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Alors que le secteur est sévèrement touché par la propagation inexorable de l’épidémie de coronavirus, le secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et de l’Europe, Jean-Baptiste LEMOYNE, tenait un point presse depuis Paris ce mardi. Parmi les annonces, celle-ci qui est d’importance : le montant de prêts garantis accordés à la filière s’élève déjà à 552 millions d’euros. Une bouffée d’oxygène pour les TPE et PME d’un segment économique en proie à une crise sans précédent…

PARIS : L’épisode du COVID 19 laissera d’indélébiles traces dans l’activité économique mondiale. C’est indéniable. A l’image de ce que peuvent vivre et endurer les professionnels de la filière touristique (hôtellerie/restauration, bars, loisirs, voyagistes, transporteurs…) pour qui cette infection virologique est devenue un véritable cauchemar perturbant leurs nuits.

Hier, lors d’une conférence de presse téléphonique, Jean-Baptiste LEMOYNE, secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et de l’Europe, a rappelé que « le gouvernement était réactif face aux problématiques actuelles observées par les entreprises du secteur tourisme ».

Le conseiller départemental de l’Yonne a ainsi précisé qu’au total, 552 millions d’euros de prêts garantis avaient été accordés au niveau hexagonal à la filière en souffrance.

D’ailleurs, 11,5 % de ces sollicitations faites dans le cadre de l’obtention de ces prêts se rapportaient au secteur du tourisme.

Le secrétaire d’Etat a détaillé quelque peu la répartition de cette enveloppe budgétaire importante consentie à la filière : les entreprises franciliennes étant celles qui ont perçu le plus avec 145 millions d’euros devant celles implantées en région Nouvelle Aquitaine (69 millions), Grand-Est (48 millions) et le Sud (35 millions).

Il n’a pas été mentionné ce que vont percevoir les structures de Bourgogne Franche-Comté, elles-aussi impactées par la fermeture de leur établissement.

Quant à la reprise de l’activité, elle n’est malheureusement pas inscrite à l’ordre du jour. La priorité demeurant la gestion de la crise sanitaire qui sévit toujours avec vigueur.

Un G 20 du Tourisme, initialement prévu le 09 avril en visioconférence, a été décalé au 25 avril.

Son but sera de coordonner les différents aspects de la relance et de la reprise en évitant un phénomène de dumping qui pourrait s’avérer fatal à la filière…

Avec l’AFP.

 


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Une centaine de repas, confectionnés par quatre chefs étoilés de Côte d’Or de nationalité japonaise, ont été distribués gracieusement au personnel soignant du Centre hospitalier universitaire de Dijon, ce dimanche. Un geste généreux qui aura permis à celles et ceux qui luttent avec pugnacité et courage contre le coronavirus de disposer d’un bref moment de répit…

DIJON : Voilà un geste sympathique et méritoire qui est à porter au crédit et au talent de quatre fines gâchettes de la gastronomie internationale qui officient dans le département de Côte d’Or.

Ces esthètes des arts culinaires et du bon vivre se sont associés à l’élan de générosité sans pareil qui anime l’Hexagone depuis plusieurs semaines envers le personnel soignant des centres hospitaliers et des établissements de santé. Ces derniers livrant une âpre et farouche bataille contre l’épidémie virale qui décime une large frange de notre population.

En ce jour dominical, et à l’initiative de Takashi KINOSHITA, auréolé d’une étoile obtenue en 2018 au Michelin (Château de Courban), les quatre maîtres d’une cuisine léchée et à la superbe gustative ont concocté une centaine de repas gastronomiques.

Chacun de ces professionnels hors pair et reconnus par leur filière a ainsi réalisé l’entrée (Tomofumi UCHIMURA qui œuvre d’ordinaire chez Stéphane DERBORD à Dijon), les plats de résistance (cela incombait à l’ancien étoilé Auxerrois Keigo KIMURA aujourd’hui à la tête de l’Aspérule de Dijon ainsi que Keishi SUGIMURA du Bénaton à Beaune) et le dessert.

Ce dernier permit à Takashi KINOSHITA de s’illustrer aux côtés de Sae HASEGAWA sur cette recette.

Un don de soi qui aura été apprécié à sa juste valeur par le personnel du centre hospitalier de Dijon…

 


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Fraîchement débarqué de Corse, mon fiancé décide de s’installer auprès de moi, dans l’Yonne. Il s’agit là d’un acte d’amour pur accompagné de la plus grosse des concessions qui soit : la «perte» du soleil méditerranéen ! Comment alors lui faire apprécier la Bourgogne ? Nous autres, bourguignons, ne sommes peut-être pas réputés pour notre météo douce et clémente. Mais, certainement bien pour une autre chose : la fameuse recette des œufs en meurette !

TRIBUNE : C’est au gré de nos pauses gourmandes, à table, que la magie a opéré. La première expérience d’un Corse qui goûte les œufs en meurette est comme un premier rendez-vous.

D’abord il y a la curiosité : « Œufs en meurette ? Qu’est-ce que c’est ma chérie ? ». Je lui explique que c’est LA spécialité de la gastronomie bourguignonne. Des œufs pochés dans une sauce au vin rouge. Et, pour faire simple je lui laisse entendre que selon les recettes, il y a des lardons, des oignons, parfois même des champignons (le summum de la séduction.)

En fin gourmet qu’il est, et intrigué par l’énoncé, il se lance et commande en guise d’entrée, à l’instar des autres convives, les œufs en meurette. Nous nous trouvons alors au restaurant « Le Bouchon du Palais » à Dijon. Une bouteille de vin rouge « Chevalier d’Eon » est alors ouverte : le serveur nous apprend que c’est un vin des côtes de Tonnerre qui se démarque bien des traditionnels vins rouges de Bourgogne à travers son rapport qualité/prix.

Nous trinquons et la chaleur commence à s’installer autour de la table. Quand  arrivent enfin nos œufs en meurette. « Que c’est beau ! ». Il hume son assiette : « ça a l’air bon ! ». A l’intérieur de celle-ci, deux œufs parfaitement pochés forment deux petits globes blancs mouillés d’une sauce au vin rouge veloutée qui enveloppe quelques petites allumettes de lard et oignons émincés.

Il y plante sa fourchette, goûte son plat et nous offre en guise de première impression : « ça claque ! ». C’est original de marier les œufs pochés à une sauce au vin rouge. Le lard et les oignons salent et équilibrent les goûts. Sucré du jaune d’œuf coulant, neutre du blanc, acidulé de la sauce au vin, tout se conjugue à la perfection et mon corse se régale. Je le vois déjà apprécier davantage la Bourgogne.

 

 

 

Une déclinaison subtile de la recette en trois variantes goûteuses…

 

Quelques temps plus tard, nous sommes invités au « Petit Marmiton », un restaurant d’Auxerre tenu par un chef de notre connaissance. À la lecture de la carte, je vois les yeux de mon corse s’allumer d’une lueur douce et coquine. Je lis moi-même la carte : « trilogie d’œufs en meurette à la façon du chef...». La serveuse nous explique qu’il a décliné les œufs en meurette en trois façons. C’est une entrée copieuse qui régalera les avertis et ravira les indécis. Mon ami dit alors : «Je vais les goûter pour comparer avec ceux que j’ai déjà mangés ». Trois petites marmites sur une assiette rectangulaire arrivent à table. Dans l’ordre de dégustation : l’œuf en meurette au vin blanc, suivi de l’œuf en meurette au vin rosé pour finir sur la meurette au vin rouge.

C’est lors de cette dégustation que mon fiancé est devenu un peu plus bourguignon. Je le voyais manger en silence, savourant chaque bouchée les yeux fermés comme pour mieux les apprécier et juger les différences entre chaque déclinaison.

L’œuf en meurette au vin blanc le marque par la douceur acidulée et sucrée de la sauce, qui se marierait très bien avec une volaille ou du poisson. Quand il passe à la subtile variante au vin rosé, il le trouve plus sucré. Le goût est rond en bouche, celui du vin se démarque et reste sur le palais. C’est une sauce qui, selon lui, s’associerait bien à un magret de canard.

C’est à la dernière marmite, l’œuf en meurette au vin rouge, qu’il dit : « je suis content d’avoir mangé les trois déclinaisons dans cet ordre car mon cœur penche pour la sauce au vin rouge, qui est à la fois puissante et suave. Quelle découverte ! ».

En effet, cette dernière est si douce qu’elle en devient un véritable velours pour les papilles. On y retrouve le goût du bœuf bourguignon dans cette sauce, même si elle se démarque toutefois par son onctuosité et reste adoucie par une pointe sucrée. C’est alors qu’une grande décision sera prise : « je goûterai dans chaque restaurant où j’irai leur version des œufs en meurette »…

 

 

 

La meurette au ratafia : sucrée et acidulée…

 

Et c’est d’ailleurs ce que nous faisons au « Soufflot », restaurant à la cuisine renommée installé à Irancy. La carte qui varie chaque mois selon les produits de saisons et l’imagination du chef nous propose des œufs en meurette au ratafia d’Irancy.

Tout naturellement, nous choisissons d’y goûter. Quand on annonce « ratafia », on s'attendrait à retrouver le goût sucré de l’œuf en meurette au vin rosé, car le ratafia a le raisin doux et sucré. C’était sans compter sur l’appellation « Irancy » qui nous a amené en bouche tout le coffre de cette appellation village, avec sa pointe acidulée ainsi que le tanin du vin.

Nous ne sommes pas si loin du sucré car les lardons, champignons et oignons de la sauce tranchent le goût de la sauce, et ici, c’est l’œuf et son jaune coulant qui équilibre les saveurs en bouche.

Il s’agit encore une fois d’une vraie découverte, de celles qui nous poussent inlassablement dans la délicieuse quête des secrets de l’œuf en meurette.

Jade SOBEK

 


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A l’instar de bon nombre d’organismes et de structures institutionnelles de notre département, l’entité a pris la sage décision de suspendre jusqu’à nouvel ordre l’envoi de sa newsletter régulière. L’ultime numéro adressé ce jeudi par voie numérique met en exergue les consignes sanitaires à connaître par les professionnels du tourisme qui exerceraient encore une activité…

SAINT-FARGEAU : Compte tenu des conséquences imputables à la propagation galopante du coronavirus dans notre département et à la suite de la prise de nouvelles mesures gouvernementales, les responsables de l’Office de tourisme de ce secteur géographique de l’Yonne ont validé la suspension temporaire de leur moyen de communication numérique, la lettre d’information hebdomadaire.

Le motif est, malheureusement, on ne peut plus simple et logique : les évènements programmés au fil des futures semaines à venir se sont annulés à une vitesse vertigineuse.

Présidente de l’institution, Nathalie BROCHUT et Christelle GAUTRON-BERROUET, directrice de la structure, ont pris la décision de rester attentive à la mise en œuvre immédiate des mesures locales de confinement.

Un choix qui s’est accompagné de l’ultime envoi de ce courrier numérique adressé au lectorat habituel.

Dans sa forme, ce numéro se revêt être très spécial puisque intégralement consacré à la crise sanitaire du moment et à son rappel de consignes à respecter coûte que coûte par les professionnels du tourisme sérieusement impactés par cette crise.

Seule note d’espoir : le retour de la lettre d’information hebdomadaire reprendra dès que les conditions sanitaires le permettront. D’ici quelques semaines, sans doute.

 


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D’humeur chafouine après avoir été dans l’obligation d’annuler la première grande manifestation de ce printemps pour cause de coronavirus (exit la FAMILY WEEK qui est rayée définitivement du calendrier 2020), l’agence de développement économique, YONNE TOURISME, est revenue à des choses beaucoup plus pragmatiques et bassement administratives en procédant au scrutin de son nouveau bureau.

JULLY : Que serait une assemblée générale ordinaire sans un processus électif au terme de sa séance ? Une omelette sans ses truffes de Noyers, la découverte d’un monument patrimonial sans pouvoir le visiter de l’intérieur ou une réunion insipide à laquelle il manquerait un petit quelque chose de profondément savoureux !

Bref, et bien qu’il n’y avait pas de révolution de palais à attendre de cette énième rendez-vous statutaire annuel, ni de putsch imprévisibles à subodorer en guise de gourmandise finale, force est de constater que l’élection de ce bureau 2020, ne renouvelant qu’une frange de son conseil d’administration, se sera déroulée en parfaite quiétude d’esprit et sans l’once d’une véritable surprise.

Il faut croire que tout va pour le mieux et ce dans le meilleur des mondes dans cet organe représentatif des activités touristiques du département. Ce qui, à la lecture de l’éventail éclectique de ses manifestations proposées et de la fréquence de sa communication tous azimuts vers les multi-supports de France et de Navarre, s’avère exact.

Moyennant quoi, il fut très aisé de renouveler ce que les exégètes de l’exercice nomment le « tiers sortant » et de trouver les candidats idoines, prêts à se passer autour du cou le collier de futures responsabilités.

 

Une articulation bien huilée au service de la présidence…

 

Les huit postes de cet organigramme permettent à plusieurs figures emblématiques de ce poste tourisme si déterminant pour l’attractivité de notre territoire de se distinguer. 

A l’instar de Patrice HENNEQUIN, président du Comité départemental olympique et sport d’occuper un poste de trésorier-adjoint ; de l’inamovible Jean-Pierre VAURY, chef émérite du « Moulin de la Coudre » de tenir les cordons de la bourse en sa qualité de représentant dans l’Yonne de la Fédération nationale des Logis ; de Béatrice KERFA, présidente de l’association des guides de l’Yonne et figure de proue du tourisme de Joigny et de son bassin d’exercer à la fonction de secrétaire générale (elle sera assistée d’Anne DELMOTTE, représentante du Label Etap’Loisirs, écodomaine des Gilats) ; de Yann COUSIN (restaurant de La Dent Creuse) d’officier en sa qualité de vice-président en charge des prestataires commercialisés ; de Patrick HENRY, charismatique président de La Grange de Beauvais de gérer les labels avec son mandat de vice-président et de Bernard BROUSSE, érudit féru d’histoire et président de l’Office de tourisme du Sénonais et de Sens, d’obtenir le poste de vice-président en charge des offices de tourisme.

Une garde prétorienne idéale et efficiente pour la responsable de tout cet édifice vertueux : la présidente Anne JERUSALEM qui, au-delà de sa vice-présidence en charge du tourisme au Département et de son titre de conseillère départementale du Tonnerrois, assume le job avec la dextérité qu’on lui connaît.

Un collectif opérationnel qui se concentre déjà sur un rendez-vous (pour l’heure il est encore maintenu) : la bourse départementale d’échange de documentation touristique le 24 mars prochain.

 


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