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Ce nouvel outil consultatif initié par les services de l’Etat aura pour vocation de réaliser un diagnostic précis des attentes et besoins des professionnels à l’arrêt depuis huit semaines. C’est la sous-préfète de l’Avallonnais et du Tonnerrois Cécile RACKETTE qui aura la responsabilité de coordonner et d’animer ce comité ouvert aux institutionnels et acteurs économiques de la filière…

AUXERRE : Préoccupé par la situation très délicate dans laquelle se situent aujourd’hui les professionnels du tourisme de notre territoire, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST a décidé de créer un comité ad hoc permettant d’analyser en profondeur la pertinence exacte de la situation.    

Le représentant de l’Etat vient d’en confier la responsabilité à la sous-préfète de l’Avallonnais et du Tonnerrois Cécile RACKETTE. Cette dernière animera et coordonnera ce nouveau dispositif de veille.

Celui-ci aura pour objectif d’aider et d’accompagner les professionnels de ce secteur très impacté par la présence de l’épidémie dans la lente reprise de leurs activités.

A l’instar de la cellule économique générique et de celle, spécifique aux métiers du BTP, ce comité réunira l’ensemble des représentants de la filière professionnelle du tourisme.

S’y retrouveront associés de facto l’Etat, la Région Bourgogne Franche-Comté, la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne ainsi que l’agence de développement économique, Yonne Tourisme, présidée par Anne JERUSALEM.

Ce comité procèdera à sa première séance de travail la semaine prochaine.

Il aura pour mission de réaliser un diagnostic précis du contexte et d’apporter des éléments de réponse au redémarrage des activités touristiques dans le département.

D’ores et déjà, et selon le plan de sortie de crise qui a été présenté récemment par le Premier ministre Edouard PHILIPPE, on sait à titre d’exemple que les « petits musées » auront la possibilité de rouvrir leurs portes à l’approche de la période estivale.

Etudier les moyens d’action qui favoriseront les professionnels du tourisme à sortir la tête hors de l’eau sera l’une des prérogatives de cette cellule…

 

 


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Sur suggestion de la préfecture de l’Yonne, la Chambre d’agriculture s’est réunie il y a quelques jours pour faire le point sur les mesures à prendre afin de faciliter le retour à la normalisation dans le secteur de la viticulture. Avec au centre des interrogations qui persistent : la réouverture des caveaux individuels ou collectifs…

AUXERRE : Initiée par la chambre consulaire départementale, cette séance de travail aura permis d’entendre les représentants des différentes composantes de la viticulture icaunaise. A savoir les caves coopératives, les vignerons indépendants ainsi que les syndicats d’appellations.

Certes, les mesures vers un retour à l’existence normale ne sont pas encore connues dans leur globalité, mais une question taraude désormais les esprits des professionnels de la viticulture : qu’en sera-t-il exactement de la réouverture des caveaux individuels ou collectifs après la date butoir du 11 mai ?

Avant la période de confinement, nombre d’entre eux conjuguaient dégustation sur site et vente à emporter. D’où une manne financière à ne pas négliger pour les professionnels.

Depuis la mi-mars, la filière viticole souffre fortement du fait où les ventes de vins (notamment celles réalisées à partir de bouteilles) ont considérablement diminuées. Tant à l’export que sur le territoire national.

Compte tenu du respect des mesures de protection, de la distanciation sociale et des gestes barrières, les professionnels ne semblent pas enclins à réintroduire la pratique de la dégustation de crus au sein des caveaux. Un avis qui prend en considération les responsabilités de chacun vis-à-vis des consommateurs acheteurs mais aussi des salariés des établissements.

 

S’adosser sur les décisions des pouvoirs publics pour les débits de boissons…

 

Il ressort de cette réunion de travail plusieurs préconisations. Elles sont de deux ordres.

La première s’adosse aux décisions prises par les pouvoirs publics en matière de réouverture nationale des activités de débit de boissons et de restauration. Les principes mis en vigueur assortis d’adaptations spécifiques seraient alors repris pour conditionner la réactivation de la pratique de la dégustation dans les caveaux.

La seconde concerne la vente de vins en bouteilles qui ne pourra se faire uniquement en respectant les mesures usuelles de lutte contre le coronavirus applicables dans les commerces de détail.

Sur ce dernier point, les représentants de la filière viticole invitent tous les établissements icaunais identifiés à respecter scrupuleusement ces préconisations.

 

 

 

 


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Un grand nom de la cuisine gastronomique icaunaise vient de nous quitter en la personne du chef Charles GODARD, parti à  85 ans rejoindre Michel MORET, Bernard LOISEAU et Paul BOCUSE. Une vie bien remplie pour cet homme sympathique, chaleureux et charismatique aimant la chasse - point de bobos contestataires en la matière à l'époque !- et la pêche.

JOIGNY : Enfant de restaurateur, Charles fera son apprentissage à « l'Hostellerie de La Poste » à Avallon, triple étoilé Michelin sous la férule de M. HURE. On s'y délectait notamment de quenelle de homard à la crème et de poulet en civet au vieux Bourgogne !

Après-guerre, ses parents avaient repris le « Modern’ Hôtel » à Joigny, maison déjà mentionnée dans le Michelin après le premier conflit mondial. Avant la suivante, le chef AUDART fut étoilé dans le célèbre guide pneumatique !

En 1949, Charles et son frère Jean-Claude virent arriver l'étoile Michelin de leurs parents. On venait de loin, après des années de restriction et de tickets, déguster les rognons flambés Saint-Hubert ou le caneton au gratin. D’ailleurs, le palmipède marquera la cuisine de la famille GODARD avec notamment un plat d'anthologie : le canard à la Gaston GODARD.

Mais à la fin des années 50 survient un terrible drame familial. Gaston, son père, est assassiné « par erreur » par des activistes de l'OAS. Dès lors, Charles, épaulé par son frère et sa maman, armé de son courage et de son amour de la bonne cuisine, reprendra les fourneaux du « Modern’ Hôtel ». L’établissement sera étoilé au Michelin quarante-quatre ans durant jusqu'en 1993.

On venait de loin dans cette maison provinciale où il faisait bon vivre et déguster l'andouillette flambée, la truite fourrée  au fumet de Chablis (souvenir vraisemblable de son apprentissage) la cassolette d'escargots, le tournedos maison, le fameux canard, sans oublier de conclure ce festin par le « maillotin », une délicieuse pâtisserie.

 

 

Une figure emblématique qui aura donné naissance à de prometteurs talents…

 

Tenant d'une autre époque de la cuisine, Charles GODARD participa aussi à moult semaines de la gastronomie française à l'étranger. La fin des années 60/début 70 le vit se tirer gentiment la bourre avec Michel LORAIN de « La Côte Saint-Jacques » pour le plus grand plaisir des clients qui avaient délaissé la nouvelle autoroute A6 au profit de l'antique nationale 6 et faire étape à Joigny.
Personnalité locale, il fut notamment à l'origine de la création de l'Amicale des Cuisiniers de l'Yonne, aujourd'hui présidée par Daniel AUBLANC.

A Sens, Charles racheta « L'Hôtel de Paris et de la Poste » où son fils Philippe œuvra jusqu'à l'an passé.

Quant à sa fille Claire, elle dirige le « Paris-Nice » avec David, son époux. Aujourd'hui, il est bien triste de voir ce « Modern' Hôtel » de Joigny à l'abandon. Des générations d'icaunaises et d'icaunais s'y sont régalées.
Au revoir chef GODARD, reposez en paix !

Et à l'heure où chaque soir le personnel médical est applaudi, on ne peut qu'adresser un carton jaune à l'hôpital de Joigny, qui par une blâmable précipitation n'a pas permis à sa famille de faire vêtir élégamment le corps de leur cher défunt pour son ultime voyage…

Gauthier PAJONA

 


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La filière touristique a été frappée de plein fouet par la crise sanitaire inhérente au coronavirus. L’organisme régional qui en suit les évolutions, Bourgogne Franche-Comté Tourisme, dévoile les premiers enseignements d’une grande enquête menée auprès de 800 professionnels un mois après le confinement. Si 15 % des hébergements sont toujours ouverts, une entreprise sur cinq a mis en place des initiatives d’actions solidaires ou de diversification pour tenter de s’en sortir…

DIJON: Le tourisme paie un très lourd tribut depuis que la crise sanitaire profonde s’est abattue sur la planète. Malheureusement, les professionnels de la filière exerçant en Bourgogne Franche-Comté n’échappent pas à la règle.

D’après les premières indications fournies par l’organe institutionnel Bourgogne Franche-Comté Tourisme, sur la base d’une enquête d’opinion réalisée auprès de huit cents entreprises, seuls 15 % des hébergements que compte notre territoire sont encore opérationnels aujourd’hui. Un chiffre qui en dit long sur l’étendue réelle du désastre.

Cette enquête lancée il y a un mois avait pour objectif d’évaluer la physionomie de l’activité durant le premier mois de confinement. 55 % des hébergeurs régionaux y ont répondu.

Sans surprise, l’impact économique est tel que ces indicateurs très précieux recueillis à partir de ce sondage vont permettre à l’organisme de mesurer au plus juste les conséquences de la crise sur ce pan capital de l’économie en Bourgogne Franche-Comté.

Si 60 % des professionnels avaient des projets de développement avant la crise, preuve du dynamisme de la filière, un tiers seulement demeurent confiants sur leur capacité à les mener à bien. Mais, beaucoup plus alarmants, 10 % des professionnels craignent désormais le dépôt de bilan.

« C’est le tissu même des équipements d’accueil qui risque d’être touché en plus des drames individuels, analyse-t-on depuis Dijon.

 

 

Définir les stratégies à mettre en place par la cellule de crise…

 

Le Conseil régional Bourgogne Franche-Comté a créé un fonds d’urgence pour les professionnels du tourisme à hauteur de 2,5 millions d’euros. Afin de relayer les mesures prises par l’institution présidée par Marie-Guite DUFAY, Bourgogne Franche-Comté Tourisme s’est doté d’un dispositif de crise rapidement opérationnel.

Chaque semaine, une lettre d’information est ainsi adressée aux vingt-cinq mille professionnels de la filière, élus et partenaires. Ils y découvrent les articles (plus de 75 réalisés jusque-là) qui ont été publiés depuis la mi-mars dans un espace nouvellement créé sur le COVID 19.

Des analyses et les chiffres clés du secteur ainsi que toutes les informations relatives aux mesures financières et dispositifs nationaux y sont abordés.

L’outil de communication propose une foire aux questions et un espace spécial crise qui a déjà recueilli une trentaine d’interrogations spécifiques ainsi que des demandes de suivi personnalisé.

Parallèlement, le président de la structure, Loïc NIEPCERON et ses équipes multiplient les échanges avec les têtes de réseaux des filières d’hébergement, de loisir et de patrimoine. Les marchés étrangers ne sont pas oubliés grâce aux liens établis avec le réseau Atout France.

« Notre équipe fonctionne à 100 % en télétravail, précise le président de l’organisme, nous n’avons donc rien perdu de notre efficacité… ».

Vu l’ampleur de la crise, BFC Tourisme propose même de suivre en temps réel les évolutions de la filière en se connectant sur la référence suivante : pros.bourgognefranchecoté.com (rubrique cellule de crise).

 


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En sa double qualité de conseiller régional et de président d’EPCI, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI a pris part il y a quelques jours à une visioconférence avec les représentants de la Région et une quarantaine de collectivités. Objectif de cette liaison numérique : la mise en place d’un Fonds de solidarité territorial qui apportera sa précieuse contribution en soutenant les très petites entreprises…

TOUCY : Comment surmonteront-elles ce tsunami économique qui emporte tout sur son passage ? Alors que la période de confinement ne cesse de se proroger de quinzaine en quinzaine, l’activité des entreprises, tous secteurs confondus, est quasiment au point mort. Les plus fragiles étant les très petites entreprises qui ne peuvent honorer leurs contrats et carnets de commande.

La Région Bourgogne Franche-Comté n’a pas tardé à réagir sur ce délicat problème. Elle a décidé d’un commun accord avec les EPCI d’abonder un fonds de solidarité territorial, complémentaire à celui mis en place au niveau de l’Hexagone, afin d’aider les TPE. Notamment celles de ces structures qui ne seraient pas bénéficiaires du deuxième volet du fonds Etat/Région.

Lors de la récente visioconférence instituée entre une quarantaine de collectivités et les représentants du Conseil régional, un principe de solidarité a été défini envers les entrepreneurs les plus fragilisés par la situation.

Précisons que les établissements concernés par cette démarche sont ceux ne possédant aucun salarié (ce qui inclue de facto les autoentrepreneurs), avec un montant minimum de chiffre d’affaires.   

Pour obtenir gain de cause, et être éligible à ce dispositif, il est nécessaire d’avoir déposé un dossier au fonds de solidarité national auprès du site impôt.gouv.fr (espace particuliers) avant le 30 avril 2020 impérativement et avoir sollicité sa banque pour un prêt de trésorerie et avoir obtenu un refus de cette dernière.

 

Une aide territoriale complémentaire à l’aide nationale…

 

A l’issue de la visioconférence, le président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI a fait connaître sa position. L’adhésion à ce fonds de solidarité territoriale a été actée.

Sachant que la proposition prévoit une participation de chaque collectivité à hauteur d’un euro par habitant et par mois de confinement ; la Région Bourgogne Franche-Comté participant à concurrence de 75 % du montant total.

Interrogé à ce propos, le maire de Moulins-sur-Ouanne souligne que « dans la mesure de ses moyens et pour marquer sa solidarité avec les acteurs du monde économique, il était important que l’organe institutionnel participe à cette action, au profit de ceux qui ont de très faibles moyens de trésorerie et des difficultés à lever des fonds ».

Et de conclure qu’il ne fallait pas oublier ces petites structures professionnelles qui contribuent à l’animation économique de nos villages. Ainsi, la CC Puisaye-Forterre apportera momentanément une aide mensuelle.

Rappelons que ce fonds de solidarité territorial permettra à celles et ceux des entrepreneurs impactés par les effets du COVID 19 de pouvoir prétendre à une aide de 1 500 euros complémentaire à l’enveloppe nationale.

Ce qui porterait le total envisageable à 3 000 euros par mois (aides de l’Etat/Région et aide territoriale)…


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