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On doit la structure novatrice à Henri de RAINCOURT. Précurseur et visionnaire de l’attractivité économique de notre territoire, l’ancien ministre de la Coopération internationale et président du Conseil départemental de l’époque voulait se doter d’outils performants afin de sensibiliser investisseurs et porteurs de projets pour mieux capitaliser sur l’Yonne. De cette feuille de route est née un double dispositif, complémentaire et toujours fonctionnel trente ans plus tard, Yonne Développement et Yonne Equipement.

 

AUXERRE : Un avant-gardiste agissant dans l’intérêt de sa zone de prédilection, « HdR », acronyme dont on aimait l’affubler à l’époque ? Certes ! Trois décennies après avoir été porté sur les fonts baptismaux par ses soins, le binôme « Yonne Développement/Yonne Equipement » fonctionne toujours à merveille dans le landerneau icaunais, demeurant ce vecteur très utile à l’essor économique de notre territoire.

Un Henri de RAINCOURT qui fut alors très inspiré en imaginant cette structure associative de loi 1901 (Yonne Développement), mettant à la disposition des décideurs économiques et des chefs d’entreprises, expertises et accompagnements.

Même si l’ancien ministre n’est plus directement impliqué aux manettes de ces dispositifs judicieux – ils sont dirigés aujourd’hui par Mahfoud AOMAR (Yonne Développement) et François BOUCHER (Yonne Equipement) -, ce dernier n’en reste pas moins attentif à leurs évolutions. Il siège toujours au conseil d'administration des deux entités. On ne se désintéresse pas comme cela d’une arme économique performante qui aura su faire ses preuves depuis aussi longtemps dans le paysage de la Bourgogne septentrionale !

 

 

Plus de 80 millions d’euros injectés dans l’économie locale depuis 25 ans…

 

Les voyants de la double structure sont au vert en ce début d’année 2023 qui se lance plutôt bien en termes de perspectives. Les projets de captation de nouveaux projets, nombreux. Depuis son apparition, Yonne Equipement – la SEM (Société anonyme d’Economie Mixte) qui agit sur la partie logistique et foncière des projets entrepreneuriaux – a contribué à la construction de 85 bâtiments, répartis dans une trentaine de communes du département, pouvant accueillir de nouvelles entreprises, assurant la création d’emplois sur secteurs. Soit un chiffre qui se passe de commentaires : 124 000 mètres carrés de surface !

Quant au montant de ces investissements, réalisés en vingt-quatre ans, il s’élève à plus de 80 millions d’euros. Une enveloppe financière applicable aussi bien en matière de  bâtiments neufs mais aussi d’édifices en phase de ré-industrialisation.

Possédant la double casquette stratégique de maître d’œuvre et d’assistant à maîtrise d’ouvrage, la SEM peut ainsi jongler à satiété selon les projets présentés, puis validés en conseil d’administration avec les intercommunalités de l’Yonne, avant d’intervenir.

 

 

D’indéniables avantages pour les investisseurs/entrepreneurs…

 

Définies par un cahier des charges finement ciselé par ses auteurs, les missions de la SEM sont simples à la compréhension : le soutien à l’industrie productive sur le territoire, la transformation en les réhabilitant de sites et bâtiments industriels – cela concerne naturellement les friches et les parcs d’activités-, le rapprochement de l’emploi vers les territoires – l’organisme préconise alors le développement du co-working et des tiers-lieux -, et aussi, l’installation de nouveaux professionnels de l’industrie.

Le tout avec subtilité financière astucieuse pour les néo-entrepreneurs tentés par le challenge : n’avoir aucun endettement sur la partie immobilière – c’est-à-dire les charges locatives – et profiter de l’obtention de prêts, de la gestion des sinistres et de la possibilité à terme d’acquisition du bâtiment, grâce à une option d’achat. Bref, du cousu main efficace, à bien des égards !   

Aujourd’hui, avec une offre de vente de terrain, compris entre 5 et 60 euros du mètre carré, le tandem « Yonne Développement/Yonne Equipement » possède de la ressource foncière avec de belles opportunités devant intéresser les décideurs économiques sur différentes zones d’activités de notre territoire.

Idéalement répartis, ces secteurs couvrent l’ensemble de notre département, que ce soit dans le Sénonais, le Tonnerrois, à Migennes, sur l’Avallonnais ou à proximité d’Auxerre. Rien que sur la seule année 2022, les équipes de la directrice Clarisse MARTIN ont traité une centaine de dossiers. Preuve indubitable de l’intérêt des entreprises extérieures pour ce département, limitrophe de l’Ile-de-France, au potentiel de croissance évident.

 

 

Un fonds de revitalisation utile à la dynamique de l’Yonne : « Mut’Eco »…

 

Autre particularisme intéressant : « Yonne Développement » gère un fonds de revitalisation départemental, baptisé sobrement « Mut’Eco », avec l’Etat et la Direction départementale de l’Emploi, du Travail, des Solidarités et de la Protection des Populations (DDETSPP).

Il permet l’anticipation et l’accompagnement des mutations économiques du territoire. Le principe en est très simple. Une entreprise clôt ses activités et quitte l’Yonne, elle s’engage à alimenter un fonds spécifique afin de soutenir l’emploi en anticipant sur l’avenir. Ce fonds prend alors la forme d’une subvention destinée à accompagner la création de nouveaux projets. Aujourd’hui, grâce à ce procédé, c’est une trentaine d’entreprises qui sont accompagnées par Yonne Développement pour plus d’une centaine d’emplois créés depuis huit ans !

Un sérieux coup de pouce à l’attractivité icaunaise qui augure de belles perspectives puisque à trois ans, ce sont 113 nouveaux postes qui devraient ainsi s’ajouter aux réalisations existantes. Grâce aux 226 000 euros de dotations, versées au titre de « Mut’Eco ».

A ce jour, Yonne Equipement pilote onze opérations immobilières dans l'Yonne pour 18 millions d'euros d'investissement...

Thierry BRET

 

 


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Excédés ? Courroucés ? Fatigués par les mêmes litanies désobligeantes à leur endroit et la désinformation chronique qui vise leurs actions, comme ils le stipulent par voie de communiqué de presse ? Il y a un peu de tout cela dans les arguties faisant office de réponses de la part des élus de la Communauté de communes Le Tonnerrois-en-Bourgogne à toutes ces attaques. Après la démission avec fracas des deux élus de Tonnerre, le bureau de la CCLTB replace les points sur les « i ». Désireux de rétablir les vérités en toute transparence…

 

TONNERRE : « Cédric CLECH – édile de Tonnerre - est un bon communicant, mais cela ne fait pas tout. Nous, élus du COMEX de la CCLTB pensons qu’il est utile de faire, de co-construire, d’agir avec et pour les habitants du Tonnerrois… ».

C’est certain, tous les protagonistes de l’histoire ne prendront pas le chemin de traverse les menant sur la route des vacances l’été prochain ! Constatant « avec regret » qu’ils font l’objet d’attaques récurrentes dans les médias et les réseaux sociaux, du fait de certains élus de Tonnerre, les membres du COMEX (Comité exécutif) de l’organe communautaire du Tonnerrois, lassés par ces manœuvres « déstabilisatrices et intempestives », ont donc décidé de réagir. En le faisant savoir…justement par voie de presse ! Une nouveauté, en fait, dans leur mode opératoire.

« Notre position a toujours été de ne pas répondre à ces provocations, expliquent les responsables du COMEX, car nous sommes avant tout des élus de terrain ; nous concentrant en priorité sur ce que nous faisons au quotidien… ».

Des élus qui, et ils le précisent en guise de préambule dans un communiqué adressé aux médias, n’opposent pas les populations entre elles. C’est-à-dire celles du Tonnerrois et celles de Tonnerre – « parce que la ville fait partie intégrante du Tonnerrois ». D’ailleurs, le COMEX de la CCLTB invite les administrés à visionner les conseils communautaires (ils sont publics sur Internet) afin de se faire une idée des attitudes de chaque élu représentant le territoire lors des séances.

 

De « fausses informations » qui circulent dans un but politique…

 

Eléments expliquant la réaction de ces élus : les récentes démissions du maire de Tonnerre Cédric CLECH et de sa première adjointe, Emilie ORGEL, du conseil communautaire du Tonnerrois dont nos colonnes avaient fait écho la semaine dernière. Les deux vice-présidents de l’organe institutionnel avaient fait acte de leurs démissions en préambule de la dernière réunion début mars. Un choix acté depuis par les représentants des 52 communes.

« En revanche, il ne nous est plus possible d’accepter de voir circuler des informations fausses ou incomplètes dans un but purement politique, expliquent en chœur les signataires du communiqué de presse, cela dénote un manque de clarté et de respect envers les habitants du Tonnerrois, en particulier les habitants de Tonnerre… ».

Les signataires de ce document se nomment Anne JERUSALEM, présidente de la Communauté de Communes Le Tonnerrois-en-Bourgogne, Régis LHOMME, vice-président en charge de l’Environnement et du Développement Durable  et co-vice-président en charge de l’attractivité économique, du numérique, et de l’économie sociale et solidaire, Emmanuel DELAGNEAU, vice-président en charge de l’Enfance et des affaires scolaires, José PONSARD, vice-président en charge des Services à la personne et de la petite enfance et Marc CALONNE, vice-président en charge de la Culture et des sports.

« Nous sommes et resterons toujours à l’écoute et au service des habitants et élus de l’ensemble de notre territoire. Nous continuerons à faire avancer l’intérêt général et non les intérêts particuliers de quelques-uns. L’esprit communautaire et collectif semble de fait manquer à certains élus de la commune de Tonnerre, c’est bien dommage mais c’est ainsi, nous nous adaptons… ».

Dans cette mise au point épistolaire, les élus de la CCLTB rappellent que « la commune de Tonnerre bénéficie pourtant de nombreux investissements de la communauté de communes qu’elle n’aurait pas pu financer seule. Si certains élus de la commune de Tonnerre font mine de l’oublier, ils en ont en réalité bien conscience… ».

 

 

Des investissements structurants à Tonnerre portés par la CCLTB…

 

La suite de cette communication rappelle que « la CCLTB a déjà engagé la quasi-totalité de ses investissements structurants à Tonnerre ». Donc, par conséquence, « les attaques et tentatives de ralentissement des projets portés par la CCLTB par certains élus de la commune de Tonnerre, qui sont également membres de la communauté de communes, sont de ce fait clairement incompréhensibles… ».

Des exemples précis concernant l’aide et l’implication financières de la CCLTB sont cités : CREASUP (l’école du numérique), le plateau Santé au Sémaphore, la pépinière d’entreprises PEPS’IN et co-working au Sémaphore, le distributeur de sac jaunes 7/7 et 24/24 à Tonnerre ou encore la réhabilitation de l’école des Pré-hauts.

« Nous continuons à croire au Tonnerrois et à Tonnerre en dépit des oppositions incessantes de certains élus de la commune de Tonnerre à la plupart des projets portés par CCLTB. Malgré cela, la CCLTB engage encore plusieurs millions à Tonnerre avec la Cité éducative et artistique, le projet de développement de la capacité d’accueil de la crèche, les aménagements de la zone d’activité ou encore la rénovation de la déchetterie de Tonnerre… ».

Bref, un équivalent de plus de neuf millions d’euros déjà investis ou à venir par la CCLTB à Tonnerre, et uniquement à Tonnerre.

 

 

"Le Tonnerrois est indissociable de Tonnerre !"...

 

Pour parvenir à ces résultats, la CCLTB emploie des agents qui permettent de réaliser l’ensemble des services publics rendus à la population entrant dans le cadre de ses compétences. Les compétences des secteurs de la « Petite Enfance-Enfance-Jeunesse » nécessitent par ailleurs des obligations légales de taux d’encadrement des enfants qui sont en augmentation permanente.

A ce propos, le communiqué stipule que « l’écart de la masse salariale constatée depuis le début de ce mandat est de 527 006 euros, très loin du million d’euros imaginaire de Cédric CLECH ».

En réalité, précise le texte, « la CCLTB a ainsi développé depuis 2020 de nouveaux services à la population, comme à titre d’exemples, l’intégration du centre de loisirs de Commissey (« Tom Pouce »), la création de l’agence postale intercommunale à Ancy-le-Franc, la création du point accueil « France Services » à Ancy-le-Franc, l’ouverture du périscolaire à Lézinnes, celle de l’accueil de loisirs de Ravières-Lézinnes (« Les Loustics ») durant toutes les vacances scolaires, la création du service de conseiller numérique à destination de toute la population, celle du service mutualisé de marchés et commandes publiques et enfin, l’embauche d’une infirmière à la crèche intercommunale à Tonnerre ».

Pour rappel, chaque recrutement a été voté à la majorité de manière démocratique en conseil communautaire.

« Si la commune de Tonnerre souhaitait licencier ses agents communaux, cela serait regrettable et problématique d’un point de vue du service rendu à la population mais cela serait sa décision, ajoutent les signataires. Nous ne partageons pas cette vision et pensons au contraire, que dans un territoire comme le nôtre, il est essentiel de travailler avec des agents publics investis dans leur mission de service public. Pour mémoire, depuis 2016, la CCLTB a repris un certain nombre d’agents de la commune de Tonnerre… ».

 

 

Pas de hausse de la fiscalité prévue en 2023…

 

Quant à la commission « Enfance-Jeunesse », elle travaille à l’amélioration de la qualité des services proposés ainsi qu’à la recherche d’optimisation des coûts par d’éventuelles mutualisations, compte tenu de la diminution constante du nombre d’élèves.

En 2023, 980 enfants fréquentent au quotidien l’ensemble des écoles du Tonnerrois contre 1 332 il y a sept ans. A ce jour, aucune décision de fermeture de sites n’a été prise par le conseil communautaire.

Ce qui fait dire aux élus de la CCLTB par document interposé « qu’il est regrettable que Tonnerre ne pense qu’à Tonnerre alors que la commission « Enfance-Jeunesse » travaille pour l’ensemble du territoire et de ses habitants. La compétence scolaire concerne en effet les quatorze établissements scolaires du territoire et pas seulement la seule ville de Tonnerre… ».

Autre sujet permettant d’être très factuel : le budget 2023. Il ne propose pas d’augmentation d’impôts.

 « Aucune instance de la CCLTB ayant pouvoir de décision n’a validé une augmentation de la fiscalité, lit-on sur ce texte. En ce qui concerne la gestion de l’aire d’accueil des gens du voyage, la préfecture travaille actuellement sur un plan départemental dont nous attendons les résultats. La CCLTB va encore engager des investissements pour augmenter la capacité d’accueil de la crèche intercommunale à Tonnerre. Ce projet aura bien lieu car il est nécessaire pour nos enfants comme les parents… ».

 

 

Santé et mobilité au cœur des préoccupations territoriales…

 

Le volet du développement économique du territoire est aussi au cœur des actions de la communauté de communes. Dans l’absolu, quatre entreprises désirent ainsi s’installer sur la ZAC « Actipôle », située à Tonnerre.

« Par ailleurs, souligne les rédacteurs du texte, nous sommes le plus gros contributeur du CDET (Centre de Développement économique du Tonnerrois) et en assurons la vice-présidence… ».

La santé et la mobilité demeurent des prérogatives essentielles sur ce territoire, à l’instar d’autres zones géographiques de l’Yonne. La CCLTB rappelle qu’elle a favorisé l’installation de trois médecins à Tonnerre et qu’elle continue de travailler à la venue de nouveaux professionnels de santé sur zone.

« A ce propos, ironise le texte, si Monsieur CLECH a une solution réelle pour faire venir de nouveaux professionnels de santé sur notre territoire, qu’il nous la fasse connaître ! Le manque de professionnels de santé, notamment en milieu rural, est un phénomène national… ».

Quant à la mobilité et le manque d’accès à des bornes de recharge destinées à alimenter les véhicules électriques, elle est aussi un sujet de discorde.

« De nombreuses personnes se plaignent de ne pas avoir accès à ces bornes au centre de Tonnerre, qu’attendent donc les élus de cette ville pour agir ?

De son côté, la communauté de communes dans le cadre de son champ de compétences favorise la mobilité des personnes en retour à l’emploi en mettant à disposition des véhicules qui sont aussi localisés à Tonnerre. Nous allons d’ailleurs continuer à développer ce parc de véhicules à l’avenir... »

 

 

La piscine municipale de Tonnerre et ses coûts d’entrée…

 

Reste le dossier se rapportant à la piscine municipale. Celle de Tonnerre dont le montant payé annuellement par la CCLTB à la ville phare au titre des entrées des enfants à la piscine représente une part importante des recettes annuelles de l’infrastructure aquatique.

« Tonnerre nous a informé au dernier trimestre 2022 qu’elle allait augmenter ses tarifs d’entrées pour 2023. La CCLTB en bon gestionnaire a donc demandé à la commune de Tonnerre de lui transmettre par écrit le montant que cette dernière facturerait à la CCLTB. Malgré de nombreuses relances à ce sujet, la commune de Tonnerre est restée volontairement floue, en nous indiquant un certain montant plus une part variable annuelle. A ce jour, la CCLTB ne sait toujours pas combien va lui coûter les entrées des enfants à la piscine… ».

Ennuyeux avec l’amorce des beaux jours et le retour des activités aquatiques et rafraîchissantes !

 

Thierry BRET

 


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Pas de suspense à la Pyramide à Auxerre, antre du Conseil départemental de l’Yonne, ce jeudi matin ! Le budget primitif dont les grandes orientations avaient été largement commentées lors de sa présentation le 24 février dernier a donc été validé dans l’hémicycle comme une lettre à La Poste, sans l’once d’une contradiction et de voix opposées lors du verdict. Tout au plus, pourra-t-on relever à titre anecdotique trois abstentions issues de la minorité…

 

AUXERRE : L’exercice aura été tranquille, comme la traversée d’une mer d’huile, pour les représentants de la majorité départementale. Sur le papier, en amont de la séance plénière réunissant les élus ce jeudi dans l’hémicycle, il ne devait pas y avoir d’inquiétude. Le budget primitif 2023 devait être entériné à l’issue de cette journée de travail où chacun des vice-présidents de la vénérable institution y allait de son rapport, lignes directrices et chiffres à l’appui, en guise de perspectives stratégiques. Une simple formalité donc pour un exécutif confiant quant au résultat final du scrutin.

Au terme de cette session, sans véritable surprise, l’annonce de l’adoption du budget du Département corrobora cette impression de sérénité au sein de l’exécutif. Avec 39 voix positives, trois abstentions et zéro voix contraire, le Conseil départemental de l’Yonne a donc opté pour le « 39.3 » (le total du nombre des votants est rappelons-le de 42 élus) plutôt que le « 49.3 », ô combien d’actualité ce jour-là dans un tout autre hémicycle parisien, pour entériner son budget !

De quoi donner le sourire à Patrick GENDRAUD, satisfait de la tournure des évènements, qui devait saluer la qualité des orateurs durant leurs interventions et « l’esprit de responsabilité » ayant animé l’assemblée départementale. On notera juste les trois abstentions émanant des rangs de l’opposition, un choix exercé par Frédérique COLAS, Cédric CLECH et Philippe BURIER.

 

 

Un président soucieux de fédérer toutes les énergies…

 

« L’excellente gestion des années passées, conjuguée à un maintien à un niveau élevé du volume des transactions immobilières, nous permet d’afficher un résultat brut de 62,5 millions d’euros à la clôture de l’exercice 2022, devait-il préciser. Notre durée de remboursement de la dette reste elle aussi particulièrement contenue, puisqu'elle s'établit à environ deux ans et demi, notre action ayant conduit à un recul de notre endettement de 100 millions d'euros en six ans… ».

Une situation qui offre ainsi des opportunités heureuses pour le territoire de l’Yonne. A commencer par le retour des investissements aux côtés des acteurs locaux. Face aux crises successives dont celles de l’énergie et de l’envolée des prix sur les matières premières, l’exécutif se mobilise sans relâche pour ne pas perdre de vue la nécessité de contribuer au bien-vivre des habitants et à l’attractivité globale de sa zone de prédilection.

 

 

Proximité et attractivité restent les deux mamelles nourricières d’une institution qui disposera en 2023 afin de réaliser ses missions régaliennes d’une enveloppe budgétaire globale de 500 millions d’euros en fonctionnement et en investissement. Dans les faits, cela se traduira, pour assouvir ses propres missions et besoins, par l’affectation de près de 85 millions d’euros à l’investissement, à l’instar de la trentaine de millions d’euros consacrés aux travaux de réfection des voiries et des vingt-deux millions destinés à l’amélioration des collèges.

A l’écoute des projets portés par les communes et les intercommunalités, le Conseil départemental continuera à agir, au-delà de ses propres compétences, en appui de ces organismes institutionnels grâce au « Pacte Territoires ». Un concept partenarial apparu en 2022 et qui a porté ses fruits. Il a déjà favorisé le soutien de près de 250 opérations réalisées à l’échelon local.

 

 

Agir au profit des communes et des cantons…

 

Patrick GENDRAUD s’en fait l’écho dans ses analyses : «  Qu'il s'agisse d'opérations modestes - mais essentielles à l'échelle de nos villages - ou plus ambitieuses, cela représente un total d'investissement de près de 60 millions d'euros. Cela démontre bien que l'Yonne a des projets, et qu'il y avait une réelle attente… ».

Une petite flèche, adressée au passage, aux éternels râleurs et réfractaires en tout et en rien qui ne croiraient pas aux potentialités économiques offertes par ce département, parfois moqué par ses diverses désertifications !

Puis, l’élu de rajouter : « Tous mes collègues et moi-même sommes conscients des responsabilités qui sont les nôtres et des défis à relever. Nous resterons très vigilants en matière de fonctionnement, mais conservons tous ensemble l'envie et l'ambition d'agir au profit de nos cantons et territoires. Nous le faisons de manière cohérente et pragmatique, sans démagogie, et resterons d'abord guidés par l'intérêt général… ».

Dès lors, après ce budget primitif entériné à la quasi-unanimité, le Département et ses élus peuvent désormais dérouler leurs partitions tel un orchestre symphonique sans fausse note qui aurait à la baguette leur président, convaincu que « les décisions prises en 2023 seront positives pour l’Yonne et son développement… ». Une manière de mieux appréhender l’année 2024 ?

 

Thierry BRET

 


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Menée sur les secteurs de l’Avallonnais et du Tonnerrois depuis le début de l’année, l’expérimentation s’est mise en place dans notre territoire avec le concours de Pôle Emploi et le suivi de l’Etat. Permettre aux bénéficiaires du RSA de retrouver le chemin qui conduit à la vie active n’est pas un vœu pieu pour le préfet de Région Franck ROBINE et le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD à l’unisson sur le sujet…

 

AUXERRE : Il ne pouvait pas conclure la conférence de presse qu’il accordait aux médias de l’Yonne, lundi en début d’après-midi, sans faire une allusion au dispositif orchestré dans une vingtaine de départements – dix-neuf avec exactitude dont celui de la Bourgogne septentrionale – relatif aux bénéficiaires du RSA, acronyme se rapportant au « Revenu de Solidarité Active ».

Un item primordial pour le préfet de Région Franck ROBINE. Tant les tensions actuelles sur le marché du travail sont importantes et pénalisent de manière inéluctable les entreprises dans leur besoin à recruter.

Saluant l’initiative du Département de l’Yonne – notre contrée a été choisie par la gouvernance étatique pour expérimenter un nouveau dispositif de retour à l’emploi dans le cadre de la démarche « France Travail » qui vise les bénéficiaires du RSA -, le préfet de Bourgogne Franche-Comté, en visite ce lundi 13 mars dans la capitale de l’Yonne, félicita le président de l’exécutif icaunais, Patrick GENDRAUD, d’avoir bien voulu accepter l’expérience.

 

Près de 2 100 bénéficiaires du RSA sur les secteurs d’Avallon et de Tonnerre…

 

Pour faire simple, l’idée de la nouvelle organisation « France Travail » dont le gouvernement est le porte-étendard dans le domaine de l’emploi, est d’aider les bénéficiaires du RSA à retourner le plus vite possible vers une activité professionnelle.

Un monde du travail qui échappe parfois, sur une très longue période – une étude nationale démontre que cette absence de vie active peut allègrement aller jusqu’à sept années –, à ces personnes qui perçoivent le Revenu de Solidarité Active.

 

 

 

Dans l’Yonne et sous la houlette de la conseillère départementale Sonia PATOURET, très investie sur ce dossier – on se souvient de l’initiative « Brique à Brique » menée par ses soins avec détermination auprès de la filière du bâtiment avec le concours de la FFB, la CAPEB, la FRTP et la Chambre des Métiers et de l’Artisanat en 2021 -, ce sont près de 2 100 bénéficiaires du RSA (2 070 avec précision) des secteurs géographiques de l’Avallonnais et du Tonnerrois qui se sont donc lancés dans cette nouvelle aventure depuis janvier.

Des personnes qui profitent d’un accompagnement spécifique et adapté à leurs besoins afin de favoriser ce retour immersif dans l’emploi.

« Grâce à cet engagement du Département de l’Yonne, devait-il souligner, ce sont des femmes et des hommes qui vont retrouver du travail. Cette initiative est extrêmement importante dans la vie de ces personnes… ».

 

Le Département a le devoir moral de remettre les gens au travail…

 

Vu par le prisme départemental, le RSA représente une enveloppe de 60 millions d’euros à la charge de l’institution icaunaise. Un chiffre que ne manqua pas de rappeler Patrick GENDRAUD, complétant ainsi les propos liminaires de Franck ROBINE. Une somme versée aux 8 200 destinataires de ce revenu minimal. Un nombre de bénéficiaires qui s’érode légèrement depuis plusieurs années.

Exprimant sa fierté de voir que le département dont il assume la présidence avait été choisi par le dispositif « France Travail » pour cette phase test, élément précurseur sans aucun doute avant le maillage hexagonal qui se fera par la suite, l’ancien maire de Chablis rappela que bon nombre d’offres d’emploi fleurissaient çà et là.  

Il cita, à titre d’exemples, le monde viticole et ses trois cents postes non qualifiés à pourvoir de suite ; les neuf cents opportunités qui ont été identifiées sur le domaine de la restauration et de l’hôtellerie ; etc.

Des arguments faisant dire au patron de l’exécutif que « l’organisme qu’il représentait avait un devoir moral de remettre les gens sur le chemin du travail… ».

Selon lui, les premiers frémissements se faisaient désormais ressentir dans ces deux secteurs de l’Avallonnais et du Tonnerrois, avec l’implication accrue de Pôle Emploi.

« Je pense que nous sommes sur la bonne voie avec cette démarche initiée par « France Travail », devait-il préciser en guise de conclusion.

Une conclusion devant satisfaire un Franck ROBINE pédagogue sur le sujet, mettant un terme à ce deuxième rendez-vous relationnel avec la presse départementale.

 

Thierry BRET

 


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La sortie du palmarès étoilé « Michelin », puis de sa version papier en librairie, constitue chaque année un marqueur de l'actualité gourmande. Bien sûr, ce « jeune homme » de 123 ans que l’on peut trouver parfois un peu trop ou pas assez en matière d'avis, reste une référence à laquelle votre serviteur n'échappe pas d'ailleurs ! La version papier, après quelques errements passés, semble avoir enfin retrouvé quelques-uns de ses fondamentaux…

 

TRIBUNE: Une couverture rigide, un référencement alphabétique des localités, en lieu et place d’un ridicule classement régional ainsi que des hôtels, supprimés en 2022 (on se demande bien pourquoi ?!) : si « Bibendum » veut avoir l'air d’être dans le vent, il ne doit pas cependant négliger les basiques du succès qu'il constitua jadis avec soin d'ailleurs !

Un petit bémol pourtant : la catégorie « Bib gourmand » apparaît désormais sans limite tarifaire. Celle-ci constituait depuis 1997 (date de la création de cette catégorie) un marqueur aussi net que  précis : tel prix pratiqué en province, un peu plus cher à Paris.

Qu’en est-il de cette édition 2023 pour le département de l’Yonne ? C’est le statu quo. L’Yonne est à marée basse avec seulement deux « Bibs gourmands », accordés aux « Chenets » à Valloux et aux « Trois Bourgeons » à 

Chablis. Alors qu’il y en eut jusqu’à six, voilà peu ! Comment comprendre l'absence de cette distinction pour la bonne cuisine servie au « Rive Gauche » de Joigny ?

Du côté des tables étoilées départementales, elles sont au nombre de trois : « La Madeleine » à Sens, « Le Château du Vault-de-Lugny » ainsi que « La Côte Saint-Jacques » à Joigny. Cette dernière laisse désormais apparaître le nom prometteur du jeune neveu de Jean-Michel LORAIN, Alexandre BONDOUX, agir aux côtés de son auguste oncle, y constituant ainsi la quatrième génération de cette saga familiale. 

 

 

L’Yonne évolue en seconde division par sa présence culinaire…

 

Une nouveauté est à signaler : le référencement du « Noyo » à Auxerre. Cela avait été annoncé dans nos colonnes voici quelques semaines. C'est indéniable,  l'Yonne mériterait un peu mieux en termes de présence...

Difficile cependant de rivaliser avec des départements comme la Vendée, le Vaucluse, le Var, les deux Savoie, le Rhône, l'Alsace, les Pyrénées-Atlantiques, le Nord - eh oui ! - le Morbihan, le Maine-et-Loire, la Loire-Atlantique, la Loire, le Loir-et-Cher, l'Indre-et-Loire, l'Ille-et-Vilaine, l'Hérault, la Gironde évidemment, le Finistère, la Dordogne, la Charente-Maritime, le Calvados, les Bouches-du-Rhône ou encore les Alpes-Maritimes.

Ces départements constituent une sorte de « Ligue 1 » touristique, et nous ne sommes qu’en division inférieure avec seulement quinze adresses référencées. La Nièvre pointe, quant à elle, parmi les derniers du peloton avec cinq établissements…

 

 

 

Pas grand-chose à se mettre sous la dent en Bourgogne, côté nouveautés !


On peut penser aussi que nos dirigeants départementaux et autres collectivités pourraient impulser quelque chose en la matière, en essayant d'accueillir de jeunes talents culinaires et faciliter ainsi leur installation grâce à des aides. Que sais-je ?

Reconnaissons que cela ne semble pas à l'ordre du jour ! Même le magazine d'informations du Département a supprimé la petite chronique des tables locales, c'est dire !
Peu de nouveautés en Bourgogne, sauf en Côte d'Or où deux tables « bobos » dijonnaises émergent, une table au cœur du joli vignoble de Saint-Aubin, une auberge dans la belle bourgade de Semur-en-Auxois et aussi  « L'Auberge de Guillaume », sise à Vandenesse-en-Auxois. Le truculent chef MOF qui la dirige méritera sûrement notre attention gourmande l'année durant, avant le Michelin 2024 !

Le guide adore être là où on ne l'attend pas forcément. Là est aussi sa force !

 

 

Si deux étoiles étaient vaguement attendues dans la verdoyante Saône-et-Loire, il faut reconnaître qu'on les voyait attribuer ailleurs qu'à « L'Amaryllis », sise  à Saint-Rémy, au sud de Chalon-sur-Saône.

Après Sennecey-le-Grand, le chef Cédric BURTIN s'est établi dans ce paisible moulin, voilà une douzaine d'années. Ce cuisinier au fort joli parcours (il a été formé par le formidable Daniel DOUCET à Charolles, puis par Pierre ORSI à Lyon, enfin par Paul BOCUSE par la suite...) est valorisé par le « Michelin » pour sa cuisine sublime et ses sauces superbes.

Nous vous y emmènerons un de ces jours prochains, d'autant que le service y est décrit comme impeccable. Bravo à ce chef quarantenaire et sa brigade ! La Bourgogne compte désormais vingt-trois tables possédant une étoile, cinq tables aux deux étoiles (l'une devrait fermer néanmoins en cours d'année à Saint-Amour...) et une table trois étoiles à Chagny (« Chez Lameloise »).



Gauthier PAJONA

 

Dans la seconde partie de cette rubrique à paraître, gros plan sur le nouveau triple étoilé de cette édition, « La Marine », sur l’île de Noirmoutier…

 

 

 

 


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