise à disposition de chéquiers… À cela, s’ajoute la pratique tarifaire des commissions d’intervention. Des pratiques qui permettent à certaines banques de compenser des manques à gagner ailleurs…

 

Les banques les moins exposées en cas de crise

 

Un certain nombre de normes comptables et financières sont imposées aux banques. Leurs liquidités et le niveau de fonds propres sont déterminants pour analyser le risque. Dans ce cadre, le Crédit Agricole et le Crédit Mutuel reçoivent la palme du meilleur ratio de solvabilité. Si la BNP est dernière au classement, elle reste bien au-delà des ratios exigés par le Comité de Bâle (Comité de référence international). BNP Paribas représente actuellement la plus grande banque européenne avec un actif total de plus de 2,9 milliards de dollars, ce qui constitue une des composantes de la richesse d’une banque.

Mais, les grandes banques françaises ont bien résisté aux chocs et aux difficultés pour leurs revenus en 2023, grâce à des fondamentaux sains et à la vigueur des résultats dégagés en 2021 et 2022, indique « Fitch Ratings » (célèbre agence de notation).

 

Des banques qui ferment leurs portes

 

Le début de l’année 2024 est loin de se présenter comme des plus prospères pour le secteur qui risque d’enregistrer plusieurs fermetures d’agences bancaires et de banques. Secouées de plein fouet par la crise, trois banques ont annoncé, en effet, la cessation de leur activité cette année.

Les conséquences de la crise financière qui sévit depuis 2023 sont déjà palpables. On est même en plein dans le concret puisque la HSBC a déjà confirmé la cessation des activités de sa branche locale au 01ᵉʳ janvier 2024.

HSBC pour les particuliers, c’est désormais le clap de fin. C’est dire la dureté de la crise qui n’a pas épargné le géant britannique, qui cède ses produits et autres services proposés à « My Money Group », sous la marque Crédit commercial de France (CCF). Au-delà des services et de ses 800 000 clients, « My Money Group » reprend la totalité des agences d’HSBC ainsi que ses 3 900 salariés. Ce qui permettrait aux clients de garder même leurs conseillers. Les anciens clients de HSBC peuvent opter pour aller vers le CCF. Pour cause, le CCF appartient à HSBC ! Quant à « Orange Bank », elle devrait être bientôt reprise par BNP Paribas.

 

 

 

Son sort est déjà scellé même si la date de sa fermeture n’est pas encore annoncée avec exactitude. C’est courant 2024, indique-t-on toutefois. En juin 2023, la disparition programmée d’Orange Bank a été annoncée. Le repreneur est déjà connu : il s’agit de BNP Paribas avec qui des discussions sont en cours pour finaliser la reprise. À peine six ans après son lancement, la banque en ligne de l’opérateur téléphonique se retrouve ainsi sur le point d’éteindre ses enseignes. Il ne reste que le temps de finaliser les pourparlers engagés avec BNP Paribas, en vue de garantir « une solution de continuité pour les clients d’Orange Bank ».

Aucun risque, en revanche, pour les clients d’Orange Bank qui pourront accepter ou non leur transfert de compte vers la BNP. En fait, les 800 000 clients d’Orange Bank devraient passer chez Hello Bank, la banque en ligne de BNP Paribas. Un transfert toutefois conditionné par un accord préalable de chaque client, puisque toute personne détentrice d’actifs chez Orange Bank devrait présenter une demande d’ouverture de compte chez Hello Bank.

 

 

« Ma French Bank », la dernière à avoir fait l'annonce de sa fermeture

 

« Ma French Bank » est la troisième banque en ligne dont la cessation d’activité est à l’étude. La Banque postale en a fait l’annonce mercredi 20 décembre 2023. « Malgré un succès indéniable auprès des clients, Ma French Bank n’a pas atteint la rentabilité et n’a pas encore trouvé son modèle économique », expliquait la banque, filiale du groupe La Poste, à travers un communiqué de presse mis en ligne, en mettant en exergue un contexte concurrentiel très difficile qui nécessite des investissements massifs. Or, cette « orientation n’apparaît plus compatible avec le plan stratégique du groupe ».

Quant à la fermeture des guichets, c’est un vrai tabou dans les banques. L'explosion du numérique dans les usages quotidiens provoque une baisse de la fréquentation des agences de 5 % par an depuis bientôt dix ans. Les 37 000 agences qui font travailler 250 000 salariés, sont trop nombreuses. Les banques sont face à un choix cornélien : fermer les moins rentables, au risque de quitter des territoires ruraux, ou fermer certaines agences en ville, là où les banques gagnent le plus d'argent.

« La fermeture de 20 % à 30 % des agences d'ici à cinq ans est tout à fait réaliste », estiment plusieurs dirigeants.

Malgré tous ces mouvements, il n’y a aucune crainte à avoir pour les clients des banques françaises, d’autant plus que les garanties offertes par l’Etat, en cas de faillite bancaire, sont importantes.

Il nous reste une solution : créer sa propre banque, 8 millions d’euros suffiront et une dizaine de millions pour affronter les exigences du lancement administratif et commercial de l’entité !

Dans ce cas, retenons cette pensée de Paul-Loup SULITZER : « Sachez une chose : un banquier ne vous prête de l'argent que dans la mesure où vous n'en avez pas besoin... ».

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Elle ne se départit jamais de son joli sourire juvénile, Eugénie ! Même lorsqu’elle est invitée à rejoindre le podium – ah, ah, encore un signe du destin annonciateur d’un bel été ? – où se déroule la présentation des vœux des dirigeants de la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté. La sportive de l’Yonne, soutenue par l’établissement bancaire régional, a eu l’opportunité de s’adresser à un public de VIP de la sphère institutionnelle et économique de Dijon, afin d’y parler de son rêve le plus cher : décrocher son billet pour les Jeux de Paris !

 

DIJON (Côte d’Or) : Certes, Eugénie DORANGE, championne de canoë-kayak bien connue des Icaunais, n’était pas la seule athlète à bénéficier de ce régime de faveur en termes de communication spéciale – se présenter lors de la cérémonie des vœux du groupe bancaire qui faisait anciennement référence à l’Ecureuil ! – mais galanterie oblige, elle eut droit à la primeur de prendre la parole en ouvrant le bal de la petite série de présentation.

Invitée par Jérôme BALLET, président du directoire et Eric FOUGERE, président du conseil d’orientation et de surveillance, la jeune femme à la chevelure blonde donna quelques nouvelles sur sa période actuelle, consacrée à une phase d’entraînement intensive. Logique : le billet pour les Jeux Olympiques de Paris n’est pas encore en poche. Il lui faudra se distinguer dès le mois de mars prochain pour décrocher, lors d’une première étape, le précieux sésame lui permettant de participer en mai au tournoi de qualification olympique de sa spécialité. Rien n’est encore fait mais la jeune femme se donne tous les moyens pour y parvenir.

 

 

 

Un soutien financier mais aussi moral de la part de 1 600 collaborateurs

 

Championne de France en C1 sur 200 mètres, 500 mètres et 5 000 mètres en 2023, Eugénie DORANGE a enregistré une belle progression au cours de ces dernières années. Plus jeune, n’avait-elle pas déjà obtenu un titre de vice-championne du monde en moins de 23 ans en 2017 et une médaille aux championnats européens l’année suivante !

Aux côtés de deux de ses camarades sportifs encouragés par la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté – sept compétiteurs de haut niveau sont ainsi suivis par le groupe bancaire depuis 2019 en vue des J.O. de Paris dans le cadre du Pacte Utile, favorisant la consécration de sportifs tricolores aux Jeux et aux Paralympiques 2024 -, Eugénie DORANGE aura partagé l’affiche de la soirée avec le gymnaste Kevin CARVALHO et le para tir sportif Cédric FEVRE.

Tous devaient rappeler l’importance d’être soutenus par un tel partenaire tant sur le plan financier – on s’en doute ! – que moral : ce sont 1 600 collaborateurs de la Caisse d’Epargne qui défendent ainsi avec fierté les couleurs de ces sept athlètes de Bourgogne Franche-Comté qui espèrent tirer leur épingle du jeu l’été prochain dans la capitale de l’Hexagone.

 

Thierry BRET

 

 


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Ils nous la promettaient en version « XXL », cette séance initiatique aux gestes qui sauvent ! Au bout du compte, les dirigeants de GROUPAMA Paris-Val-de-Loire ne se sont point trompés. L’ambitieux évènement, se forgeant sur la sensibilisation et l’apprentissage aux techniques fondamentales du secourisme, concocté dans le saint des saints de la chose footballistique départementale (les salons Yonne, Bourgogne et Europe de l’AJ Auxerre), aura donc tenu toutes ses espérances. In fine, pas moins de 180 personnes ont ainsi pu bénéficier des précieux conseils des membres de l’Union des Sapeurs-Pompiers 89, instructeurs d’une folle journée vécue au stade !

 

AUXERRE : Inédite, la manifestation devrait rester dans les annales. Si le défi initial était de former deux cents personnes sur une même journée et en un lieu unique à l’apprentissage des gestes fondamentaux du secourisme, il ne s’en est fallu d’un rien – un cheveu ! – pour que le challenge soit relevé. Mais, par les temps qui courent et en ayant opté pour un mercredi, il n’y a pas de quoi ergoter sur les véritables chiffres de cette opération pédagogique.

Car, au final, ce sont près de 180 Icaunais qui auront reçu les rudiments de ces fameux gestes qui sauvent, à l’importance ô combien vitale en cas de problèmes de santé – on pense nécessairement à l’accident cardio-vasculaire mais pas que – aux termes de cette fructueuse animation, accueillie dans les salons d’honneur du stade de l’Abbé DESCHAMPS.

Pour ambitieux, l’évènement l’était ! S’inscrivant dans la philosophie de l’ancrage territorial, cher à l’assureur mutualiste, adepte de la prévoyance et de la protection contre les sinistres et les risques. Ce n’est pas la première que GROUPAMA, via sa délégation départementale de l’Yonne et de la Seine-et-Marne, organise ce type de rendez-vous avec le grand public – des gens comme vous et moi – afin de les initier aux vertus du secourisme et aux gestes qui sauvent. Et ce, depuis plusieurs années déjà.

 

 

 

Plus de 550 Icaunais ont déjà reçu la formation…

 

Des animations citoyennes qui ont toujours trouvé écho auprès des élus des dix caisses locales du groupe assurantiel dans l’Yonne, mais aussi auprès des collaborateurs et surtout des sociétaires. Le territoire septentrional de Bourgogne n’aura ainsi pas échappé à la règle de relayer la stratégie du national, soucieuse de former un million de Français sur trois ans à la pratique élémentaire et salvatrice des gestes issus du secourisme.

Vu du prisme de l’Yonne, ce sont à date 550 personnes qui ont ainsi pu apprendre et pratiquer les techniques respiratoires et les massages cardiaques aux côtés des représentants du SDIS 89. Mercredi, sous la supervision de Sébastien BERTAU, colonel du Service départemental d’Incendie et de Secours, une douzaine de soldats du feu, professionnels ou volontaires, ont inculqué les bonnes pratiques à un public très réceptif et à l’écoute.

Directeur d’établissement de l’Yonne et de la Seine-et-Marne, le successeur de Jacques BLANCHOT, Ludovic DAME entend bien réitérer la manifestation, à raison de deux rendez-vous dans l’année. Dès 2024 ! Alors, Mesdames, Messieurs les sociétaires, ou non, à vos agendas pour vous y inscrire dans les agences dès que les dates seront communiquées !

 

Thierry BRET

 

 

 


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L’innovation dans tous ses états. De surcroît, celle qui fleure bon les initiatives entrepreneuriales et associatives émanant de la Bourgogne et de la Champagne ! Les esthètes en la matière le savent et ne cessent de le marteler, à grand renfort de prises de parole ou de conférences : « il ne peut y avoir d’attractivité territoriale, sans innovation ! ». Une vérité de La Palice que les responsables du « Village by CA » (comprenez par-là l’excellent écosystème décliné par le Crédit Agricole) ont su reprendre à leur compte en créant la première édition des Talents de l’Innovation. Il fallait y penser : la Banque Verte l’a fait ! Neuf lauréats s’en souviendront longtemps…

 

DIJON (Côte d’Or) : C’est un évènementiel qui au vu du succès escompté devrait immanquablement appeler à se pérenniser dans le temps. C’est une certitude. Une manifestation à l’ancrage territorial, devant mettre sous le feu nourri des projecteurs médiatiques, ce qui se fait de mieux sur le registre de l’innovation de cette contrée qui excelle en la matière. Il suffit de s’intéresser de très près à l’actualité de l’hydrogène ou de l’énergie avec le nucléaire. Bref, la Bourgogne et la Champagne regorgent d’idées et de talents – même si ses sols ne contiennent pas de pétrole et pas de gaz ! – et veut le faire savoir.

Mettre en lumière les esprits innovants, désireux de façonner notre territoire, à partir de projets et de judicieuses envies entrepreneuriales, est donc le socle avoué de ce rendez-vous où devaient se réunir plus de deux cents personnes, le 13 novembre dernier, à Dijon. Un cadre idoine pour accueillir l’animation : la « Burgundy School of Business », qu’on ne présente plus !

 

L’innovation, une vertu à valoriser au nom de l’attractivité

 

Grande vedette de la soirée qui permettait de décerner des sésames à neuf lauréats choisis par un jury ayant examiné avec dextérité et patience plus d’une centaine de dossiers de candidature : l’innovation.

On le sait, celle-ci se manifeste à tous les étages de la société. Dans tous les domaines professionnels. Sans innovation, une entreprise est vouée à disparaître, dit l’adage propre au développeur d’affaires.

Alors, encourager en les récompensant celles et ceux des « startupeurs » qui pratiquent l’innovation au quotidien comme Monsieur Jourdain se délectait sans même le savoir de la prose devenait une impérieuse nécessité. Une passerelle que le Crédit Agricole, ici même dans sa configuration territoriale de Champagne Bourgogne, aura su construire avec en corollaire son passionnant concept du « Village By CA ».

Une formule magique, sans poudre de perlimpinpin et de breuvages abjects à avaler, qui aujourd’hui offre l’opportunité à ces entrepreneurs de la région d’être soutenus à la concrétisation de leurs projets novateurs à fort potentiel engagés dans des domaines aussi éclectiques et fondamentaux que peuvent l’être la santé, l’énergie, l’agriculture ou la recherche…Et encore, la liste n’est pas exhaustive.

 

 

Plus d’une centaine de dossiers sur la grille de départ…

 

Proposer des « Talents de l’Innovation » résulte donc d’une logique implacable pour dynamiser et valoriser le territoire à travers le prisme de l’attractivité. D’ailleurs, pourquoi les dirigeants de l’établissement financier n’y avaient pas pensé avant ?! Etonnant, non, s’en serait amusé le regretté Pierre DESPROGES !

Partant du postulat qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire, ce concours  s’inscrit donc parmi les nouvelles priorités de notre paysage économique. Ouvert à toutes les castes de la vie professionnelle – et par extension associative qui est aussi génératrice d’excellentes initiatives en matière d’innovation -, il devrait se tenir désormais chaque année. Sur la base du volontariat et de l’inscription, à déposer avec dossier de candidature, au préalable.

D’ailleurs, les chiffres ne trompent pas. Une centaine de dossiers sur la grille de départ initiale, puis, une petite quarantaine de pré-sélectionnés (38 précisément) invités à assurer un « pitch », le propre de l’exercice oratoire face un jury pour tout bon responsable de startup qui se respecte ! In fine, ils ne seront plus que neuf à recevoir une récompense pour leur ingéniosité, leur audace, leur culot, leur talent !

Bref, neuf structures en quête du Graal qui repartiront de Dijon avec la bénédiction urbi et orbi d’un jury de professionnels aguerri à cet exercice !

 

 

Avant que ne tombe le verdict et que le rythme cardio-vasculaire baisse d’un cran parmi les candidats, Emmanuel VEY, directeur du Crédit Agricole Champagne Bourgogne prit soin en préambule de rappeler la genèse et le mode opératoire d’un tel challenge. « Nous avons imaginé ce concours comme un tremplin pour tous ceux qui innovent en Champagne Bourgogne. Nous souhaitions encourager ces acteurs qui repoussent sans cesse les limites pour s’adapter à un environnement en constante mutation… ».

Pour se faire, quatre catégories permettaient de départager les futurs lauréats. Soit les agriculteurs/viticulteurs – le credo traditionnel de la Banque verte -, les artisans/commerçants, les chefs d’entreprises et le milieu associatif. Signalons que l’Yonne arrivera à se distinguer par sa fameuse structure associative, « La Grange de Beauvais » et son président, Patrick HENRY, trop heureux de glaner un nouveau prix. Un prix sur neuf attribué à une structure icaunaise, incontestablement, l’Yonne peut mieux faire à l’avenir. Peut-être en 2024 ?

 

 

    

Les résultats

Nos lauréats sont :

Catégorie Artisans/Commerçants

 

Benoit BERT – Bussy Compost

Jean-Paul LOUREIRO – Opti-Toit

Catégorie Associations

Emma PICARD – CCulte

Patrick HENRY – Grange De Beauvais Venouse

 

Catégorie Agriculture/viticulture

Manon CHAILLAN – Les Ruchers du Bassigny

Michel VILLARMET - Les Fermes de l'Auxois et leurs Petits Casiers

 

Catégorie Entreprises

Magali BAJARD – Sintermat

Arnaud DORIDOT – Boostherm

 

Trophée Coup de Coeur 

Isabelle BLIN - Association " les ateliers des petites herbes"

 

Les membres du jury étaient

François - Xavier Lévêque – Président Caisse Locale de l’Innovation

Flavien Lemière -  ENGIE

Frédéric Imbert - Dijon Céréales

Vincent Delatte - BFC ANGELS

Dorian GUIU - GUIIU

Simon Massot -  Suntec

Valérie Vuillemot  -  Caisse Locale de l’Innovation

Euphémie Picq - Schiever

Franck Duhamel  - CAPEC

Quant aux trophées, taillés dans la pierre de Bourgogne, ils ont été réalisés par le lycée des Marcs d’Or, par les élèves de la section « Taille de pierre ». Il s’agit de pièces uniques. La preuve qu’innover c’est aussi renouer avec la tradition…

 

Thierry BRET

 

 


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