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Un alchimiste des mots fait rêver un parterre d’entrepreneurs : Malek BOUKERCHI, sportif de l’extrême
octobre 01, 2020Dans la vie, tout est possible. Rien n’est programmé. Cette théorie tord le cou de manière définitive aux adeptes de la destinée qui pensent que tout est déjà inscrit au plus profond de nos codes génétiques. Celui qui pense cela, n’est pas un être humain ordinaire. Même si son humilité transpire à chaque prise de parole. C’est un cas à part. Un extra-terrestre de l’impossible, capable de courir en les enchaînant des ultra-marathons sur des centaines de kilomètres dans le désert de Mauritanie ou sur la glace de l’Antarctique. Un homme qui est allé au bout de sa folie beaucoup plus maîtrisée qu’il n’y paraît…
AUXERRE: Le plaisir de l’écoute se boit à satiété dans la moindre de ses paroles. Prolixe, l’orateur transporte son public avec ses mots à lui. Avec lesquels il interprète tel un slam une narration qui n’en finirait jamais. Il y a du lyrisme et de la poésie dans ces propos minutieusement choisis qui inondent la salle et son auditoire. Un sens profond, aussi qui ne fait pas la part belle au hasard.
Conteur, poète mais surtout athlète d’exception, Malek BOUKERCHI n’a pas son pareil pour emmener avec lui dans ce saut vers l’inconnu qui se nomme l’aventure celles et ceux qui écoutent et comprennent ses messages.
Spécialiste des courses de l’extrême, le personnage est incroyable. Le palmarès est éloquent. Bien qu’il ne soit pas compétitif dans l’esprit de gagner une médaille.
Que ce soit en altitude à plus de quatre mille mètres au sommet d’une montagne, sur les surfaces cuites par le soleil d’un désert de sable ou dans la froidure d’un hiver polaire sans fin, cet anthropologue/philosophe de métier partage sa passion du sport « no limite » (ou presque) lors de cycles de conférence destinés à booster le moral des troupes. C’est-à-dire celui de ces dirigeants et cadres d’entreprises qui en éprouvent l’immense besoin. Et ils sont légion depuis l’apparition de la pandémie de ce coronavirus de triste mémoire qui aura plombé pour un temps incertain la vie économique.
Pourtant que l’on ne s’y méprenne point mais notre sportif émérite n’est pas un professionnel de ces disciplines qui forgent le mental et renforcent l’endurance à grand renfort de biceps. Ou de cohésion d’équipe !
Il se définit plutôt comme un chantre de la « métamorphose silencieuse ». Celle qui fait muer un être lorsque ce dernier prend le soin de redonner enfin un sens à son existence. Il rêvait de se dépasser physiquement ? Alors, il est passé aux actes !
Démontrant ainsi par la force des choses que rien n’est jamais acquis sur notre chemin terrestre et qu’il est bon de remettre sans cesse l’ouvrage sur la table de travail chaque jour que Dieu créé !
Prendre son destin en main en s’émerveillant chaque jour…
Alors, se transcender intérieurement pour repousser les limites du possible est envisageable pour chacun d’entre nous. C’est la substance idéologique de ce rendez-vous qui nous aura été proposé de suivre grâce à la CPME de l’Yonne et à la société EPONA COACH (Sandra CACHON).
Une double combinaison destinée à conforter les chefs d’entreprise dans leur envie d’autre chose, mise en scénographie par l’incontournable IDX PROD, avec Yannick DAVOUSE, son responsable aux manettes.
L’ultra-marathonien a su délivrer son lot de belles formules qui ont peut-être encanaillées un peu plus ce public de décideurs auxerrois (majoritairement issus de la gent féminine) pour redéfinir leur mission dans leur vie professionnelle de chaque jour.
En voici, un petit florilège. « Nous sommes éternellement des enfants ! ». Enfin, il faut le reconnaître et cela fait du bien à entendre en nous redonnant ce vrai bol de jouvence salvatrice !
« L’ultra-marathon me permet de traverser les territoires de façon sensible… ». Ou encore cette citation pour évoquer les risques et les dangers de ces échappées sauvages au beau milieu de nulle part : « Est-ce qu’il faut tutoyer la mort pour se sentir mieux pour exister ? ».
Retenons aussi, la formule plus mystique sur la réalité de notre monde : « Dans la course, on passe par des frontières ; ce sont surtout des frontières invisibles… ».
Enfin, par rapport au silence, seul compagnon de course autorisé par ce sportif hors normes, membre du club très hermétique des 700 pratiquants de course extrême au monde : « Cultiver le silence dans la course, permet de transformer ensuite les mots de façon juste… ».
Effectivement, les participants de cette conférence unique agrémentée de visuels à couper le souffle (Antarctique) purent s’en rendre compte de manière formelle. Le sourire aux lèvres et la tête dans les nuages. Une vraie bouffée d’air pur inhalée dans la stratosphère !
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Des récoltes plombées par la sécheresse : Arnaud DELESTRE fait entendre la voix des agriculteurs
octobre 01, 2020Le président de la Chambre départementale d’Agriculture de l’Yonne a profité de son temps de parole qui lui était imparti lors d’une séance de travail où était présente l’élue régionale Marie-Guite DUFAY pour brosser un état des lieux de la filière. Celle-ci vit un contexte qualifié de « catastrophique »…
SENS : Aux côtés des représentants de la filière industrielle, à l’instar d’Hervé de ROMEMONT, dirigeant des Moulins DUMEE et responsable du concept « Territoires d’Industrie » sur le département, et de ses collègues des chambres consulaires, le président de la Chambre départementale d’agriculture Arnaud DELESTRE a eu l’opportunité de faire entendre sa voix, et par ricochet celle de la filière agricole, lors d’une réunion de travail organisée en prologue de la signature du partenariat avec le Grand-Sénonais ce mardi (Plan de relance par les EPCI).
Une intervention succincte mais ô combien nécessaire en marge des problématiques observées par les commerçants et l’artisanat, pour rappeler dans quelle situation se meut aujourd’hui le monde agricole, en proie aux pires des difficultés économiques.
La sécheresse aura une fois de plus joué un bien vilain tour cet été aux céréaliers qui ne savent plus à quels saints se vouer pour optimiser leurs maigres récoltes, chétives au beau milieu des champs.
Le changement climatique est loin d’être un leurre comme certains pourraient encore le penser. Il suffit d’écouter les propos alarmistes du président de la chambre consulaire de l’Yonne pour comprendre qu’il y a urgence à prendre le sujet à bras le corps.
Un message qui a été reçu cinq sur cinq par la présidente de la Région qui n’a eu de cesse de rappeler, notamment, le besoin de consommer différemment en privilégiant les circuits courts de la distribution, qui favorisent les petits producteurs locaux au niveau du maraîchage.
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Jean-Baptiste LEMOYNE n’a pas vacillé de son piédestal : le sénateur a été réélu avec 52,56 % des voix
octobre 01, 2020Les observateurs du cénacle politique émettaient de sérieux doute quant à la réélection potentielle du secrétaire d’Etat en charge du tourisme Jean-Baptiste LEMOYNE dans son fief de l’Yonne aux sénatoriales. Or, avec 52,56 % des suffrages obtenus au second tour, et malgré l’alliance LR/UDI pour faire chuter l’unique représentant Icaunais au sein du gouvernement, force est de constater qu’il n’y aura pas eu de réel suspense pour l’attribution du deuxième poste de sénateur dans l’Yonne…
AUXERRE : Ils n’étaient que deux membres du gouvernement CASTEX engagés ce dimanche dans la course des sénatoriales. Sébastien LECORNU, qui a été réélu dans l’Eure. Et le régional de l’étape pour la Bourgogne Franche-Comté, l’Icaunais Jean-Baptiste LEMOYNE.
Malgré des résultats plus que mitigés du parti présidentiel, La République en Marche, aux récentes municipales, les paris étaient grands ouverts par les « bookmakers » de la vie politique qui ne donnaient pas cher de la peau du secrétaire d’Etat en charge du Tourisme dans ce contexte si particulier, pollué entre autres par l’omniprésence du coronavirus.
En outre, l’intérêt croissant de Jean-Baptiste LEMOYNE pour la ville de Biarritz et ses opportunités politiques d’y jouer un rôle public de tout premier plan à l’avenir aurait pu refroidir les velléités positives des grands électeurs de l’Yonne, invités à s’exprimer lors de ce vote dominical.
Or, à la lecture des résultats définitifs communiqués par les services de la préfecture, il n’en est rien.
Non seulement, le membre du gouvernement se succède à lui-même dans cette fonction de sénateur où il ne siègera pas dans l’immédiat. C’est sa suppléante, Marie EVRARD, conseillère départementale du canton de Migennes qui en assumera la tâche.
Mais, de plus, le score, même s’il a été obtenu au second tour de scrutin, ne permet aucune contestation possible de la part de ses adversaires : 52,56 %. Mobilisant ainsi 524 grands électeurs sur les 1 116 inscrits.
Jean-Baptiste LEMOYNE coiffe donc de plusieurs longueurs d’avance le candidat LR/UDI Gilles PIRMAN (41,93 %) et de très loin, la représentante des forces de gauche et des écologistes, Florence LOURY (5,52 %).
Autre succès rencontré en Bourgogne par La République en Marche qui est à signaler : celui du sénateur sortant de Côte d’Or, François PATRIAT, président du groupe LREM au Sénat qui l’a finalement emporté sur ses adversaires qui le voyaient perdant.
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Gestion de la crise : le retour à l'authenticité incite à la confiance plutôt qu’à la défiance envers le peuple...
octobre 01, 2020La vie est-elle un conte de fée ? Walt DISNEY projette souvent une vérité en arrière-plan qui reflète judicieusement le côté obscur de notre société. Présentement, la vie augure de se poser devant un bon remake de « La Belle au bois dormant » pour se détendre. Oups ! Cette animation aux allégories de multiples messages capte mon attention toute particulière à cet arrêt sur images qui se juxtapose à la situation frénétique et anxiogène que nous subissons actuellement : le pouvoir de l'intention…
TRIBUNE : « Savez-vous ce qui fait un grand chef ? ». C’est la capacité à installer la peur au sein de son peuple et à se servir de cette peur contre ses ennemis... Donc, j'ai colporté cette histoire de sorcière diabolique et de princesse qu'elle avait ensorcelée. Peu importe qui a réveillé la « Belle au bois dormant » : tout le monde était terrifié et l'histoire finit par devenir une légende... je l'ai fait pour l'esthète.
Et maintenant… voyons les conséquences salvatrices de l'aparté « covidien » dans le quotidien de tout à chacun qui a pour le plus grand nombre réveillé et éveillé des consciences sur des envies d'un renouveau. Ce temps de pause a eu comme effet boomerang de s'intérioriser, et d'observer la préface de son histoire. Qui l'a écrite ? Nous ou la société ?
Actuellement, tout changement est précurseur d'appréhension. Mais miser sur le bon curseur du cœur est salvateur, garant d'une écoute intérieure fiable et stable. C'est un engagement envers soi-même pour être un bon guerrier spirituel, et actuellement être bien armé émotionnellement est une notion de survie pour combattre et contrecarrer les illusions de tout ce fracas et chaos illusoire ambiant.
Amplifié le matin, le midi, le soir par des informations anxiogènes de militantismes de la peur.
La foi en soi est l’adage de cette nouvelle existence…
Les autres sujets sociétaux sont obsolètes. Naturellement, l'humain est attiré par toutes les nuances d'angoisses liées à l'insécurité. Alors, les éditoriaux en remettent des couches pour masquer la réalité : celle de s'écouter en son âme et conscience. Donc, mettre une certaine distance à cette épopée virale en est le bien-fondé pour une bonne santé.
La voie d'une dualité va vouloir s'interposer pour tronquer le bon chemin à appréhender. Mais, sa voix intérieure va guider en toute justesse et finesse tous les pare-feu à cet enfumage. Chaque individu est acteur de ses réussites et de ses échecs. Bien sûr, cet événement est venu entraver la réalisation d'un projet peut-être, mais souvent la vie ajuste une autre direction qui en sera la solution.
La vie est au service d'une belle cause, libérer les cœurs en manque de ferveur. La vie se conditionne à la joie, à la patience, à la tolérance et c'est ce qu'elle est en train d'enseigner à tout initié qui voudra s'y hasarder.
Un nouveau livre est en train de s'ouvrir. C'est à chacun d'y marger la tonalité de ses aspirations et intentions dans ses chapitres à l'influence de ses propres valeurs. C'est un retour à toutes ses ressources, sources de belles réalisations personnelles. Nous vivons une période de transformation où la foi en soi et en la vie en est l'adage.
Le port du masque : un faux sentiment de sécurité…
Une monarchie parlementaire, la Suède, se démarque de cet engouement en abordant une stratégie politique, sanitaire et sociale différente sur deux paramètres.
Tout d'abord, elle oriente sa communication sur un autre axe et invective à la confiance. Une ligne éditoriale diamétralement opposée à notre champ de conscience. Puis, dans le secteur industriel, elle privilégie la préservation de son économie : une providence à la réussite d'un bon moral.
Cette quête si atypique à positiver est relayée par un référent, Anders TEGNELL, médecin suédois, et épidémiologiste d'état à l'Agence suédoise de la santé publique qui temporise toutes les restrictions engagées dans les pays occidentaux. Notamment, le port du masque qu'il assimile à un « faux sentiment de sécurité » et à l'importance de l'ouverture des écoles pour la jeune génération qui doit rester active pour « maintenir sa santé psychiatrique et physique… ».
In fine, il y a l'authenticité…
Oui, ce virus fait partie de notre quotidien. L'accepter est une prudence à homologuer mais continuer à vivre est une attitude inhérente à notre survie émotionnelle et économique.
Toute renaissance et tout bouleversement doivent souvent être traversés dans la douleur.
Si cette initiation permet d'accéder à notre propre bonheur, il est l'heure de s'écouter et de s'autoriser à rêver aux contes de mille et une possibilités.
Lyvia ROBERT
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Un plan de carrière au Crédit Agricole ? La Banque verte accueille toujours les nouvelles compétences…
septembre 30, 2020L’année dernière, l’établissement financier de Champagne-Bourgogne avait accru le nombre de ses collaborateurs en intégrant 127 nouvelles embauches en CDI. Une politique de ressources humaines dynamique lui permettant de figurer parmi le peloton de tête des premiers recruteurs privés de la région. Employant 1 725 salariés, le Crédit Agricole poursuit sur sa lancée…
QUETIGNY (Côte d’Or) : Mine de rien, les métiers de la banque font toujours recette auprès des jeunes diplômés de notre territoire. En 2019, le Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne a reçu la bagatelle de 4 500 candidatures traitées par les équipes des ressources humaines !
In fine, ce sont 127 prétendants au Graal suprême qui ont touché le firmament en intégrant l’un de ces postes proposés en contrat à durée indéterminée.
Preuve que malgré les nouveaux usages inhérents à la digitalisation, on pouvait encore postuler et faire carrière dans l’une des références historiques du milieu bancaire national.
Cette année encore, et ce malgré les aléas de la crise sanitaire et économique sans précédent que nous traversons, l’établissement emploiera cent-vingt nouvelles personnes supplémentaires. Histoire de soutenir un peu plus l’emploi sur sa zone de prédilection.
Pour autant, le Crédit Agricole n’hésite pas à moderniser sa stratégie de conquête pour capter l’intérêt de ces nouveaux talents. Les campagnes de recrutement s’affichent au grand jour dans la rue, sur les réseaux sociaux et par voie de presse.
Ce n’est pas tout ! Escape game, job dating et autres entretiens par vidéo complètent cette panoplie fort utile de moyens branchés ouverts à la communication tous azimuts.
Dans la capitale de Bourgogne, la rotonde caractéristique de la gare SNCF de Dijon, visible de loin, a été le réceptacle d’un énorme panneau promotionnel invitant les personnes intéressées à déposer au plus vite leur dossier de candidature. Celui qui, une fois placé dans le processus normal de circulation aura été analysé par le service des ressources humaines, dirigé par Florence HALLARD.
Des métiers en pleine mutation offrant une évolution de carrière…
Des postes de commerciaux aux fonctions managériales, tout est envisageable au sein de l’établissement régional. Celui-ci dispose d’une variété pléthorique de métiers plus méconnus mais tout aussi utiles à l’instar de ceux proposés parmi les services de l’audit, du juridique, des ressources humaines, du marketing ou de la communication.
Chacune de ces fonctions a démontré son utilité durant la crise sanitaire. Avec un leitmotiv commun : accompagner entreprises, professionnels et particuliers fragilisés par le confinement.
Le volet de la formation n’est pas oublié dans cette politique de recrutement et d’ouverture pédagogique envers les jeunes générations.
Ainsi, le Crédit Agricole a accueilli pour la première fois en 2019 onze stagiaires de classes de troisième issus de collèges des réseaux d’éducation prioritaire dans ses murs.
Au cours de ce même exercice, cinquante-cinq alternants ont pu apprendre les rudiments de leur métier grâce à ce mode éducatif de plus en plus usité dans l’Hexagone tandis que 73 stagiaires devaient se former aux métiers de la branche financière.
Un chiffre, un seul, démontre l’intérêt accordé par l’entreprise à la formation. Sur l’année 2019, 11 900 jours de formation ont été dispensés, soit près de sept jours par salarié. Comme le précise Florence HALLARD, « la formation est un levier clé de la politique des ressources humaines au sein du groupe… ».
Qu’il soit nouvel embauché ou plus expérimenté, le collaborateur à l’estampille de la Banque Verte bénéficiera d’un solide plan de formation via les solutions proposées par l’IFCAM, l’université d’entreprise du réseau bancaire.
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