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Un double étoilé Michelin et un MOF maître d’hôtel aux commandes de la future soirée de gala à VAUBAN…
février 11, 2019L’événement fera date dans les annales de l’établissement. La soirée de gala, concoctée le 09 avril, aura pour objectif de mettre en lumière le tour de main et le talent de jeunes pousses de la gastronomie régionale. Des filles et des garçons qui fréquentent avec assiduité et implication l’enseignement prodigué par des exégètes de la cuisine française. Et non des moindres ! Puisque ces agapes de belle tenue et très particulières où pourront se délecter près de quatre-vingt convives ont reçu le parrainage opérationnel d’un double étoilé Michelin, le chef Patrick HENRIROUX, propriétaire d’un haut lieu de la gourmandise à Vienne, « La Pyramide »…
AUXERRE : Flamboyance garantie au fond de l’assiette. La prochaine soirée de gala, proposée par Capucine VIGEL, proviseur, et l’équipe de l’hôtellerie restauration du Lycée des métiers VAUBAN ne devrait pas manquer ni de panache ni de succulence.
Manifestation traditionnelle servant à promouvoir chaque année la relève de la gastronomie régionale et française, l’événement connaîtra encore des instants emplis de magie et de suavité. De l’émotion, aussi.
A l’instar de la soirée spéciale « Paul BOCUSE », organisée le 06 février. Le restaurant d’application, « La Gourmandise », avait chamboulé sa programmation habituelle pour y accueillir une animation culinaire exceptionnelle.
Chef à l’Auberge du Pont de Collonges, le célèbre établissement où a exercé le Maître de la cuisine française, le MOF (Meilleur ouvrier de France 2015), Olivier COUSIN, concocta ce menu aux exquises saveurs avec le concours des élèves du BTS du lycée professionnel auxerrois.
Déjà un joli succès lors de la soirée « Paul Bocuse »…
Le 09 avril prochain, la formule demeurera identique dans sa forme. Mais, cette fois-ci, c’est un autre ténor de la corporation, le brillant Patrick HENRIROUX, honoré par sa première étoile au Michelin dès 1990, qui officiera. Toujours aux côtés de ces jeunes étudiants de BTS. Le chef obtiendra sa seconde distinction deux ans plus tard : une belle récompense pour celui qui a fait ses gammes aux côtés de Georges BLANC !
Le lauréat, grâce à son équipe, du fameux trophée Paul HAEBERLIN 2014 sera accompagné d’un de ses maîtres d’hôtel, lui-même meilleur ouvrier de France. Un duo de choc et de charme pour un événement culinaire qui devrait atteindre des sommets.
Précisons, que le lycée des métiers VAUBAN sera le théâtre, sans doute très disputé, de l’une des sélections nationales qualificatives aux championnats du monde des maîtres d’hôtel dont la finale s’organisera à Bordeaux d’ici la fin de l’année.
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Photographie : l’œuvre sibylline de Sylvie VUCIC se dévoile verre à la main au Domaine BROCARD
février 09, 2019Surnommée « London Eye », la jeune femme adore transformer les codes de la pratique photographique. Elle pousse le bouchon de la découverte artistique le plus loin possible dans son minutieux travail de fourmi, invitant ses admirateurs à emprunter d’ultimes retranchements intellectuels. Un exercice de compréhension qui suppose de facto de se poser tranquillement devant chaque œuvre, pourquoi pas le verre à la main comme il est proposé dans le vaste hall du Domaine BROCARD. Et surtout de prendre le temps de l’assimilation et de l’analyse de ce flot d’images, distillées sous la forme d’un kaléidoscope visuel. Permettant ainsi de titiller l’imaginaire du public…
PREHY : Etoile montante de l’approche intimiste dans la photographie d’art, Sylvie VUCIC pose ses cimaises dans un milieu viticole qui n’est pas aux antipodes de son mode d’expression habituel. Marier l’utile à l’agréable, en l’occurrence le goût et la vue, ne possède pas d’autres prétentions que de sublimer les sens corporels de l’humain. Et quoi de plus naturel et de plaisant, en somme, que de déguster un verre d’un nectar millésimé tout en se plongeant dans une œuvre pour en déceler à la fois tous les symboles et les interprétations.
L’artiste bourguignonne aime s’entourer de mystère. Déjà par la conception très personnelle et hautement sophistiquée de son travail. La cinquantaine de clichés, accueillie dans le vaste hall de l’un des domaines de référence dans le paysage de la viticulture régional, en offrent une preuve indéniable. Hors normes, Sylvie VUCIC se positionne à la limite du raisonnable. Emmenant par la main le public sur des chemins de traverse inconnus aux frontières de l’onirisme, de l’étrange, du stupéfiant et de l’insolite.
En trois espaces de présentation, le tour de magie et de charme opère. Déclinant un concept novateur où vins et œuvres d’art s’imbriquent à la perfection, « London Eye » (l’œil de Londres), parce que l’artiste voue une fascination immuable à la célèbre capitale de la perfide Albion, explique les astuces et secrets qui ponctuent la fabrication de cette promenade intemporelle parmi ses œuvres. Provoquant ainsi une vraie création artistique au cœur même de l’évènement. Le « Saint des saints » de ce travail abouti.
Une expérience créative à vivre jusqu’au 15 février…
L’artiste réinvestit le lieu avec bonheur pour la seconde fois cette saison et ce jusqu’au 15 février. S’appuyant toujours sur les aventures de ses personnages fétiches, les félins « Nina et Michka ». Mais, en y conférant une autre dimension.
Les diptyques apparaissent. La peinture conçue sur les clichés aussi. Apportant du relief, de la profondeur et un rendu qui diffère. Au contact avec les visiteurs, Sylvie VUCIC explore l’âme de ces derniers. Les sonde afin d’en extraire le moindre ressenti, la plus perceptible des impressions. Des échanges fructueux dont elle se nourrit pour mieux cerner leurs sentiments devant ces œuvres sibyllines.
Ludique, l’exercice, de pure communication, invite à l’interactivité et noue des liens harmonieux entre la photographe et son public. L’expérience y est attachante. D’autant que les vins servis et expliqués par l’œnologue Giorgia SCARDOVA optimisent cette expérience unique dont il est impératif de tester la valeur intrinsèque.
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Jean-Christophe LAGARDE (UDI) : « L’Europe est dans l’impérieux besoin de devenir utile… »
février 08, 2019Le chef de file national du parti des démocrates et des indépendants n’en démord pas. L’institution européenne ne protège pas assez les entrepreneurs français de la concurrence déloyale. A l’intérieur en faisant référence aux travailleurs détachés dont la présence inonde des secteurs cruciaux de l’économie comme le bâtiment ou les transports. Ni à l’extérieur puisque l’abondance de produits américains et chinois sur le marché impacte les marchés sans que les normes soient identiques. Pire : la France rajoute des couches normatives là où il n’y en aurait pas besoin….
AUXERRE : Désormais, en matière de sémantique, les consommateurs français devront réviser leur latin avant de faire leurs courses. Une récente décision européenne oblige en effet les producteurs de légumineuses et de fruits à spécifier sur leurs étals la provenance de leurs produits.
Non pas, au plan de la localisation géographique, preuve de leur traçabilité mais bel et bien au niveau de la catégorie scientifique de l’article mis en vente. Ainsi, les variétés de salades et de tomates arboreront leur désignation latine !
Le texte officiel de cette subtilité linguistique émane de l’Union européenne.
« Une décision, parfaitement inutile, ironise le leader national de l’UDI, Jean-Christophe LAGARDE.
Tête de liste de l’Union des démocrates et des indépendants, le député de la cinquième circonscription de la Seine-Saint-Denis livre ses orientations à quelques mois de l’échéance.
La sécurité est l’un de ses chevaux de bataille. « Créons un FBI européen, précise-t-il, et dotons de plus de moyens humains et financiers FRONTEX, le système de gardes-frontières de l’Europe afin de maîtriser la politique d’immigration… ».
L’homme politique n’en omet pas moins d’évoquer l’avenir de nos industries. « L’intelligence artificielle a un rôle à jouer pour renforcer notre présence dans ce domaine. Il n’y a pas que la Chine ou les Etats-Unis qui doivent posséder le monopole en la matière ; la France doit intervenir sur ce sujet essentiel mais avec la complémentarité des autres pays européens… ».
Une complémentarité qui existe déjà et fait cruellement défaut à la France.
« Je trouve insensé de ne pas utiliser davantage les crédits européens dans l’Hexagone alors que bon nombre de nos partenaires de l’Union y accèdent à profusion… ».
Il n’y a pas d’Europe sans agriculture…
Pan de l’activité économique capital à ses yeux, Jean-Christophe LAGARDE fait plusieurs propositions. Il souhaite récupérer les trois milliards d’euros initialement versés aux Britanniques en cas de BREXIT pour les attribuer au budget de la Politique Agricole Commune (PAC). Si la sortie du glyphosate et du cuivre devient une nécessité environnementale, a contrario, il faut aider les agriculteurs à changer de méthode de production.
« L’avenir du monde agricole passe par l’avènement d’exploitations à taille humaine et raisonnable, concède-t-il, en d’autres termes, il est indispensable de privilégier le modèle français ! Cela passe par un plafonnement des aides à 100 000 euros, voire 80 000 euros, pour financer les vraies exploitations ; et non les « usines ». Enfin, et pour simplifier les démarches administratives, il faut préconiser la mise en place de contrats pluriannuels de cinq à six années. C’est devenu tellement compliqué que de nombreux agriculteurs ont recours dorénavant à des prestataires externes. Concrètement, si le professionnel doit investir, changer de méthode ou de produits, les règles ne changent pas durant cette période. Ce qui offre à l’agriculteur de réaliser des économies de paperasses supplémentaires… ».
En revanche, le responsable de l’UDI n’a pas caché son inquiétude pour le monde viticole.
« Le marché souffre actuellement du fait du BREXIT. Les Britanniques disposent aujourd’hui de stocks importants. Cela risque d’être catastrophique une fois que la Grande-Bretagne sera sortie de l’Union européenne… ».
Avant de sortir de l’Europe, s’inspirer du modèle britannique…
Evoquant la ruralité, la pensée de Jean-Christophe LAGARDE se rapproche de celle du chef de l’Etat : « il faut miser sur les métropoles qui sont des « premiers de cordée ». Mais, il ne faut surtout pas oublier les suivants ! Autrement dit, les métropoles doivent servir à l’ensemble du territoire. Pour ce faire, il ne faut pas fermer tous les services publics et surtout s’assurer qu’il y ait une meilleure redistribution des métropoles à la ruralité… ».
En guise de conclusion à cet entretien, le patron de l’UDI décrochera quelques flèches en direction de personnalités comme Marine Le PEN, Jean-Luc MELENCHON ou encore Nicolas DIUPONT-AIGNANT.
« Ils veulent que la France se désengage de l’Europe en ayant applaudi par exemple ce qu’ont décidé les Italiens et leur nouveau gouvernement. Mais, avec objectivité, il est important de regarder la situation délétère économique de la Grande-Bretagne. Et je rappelle que les Britanniques ne sont même pas encore partis ! ».
Une petite pichenette en direction de ces autres ténors de la politique avec une dose d’humour à l’anglaise…
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La FDSEA, sans surprise, a été réélue dans un fauteuil à la Chambre d’agriculture de l’Yonne jusqu’en 2025…
février 07, 2019L’excitation des grands soirs électoraux n’était guère palpable dans le bureau de vote des élections professionnelles du monde agricole, ce mercredi soir à Auxerre. Bien qu’il y ait des innovations techniques apportées à ce mode de scrutin avec l’avènement de l’expression électronique. Nonobstant cet artifice numérique, devenu incontournable, le taux de participation global, in fine, équivaut à 28,6 %. Opposée à la Confédération paysanne et à la Coordination rurale, la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles (FDSEA) n’a connu aucune difficulté pour poursuivre à la tête de la chambre consulaire départementale sa gouvernance, via une nouvelle mandature de six ans à la clé…
AUXERRE : Le nom du successeur du président de la Chambre d’agriculture de l’Yonne, Etienne HENRIOT, n’est pas encore connu. Mais, déjà, les supputations vont bon train dans le landerneau agricole local.
Pour se faire, les observateurs devront faire montre de patience, jusqu’à la date du 04 mars, pour en connaître davantage sur le profil type de l’heureux élu. Celui qui aura la lourde tâche de présider l’organe indissociable du monde agricole. Organe en pleine mutation du fait de la régionalisation avec la Franche-Comté.
Ce jour-là, le 04 mars, une session spéciale sera organisée dans les locaux de la vénérable institution. Un fait qui a été confirmé par le directeur de la chambre, Hervé MIVIELLE, qui assistait avec beaucoup d’intérêt au dépouillement des bulletins de vote mercredi soir.
Non seulement, les nouveaux élus, issus de ce scrutin, occuperont pour la première fois leur fonction. Mais, en outre, ils auront pour mission initiale à élire leur représentant suprême dans le fauteuil présidentiel. Avant de désigner les membres du nouvel exécutif qui composeront le bureau.
D’ici là, en excellent président investi jusqu’au bout de son mandat, Etienne HENRIOT assurera la gouvernance de l’institution sous un mode intérimaire. Ce dernier conservant par ailleurs de nombreux mandats dans les milieux de l’agriculture.
Un suffrage très favorable à la FDSEA…
Dans le principal collège, celui des « chefs d’exploitation et assimilés » qui donnent la ligne directrice de l’appareil institutionnel, la FDSEA supplante largement les deux autres forces en présence, remportant le scrutin avec 60,76 % des suffrages. Quatorze sièges tomberont ainsi dans l’escarcelle du syndicat majoritaire. La Coordination rurale obtient un score de 20,05 % tandis que la Confédération paysanne plafonne à la limite des 20 % des votes (19,19 %). Dix-huit sièges étaient dans la balance de cette future représentativité.
Elue également à une large majorité, la FDSEA remporte le scrutin du collège des « propriétaires et usufruitiers ». Le syndicat en fera de même pour le collège des « anciens exploitants et assimilés » avec un score de près de 75 % (74,75 %). La Confédération paysanne récoltant au passage 25,27 %.
Trois personnes occuperont également un poste dans le collège des « salariés de la production agricole ». Ils représentent la CFTC Agricole (27,42 %), la CGT (25,08 %) et la CFDT (19 %). Force Ouvrière (14,72 %) et la CFE-CGC (13,71 %) fermant la marche de ce scrutin.
Quant au collège des « salariés des groupements professionnels agricoles », qui enregistre 2 302 inscrits, il aura vu une légère domination de la CGT (28,37 %) devant la CFE-CGC à 25 %.
Le collège « coopératives de production agricole » livrera aussi son verdict. Un siège reviendra à la CUMA (Coopérative d’utilisation de matériel agricole) avec un score digne d’un plébiscite, soit 100 % des votants !
La FDSEA gagnera sans l’once d’un accroc le collège « autres coopératives » où trois sièges étaient à pourvoir. Score de 100 % des suffrages.
Le collège « caisses de Crédit agricole » est dévolu à la Caisse du crédit agricole, de manière légitime. Tandis que le collège « caisses d’assurance mutuelles agricoles et caisses de Mutualité Sociale Agricole (MSA) » sera assuré par la MSA GROUPAMA avec là-aussi un score sans appel de 100 %.
Enfin, l’ultime collège, celui des « organisations syndicales à vocation générale d’exploitants agricoles ou de jeunes agriculteurs », il revient à la FDSEA qui a obtenu gain de cause auprès des votants.
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Le carton devient le meilleur allié des packagings et consommables de FESTINS, entreprise eco-responsable…
février 02, 2019Unique traiteur de Bourgogne à bénéficier de la certification ISO 20211, la société de Chemilly-sur-Yonne se distingue, une fois de plus, dans le domaine du développement durable en ce début d’année. Ses dirigeant, Evelyne et Didier CHAPUIS, ont décidé de proposer l’intégralité de leurs packagings et consommables à base de carton. Après les assiettes en pulpe de canne, les couverts en bambou ou les verres réutilisables, la PME aux 250 collaborateurs déploie encore un peu plus ses ailes en faveur de la sauvegarde de l’environnement…grâce à des matériaux 100 % recyclables.
CHEMILLY-sur-YONNE : Créé en 1992 par ce couple mythique de la restauration et de l’art de la réception dans l’Yonne, le groupe FESTINS fait figure de modèle entrepreneurial incontournable du paysage gastronomique et festif de Bourgogne Franche-Comté.
Mais aussi, de la région Centre et de l’Ile de France puisque la structure y possède également plusieurs représentations commerciales et unité de production et y a transféré son savoir-faire.
Depuis plusieurs années, FESTINS a choisi de s’engager en faveur du développement durable. Par le biais d’une politique d’achats qui se veut responsable.
Adepte des circuits courts, l’entreprise accorde sa confiance aux producteurs du terroir et favorise l’accès aux produits de saison pour composer ses multiples plats et recettes culinaires. Ceux-ci sont concoctés sous la conduite du chef, Jean-Claude LESAGE, dans l’antre du siège social.
Directeur des achats au sein du groupe, Philippe HELIERE n’a pas hésité à placer la thématique du développement durable parmi ses priorités. Le lancement d’une vaisselle biodégradable et recyclable s’est imposé comme une évidence.
En ce début d’année, le carton vient compléter l’offre déjà éclectique de produits qui conforte FESTINS dans ses choix.
60 % de fournisseurs engagés dans une démarche environnementale…
Le groupe aux deux boutiques localisées à Paris et une, historique, ouverte en Côte d’Or à Marsannay-la-Côte dès 2001, poursuit sans varier d’un iota son petit bonhomme de chemin vers la voie optimale de la qualité et de la protection environnementale. Jusque dans la sélection de ses fournisseurs.
Celle-ci suppose un cahier des charges drastique en amont. 60 % de ces prestataires ont précisément fait le choix de suivre l’approche écologique et environnementale du couple CHAPUIS. Dont une trentaine est située en Ile de France et en Bourgogne.
Dans le concret, les férus des produits FESTINS retrouvent ces critères de qualité dans la viande d’origine française, les poulets fermiers Label Rouge de Bourgogne, les poissons issus de la pêche durable ainsi que les fromages régionaux.
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