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Comprenant un agenda détaillé et explicatif du programme estival 2019, intense et éclectique, ce document est à récupérer coûte que coûte par tous les amoureux de la culture et du patrimoine auprès des services de la Ville et de ses nombreux partenaires…

AUXERRE : Le fascicule se découvre sur une vingtaine de pages. Celles-ci proposent par le biais d’une lecture facile et agréable une entrée en matière positive de cette future actualité culturelle.

Outre l’éditorial signé de l’adjointe à la Culture, Isabelle POIFOL-FERREIRA, cet opus offre un aperçu exhaustif de la programmation culturelle estivale qui fera vibrer la capitale de l’Yonne durant plusieurs semaines.

Ce précieux livret est à conserver pour connaître les dates précises des manifestations qui sont prévues durant cette période.

Festivals, concerts, visites, expositions, cinéma de plein air, danse, arts dans la rue…autant de rendez-vous majeurs qui ne manqueront pas d’égayer les chaudes journées de l’été vécues depuis Auxerre.

Au-delà des infrastructures habituelles de la ville que sont les musées d’art et d’histoire, le muséum ou les bibliothèques, ce guide pousse le lectorat à aller encore plus loin dans sa quête intellectuelle. En profitant des évènements ponctuels et éphémères qui viendront agrémenter cette ouverture maximale à la culture.

Parmi cette programmation, il y aura des temps forts : les Beaux jours du conservatoire jusqu’au 26 juin, le Catalpa Festival du 28 au 30 juin, l’incontournable Festival Garçon la Note (du 02 juillet au 31 août) ou encore le Festival des arts dans la rue des 17 et 18 août, baptisé avec un clin d’œil humoristique, « Rues Barrées » !

Coordinatrice des actions de communication de la Direction Culture, Sport et Evènements de la Ville d’Auxerre, Guylaine BALOUP-BERRY peut être satisfaite de la sortie officielle de cette plaquette.

Avec sa distribution, Auxerre vient d’entrer de plain-pied dans cet été culturel. Dont beaucoup attendait le retour avec impatience…

Trois ans après ses débuts, le redéploiement de la structure passe par une affirmation à l’international où la SARL La Brasserie de Chablis est déjà bien présente dans une huitaine de pays. Toutefois, les deux cousins, Alexis et Vianney MADELIN, n’en oublient pas de conforter leur socle consumériste territorial. Ils proposent désormais des produits conditionnés aux normes spécifiques de la restauration. Au plan honorifique, deux nouvelles distinctions récompensent le travail de ces jeunes entrepreneurs qui ont eu les faveurs de l’Elysée et de son occupant…

CHABLIS : Se redéployer en diversifiant ses activités : c’est aujourd’hui le leitmotiv des deux co-gérants de la Brasserie de Chablis, créatrice d’un produit d’exception, les bières MADDAM. Dont raffolent, depuis octobre 2016 date de l’ouverture de l’entité artisanale, les consommateurs d’une dizaine de pays.

Objectif numéro un du jeune tandem de dirigeants : la montée en puissance de leur enseigne à l’export. Seconde priorité en termes de cible : le marché de la restauration en suscitant l’envie et le besoin.

Sur ce registre, les cousins ont su raisonner à l’unisson comme des frères jumeaux en imaginant une bouteille beaucoup plus adaptée aux consommateurs des bars et restaurants. Alors que le produit standard était servi jusque-là dans des contenants de 50 centilitres, ils ont ajouté une corde supplémentaire à leur gamme, la bouteille de trente-trois centilitres.   

Outre les restaurateurs, la Brasserie de Chablis vise les circuits habituels de la distribution sur cette typologie de produits : ceux représentés par les cavistes, et les commerces alimentaires de proximité, voire les magasins qui promeuvent abondamment les circuits courts et la bio.

Déjà présente à l’export, la Brasserie de Chablis écoule de gros volumes vers son premier client historique et fidèle : le Japon.

Deux nouvelles distinctions saluent la qualité de leur travail…

Saluant la qualité relationnelle et consumériste obtenue dans l’Empire du Soleil Levant, Alexis et Vianney MADELIN ont depuis ajouté d’autres états à ce portefeuille international qui ne cesse de croître.

La Scandinavie, mais aussi les Etats-Unis, le Canada et quelques pays d’Europe de l’Est ne boudent pas leur plaisir à déguster la quinzaine de variantes houblonnées conçues à Chablis.

Quant à Paris, elle demeure un axe prioritaire de leur développement commercial. Constatant avec plaisir qu’il existe une très belle marge de progression.

Auréolés d’une récompense obtenue cet hiver au Concours général agricole, lors du Salon international de Paris, les cousins viennent de glaner deux autres distinctions honorifiques. Il s’agit de palmes d’or dont l’une récompense la bière ambrée « Jardin du prieuré ». Ces accessits ont été décernés dans une école hôtelière de la capitale par un jury de 70 experts, membres de l’Académie des Vins et de la Gastronomie française.

Pour couronner le tout, les deux garçons ont eu le privilège de fouler les salons de l’Elysée, accompagnés de nombreux représentants de la filière de la brasserie française, pour y rencontrer le président de la République. On ne sait pas en revanche si Emmanuel MACRON a apprécié le noble breuvage, élaboré avec minutie dans la brasserie de Chablis !

Professeur de service et accueil à l’école hôtelière de Biarritz, Gil GALASSO possède deux titres distinctifs majeurs qui honorent sa déjà longue carrière. Le dénominateur commun de ces accessits est de les avoir obtenus la même année, en 2009. Meilleur ouvrier de France en qualité de maître d’hôtel, ce docteur en histoire contemporaine et auteur de la première thèse jamais consacrée à sa spécialité possède un titre de gloire universel : celui de champion du monde. Logique qu’il soit l’un des deux garants avec son ami, le MOF Serge GOULAIEFF, de la logistique organisationnelle de ces sélections nationales, proposées pour la première fois en France. Qualificatives pour les Mondiaux de novembre, elles ont été accueillies au lycée hôtelier Vauban…

AUXERRE : L’art et la manière de la découpe à table en France à travers les siècles n’est pas simplement une thèse que notre personnage a soutenu pour décrocher son doctorat à l’université de Bordeaux Montaigne. Cet imposant travail de chercheur, ayant nécessité moult déplacements à la Bibliothèque nationale de France à Paris, représente le chef d’œuvre abouti d’une carrière. De sa réelle passion pour ce noble métier des arts de la table, plutôt méconnu du grand public.

En bon pédagogue professionnel qu’il est (il dispense ses cours à l’école hôtelière de Biarritz), Gil GALASSO en a fait un opus de quatre copieux volumes dont les férus des arts de vivre et autres exégètes de la filière se doivent de posséder parmi leurs références livresques.

Gil GALASSO travaille de concert depuis plusieurs mois avec son camarade Serge GOULAIEFF aux préparatifs de cette pré-sélection nationale. L’idée de réunir le nec plus ultra du métier, soit un panel de huit « artistes » des arts de la table, et de leur faire disputer une série d’épreuves correspond à l’un des objectifs de la structure associative : promouvoir la filière.

Sortir de l’ombre pour entrer dans la lumière…

Composée essentiellement de meilleurs ouvriers de France, l’entité exerce son activité avec obstination et perfectionnisme au service des métiers de la salle.

« Le métier de maître d’hôtel est encore trop peu connu du public, concède-t-il, mais, cela n’a rien d’anormal car cette discrétion constitue l’un des éléments de notre ADN… ».

Il existe une étrange similitude avec ce que fut autrefois la notoriété des chefs dans les années 1970. Peu médiatisés, dans l’ombre discrète et rassurante derrière leur piano, ils ont su se faire violence pour devenir de vraies bêtes de scène de la communication aujourd’hui.

Un passage obligé indiscutable qui a servi à sensibiliser toute une génération de jeunes gens ayant capitalisé dans l’exercice de ce métier. 

« Etre maître d’hôtel permet de voyager très facilement aux quatre coins de la planète, poursuit Gil GALASSO, et de faire valoir sa dextérité en négociant un salaire correct. On débute en qualité de commis avant d’être propulsé vers d’autres strates plus rémunératrices : d’abord comme chef de rang, puis en devenant maître d’hôtel, avant de conclure, pourquoi pas, par le titre de directeur de salle. Et ceci entre 25 et 30 ans… ».

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Les souvenirs de réunions familiales vécues à table…

Globe-trotter, Gil GALASSO bénéficiera de ce parcours évolutif dès la sortie de l’école hôtelière où il fut diplômé. Expatrié en Afrique, puis à Londres, avant de s’implanter aux Etats-Unis, il aura profité de ces séjours lointains pour s’ouvrir à d’autres cultures et philosophies.

Le retour en France se fera par le prisme de la formation et de l’enseignement. Pas étonnant que ce professionnel ait voulu transmettre les fibres de sa passion grâce à une thèse universitaire.

« L’art de la découpe à table comporte un aspect sociologique important pour beaucoup d’entre nous, argumente-t-il, même si l’approche du service est complexe et date de plusieurs millénaires. Nous gardons tous, parmi des souvenirs enfouis, le partage des aliments synonyme de réunion familiale le dimanche autour d’une volaille…C’est inscrit dans notre ADN ! ».

Il n’est pas étonnant que l’Elysée respecte ces codes de la bienséance séculaire qui forment notre patrimoine lorsque le président de la République reçoit ses hôtes de prestige dans l’un des salons feutrés afin de redorer le blason de l’Etat…

3 % de l’activité globale : c’est ce qu’a représenté le poste spécifique de l’aviation d’affaires l’année dernière sur le complexe de l’aéroport d’Auxerre Branches. Partant de ce simple postulat que le potentiel existe et que les installations le permettent, la société exploitante du site aéronautique de l’Yonne souhaite renforcer cette activité dans les mois à venir…Pour cela, il lui faut convaincre le tissu économique local.

AUXERRE : Le département de l’Yonne et le monde professionnel de l’aéronautique sont devenus très complémentaires. Il suffit, pour le constater, de découvrir la liste des personnalités présentes lors d’un événement « séduction », décliné par le gestionnaire de l’aéroport d’Auxerre Branches, la société EDEIS.

Alliée des territoires, l’entité exploitante du site a souhaité porter à la connaissance d’un plus grand nombre d’entreprises les possibilités en matière de voyages d’affaires ou de séminaires.

Il était donc logique de retrouver, lors de ce rendez-vous, les structures ayant une réelle appétence pour cette initiative.

Une vingtaine de personnes avaient répondu positivement à ce brunch concocté dans les locaux d’EDEIS. On y a vu des représentants des sociétés FIGEAC AERO et ZODIAC ACTUATION SYSTEMS mais aussi des membres du groupement GISAERO, c’est-à-dire les acteurs de la sous-traitance industrielle du secteur aéronautique, localisés dans l’Yonne.

Ainsi, il n’était pas surprenant de constater que Claude VAUCOULOUX, délégué général du MEDEF Yonne, Thierry PECCARD, chargé des relations entreprises au Medef Yonne, Jean-Marc DENIS, délégué GISAERO et au développement industriel et innovation à l’UIMM, figuraient à l’appel.

Présence de plusieurs partenaires…

Deux partenaires de la société EDEIS étaient partie prenante de cette rencontre spécifique autour des vols d’affaires et séminaires.

L’agence de tourisme, CAROL’S VOYAGES, signifiait sa présence. Historiquement, la structure auxerroise a géré des vols charters depuis l’aéroport d’Auxerre. En outre, à l’automne 2018, l’entité a affrété un avion de type Dornier 328 à l’intention de vingt-deux collaborateurs d’une entreprise industrielle locale devant se rendre à Barcelone à l’occasion d’un séminaire.

Quant à Air Affaires, sa présence se justifiait amplement puisque la société décline des offres de service souples et accessibles pour répondre à ces demandes de voyages professionnels.

L’accueil d’une stagiaire de l’IFAG en troisième année « Bachelor »  et responsable opérationnelle d’activité aura permis de préparer une grande partie de cette opération en amont. EDEIS a procédé à la réalisation d’un sondage au préalable à destination de 160 entreprises locales concernant leur besoin en matière de voyages d’affaires ou de séminaires. Le taux de retour s’est avéré positif avec plus de 10 % de réponses.

Créer des liens autour d’événements et de lieux cette saison…

Il ne restait plus qu’à organiser ce brunch avec ses deux partenaires naturels auxquels se joignait le MEDEF de l’Yonne.

Créer des liens autour de lieux et événements locaux intègrent la stratégie de la société EDEIS. Chaque année, il est proposé des opérations de « FLY IN » aux pilotes. C’est-à-dire une idée de sortie vers des manifestations de saison en leur offrant la taxe d’atterrissage et la navette gratuite pour rejoindre l’évènement.

Cette saison, EDEIS focalisera cette initiative judicieuse autour de « Fleurs de vigne village », le 18 mai, avec une navette oenobus mise en place par l’Office de tourisme d’Auxerre sur les quais de l’Yonne pour une découverte au sein des vignobles auxerrois.

Mais, d’autres rendez-vous sont d’ores et déjà programmés : le dimanche 16 juin, avec la journée des « Portes Ouvertes de l’aéroclub de l’Yonne et de l’aéroport », la Fête des Vins à Chablis le week-end du 26 et 27 octobre 2019 et le mercredi 18 décembre.

Quant au Père Noël, il atterrira à l’aéroport pour satisfaire les centres de loisirs avoisinants lors d’un après-midi découverte et goûter au restaurant l’Envol…

 

Officialisé le 01er janvier 2019, le rapprochement fusionnel des deux structures qui promeuvent d’ordinaire l’attractivité touristique de la partie orientale de notre territoire, « Le Tonnerrois en Bourgogne » et « Chablis, Cure & Yonne », entame véritablement son premier exercice en cette période printanière. Constituée sous la forme d’une SPL (Société publique locale), la nouvelle entité souhaite se doter de tous les moyens disponibles, en les mutualisant, pour conquérir des parts de marché supplémentaires.  Un enjeu, certes de taille, mais en ordre de marche pour la saison qui débute…

ANCY-LE-FRANC : Fusionner n’est jamais une chose aisée quelque que soient les circonstances pour toute structure qui en éprouve le désir. Pourtant, les deux offices touristiques de l’Est de l’Yonne, « Le Tonnerrois en Bourgogne » et « Chablis, Cure & Yonne », ont su faire abstraction des doutes qui auraient pu subvenir en amont de leur décision mûrement réfléchie.

Au contraire, ses acteurs ont adopté avec un réel dynamisme et satisfaction le vieil adage usuel, « l’union fait la force ». Pour précisément, éviter les pièges qui peuvent exister dans de tels rapprochements indispensables à leur essor.

Dans le cas présent, seules ont prévalu les notions de multiplicité des offres de service et la richesse de leur diversité pour élaborer ce schéma. Il aura été conduit après plusieurs mois d’intenses préparatifs.

Structurellement, déjà, le processus assure un montage équilibré de la gouvernance. A la faveur d’une augmentation de capital, la Communauté de communes Le Tonnerrois en Bourgogne est désormais propriétaire à hauteur de 34 % des parts de la société. Cette fameuse SPL qui a été initialement créée par l’Office du tourisme avec un capital de départ d’un montant de 100 000 euros. En toute logique arithmétique, la Communauté de communes Chablis Villages & Terroirs en conserve 66 % des actifs.

Pléthore d’outils de communication pour véhiculer les messages…

Mais, au-delà de cette refonte organisationnelle, c’est surtout au niveau de la stratégie déclinée au service de la promotion, du marketing et de la communication où sont déployés les efforts.

Logo flambant neuf, nouvelle marque à pérenniser, conception de guides touristiques, au nombre de cinq variantes possibles (vignoble, patrimoine, tourisme fluvial, loisirs nature et hébergement-restauration) composent cette nouvelle armada d’heureuses opportunités à faire valoir.

Et ce n’est pas fini ! L’équipe renforcée de Xavier GUINOT, directeur général de l’ensemble, s’attèle en ce moment à créer un plan de la ville de Tonnerre et de la contrée. S’y ajoute la réalisation d’un site Internet. Il s’orientera autour de ce tourisme de proximité en pleine expansion.

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Le territoire dispose de solides atouts. La présence des mythiques canaux de Bourgogne interpellent les visiteurs. Le vignoble, quant à lui, est de notoriété mondiale.

Quant à l’avenir, il s’envisage avec sérénité. L’affectation du produit de la taxe de séjour à des équipements touristiques s’avère judicieuse dans son approche. Elle garantit en effet une recrudescence des possibilités de promotion et d’animation du territoire d’ici peu.

Le premier bénéficiaire de ce choix tactique sera celui du budget de la communication. La jeune structure amplifiera ses opérations. Via une présence accrue sur des salons ciblés et hors-les-murs.

On devrait voir fleurir au cours des futures semaines de la signalétique vantant la qualité de circuits de visites de ville, à vélos ou de randonnée.   

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