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Le magnifique lavoir de la commune de Puisaye-Forterre accueille jusqu’au terme de ce mois d’août une animation consacrée à Dame nature et à ses diverses composantes qu’elles soient issues de la faune, du végétal, de son biotope et même de l’agriculture. Un melting-pot original qui fait la part belle à la photographie animalière, à la peinture, à la poterie et à la pédagogie…

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : Les superbes clichés accrochés aux cimaises du lavoir local méritent amplement le détour. Surtout pour les férus d’œuvres artistiques qui aiment profondément la nature et qui font de sa protection leur priorité quotidienne.

Réalisées par Jean-Paul LEAU, un esthète reconnu par ses pairs dans l’art et la manière de concevoir la photographie animalière, mais aussi par Benoît WILLIATTE, Sylvain NOEL et Thomas GUERET, ces images immortalisent les hôtes de ces milieux naturels, entre rivières et marais qui entourent les localités de Druyes et d’Andryes, c’est-à-dire les oiseaux.

 

 

Figées dans leur environnement, différentes espèces se présentent à notre regard admiratif et contemplateur. Prises sur le vif par le déclenchement de l’obturateur !

Les photos sont belles, lumineuses et instructives pour identifier telle variété par rapport à une autre. On y voit également un choucas qui profite de la fortification locale, le fameux château-fort érigé au XIIème siècle, pour se reposer !

 

 

 

Le clin d’œil aux chasseurs et aux agriculteurs…

 

Les œuvres picturales de la regrettée Nicole GROLEE, artiste du sérail, complètent ce panorama non exhaustif de la diversité du biotope ambiant. Mention spéciale pour les poteries de Marie-Lucie TRINQUAND et de Jean-Michel DOIX : leurs pièces évoquent elles aussi le règne animal avec ces quatre épis de faîtage surmontés d’oiseaux dans le bassin central conçus à quatre mains et une surprenante chauve-souris suspendue dans les airs.

La présence de panneaux informatifs à l’estampille de la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) offre des éléments pédagogiques supplémentaires pour mieux s’imprégner des milieux naturels et de leurs habitants.

 

 

Un clin d’œil sur les rénovations écologiques menées par la Fédération départementale de la Chasse qui supervise les travaux de réhabilitation du marais et sur le monde agricole qui s’engage dans le sens de l’écologie en modifiant ses dates et ses techniques de fauche afin de préserver les espèces sensibles et l’entretien de la biodiversité traduit cette complémentarité inéluctable entre tous les acteurs de l’environnement.

 

 

En savoir plus :

L’exposition est ouverte tous les jours de 15h à 19 h ainsi que le samedi jusqu’à 22 heures.  

Un contact en cas de demande de visite en dehors de ces horaires : le 06.70.02.68.61.

 

 


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Instituée en fin d’année 2018, la prime exceptionnelle de pouvoir d’achat est reconduite en 2020. Elle offre la possibilité aux employeurs de verser à leurs salariés une prime exonérée de toutes cotisations et contributions sociales, de CSG, CRDS et d’impôt sur le revenu dans la limite de mille euros sous certaines conditions…

TRIBUNE : Quelles sont les conditions à respecter ? Les bénéficiaires doivent être des salariés ayant une rémunération inférieure à trois fois le montant du  SMIC au cours des douze mois précédant son versement. Il faut qu’il y ait une obligation de mettre en œuvre un accord d’intéressement au moment du versement de la prime qui devait intervenir avant le 30 juin 2020.

Toutefois, l’ordonnance du 01er avril 2020 a simplifié ces conditions initialement prévues afin de tenir compte de la situation spécifique liée à l’épidémie de Covid-19 et ainsi permettre de récompenser les salariés particulièrement mobilisés pendant l’état d’urgence sanitaire.

 

L’existence de modifications dans les conditions de versement…

 

 Ainsi, il est possible de supprimer la condition de mise en œuvre d’un accord d’intéressement à la date de versement de la prime exceptionnelle. Cela n’est plus nécessaire lorsque le montant de la prime exceptionnelle n’excède pas mille euros. Celle-ci peut être octroyée aux salariés, dans cette limite, sans qu’un accord d’intéressement n’existe dans l’entreprise.

Cependant, son versement et ses conditions d’attributions doivent être prévus, au choix de l’employeur, par un accord collectif (d’entreprise ou de groupe) ou par décision unilatérale de l’employeur (DUE).

D’autre part, l’ajout d’un nouveau critère de modulation de la prime s’est fait jour. Dans l’accord ou la DUE, l’employeur peut moduler le montant de la prime en fonction de certains critères (rémunération des salariés, niveau de classification, durée de présence effective ou celle prévue au contrat de travail).

Pour récompenser plus spécifiquement les salariés employés pendant l’épidémie de Covid-19, un nouveau critère de modulation du montant de la prime peut être retenu par l’accord collectif ou la décision unilatérale. Il est désormais possible de tenir compte des conditions de travail liées à la crise sanitaire.

Ainsi, l’employeur a la possibilité de majorer la prime pour les salariés ayant continué leur activité au sein de l’entreprise pendant la période d’urgence sanitaire et/ou ceux ayant été au contact du public.

En outre, il peut également exclure des salariés qui n’étaient pas présents durant la période d’urgence sanitaire, tels que les salariés en télétravail.

 

Report de la date de versement…

 

La date limite de versement, prévue initialement le 30 juin 2020 et reportée au 31 août, est à nouveau repoussée au 31 décembre 2020 afin de laisser aux entreprises plus de temps pour octroyer cette prime, après consolidation de leur reprise d’activité.

La limite d’exonération fixée initialement à 1 000 euros est relevée à 2 000 euros sous réserve que l’employeur mette en œuvre un accord d’intéressement.

Cette limite de deux mille euros s’applique aux entreprises qui disposent déjà d’un accord d’intéressement ou qui en concluront un d’ici le 31 août 2020. L’accord d’intéressement doit produire ses effets à la date de versement de la prime, donc avoir été conclu.

Le dépôt peut, quant à lui, être réalisé postérieurement au versement de la prime, dans le respect des délais légaux, à savoir quinze jours suivant sa conclusion. La date limite de conclusion de l’accord d’intéressement est fixée au 31 août 2020.

A titre dérogatoire, les accords conclus entre le 01er janvier 2020 et le 31 août 2020 peuvent l’être pour une durée minimale d’un an (au lieu de trois). Les associations et fondations reconnues d’utilité publique ou d’intérêt général sont dispensées de l’exigence d’avoir un accord d’intéressement.

 

Christelle CARRE

 

Un article réalisé en partenariat avec la Chambre départementale des experts comptables de l’Yonne.

 


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Rapidité d’exécution, concentration optimale et précision dans le moindre geste technique effectué, soit les fondamentaux essentiels de la discipline qui se pratique entre trois et quatre kilomètres au-dessus de nos têtes, ont été respectés scrupuleusement par les représentants des dix-sept équipes engagées lors de ces 69èmes championnats de France de vol relatif…Ils se poursuivent ce dimanche.

CHEU: La crainte primordiale qui anime tout bon parachutiste digne de ce nom avant de monter à bord de l’aéronef qui leur sert de tremplin motorisé et leur permet d’exécuter leurs figures dans le ciel demeure la météo !

Celle de vendredi matin, même si elle était parfois parsemée de sporadiques gouttes de pluie n’inquiètera nullement les concurrents de ces championnats de France de vol relatif.

Les premiers à être accueillis sur l’aérodrome de Saint-Florentin-Chéu. Une vraie réussite selon les commentaires tirés à chaud des organisateurs, membres du « Paris Jump », le club qui a élu domicile sur cette base logistique aux caractéristiques idéales.

Dès 9 heures, les premiers candidats à l’exploit ont entamé leur série de dix sauts répartis sur les deux journées et demie de compétition devant les amener à tutoyer ou pas le podium national. Dix-sept équipes en provenance des quatre coins de l’Hexagone qui n’auront guère eu le temps de se préparer dans les règles de l’art en amont de l’épreuve.

 

 

 

Peu de séances de préparation en amont de l’épreuve…

 

Coronavirus oblige, cette édition des nationaux représentait en fait la seule et unique compétition de la saison, dans ce contexte si particulier où les possibilités d’entraînement ne furent guère légion.

Autant dire que le manque de repères était évident pour ces valeureux sportifs de haut niveau qui profitèrent des moments au sol entre deux sauts pour se remémorer inlassablement les figures imposées devant être exécutées ensuite dans les airs.

Un travail de fourmi et de précision où le moindre geste technique à effectuer compte ; le tout dans un délai temporel record. Celui-ci ne devant pas excéder trente-cinq secondes dans la catégorie du vol relatif à quatre. Ce delta de référence servant aux juges évoluant à cinquante secondes lorsque huit compétiteurs sont lancés dans le ciel pour l’épreuve de vol relatif à huit.

Une fois lâchés de l’avion, les membres de l’équipe s’assemblent, se touchent, se prennent la main et forment des figures géométriques qui ont valeur de point pour le jury. Celui, devant officier dans l’Yonne, au nombre de cinq personnes était présidée par la juge internationale Gillian RAYNER.

 

 

 

Les sportifs tricolores parmi les meilleurs de la discipline…

 

Filmées au plus près des parachutistes, les images de ces prouesses techniques qui ne laissent pas la place au hasard sont ensuite analysées au sol et diffusées sur grand écran afin que chacun puisse suivre en les appréciant à leur juste valeur les configurations et leurs…défauts !

Ce travail fourni par ces spécialistes chevronnés dont les plus jeunes sont encore adolescents est le fait de nombreuses heures d’entraînement passées en soufflerie.

Aujourd’hui, considérée comme l’une des nations phare dans la sphère internationale, la France domine les épreuves aux côtés des meilleurs que sont la Belgique, la Russie et les Etats-Unis. C’est d’ailleurs dans l’ancien bloc soviétique que se dérouleront en 2021 les futurs mondiaux où les Tricolores et l’équipe de France de VR4, présente dans l’Yonne, aimeraient se distinguer.

 

 

 

 

 


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La quête du Graal, vouée à la perfection et à l’excellence pédagogique, se poursuit avec bonheur et réalisme au centre de formation de l’Yonne. En restructurant la quasi-intégralité de son pôle hôtellerie/restauration, l’établissement réalise un tour de force architectural et ergonomique lui permettant de répondre à la fois aux exigences du secteur corporatiste, à celles inhérentes aux diplômes et à ses propres ambitions…

AUXERRE : Ce sera désormais le principe appréciable du « deux en un » lorsque les amateurs de bonne chère choisiront de se rendre au pôle restauration du CIFA de l’Yonne à partir du 31 août afin de s’y sustenter.    

La refonte totale du restaurant d’application du « Com’ des Chefs » aura donné naissance à une seconde structure, légitime, qui en possèdera la même appellation. A ceci près qu’il faudra y ajouter un autre mot caractérisant son offre de services : le terme « brasserie » !

Débutés en juin 2019, les travaux sont presque achevés. Certes, lors de la visite de chantier organisée à la presse le vendredi 21 août, force est de constater que quelques finitions complémentaires devaient encore mobilisées les équipes artisanales investies sur le concept. Mais, promis juré, tout sera opérationnel pour la réouverture du site le 31 août !

 

 

Un espace de dégustation œnologique pour les amateurs…

 

Attenant aux salles de cours, le pôle restauration/hôtellerie offre dorénavant une nouvelle physionomie dès la vue initiale de ses extérieurs. Exit l’aspect austère, voire vétuste, de ces fameux bardages en bac acier industriels qui ornementaient le bâtiment jusque-là !

Place à une façade à l’agréable esthétique agrémentée d’un habillage insolite qui ressemblerait presque à de la dentelle métallique. Ce parement n’est pas sans rappeler par ailleurs les motifs des portails et autres accès qui ouvrent l’établissement vers la rue. D’ici peu, la pose des enseignes identifiant les deux lieux de restauration sera effective. Histoire de nous familiariser un peu plus avec cet endroit.

Dès que l’on pénètre dans le bâtiment, une banquette d’accueil fait face à l’accès principal. C’est une tour de contrôle stratégique qui permettra d’aiguiller la clientèle selon ses appétences consuméristes. Soit vers la gauche pour y rejoindre l’une des tables de l’univers gastronomique ; soit vers la droite pour s’installer dans la brasserie, dans une configuration plus restreinte en volume.

Mais, avant de se rendre dans l’une ou l’autre des deux salles, il faut encore profiter de sa présence dans le hall d’entrée pour admirer le judicieux espace œnologique qui vous attend. Un cadre discret, limite intimiste, où les aficionados d’excellents nectars peuvent venir y déguster un grand cru. On connaît l’appétence des formateurs et de la direction à vouloir travailler avec de bons produits !

 

 

La brasserie du Com’ des Chefs à découvrir à tout petit prix…

 

L’ancienne salle faisant office de lieu d’attente avant d’être conduit au restaurant gastronomique s’est donc reconvertie en un espace brasserie très attrayant. Un meuble continu intègre un bar. Des chaises hautes y sont installées.

On s’imagine aisément en train de déguster une bière entre amis avant de passer à table pour y manger l’une des spécialités élaborées en cuisine.

Par un jeu de transparence facilité grâce à une baie vitrée, le consommateur possède également une vision imprenable sur le paradis des maîtres-queues qui concocteront les mets sur le piano flambant neuf élaboré chez ENODIS.

La société auxerroise fournit aujourd’hui les plus grandes références de la gastronomie nationale et certains des palaces de la capitale.

Composée d’une entrée et d’un plat de résistance, voire d’une seconde option articulée pour les plus gourmets d’entre nous sur la présence de recettes salées/sucrées (plat et dessert), la carte de la brasserie du Com’ des Chefs sera tarifée à prix doux pour une modeste somme de dix euros !

 

 

Le Com’ des Chefs : l’art culinaire et ses jeux de lumière…

 

En face, se situe l’antre des gourmands. Le « Com’ des Chefs » qui n’a eu de cesse de gagner ses galons référentiels de pôle incontournable de la découverte culinaire locale depuis ses débuts.

L’obtention d’un « bib » gourmand ne serait pas une galéjade en soi tant le travail créatif qui y est proposé flirte avec la perfection.

Le restaurant d’application à vocation gastronomique a conservé son emplacement usuel. Mais, le complexe a connu un léger agrandissement lié à la modification du cloisonnement en lien avec l’office.

La décoration vaut le coup d’œil. Avec ce travail de plafonds conçus en strates superposées et alvéolées qui confèrent à la salle une atmosphère géométrique novatrice.

Côté ambiance : le tout est délicatement illuminé par un jeu d’éclairages artificiels colorés et variables, de jour comme de nuit, suivant les saisons, les cartes ou les thématiques !

On doit l’ensemble de ces réalisations architecturales épurées aux cabinets Hannah Elizabeth Interior Design et à UBIK Architectures.

Mais, qu’importe le flacon, il restera toujours l’ivresse. Celle de la succulence à l’état pur au fond de l’assiette avec un menu englobant une mise en bouche, une entrée, un plat principal, les fromages et le dessert. Le tout décliné pour une addition toute en douceur pour le fidèle payable à 17 euros !

Reste l’immense cuisine, composée de cet îlot central de douze postes de travail. Là-aussi, le CIFA s’est enjoint les services d’ENODIS, la PME de Philippe  GALOO.

Les apprentis et leurs enseignants devraient s’accorder du plaisir, c’est sûr, avec une telle logistique structurée autour de plaques à induction qui privilégie différentes variantes de cuisson !

 

 

 


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BREVE : Le constructeur américain n’a semble-t-il pas été trop perturbé par la crise sanitaire qui sévit encore de plein fouet sur le sol des Etats-Unis. Publiant ses derniers résultats le 31 juillet, le groupe a dégagé un bénéfice net s’élevant à 1,1 milliard de dollars au terme du second trimestre.

Une donnée statistique plutôt flatteuse pour le fabricant de la KUGA qui réalise un chiffre d’affaires mondial de 19,37 milliards de dollars.

 

 

Parmi les explications fournies par un communiqué de presse adressé à l’AFP, le bon comportement de la filiale de développement des voitures autonomes ARGO AL accentue cette excellente tenue financière.

Un gain de 3,5 milliards de dollars inhérent aux activités propres de cette filiale est venu conforter la tendance positive dans laquelle se trouve le groupe américain sur les marchés.

 


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