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Les impacts du numérique sur l’environnement sont multiples. Ils sont présents à toutes les étapes du cycle de vie des ordinateurs et autres objets connectés, de l’extraction de métaux précieux employés pour leur fabrication, à leur transport et leur utilisation. Avec ce constat sans appel : le numérique représente aujourd’hui plus de 4 % des émissions de gaz à effet de serre à travers la planète. Un chiffre appelé à doubler d’ici 2025. Le sujet est d’importance et n’a pas échappé à l’association « NumYco ». Pour sa première table ronde, le jour de son inauguration, elle avait choisi comme thème, « Les enjeux environnementaux du numérique ».

 

AUXERRE : Aussi paradoxal que cela puisse paraitre, plus on « dématérialise », plus on utilise de matière et d’énergie. Cobalt, Indium, Silicium, Tantale…, autant de métaux rares à l’extraction particulièrement polluante, nécessaires à la fabrication d’ordinateurs ou smartphones. La simple consultation d’une vidéo en streaming pendant une heure équivaut à la consommation annuelle électrique d’un réfrigérateur !

Aux impacts environnementaux du numérique, se rajoutent aussi des impacts sociaux, rappelle Alexandre FOULON, président de « NumYco « : « dès l’instant où l’on va faire fabriquer dans des pays étrangers où les règles du travail et notamment concernant les enfants, ne sont pas tout à fait les mêmes que chez nous… ».

 

Entretenir ses appareils numériques grâce aux mises à jour régulières…

 

Autre problématique majeure, celle du recyclage et de la valorisation des anciens matériels. D’autant qu’en trente ans, la durée d’utilisation moyenne d’un ordinateur a été divisée par trois, passant de onze à quatre ans. Pour Christophe IENZER, conseiller numérique à la CCI de l’Yonne, le sujet est d’autant plus prégnant qu’il y a urgence à trouver des solutions : « je suis aujourd’hui enseveli sous une montagne d’appareils électroniques en fin de vie, sans réelles solutions proposées pour leur recyclage, avec le risque final de les voir envoyés dans des montagnes de déchets en Afrique ou enfouis dans le sol. La difficulté étant de trouver des entreprises pouvant me proposer des solutions concrètes pour me débarrasser de ces appareils et leur donner une deuxième vie, récupérer leurs composants, recycler les plastiques, etc. ».

D’où l’importance, souligne Alexandre FOULON à prioriser dans ses achats, des matériels avec une durée de vie plus longue, « et de les entretenir en faisant notamment des mises à jour régulières permettant de les conserver ainsi plus longtemps… ».  

 

 

 

Réduire l’empreinte écologique : la priorité pour tous les acteurs de l’économie…

 

Pas de solutions « miracle » mais une dynamique se met en place progressivement avec le label « numérique responsable », une démarche globale visant à réduire l’empreinte écologique, sociale et économique des technologies liées à la communication et l’information. Autant d’axes d’action multiples, dont certains restent toutefois à identifier, explique Silvère DENIS, délégué général de BFC Numérique : « nous réfléchissons à la mise en place d’un diagnostic à proposer d’abord aux entreprises numériques et demain, plus largement à l’ensemble des acteurs économiques, pour pouvoir identifier plus finement l’impact du numérique et surtout, par où commencer pour s’améliorer. Aujourd’hui, cela reste très compliqué d’identifier les axes sur lesquels on peut agir et le bénéfice que l’on peut en attendre, mais c’est un domaine qui va évoluer rapidement, ne serait-ce que par la législation… ».

 

 

Des aides financières peuvent être mobilisées en ce sens, rappelle Bénédicte DOLIDZE, coordinatrice du Pôle Transition Écologique de l’Agence Économique Régionale Bourgogne-Franche-Comté (AER-BFC) : « notamment celles de l’ADEME, mais aussi du Conseil Régional, en particulier pour les plus petites entreprises de moins de 50 salariés faisant appel à un bureau d’études extérieur, qui peuvent tabler sur des aides de l’ordre de 70 %. Il ne faut surtout pas s’en priver, au risque de rentrer dans du green-washing… ».

 

 

Un nouveau festival qui verra le jour à Sens dès l’automne…

 

De cette réflexion autour du numérique responsable, va naître à l’automne prochain à Sens, du 19 au 21 octobre, le festival « ArboreSens », premier du genre sur le territoire, consacré aux impacts du numérique sur l’environnement. Avec pour objectif, explique Cyril ALIDRA, directeur du Pôle relation usagers et transformation de l'administration de la Communauté d'Agglomération du Grand Sénonais, « de sensibiliser à la fois sur l’impact du numérique mais aussi de parler de façon positive et montrer les solutions existantes, de partager les bonnes pratiques et cela, à destination du grand public et plus particulièrement, des jeunes générations… ».

Un festival qu’il souhaite d’ores et déjà installer dans la durée et en faire un rendez-vous annuel pour créer une dynamique « d’écosystème territorial ». 

 

Dominique BERNERD

 


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Onze, c’est le chiffre du jour ! Comme le nombre de sites répartis un peu partout à travers l’Hexagone – voire même à Mayotte où l’on s’y colle aussi ! – qui ont procédé en simultanée mardi matin au lancement du nouveau programme pour lutter contre l’exclusion numérique, porté par l’opérateur ORANGE. L’Yonne, une fois n’est pas forcément coutume, se situait sur le haut du pavé. Bénéficiant de la primeur de cette campagne nationale qui aura été dévoilée depuis MONETEAU…

 

MONETEAU : ODC. « Odyssée » si l’on épelle le sigle dans la langue de Shakespeare ? Curieuse coïncidence, en effet, quand on découvrira un peu plus tard, du fait des explicatifs fournis par les instigateurs du concept, la teneur exacte de cette déclinaison programmatique. Plus prosaïquement, l’acronyme signifie : « Orange Digital Center ».

De quoi s’agit-il ? C’est le nom de baptême d’un tout nouveau programme, à l’arborescence hexagonale – les DOM/TOM y figurent aussi -, destiné à faciliter la propagation et l’usage du numérique pour tous. Une véritable odyssée, donc, mais moins aventureuse qu’il n’y paraît car parfaitement maîtrisée à base d’un catalogue de propositions, pavées de bonnes intentions, qui justifie son existence dans la lutte contre la fracture numérique en France.

Une réalité, malheureusement encore observée à bien des égards, y compris en Bourgogne Franche-Comté. Pointée du doigt par les pouvoirs publics puisque 17 % des Français sont en situation d’illectronisme. Soit 13 millions de personnes.

 

 

Accessibilité et gratuité : c’est le principe du concept « ODC »…

 

C’est précisément de ce territoire – en particulier du département de l’Yonne à forte connotation rurale – qu’aura été inauguré ce mardi 07 juin, ce dispositif dédié à l’inclusion numérique applicable à la totalité de notre pays.

Le concept est accessible à tous. En outre, sa gratuité a été mise plusieurs fois en exergue par les représentants d’ORANGE qui en ont assuré la promotion. A commencer par la déléguée régionale de l’opérateur, Véronique MORLIGHEM, venue spécialement de Dijon, pour en expliquer le moindre détail. Elle était accompagnée de son aéropage de techniciens qui ont pu après coup assurer une animation conceptuelle autour de l’un des nombreux « ateliers numériques » déclinés par l’entreprise. Thème choisi : la protection de ses données personnelles. Fort utile par les temps qui courent !

 

 

Cibles à privilégier : les entreprises en manque de solutions…

 

« ODC » (Orange Digital Center) peut se comparer à une boîte à outils, pouvant être utilisée par les particuliers, mais aussi les professionnels qu’ils soient artisans, commerçants et autres. La jeune génération y trouvera son compte, également, avec des jeux de sensibilisation aux bons usages de la pratique numérique, des espaces « Fab Lab » servant aux expérimentations, des univers spécifiques pour fabriquer des prototypes, des conférences et des ateliers dont certains se destinent à accompagner les femmes cheffes d’entreprises.

Naturellement, le milieu économique demeure une des cibles privilégiées de ce nouveau dispositif. Surtout quand on sait qu’une société sur deux française manque de compétences en interne pour accompagner la montée en puissance des usages liés au numérique. Un retard qu’il est nécessaire de combler au plus vite au nom de la compétitivité.

 

 

Un programme élaboré avec le concours de collectivités et d’associations…

 

En parallèle, l’existence d’une plateforme (orangedigitalcenter.fr) complète ce dispositif vertueux. Elle est source d’informations pour tout connaître des lieux et des dates des évènements « ODC » les plus proches de son environnement. Plus-value apportée par cet outil : on peut accéder ainsi à des solutions de e-learning ou s’inscrire à des ateliers.

A maintes reprises, il a été rappelé que ce programme spécial, illustration étroite d’une osmose collaborative avec les collectivités locales et les associations évoluant sur tous les territoires, s’officialisait sur onze sites différents en ce jour de la Saint-Gilbert (07 juin).

Qu’il s’agisse de l’Alsace à Schiltigheim, dans le Nord à Roubaix, du côté de l’Isère à Grenoble, en Occitanie dans la Ville Rose (Toulouse), à Saint-Ouen ou à Rennes, l’Hexagone a voulu se mettre au diapason de la couleur du célèbre agrume qui porte le concept !

Comme il en a été de même à Saint-Pierre de la Réunion, Fort-de-France en Martinique ou Mamoudzou à Mayotte.

La commune périphérique d’Auxerre a pu elle aussi profiter de ce coup de pouce du destin pour créer l’évènement avec la présentation de ce programme, sous l’écoute très attentive du député de la circonscription, Guillaume LARRIVE, du vice-président du Conseil départemental en charge du développement numérique, Pascal HENRIAT, et de Sonia PATOURET, vice-présidente du Département en charge de l’insertion par l’emploi. Une matinée idéale pour l’édile de Monéteau et élue départementale, Arminda GUIBLAIN : elle n'est pas belle la vie ?!

 

Thierry BRET

 

 

 


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Avec ses 500 MG/W de projets installés dans l’Hexagone et ses 135 collaborateurs qui travaillent au quotidien à l’essor de l’entreprise, cet énergéticien européen – le groupe est né à Brême (Allemagne) en 1996 – occupe une position stratégique sur le développement des énergies renouvelables dans notre région. La preuve ? L’implantation du futur site éolien, accueilli sur les Hauts de l’Armançon, qui a été expliqué en long, en large et en travers à la communauté des « Positives Entreprises » de la CCI de l’Yonne…

 

AUXERRE: Si l’acronyme allemand dont nous vous ferons grâce de la traduction littérale (!) vous est encore méconnu, gageons qu’il n’en sera plus de même dans les semaines et mois à venir sur notre territoire de l’Yonne. WPD : cela ressemblerait presque à l’appellation d’une chaîne de télévision d’Outre-Rhin, et pourtant, il n’en est rien !

Fi de ses considérations cathodiques, née au beau milieu des années 90 chez nos voisins allemands, cette entité est aujourd’hui un acteur clé de voûte de tout l’édifice qui se construit façon puzzle autour de l’énergie renouvelable. Des énergies, devrait-on dire, puisque WPD ne se borne pas à développer l’éolien terrestre – l’un des procédés plus usités à l’heure actuelle – pour répondre aux enjeux de demain. Ce groupe aux deux mille collaborateurs s’est également spécialisé dans l’éolien maritime et le solaire. Une vingtaine de pays constituent désormais sa zone sectorielle de prédilection, dont la France où le groupe possède une assise régionale, implantée à Dijon.

Comptant la Caisse des Dépôts parmi ses associés sur certains projets en cours de réalisation, WPD a su répondre présente pour répondre aux initiatives pertinentes de trois élus de l’Yonne, soucieux de porter un projet éolien. Le fameux projet des Hauts de l’Armançon qu’ont pu découvrir il y a peu en toute transparence les membres de la communauté des « Positives Entreprises », une structure d’informations et de relations publiques, à l’estampille de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne.

 

 

Les entreprises du BTP sont déjà dans les starting-blocks !

 

Attentifs aux explications fournies avec moult détails et des slides très documentés par les responsables de WPD, les entrepreneurs de l’Yonne invités par la chambre consulaire n’ont pas perdu une miette de ce gâteau entrepreneurial qu’ils ont eu à déguster à satiété durant une bonne heure d’intervention. Certains étaient issus de la branche du bâtiment et des travaux publics, segment de l’activité économique prioritairement concerné par l’implantation de tels projets, synonymes d’emplois mais surtout de chiffre d’affaires à générer. Bref, du pain béni pour leur business, en somme !

 

 

Présente sur la totalité de la chaîne de valeurs, c’est-à-dire de la prospection jusqu’à l’exploitation du parc éolien, WPD se définit comme l’interlocutrice idoine. Sur une durée de vie du projet pouvant excéder les deux décennies selon les configurations. Une entité nouvelle, certes, pour beaucoup dans le département le plus septentrional de la Bourgogne mais qui a pour vocation de se pérenniser puisque WPD ne se cantonne pas à la construction et à l’exploitation des champs éoliens, la société en assure aussi le démontage une fois la limite d’exploitation atteinte par ces machines. Sachant que 95 % des matières utilisées à leur construction peuvent être recyclées.

 

 

Une filière économique, source d’emplois à la clé…

 

A date, plus de mille emplois ont déjà été créés par cette filière de l’énergie renouvelable depuis une vingtaine d’années en Bourgogne Franche-Comté. Cela ne semble pas se tarir, bien au contraire au vu du contexte environnemental qui pousse les gouvernances européennes à optimiser davantage ses nouvelles ressources, plus propres pour le milieu naturel.

En outre, comme il devait être mentionné lors de cette séance de travail, l’éolien demeure l’une des sources énergétiques les plus économiques du moment sur le marché. Une incontestable plus-value alors que les prix des énergies fossiles s’envolent de manière exponentielle et que la dépendance à la Russie oblige à accélérer tous les processus privilégiant d’autres alternatives.

Mercredi, la vice-présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté, l’écologiste Stéphanie MODDE, en charge de la Transition énergétique, se rendra sur les lieux de la future installation de ce parc éolien icaunais, fort à terme de dix-huit appareils. Elle y évoquera les enjeux de la biodiversité en se faisant remémorer la genèse de ce projet, initialement porté par les trois élus des localités de Nuits, d’Aisy-sur-Armançon et de Cry. Un concept qui est le fruit d’une concertation auprès de plus de quatre cents personnes et habitants de ce secteur oriental du département.

L’occasion, aussi, pour WPD de rappeler que la Bourgogne Franche-Comté est l’un de ses terrains de jeux prioritaires afin d’optimiser son plan de développement avec six autres dossiers déjà à l’étude…On n’arrête pas le progrès !

 

Thierry BRET

 

 


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Précurseur, le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne ? Oui, assurément. Sur un registre de plus en plus vaste, par ailleurs. Celui qui concerne la transition énergétique, sa véritable raison d’être au quotidien. La signature d’une convention de partenariat avec l’Université de Bourgogne et la SATT SAYENS l’atteste : le SDEY souhaite booster sa politique de recherche et développement avec les laboratoires universitaires. Incitatif pour accueillir des start-up régionales…

 

VENOY : C’était l’un des évènements majeurs parmi cet évènement. Eclectique dans son approche, entre la présence d’exposants et une trentaine de stands, et un plateau de conférences d’une pertinence aigue sur le sujet – les réels enjeux de la transition énergétique -, le Salon de l’Innovation 2022, porté par le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne (SDEY) comprenait un autre temps fort, haut en symbole au plan des retombées économiques à venir : la signature d’une convention de partenariat – plutôt un protocole d’accord-cadre avec exactitude – portant sur la coopération scientifique et technique avec l’Université de Bourgogne et la SATT SAYENS (Société d’accélération du transfert des technologies).

Soucieux d’impulser une réflexion s’appuyant sur la recherche et le développement, la fameuse « R&D » qui stimule d’ordinaire les industriels, le SDEY a voulu se rapprocher de ce pôle universitaire régional, qui englobe parmi ses ramifications plusieurs laboratoires. Des outils où les neurones et les expériences carburent à bon escient sur le sujet de prédilection de l’organisme institutionnel.

 

 

 

Les véhicules autonomes, l’une des priorités de ce partenariat…

 

Le contenu de cet accord se veut pragmatique. Il s’agit pour ses signataires de définir un cadre de coopération, de concertation et d’échange d’informations mais aussi de promotion et de suivi d’activités. Celles-ci se rapportant à la recherche, la formation, l’expertise et le renseignement scientifique définis sur un certain nombre de thématiques.

Les items, dans les grandes lignes, sont au nombre de quatre : l’amélioration de l’autoconsommation collective des bâtiments – cela induit la production, le stockage et les batteries -, le stockage des énergies et la réinjection sur les réseaux, des actions de développement à relayer au niveau du territoire, et, dernier point, tout un volet de réflexions sur l’optimisation des véhicules autonomes. A l’instar de ceux qui devraient être usités sur la commune de Vézelay.

Une louable intention de la part du SDEY qui possède un deuxième objectif derrière la simple signature de ce protocole, permettant de faire converger les esprits et les actes. Le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne aimerait devenir le partenaire idoine de start-up régionales, désireuses de croître et de prospérer. Un lieu pour les accueillir est déjà tout trouvé : les locaux que possède le SDEY à Migennes. Le Syndicat d’Energies en business center au service de la transition énergétique ? Rien d’impossible, en somme !

 

 

En savoir plus :

 

La signature de cet accord-cadre de coopération scientifique et technique a été ratifiée par Catherine GUILLEMIN, présidente de la SATT SAYENS, Vincent THOMAS, président de l’Université de Bourgogne et Jean-Noël LOURY, président du SDEY.

SAYENS a accès aux compétences et innovations des 6 500 chercheurs, 4 000 doctorants issus des 140 laboratoires de recherche publique répartis sur les régions Bourgogne Franche-Comté et Grand-Est (Lorraine, Sud Champagne-Ardenne et Troyes).

 

Thierry BRET

 


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C’était la fête à tous les étages à Montholon ! En effet, près de 260 personnes avaient répondu à l’invitation de la SARL PICON à l’occasion de la phase inaugurale de leur nouveau bâtiment. Les invités ont pu découvrir à loisir le dernier cri des véhicules exposés dont une superbe Renault Alpine, avant de visionner sur écran géant une rétrospective du garage.

 

AILLANT-SUR-THOLON : Ambiance festive au Garage PICON en cette fin d’après-midi du vendredi 13 mai. La cérémonie inaugurale du nouveau bâtiment qui accueille ce spécialiste de la réparation et de la vente automobile se sera déroulée dans un esprit de joie. Entre la restauration proposée par un « food-truck », privatisé pour la soirée, et la découverte de nouveaux modèles, de la marque hexagonale, Renault.

 

Une vraie saga familiale dans l’Aillantais…

 

Ouvert en 1962, le garage PICON n’a cessé depuis d’évoluer pour ajuster au mieux son offre vis-à-vis de sa clientèle. L’entreprise a été portée sur les fonts baptismaux en 1972 – soixante ans déjà, un bail ! -, par Georgette et Yves PICON. A l’origine orientée vers les machines agricoles, le couple opte pour une toute autre stratégie en proposant de distribuer les produits automobiles de l’enseigne aux losanges.

En 1977, leur fils ainé Jean-Yves les rejoint au pôle carrosserie. Il ouvre dans la foulée une station-service. Puis, au début des années 80, leur second fils, Luc part dans l’aventure : il prend la gestion de la réparation mécanique auto. Enfin, pour couronner le tout, quatorze ans plus tard, c’est au tour de la cadette de la famille, Christine, de venir apporter ses compétences de gestion et de comptabilité.

 

 

 

Avant qu’elle ne se dirige quelques années plus tard dans la vente des voitures et ne devienne la responsable des ressources humaines au sein de cette structure qui à ce jour compte seize personnes, réparties entre les deux sites de la société, à Aillant et à Appoigny.

Précisons qu’en 1995, les trois enfants modifient les statuts de l’entité en créant la SARL PICON. Ils sont également épaulés par la femme de Luc, Sophie qui s’occupe de toute la comptabilité, et de Pascal, le mari de Christine, technicien de la société.

 

Des investissements tant dans l’humain que le matériel…

 

Depuis cette équipe ne cesse de développer l’entreprise familiale, avec une réfection totale de l’atelier en 2004, puis le rachat de l’agence Renault à Appoigny en 2007, qui propose l’enseigne Citroën en plus de Renault et Dacia.

Durant la crise sanitaire, la société n’a pas trop souffert de la situation. Si ce n’est pour la formation du personnel, les aides au financement étant bloquées. La technologie se développant constamment dans l’automobile, avec entre autres l’arrivé de l’électrique, cela demande de trois à quatre stages de formations par technicien, avec des budgets de 5 000 euros par stage pour arriver à maîtriser cette technologie. Pour la SARL, cela nécessite qu’il y ait autant d’investissements dans l’humain que dans le matériel pour suivre la technologie et continuer ainsi d’évoluer afin d’apporter les compétences nécessaires à la clientèle.

 

Maryline GANDON

 

 


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