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Le SOS de Claire GENET pour nourrir ses chèvres : recherche luzerne bio et foin de qualité en priorité !
septembre 03, 2020Il faut sauver les chèvres et chevrettes du soldat Claire GENET ! Un sinistre a ravagé la nuit dernière un hangar agricole à Escolives : il contenait en partie leur pitance. Une nourriture saine, du foin de premier choix et de la luzerne bio dont sont si friandes les soixante-six protégées de la ferme ULTERIA. Ce projet novateur, sorti de terre il y a quelques mois, est soutenu par les réseaux économiques. Au commande : une jeune fille ambitieuse qui aujourd’hui appelle à l’aide…
SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Tout est parti en fumée en l’espace de quelques minutes. Il ne reste rien ! Un monceau de végétaux calciné. Un incendie à l’origine plus que douteuse, sans doute criminelle précise-t-on déjà dans le landerneau, ayant détruit le fruit de récoltes précieuses. Ce sinistre a de très lourdes conséquences pour la jeune chef d’entreprise, Claire GENET.
La trentenaire a été impactée en première ligne par ce feu si troublant. Logique, une grande partie du foin et de la luzerne bio qui y était entreposée servait de nourriture de choix pour son cheptel.
Des chèvres et chevrettes élevées avec amour dans sa ferme opérationnelle depuis un semestre qui a été érigée entre Saint-Bris-le-Vineux et Champs-sur-Yonne. Il suffit de goûter ses succulents fromages pour s’en rendre compte. L’ingénieure Claire GENET n’a pas manqué sa reconversion depuis qu’elle s’est lancée dans cette aventure un peu folle lui procurant néanmoins tant de satisfaction.
Une bouteille jetée à la mer…
Au lendemain de ce fait divers, circonscrit dans la nuit par les sapeurs-pompiers du SDIS 89, la jeune femme auréolée du titre symbolique de lauréat du réseau Entreprendre Bourgogne a fait les comptes. Au niveau du stock de ces précieuses matières nourricières devant alimenter son petit troupeau de chèvres et de chevrettes. L’inquiétude l’a guette, dorénavant.
Surtout que les réserves alimentaires dont elle dispose encore dans sa ferme n’excèdent pas une quinzaine de jours de battement. Or, soixante-dix tonnes de foin de luzerne bio seront très vite nécessaires pour nourrir ses chèvres. A cela, il faudra ajouter du foin de pré aux origines bio pour sustenter ses chevrettes.
Bref, un vrai casse-tête chinois pour la fermière qui ne sait plus à quel saint se vouer pour résoudre du mieux possible cette équation comportant de nombreuses inconnues. Car, la sécheresse persistante de cet été n’arrange rien à la situation. D’autant qu’il lui faut trouver très vite des moyens de rebondir à moindre coût côté frais de transport.
Perplexe, Claire GENET tire depuis ce matin les sonnettes d’alarme. Notamment auprès de la Chambre départementale d’Agriculture de l’Yonne avec laquelle elle fera un point complet de sa situation.
On sait les agriculteurs solidaires entre eux face à l’adversité. Plus que jamais, les chèvres et chevrettes de Claire GENET ont besoin de leur soutien massif et vertueux.
Pour que puissent s’alimenter convenablement celles qui nous offrent leur lait à la source de merveilleux fromages…
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Entre doutes et espoirs : le monde agricole examine les pistes de réflexion pour sortir de l’ornière…
septembre 02, 2020On attendait avec impatience la venue du président de l’Assemblée Permanente des Chambres d’Agriculture (APCA) dans l’Yonne. Malheureusement, un ennui de santé de dernière minute aura privé la belle initiative de la FDSEA et de la Chambre d’agriculture de cette visite ô combien importante pour une filière professionnelle en souffrance économique prise en étau entre sécheresse et faibles rendements des récoltes. Qu’importe ! L’absence de Sébastien WINDSOR n’aura entaché en rien la qualité de ces débats suivis par un aéropage de premier choix : les représentants de la sphère politique départementale…
NOYERS-SUR-SEREIN : Sur le papier, le monde agricole devait effectuer le grand coup médiatique de la rentrée en accueillant le président de l’APCA Sébastien WINDSOR, destinataire d’un courrier d’invitation qui en disait long sur les attentes des professionnels de la filière avec cette visite.
Associées dans cette initiative judicieuse, la Fédération départementale des Syndicats d’Exploitants Agricoles et la Chambre d’Agriculture de l’Yonne n’avaient qu’un seul et unique objectif avec ce déplacement concocté sur la journée dans la région de Noyers mettre toutes les cartes sur la table pour aborder les préoccupations du moment.
Elles étaient légion eu égard à l’actualité entre la sécheresse qui sévit, le faible rendement des récoltes céréalières, la difficile construction de la Politique Agricole Commune à l’échelle de l’Europe, la perte de revenus des agriculteurs, etc.
Dommage, trois fois dommage, l’absence de Sébastien WINDSOR, patron de l’APCA, aura quelque peu refroidi les participants venus en nombre sur les deux exploitations choisies par les organisateurs pour faire office de lieux de réception. Le matin à Annoux chez Jacques PIAULT ; l’après-midi dans l’infrastructure de Franck MENARD à Noyers-sur-Serein.
Pléthore de sujets et pistes de réflexion…
Malgré cela, l’animation répondit à toutes ces promesses. Avec une mobilisation hors normes de la sphère politique qui prit soin d’écouter avec intérêt les doléances de la filière en proie à une récurrence d’aléas depuis pas mal de temps.
Problématique de l’eau, diversification nécessaire des cultures, handicaps naturels de la Zone intermédiaire dans laquelle se situe le territoire de l’Yonne (une zone synonyme d’oubli pour certains), réintroduction de l’élevage (ovins) malgré la présence du loup, rééquilibrage de la PAC ou inadaptation du système assurantiel des risques climatiques furent autant de points d’interrogations abordés librement par cet échantillon représentatif du monde agricole en présence des élus.
Un large temps de parole fut aussi consacré au développement du photovoltaïque au sol, une démarche novatrice « Yonne » qui doit être déclinée en charte départementale à l’avenir. Un cas précis de hausse de revenus que commenta l’exploitant Franck MENARD fort de son expérience.
Les représentants de CER France firent une longue analyse sur l’évolution des résultats enregistrés par les exploitations icaunaises en système spécialisés grandes cultures sur la période 2012/2019. Avant de brosser les perspectives espérées en 2020.
Pour Arnaud DELESTRE, président de la chambre consulaire agricole et Damien BRAYOTEL, son homologue de la FDSEA 89, la journée devait se conclure par un débriefing général en présence de tous les acteurs de la filière. Avec en toile de fond une question devant tarauder les esprits : quelle poursuite d’action aux niveaux départemental, régional et national pour remettre la filière agricole sur de bons rails ?
Les réponses ne devraient pas tarder à se révéler dès la session de reprise de la Chambre départementale le 10 septembre prochain…
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Le seuil financier critique est atteint dans l’Yonne : Sébastien WINDSOR (APCA) au chevet du monde agricole
août 25, 2020Qualifiée de très importante, le président de l’Assemblée Permanente des Chambres d’Agriculture (APCA) effectuera ce mercredi 26 août après-midi une visite dans le département de l’Yonne. Il se rendra dans une exploitation spécialisée en grandes cultures à Noyers-sur-Serein. Un déplacement majeur alors que l’agriculture icaunaise enregistre une cinquième mauvaise année consécutive depuis 2016…
AUXERRE : Le scénario catastrophe semble se renforcer de jour en jour pour les milieux agricoles de l’Yonne. Outre la terrible sécheresse qui sévit depuis plusieurs semaines sur le territoire, jamais les rendements issus des moissons 2020 n’ont été aussi faibles.
Certes, les responsables de la corporation s’y attendaient de manière très fataliste mais pas avec une telle ampleur.
Conséquence : ils ont tiré la sonnette d’alarme auprès de leurs instances représentatives nationales. Damien BRAYOTEL, président de la FDSEA (Fédération Départementale des Syndicats d’Exploitants Agricoles) et son homologue à la tête de la Chambre d’Agriculture, Arnaud DELESTRE, se sont fendus d’un long courrier explicatif fin juillet afin d’y exposer avec moult détails la situation très préoccupante de la filière pour le département.
Côté finances, le seuil critique est atteint dans certaines exploitations et il y a urgence à réagir pour ne pas voir sombrer des professionnels au summum de l’inquiétude.
Un long courrier explicatif en amont…
Faisant écho à cette missive qui était également adressée à la présidente de la FNSEA, Christiane LAMBERT, le président de l’Assemblée Permanente des Chambres d’Agriculture Sébastien WINDSOR a confirmé sa venue dans l’Yonne ce mercredi tantôt. Il profitera de son déplacement en province pour découvrir l’exploitation de Franck MENARD, à Noyers-sur-Serein.
Spécialiste des grandes cultures, ce dernier a décidé de jouer la carte de la diversification en optant pour une production avicole et un investissement en panneaux photovoltaïques sur les toitures de ses bâtiments.
Indépendamment de cette immersion dans l’entreprise, Sébastien WINDSOR s’entretiendra lors d’un débat initié sur place avec les représentants des pouvoirs publics, des élus et le grand public sur la gravité de la situation économique observée par une majorité d’exploitations agricoles de l’Yonne.
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Château de GUEDELON : les pigments végétaux et minéraux sont à la fête à l’atelier des couleurs…
juillet 25, 2020Placé dès le début de la visite de la fameuse construction médiévale aux 300 000 touristes annuels, cet espace mérite que l’on s’y attarde quelque peu. Ne serait-ce que pour comprendre comment se conçoivent les pigments si chatoyants à l’œil qui ornementeront ensuite les murs et autres décorations du célèbre édifice d’inspiration moyenâgeuse…
TREIGNY : C’est la magie permanente de ce chantier d’archéologie expérimentale, unique au monde et rouvert au public depuis plusieurs semaines dans le pur respect des protections barrières. Il y a toujours quelque chose à regarder quand on se promène à son rythme et de manière détendue au détour d’un atelier.
Ici, c’est la préservation d’un savoir-faire, le plus souvent aux origines ancestrales. Là, c’est la découverte d’une passion artisanale que partagent aisément ces femmes et ces hommes en faisant vibrer ce mot de leur talent. Ils y vivent une expérience qui n’a pas de prix.
Bien sûr, il y a l’édifice principal qui ne cesse de s’ériger au fil des années, selon les méthodes de construction usitées au XIIIème siècle. Mais, lorsque l’on flâne seul ou en famille dans ce lieu de profonde quiétude au beau milieu de la forêt, il faut aussi prendre le temps de se poser et de s’attarder sur chacun de ces ateliers qui accueillent de véritables artisans.
Un jardin extraordinaire à vocation tinctoriale
Prenez à titre d’exemple l’atelier des couleurs. L’appellation de l’endroit est belle. Et elle se justifie amplement. D’un côté, il y a la recherche de ces teintures végétales qui empruntent le chemin de la distribution en circuit court, à savoir du producteur à son utilisateur. Puisque le jardin nourricier du créateur est implanté juste en face de son échoppe.
Là, dans un espace vert de belle facture, poussent allègrement des plantes qui vont apporter les substances nécessaires à la conception des coloris indispensables à la décoration de la forteresse.
Ce sont des variétés de tanaisie, de garance, de rhubarbe, d’iris qui une fois arrivées à leur maturation florale seront cueillies et travaillées dans les règles de l’art pour donner naissance à une palette tinctoriale aux subtilités impressionnantes.
Une palette chromatique obtenue en chauffant les minéraux…
Les pigments possèdent aussi des origines minérales. Logique, GUEDELON a été bâti au cœur d’une ancienne carrière. Une mine intarissable pour en extraire la précieuse matière première. Transformée sur place.
Du sol de ce lieu extraordinaire sont ainsi prélevées les ocres et les argiles. Et c’est à partir de là que s’effectue la délicate alchimie qui fera muter ces substances minérales en autant de coloris devant égayer ensuite les murs de l’incroyable château-fort reconnu aujourd’hui de manière universelle.
La quinzaine de pièces déjà réalisées par ces bâtisseurs des temps modernes bénéficie de ces ornements décoratifs issus de ces pierres. Dont la chambre des invités qui dévoile de splendides peintures murales.
L’obtention de ces coloris si attrayants à l’œil résulte en fait du chauffage à haute température de ces minéraux.
En les portant à fortes chaleurs, les ocres jaunes se teintent en un rouge vif. L’emploi de l’argile étend la palette chromatique entre le beige et le rose après une opération de chauffage. En employant le sable, extrait de la carrière, l’artisan ajoute le coloris orange à sa gamme. L’hématite donne le rouge foncé. La récupération de la terre brûlée des meules de charbon de bois fait naître le gris, voire le noir.
Quant au subtil mélange obtenu à partir de la chaux et du charbon de bois, cela apportera le gris bleuté dans la palette de l’artisan-artiste.
Ce sont au total une douzaine de couleurs qui permettront ensuite de bénéficier d’un champ chromatique suffisamment éclectique pour créer l’atmosphère d’autrefois sur les parois de l’édifice d’inspiration moyenâgeuse…
En savoir plus :
Château de GUEDELON
Ouvert jusqu’au 01er novembre 2020
Route départementale 955
Entre Saint-Sauveur-en-Puisaye et Saint-Amand-en-Puisaye
Commune de TREIGNY
Contact : 03.86.45.66.66.
Site : www.guedelon.fr
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Le Château de Tanlay dans le Top 5 des sites touristiques sécurisés de l’Yonne : un label pour rassurer les visiteurs
juillet 20, 2020Ce pur joyau de la Renaissance érigé par la famille de l’Amiral Gaspard de COLIGNY bénéficie désormais d’un label de référence sécuritaire depuis la signature par Diane et Gérault de SEZE d’une convention de partenariat avec l’Etat et la Gendarmerie le 06 juillet avec le préfet de l'Yonne Henri PREVOST. La mesure a pour objectif de rasséréner les visiteurs férus d’histoire mais aussi les propriétaires des lieux…
TANLAY : « Mieux vaut prévenir que guérir ! ». La formule lâchée par la présidente de l’agence de développement Yonne Tourisme Anne JERUSALEM aura fait mouche en déclenchant des sourires au moment où se concluait la cérémonie protocolaire dominicale accueillie dans la salle des gardes de ce petit bijou de la Renaissance ! Cérémonie qui prolongeait celle vécue en préfecture de l'Yonne le 06 juillet dernier où les propriétaires du château décidaient de signer le document aux côtés du préfet de l'Yonne Henri PREVOST.
Car, c’est bien du volet sécuritaire dont il était question lors de ce rendez-vous officiel, concocté avec les mesures de distanciation physique requises.
Conviée à une prise de parole, la conseillère départementale, réélue à la tête de l’exécutif communautaire depuis peu, n’a pas caché sa satisfaction de voir appliquer en ces lieux les préconisations d’usage, issues de ce dispositif national.
SECURISITE, tel est son nom, répond en effet à un certain nombre de critères qui visent à renforcer et optimiser les relations des propriétaires de ces sites d’exception avec les forces de l’ordre et l’Etat. Le but de la manœuvre ne tient qu’en un seul mot : rassurer !
Un label sécuritaire dont l’Yonne est le seul porte-flambeau en BFC…
Face aux menaces terroristes qui demeurent sous-jacentes dans l’Hexagone malgré la crise sanitaire, les sites touristiques ne peuvent plus se permettre de recevoir du public à l’emporte-pièce. Sans que ne soit envisagé, et anticipé, avec grand sérieux un véritable plan de sécurité adapté à la configuration des lieux et à la typologie identitaire de ses visiteurs.
Mais, les risques prennent aussi un tout autre visage. Depuis les désagréments commis sur les parkings où stationnent les véhicules des amateurs de patrimoine (vols, dégradations…) jusqu’aux effractions subies par ces édifices qui nuisent à la conservation in situ de chefs d’œuvre de la peinture ou de la sculpture.
La regrettable destruction d’une toile de maître de l’artiste lyonnais Hyppolite FLANDRIN détruit par le sinistre à l’origine suspecte qui a endommagé la cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul de Nantes ce week-end aura sans doute résonné un peu plus fort aux tympans des signataires de ladite convention…
Pourtant, peu d’endroits emblématiques de la culture territoriale n’a en fait souscrit à ce concept, décliné, il est vrai, depuis seulement douze mois.
Seuls le château d’Ancy-le-Franc, le site médiéval de GUEDELON et la Colline éternelle de Vézelay, reconnue par l’UNESCO, ainsi que tout récemment le château de Saint-Fargeau intègrent ce cercle très hermétique et déjà vertueux de ces labellisés.
D’ailleurs, Anne JERUSALEM ne désespère pas que d’autres références patrimoniales du Tonnerrois procèdent à la même démarche. Notamment, la curiosité pentagonale de Maulnes qui est la propriété du Département.
Un bol d’air pur revigorant pour les hôtes de ces lieux…
Vu du prisme régional, la Bourgogne Franche-Comté n’est guère mieux lotie par l’attribution de ce label dont peuvent se référer les sites l’ayant adoubé dans leur stratégie de communication.
Hormis la Citadelle de Besançon et deux musées implantés dans le Doubs, aucun autre lieu touristique de notre contrée ne dispose pour l’heure de ce label sécuritaire, au demeurant fondamental.
Dans le cas présent, non seulement la demeure historique de la famille des COLIGNY est couverte pas ce dispositif où les représentants des forces de l’ordre et du SDIS (Service départemental d’incendie et de secours) peuvent jouer leurs partitions professionnelles à leur guise, mais en outre, l’immense parc et le golf, situé à quelques encablures de là, en bénéficient aussi.
Des mesures précautionneuses qui représentent autant de bols d’oxygène revigorants pour les hôtes de ce lieu magique, Diane et Gérault de SEZE, trop heureux de constater que l’afflux des touristes revient crescendo depuis quelques semaines (Belges et Allemands).
Il revenait à la sous-préfète d’arrondissement de l’Avallonnais et du Tonnerrois, Cécile RACKETTE, d’apposer sa griffe au bas du document officiel. Un paraphe doublement légitime en sa qualité de responsable du Comité de relance des activités touristiques et culturelles dans l’Yonne qui est venue conforter celui du préfet Henri PREVOST à l'origine de la convention validée dans ses bureaux le 06 juillet dernier.
D’ici peu, une signalétique devrait figurer à l’entrée du château pour rappeler aux visiteurs français et étrangers qu’ils sont sous bonne protection durant leur plongée mémorielle au cœur de l’Histoire de France.
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