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Situé au dernier étage de la Villa LOISEAU des Sens à Saulieu (Côte d’Or), le « Spa suite VIP » représente un fantastique écrin de détente salvatrice, fait d’esthétisme et d’intimité, qui est fonctionnel depuis le 14 février, jour de la Saint-Valentin. Tout un symbole en vérité. Ce cocon haut-de-gamme aux aspects insolites et à la décoration douillette se découvre comme un véritable spa privé permettant de prolonger à l’identique d’une suite luxurieuse une expérience unique, vécue hors des contraintes temporelles. En ayant le regard rivé sur les monts de l’Auxois et le jardin du Relais Bernard LOISEAU…

SAULIEU (Côte d’Or) : Ouverte à la clientèle depuis la dernière période estivale, la Villa LOISEAU des Sens, complexe de spa et de restauration intégré au sein du fameux Relais Bernard LOISEAU, offre depuis quelques jours un nouvel aperçu de sa typicité en matière d’accueil exceptionnel.

L’ultime étage de cette flamboyante construction accueille un spa privatif de 75 mètres carrés, le « spa suite VIP ». Celui-ci vient de révéler ses trésors inestimables à l’occasion de la fête des amoureux, le jour de la Saint-Valentin.

Pouvant recevoir jusqu’à huit personnes durant la journée, cette pépite synonyme de tranquillité et de repos pour ses occupants, toute habillée de bois, permet une vision panoramique sur les paysages environnants grâce à l’importance de son vitrage.

Un havre de paix et de détente intérieure…

Structurellement, l’ensemble comprend une grande cabine de soins en duo, un hammam, un sauna et une balnéothérapie tandis que le centre de la pièce reçoit une majestueuse cheminée contemporaine du plus bel effet.

Les hôtes de ces lieux bénéficient des avantages liés à la prestigieuse maison. Room service, champagne, petits fours, accès aux espaces sensoriels du spa de la villa, soins à l’estampille de la célèbre marque avec des produits à base de cassis de Bourgogne…bref, un luxe dont il ne faut pas se priver et dont on peut disposer le temps d’une journée, d’une demi-journée, voire lors d’un séjour avec une nuitée pour deux personnes. La lune de miel idéale pour vivre des instants peu communs.

Etendu sur quatre niveaux et offrant 1 500 mètres carrés de superficie, le spa de la Villa LOISEAU des Sens (l’un des plus beaux d’Europe) s’agrémente des équipements dernier cri : un univers multi-sensoriel et un univers plus voluptueux.

Un complexe vertueux ayant nécessité un budget de 6 millions d’euros…

Quant à la partie restauration, la clientèle ne possède que l’embarras du choix entre le gastronomique du Relais qui a permis à la maison d’être reconnue de manière planétaire. Ou le nouveau concept, très affriolant dans l’assiette, au restaurant LOISEAU des Sens, grâce à une cuisine exaltante pour les papilles entre santé et plaisir, concoctée par le chef Japonais Shoro ITO. Avec le concours du pâtissier Rudy YIU, le maître-queue de la gastronomie bourguignonne élabore une carte de mets novatrice qui s’inscrit dans l’expérience globale du bien-être et de la succulence.

Destiné aux clients du Relais comme aux personnes extérieures, ce complexe, spa, spa suite VIP et restaurant, aura été élaboré au terme de quinze mois de travaux, avec la création de vingt emplois à la clé. Le tout pour un investissement global de 6 millions d’euros…


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Vingt ans après ses débuts et avec plus de quatre cents victoires à son actif, la formation tricolore ouvre un nouveau chapitre de son existence. En se fixant des objectifs ambitieux sur les trois grandes courses mythiques de la saison (le Giro d’Italie, le Tour de France et la Vuelta d’Espagne). Des retrouvailles qui ont été entérinées lors de la présentation officielle de la nouvelle parure qui garantit une très bonne visibilité au cœur du peloton aux deux partenaires économiques français, acteurs clé du sponsoring sportif…

PARIS : A compter du 04 mars prochain, au départ de l’édition 2018 de Paris-Nice, l’équipe cycliste GROUPAMA-FDJ arborera fièrement une toute nouvelle tenue. Mettant en exergue les coloris bleu, blanc et rouge qui symbolisent les ambitions de cette écurie sportive de haute volée de devenir à brève échéance la première formation française.

Au-delà de la vêture, la philosophie et les valeurs défendues par l’équipe demeurent identiques à celles de ses lointains débuts. Avec à sa tête, le directeur sportif Marc MADIOT, figure emblématique de cette discipline que l’on ne présente plus dans le giron du cyclisme professionnel international.

Une montée en puissance avec le soutien des sponsors

Acteurs majeurs du sponsoring en France, GROUPAMA et la Française des Jeux ont décidé de se fédérer autour de ce projet sportif, partageant de l’avis de leurs deux responsables nationaux dont Thierry MARTEL (GROUPAMA), le goût de la victoire.

De l’avis des spécialistes, l’objectif est de pouvoir jouer les premiers rôles dans le concert du cyclisme mondial, à la fois dans le cadre des épreuves légendaires comme sur l’ensemble des compétitions françaises, fortes d’une centaine de jours de course à l’année.

Mature, et déjà performante lors de ce début de saison sur l’Etoile de Bessèges, la formation a vu son effectif se renforcer en adoptant des modèles d’entraînement très optimums. A ce titre, Marc MADIOT devait expliquer la stratégie de son team lors d’une conférence de presse.

Le manager s’est ainsi projeté sur la période 2019 où de nouveaux recrutements seront prévus afin de monter en puissance cette nouvelle équipe. Toujours dans le souci d’optimiser cette vision à long terme, le directeur sportif, aux côtés de ses deux partenaires qui ont permis d’augmenter de 30 % le budget annuel de fonctionnement cette année, envisage la création d’une structure parallèle afin de favoriser l’éclosion de jeunes prodiges.

Deux leaders du cyclisme français à la tête de la formation…

L’équipe GROUPAMA-FDJ a considérablement revu ses ambitions à la hausse cette saison. Grâce à la présence de sept nouveaux coureurs, choisis minutieusement pour épauler les deux têtes de liste de cette entité : Arnaud DEMARE et Thibaut PINOT. La formation tricolore aura à cœur de briller sur les routes du Tour de France, du 07 au 29 juillet, en allant chercher des victoires d’étapes en plaine mais aussi en montagne. Le gain du maillot à pois et du maillot vert demeurant en ligne de mire…

Mais, Marc MADIOT aspire à renouveler les jolies performances de 2017 sur le Giro (04 au 27 mai) où sera aligné Thibaut PINOT et la Vuelta (25 août au 16 septembre). Le champion de France, Arnaud DEMARE, orientera ses choix vers les classiques du printemps, notamment Milan San-Remo du 17 mars et la légendaire course Paris-Roubaix (08 avril).

Etre un acteur incontournable du peloton mondial et français s’inscrit donc parmi les priorités de ce groupe qui souhaite briller de mille feux sur l’ensemble de cette saison…


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31 500 ovins ont été engraissés sur le département de l’Yonne au cours de l’année 2017. Preuve à l’appui que cette filière spécifique pourrait permettre à terme aux exploitations agricoles de retrouver une pérennité économique solide si elles acceptent les principes de la diversification de leurs productions. C’est une brèche très intéressante dans laquelle va s’engouffrer en 2018 la Chambre d’agriculture départementale en assurant la promotion de cet élevage…

AUXERRE : L’agneau de l’Yonne connaitra-t-il un jour le même succès que le pré-salé de la baie du Mont Saint-Michel ou d’autres variétés toutes aussi goûteuses et renommées de notre hexagone ?

En tout cas, les acteurs de la Chambre d’agriculture de l’Yonne y croient presque dur comme fer ! L’idée de réintroduire l’élevage ovin en grande quantité sur les terres de notre territoire se bouscule dans les esprits aguerris des techniciens de la chambre consulaire et de leur président, Etienne HENRIOT.   

En lien étroit avec « ALYSE », l’organe institutionnel souhaite concrétiser ce nouveau projet dès 2018. Mais pas tout seul : avec le partenariat obligatoire des acteurs locaux.

Répondre aux attentes d’un partenaire industriel local…

Partant du postulat que le département de l’Yonne dispose d’un outil d’abattage ovin plutôt exceptionnel (celui localisé à Migennes et géré par le groupe SICAREV via l’antenne de l’ex-SICAVYL), les responsables de la chambre consulaire ont décidé d’agir sur ce dossier pouvant s’avérer vertueux et bénéfique pour les exploitants agricoles du terroir.

Le groupe SICAREV qui a investi sur le site d’abattage de l’Yonne espère atteindre une production ovine de 3 000 agneaux par semaine au lieu des mille bêtes actuelles ; d’où un nécessaire besoin d’agneaux qui suppose sortir du cadre opératoire habituel requérant l’approvisionnement par des importations animales…

« Nous avons décidé d’analyser la situation de cette structure très sérieusement, explique le président Etienne HENRIOT, cela suppose nécessairement la mise en place de circuits courts dans les codes alimentaires… ».

Une aubaine pour l’optimisation de la filière ovine française qui souffrait jusque-là de l’importation massive des agneaux de Nouvelle-Zélande, filière un peu en berne et qui connaît un léger essoufflement à l’heure actuelle. Une fois engagé, ce plan de relance de l’élevage ovin dans le département conçu avec le concours d’ALYZE se déclinera autour de plusieurs actions.

Un plan d’action qui comprendra de l’information et du pragmatisme…

L’organisation d’une conférence économique à l’échelle du territoire est prévue. Elle aura pour objectif de sensibiliser les opérateurs périphériques tels que les banques, les centres de gestion et de comptabilité et les organismes économiques à soutenir cette initiative.

De leur côté, les agriculteurs profiteront d’une journée spécifique consacrée aux bâtiments accueillant de l’élevage ovin afin de se familiariser avec les codes rudimentaires de cette filière.

Enfin, la chambre consulaire prévoit aussi en troisième temps la déclinaison de ce thème via des manifestations prônant l’innovation en agriculture (le concept Innov’Actions).

Commentaire du président HENRIOT : « nous devons jeter toutes nos forces en faveur du développement de cette stratégie ovine dans le département en initiant les outils nécessaires à son essor… ».

2018 sera-t-elle donc l’année du mouton et de l’agneau dans l’Yonne ? La recherche de nouvelles options permettant de pallier les impacts négatifs engendrés par les multiples aléas climatiques passe peut-être par cette piste de réflexion. Dès lors, à charge pour la Chambre d’agriculture de l’Yonne de convaincre très vite l’ensemble de ses partenaires de la pertinence d’un dossier aussi inattendu…


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Le Salon de l’Agriculture se profile à très court terme à Paris porte de Versailles. Il occupera l’intérêt des forces politiques et médiatiques comme le veut la tradition au cours de ces prochains jours. Pour autant, l’évènement ne permettra pas de faire oublier les douze mois de transition que fut 2017 après la catastrophique année 2016. Une période qui aura laissé de sérieuses traces auprès des filières agricoles et viticoles de l’Yonne, confrontées aux intempéries multiples : gel, inondations, grêle, excès d’eau. Soit une perte de 50 % de chiffre d’affaires pour les exploitations qui espéraient beaucoup mieux de cette année antérieure. Mais, cela n’aura pas été le cas avec au contraire des difficultés qui sont demeurées les mêmes, voire qui ont empiré. Fragilisant un peu plus l’agriculture départementale qui n’avait pas besoin de cette conjonction infernale d’aléas climatiques, tarifaires et sanitaires pour se refaire une santé durable...

AUXERRE : Se poser les bonnes interrogations est devenu nécessaire à l’heure actuelle dès que l’on évoque la pérennité du secteur agricole en France. Malheureusement pour les professionnels, confrontés à la multiplicité des aléas de toute sorte depuis plusieurs saisons, la problématique reste entière. Et l’attente des premières préconisations issues des Etats généraux de l’Alimentation voulus par le gouvernement d’Edouard PHILIPPE dernièrement n’en est que plus importante. Car, les orientations agricoles définies par la gouvernance de l’Etat français doivent aboutir à quelque chose de radicalement concret en s’intéressant à l’évolution indispensable des exploitations. Le verdict devrait être connu d’ici le terme du premier trimestre.

En attendant, les spécialistes et les professionnels de la filière, à l’instar du président de la chambre d’agriculture de l’Yonne, Etienne HENRIOT, ronge leurs freins. « Comment cela va-t-il réellement se traduire dans les faits ? Nous n’en savons rien, déclare-t-il sans ambages, mais la protection des revenus des agriculteurs est aujourd’hui notre grande priorité… ».

L’évolution de la compétitivité du modèle agricole européen se trouve dans le viseur des professionnels qui espèrent des actes aux bonnes intentions. « Un président de la République qui construit des discours où tout le monde est content et satisfait ne solutionne pas forcément les problématiques ! Le loup est une espèce de plus en plus présente dans notre écosystème à la grande joie des protecteurs de l’environnement et des écologistes. Certes ! Mais, dans le même temps, il faut bien que les bergers vivent de leur métier en préservant leurs troupeaux… ».

Bref, la cohérence est de rigueur pour le président de la Chambre départementale qui souhaite que la revalorisation des prix de vente soit enfin au rendez-vous afin de permettre une nette amélioration de la situation financière des exploitations.

RéAgir 89 : un dispositif d’écoute et d’entraide très fonctionnel…

Quant aux agriculteurs vivant en plein marasme économique, ils peuvent bénéficier de la cellule de suivi, « RéAgir 89 », où de nombreux partenaires des filières agricoles et du monde institutionnel se donnent rendez-vous de manière constante pour accompagner les dossiers. Quatre-vingt-dix contacts alarmants auront ainsi été initiés sur la seule année 2017. In fine, sept professionnels seront dans l’obligation de suspendre leurs activités. « On s’attendait néanmoins à un chiffre beaucoup plus important, relativise Etienne HENRIOT, malgré les aides de la PAC (Politique agricole commune), bon nombre d’agriculteurs sont dans le rouge au niveau de l’endettement. C’est quasi invivable en terme de trésorerie pour certains. Cependant, il existe un phénomène de résilience qui s’installe petit à petit. Sachant que nous souhaitons tous que l’année agricole/viticole 2018 soit meilleure. Par exemple, des agriculteurs du Tonnerrois ont réalisé moins de chiffre d’affaires en 2017 que l’année précédente. Forcément, cela nous interpelle… ».

D’autres dispositifs d’accompagnements ont été mis en œuvre face aux difficultés des exploitations : les allègements fiscaux et sociaux avec les concours de l’Etat et de la Mutualité Sociale Agricole (MSA), accompagnement du paiement d’intrants par les organismes économiques, gratuité d’interventions stratégiques proposées par des structures de conseils comme CERFRANCE.

S’il est martelé dans les propos que les solutions miracles n’existent pas, des initiatives judicieuses sont tout de même tentées. A commencer par la promotion de la diversité des cultures et l’allongement de la rotation de celles-ci au plan environnemental.

« Le chanvre, avec le développement de structures comme EURO CHANVRE et CHANVRIERE qui installent de nouvelles usines plus proches de nous, représente une belle opportunité à ne pas négliger, poursuit le président de la chambre consulaire, a contrario, nous achoppons sur des marchés qui ne sont pas extensibles comme le pois ou l’avoine nue. Quant à la betterave, elle a enregistré une hausse de la surface de production (une cinquantaine de producteurs sur le département de l’Yonne) et a réalisé de très bons rendements. Mais, la volatilité des prix demeure une réelle problématique comme pour les céréales… ».

Bilan mitigé pour les diverses productions de l’Yonne

Pour les grandes cultures, certains secteurs à l’instar du Tonnerrois et des Plateaux de Bourgogne ont à nouveau subi un triste sort du fait d’éléments météorologiques complexes. Les cultures d’automne (maïs, tournesol, chanvre…) ont confirmé leurs bons rendements. Mais, la baisse historique des cours mondiaux pratiqués sur les céréales aura donné un coup d’arrêt spectaculaire à toute espérance de voir le rattrapage des conséquences néfastes de l’exercice 2016.

Si les prix ont certes flambé du côté de la viticulture, les difficultés de trésorerie sont demeurées identiques. Les volumes n’étant plus là, les marchés à l’export ont reculé et récupéré par une concurrence exacerbée faute de pouvoir répondre aux attentes du marché.

L’élevage n’a pas été épargné par les vicissitudes conjoncturelles. La sempiternelle problématique de la faiblesse des cours sur le lait et la viande est revenue à la une de l’actualité sans que de réelles avancées soient faites avec les distributeurs.

Un point détaillé sur la régionalisation des chambres d’agriculture…

Intervenu le 01er juillet 2017, le rapprochement des chambres consulaires de Bourgogne et de Franche-Comté a généré le transfert des chambres départementales vers des entités régionales des personnels affectés aux missions dites de support : la comptabilité, les finances, les ressources humaines, l’informatique, les études économiques…).

La future organisation d’un séminaire permettant de tirer les premiers enseignements de cette fusion devrait s’inscrire à l’ordre du jour de ce prochain semestre. Il y sera aussi question de l’application du texte de la loi « ESSOC », loi pour un état au service d’une société de confiance, qui prévoit dans son article 19 la possibilité pour le réseau des Chambres d’agriculture d’expérimenter de nouveaux modes organisationnels par regroupement en employeur unique, voire en structuration budgétaire unique.

Sur le volet de la méthanisation, Etienne HENRIOT rappela qu’il existait quelques grands projets qui se poursuivent avec des coopératives d’élevage sur le MIGENNOIS ou en Puisaye. Même si le problème d’alimentation des structures de méthanisation limite le nombre de projets car cela apparaît comme un véritable frein à leur développement, l’Yonne demeure le département de Bourgogne Franche-Comté où leur nombre est le plus élevé avec une dizaine de structures fonctionnelles.

Enfin, la région est aussi l’une des rares à avoir adopté le principe d’une règlementation des produits phytosanitaires à proximité des lieux d’habitation et des établissements publics à partir d’un arrêté préfectoral.


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Deux développeurs sur le web et un commercial viennent de rejoindre les effectifs de ce spécialiste de la communication digitale qui compte parmi ses clients le Muséum d’histoire naturelle de Paris, l’Institut du Monde Arabe ou de grandes écoles de commerce à travers la France à l’image de la Montpellier Business School. Pourvue d’un tel background, l’entreprise de Sens, codirigée par le tandem Brice BOREL et Thomas DA ROVARE, conforte ainsi sa présence indéfectible sur son marché à l’aune de son vingtième anniversaire, célébré cet automne, tout en légitimant de réelles ambitions…

SENS : De douze personnes opérationnelles au début de l’année 2017, l’effectif de la société NET.COM s’est valorisé au cours de ces dernières semaines en bénéficiant des renforts de trois nouveaux salariés agrégés au développement commercial et technologique de l’entreprise.

Ce choix stratégique a été entériné par les deux garçons talentueux qui officient à la tête de cette belle structure depuis bientôt deux décades, Brice BOREL et Thomas DA ROVARE. Car, pour eux, 2018 restera une période de référence dans l’histoire évolutive de leur concept, basé sur la déclinaison d’une forte valeur ajoutée technique et éditoriale en direction des milieux entrepreneuriaux, des collectivités et des institutions.

La commande publique : une source profitable de contrats…

80 % des activités professionnelles de la structure se réalisent par le truchement de la commande publique avec des orientations qui oscillent vers le secteur de la recherche (Laboratoire français de l’aérospatiale), le monde de l’éducation et de la culture mais aussi les chambres consulaires (la conception réussie du site national de l’artisanat), des centres hospitaliers ainsi que des offices publics de l’habitat.

Ayant consolidé son chiffre d’affaires l’an passé au-delà du million d’euros, NET.COM n’avait néanmoins pas d’autres alternatives que de recruter au second semestre 2017 afin de poursuivre sa marge de progression. L’agence de communication digitale propose un melting-pot de solutions web et mobile en concevant une stratégie qui intègre un planning d’animations des réseaux sociaux, l’achat d’espaces publicitaires, l’accompagnement et l’alimentation du site sur du long terme.

Concurrencer les plus grandes agences françaises…

Aujourd’hui, l’objectif des deux leaders est d’être en concurrence frontale avec les plus grosses agences de communication digitale de France. En particulier celles de Paris et de Lyon. Un projet évolutif qui passe par de la méthode, le profit apporté par le poids de la cellule recherche et développement mais aussi l’apport de nouvelles technologies glanées sur les salons internationaux de Shanghai et de Las Vegas, nécessaires de visiter à chaque édition annuelle.

Certifiée Iso 9001 depuis six ans, NET.COM n’en a pas pour autant omis le développement durable (RSE), en proposant des conditions de travail optimales et épanouissantes à l’ensemble de ses collaborateurs. Les plus anciens comme les petits nouveaux !


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