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Choisi par 44 habitants et entreprises de la commune, le gaz naturel a fait une entrée en grande pompe dans le paysage local, torchère et flamme majestueuse à l’appui. Un cérémonial qui précédait l’incontournable réception officielle où furent prononcés les discours expliquant les orientations stratégiques des instigateurs de ce dossier. Ayant nécessité un investissement de plus de 321 000 euros, l’installation est désormais opérationnelle. Elle illustre dans les faits l’étroite osmose résultant d’un partenariat initié entre le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) et GRDF, Gaz Réseau Distribution France.
SOUGERES-SUR-SINOTTE : Alimenter une commune en gaz naturel suppose un cahier des charges bien ficelé techniquement en amont de l’opération. Dans le cas présent, il aura fallu aménager sur près de 2,3 kilomètres le réseau de distribution ainsi que construire les quarante-quatre branchements individuels qui seront nécessaires aux futurs usagers de cette énergie.
C’est dans le cadre du financement de la réalisation de ce chantier qu’est intervenu le partenariat entre le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) et le distributeur d’énergie, GRDF.
Une enveloppe globale de plus de 321 000 euros a facilité le déploiement concret du gaz naturel sur le site.
A l’étude depuis une décennie, le projet a pu voir le jour grâce à la pugnacité des élus locaux. En particulier celle de Christian MOREL, maire délégué de Sougères-sur-Sinotte et celle de Robert BIDEAU, maire de Monéteau.
30 % de gaz vert d’ici 2030 : le défi de GRDF…
En présence de Thierry GAY, directeur territorial régional de GRDF et de Jean-Noël LOURY, président du Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne, le vice-président du Conseil départemental et maire de Monéteau rappela les étapes marquantes ayant conduit à la finalisation de ce concept.
Grâce à un important travail de lobbying, mobilisant les élus locaux et les responsables du SDEY (le directeur général Eric GENTIS et le directeur technique Edouard BURIER), le dossier a pu aller au terme de son déroulé légitime. Et, enfin, voir le jour de manière très significative à la plus grande joie de ses bénéficiaires.
Lors de sa prise de parole, le président du syndicat d’énergies insista sur les multiples services apportés aux collectivités qui sont en quête d’une optimisation de leur transition énergétique.
Quant à GRDF, le distributeur d’énergie ambitionne de faire circuler 30 % de gaz vert à horizon 2030.
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Energie : la transition vers le gaz naturel devrait connaître de l’ampleur en Bourgogne
janvier 29, 2019De passage en terre icaunaise afin d’inaugurer l’arrivée du gaz naturel dans l’une des communes de la périphérie d’Auxerre (Sougères-sous-Sinotte), le directeur territorial régional de GRDF, Thierry GAY, a exprimé son entière satisfaction au terme de ce chantier. Il marque ainsi l’aboutissement d’une concertation efficace avec le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) et la commune de Monéteau. Promouvoir le gaz naturel, énergie peu polluante et abordable financièrement auprès des collectivités et de leurs habitants, demeure l’une des missions premières de ce dirigeant…
SOUGERES-SOUS-SINOTTE : La Bourgogne ne pourra pas mathématiquement échapper à la déferlante du gaz naturel dans son mode opératoire énergétique à brève échéance. Bon nombre de projets mûrissent çà et là en faveur de cette énergie renouvelable, qui ne cesse de progresser sur le territoire en matière de parts de marché au côté de l’électricité.
Et ce ne sont pas les initiatives actuelles, prises par la direction régionale du distributeur d’énergie pour développer les projets de bio méthane à travers la contrée qui démentent le contraire. Notamment dans le département de l’Yonne, du côté de Chablis, avec la perspective probable d’une mise en route du dossier d’ici le terme de 2019.
Le gaz naturel et la méthanisation : deux axes prioritaires de développement…
La typographie de notre territoire à forte caractéristique rurale et agricole explique volontiers cet état de fait. D’autant que les agriculteurs en quête d’une diversification de leurs activités pour faire face à la crise récurrente qui les affecte recherchent à optimiser d’autres ressources financières. Aujourd’hui, de plus en plus d’exploitations sont sensibles au développement de la méthanisation, véritable source d’énergie verte.
« Nous n’en sommes qu’au début, confie Thierry GAY, en marge de l’évènement inaugural du jour, la transition énergétique vers le gaz naturel se poursuit localement dans l’Yonne mais aussi sur l’ensemble des territoires de la région Bourgogne ».
Le responsable de Gaz Réseau Distribution de France (GRDF) devrait connaître dans les prochaines semaines d’autres manifestations inaugurales de ce type, (voir l’article correspondant), à l’instar de celle qui l’a conduit dans la localité de Sougères-sur-Sinotte pour allumer symboliquement la torchère flamboyante célébrant l’arrivée du gaz.
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Le SDEY souhaite faire de l’Yonne un territoire intelligent en matière de transition énergétique…
janvier 28, 2019Outil au service des collectivités, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) célèbre sa cinquième année d’existence. Pourtant, l’entité présente déjà un bilan, riche d’actions et d’évènements. Permettant ainsi à la ruralité de bénéficier d’avancées technologiques similaires aux communes urbaines. Dirigé par Eric GENTIS, l’organisme prône un maillage équitable de vitalité et de modernité sur l’ensemble du territoire. L’an passé, 15,2 millions d’euros de travaux ont été réalisés pour accompagner les communes dans l’amélioration des réseaux d’énergie. Des résultats positifs et encourageants qui engendrent moult motifs de satisfaction de la part de son président, Jean-Noël LOURY…
AUXERRE : Partant du postulat que l’Yonne et la ruralité possèdent d’indéniables atouts, le SDEY poursuit avec le succès qu’on lui connaît depuis ses origines son bonhomme de chemin. En cela, 2018 aura permis d’accroître la vision stratégique de la structure, tout en optimisant les services et prestations pour le bienfait des collectivités.
Il suffit d’analyser le montant des travaux, en hausse de 2 % par rapport à l’exercice antérieur, pour bien comprendre la finalité du syndicat départemental d’énergies.
Moderniser le territoire ne s’apparente pas un simple leitmotiv de plus. C’est devenu au fil des missions un cheval de bataille récurrent qui est accompli avec professionnalisme et sérieux par les équipes de la structure.
Sur l’enveloppe globale de 15,2 millions d’euros qui a été affectée à ce vaste chantier menant l’Yonne vers la modernité technologique, 5,9 millions ont servi à optimiser l’éclairage public.
Les travaux de dissimulation se sont élevés à 3,5 millions d’euros, tandis que le renforcement, l’extension et la sécurisation ont requis 3,9 millions d’euros. Le réseau de télécommunication n’a pas été exclu de cette stratégie offensive. Un subside de 1,7 million d’euros lui a été consacré.
Enfin, et pour être tout à fait complet sur ce dossier, précisons que 250 000 euros ont été nécessaires pour équiper en bornes de recharge pour véhicules électriques les points névralgiques du département.
En parallèle, 28 pylônes ont été érigés afin de résorber les zones blanches qui pénalisaient jusque-là les communications téléphoniques. Novatrice, l’Yonne a ainsi pu boucler son programme initial puisque la dernière construction métallique a été installée à la mi-janvier. Ce travail se faisant en étroite osmose avec les communautés de communes.
Mobilité électrique : des résultats déjà probants…
Le SDEY a eu raison d’être avant-gardiste et précurseur, sur un sujet dont il a su maîtriser amplement les paramètres. Les enjeux de la mobilité électrique n’ont pas été pris avec légèreté par ses responsables. En 2018, l’organisme a ainsi terminé son programme de déploiement des bornes de charge de première génération.
Soit in fine, un total de 120 bornes dont dix-sept appareils qui peuvent accélérer le processus de chargement en un laps de temps plus court. En outre, 230 raccordements simultanés de véhicules sont fonctionnels.
Les premiers résultats ne se sont pas fait attendre même si quelques sceptiques ne croyaient guère à l’efficacité du dispositif. En avril 2018, le SDEY enregistrait 300 recharges sur le mois. Dès octobre, celles-ci augmentaient à 1 300 opérations mensuelles ; cela a permis d’économiser 2 688 kg de Co2. Pour arriver à ce premier jalon positif, le syndicat aura injecté 1,8 million d’euros.
D’autres initiatives ont fleuri çà et là dans le département. Par exemple, la promotion de l’auto-partage. Impulsé par Rémy CLERIN, vice-président du SDEY, un programme s’est développé à grand renfort de sensibilisation. Maire de la localité de Perrigny-sur-Armançon, Eric COQUILLE n’est pas resté insensible à la démarche. Elle est aujourd’hui opérationnelle avec le soutien de l’AVERE (Association pour le développement de la mobilité électrique). Plusieurs communes devraient prendre le relais car très intéressées par l’initiative.
Un test d’une envergure nationale sera réalisé avec le partenaire allemand du SDEY, HUBJECT, en faveur d’un nouveau mode de paiement à la connexion avec un système de détection du véhicule.
La méthanisation intègre les axes prioritaires…
A l’étude depuis cinq ans avec le concours de la SEM Yonne Energie, le projet « HYCAUNAIS » entame enfin une nouvelle phase de son existence. Ce dispositif de méthanisation s’installera d’ici peu sur le site de la COVED, à Duchy.
Unique en Europe, il s’agira de produire du méthane de synthèse à partir de gaz carbonique. Ce dernier s’échappant d’un centre d’enfouissement d’hydrogène fabriqué à partir de l’électricité qui est produite par des éoliennes.
En soutenant ce projet, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne se positionne comme l’un des acteurs majeurs de la transition énergétique au côté de la Région. Organisme institutionnel de poids, avec lequel le SDEY entretient des liens en étroites synergies.
Des aides supplémentaires favorables à l’éclairage public
Faciliter le passage des communes vers un éclairage public intelligent (grâce à la nouvelle génération de LED) sera vivement encouragé en 2019. En ce sens, le président Jean-Noël LOURY a décidé, avec l’appui unanime de ses collègues lors de l’examen du budget, d’augmenter les aides pour l’éclairage public avec un taux de subvention de 70 %. Quant aux charges de fonctionnement des communes qui optent pour l’usage du LED, la gratuité de la maintenance sera appliquée pendant cinq ans. Les autres communes voyant leur forfait de maintenance se réduire de moitié.
Autre geste financier important consenti envers ces localités en phase avec la sauvegarde de l’environnement : la prise en charge intégrale du forfait de maintenance des bornes de recharge pour véhicule électrique. Il s’élevait à 400 euros par an pour une borne semi-rapide et de 1 500 euros par an pour une rapide.
Testé en 2018, l’achat groupé d’énergie a généré de belles économies pour les communes. L’opération sera reconduite cette année, après un appel d’offre conçu avec l’ensemble des syndicats d’énergie de la région Bourgogne Franche-Comté.
Le SDEY apportera une autre valeur ajoutée aux communes qui le désirent : des conseils et préconisations pour celles qui souhaitent diversifier leur approvisionnement énergétique en finançant les études et les constructions de chaufferies bois et de réseaux de chaleur, ainsi que les initiatives issues de l’auto-consommation.
Plusieurs communautés de communes (Avallon-Vézelay-Morvan, le Jovinien, la Vanne, le Pays d’Othe, Yonne Nord et le Gâtinais en Bourgogne) entreront dans la phase active du Plan Climat Air Energie territorial. Celui-ci s’achèvera courant 2019.
Malgré tous ces chantiers, il sera toujours temps pour le SDEY de se projeter davantage vers l’avenir.
Et de passer à la phase concrète de sa politique en faveur des territoires intelligents. Dans les faits, cela se traduira par la mise en place d’une navette électrique autonome à Vézelay, la pose de stations électriques multi-modales (cycle, scooter, voiture, un service dédié aux habitants grâce à une alimentation issue du réseau électrique et par les énergies renouvelables), et la navette médicale, développée avec le soutien de Patrick BUTTNER, vice-président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre.
Si 2018 fut riche pour le SDEY, l’année 2019 devrait être encore plus dense pour le syndicat, compte tenu des nombreux projets qui se profilent à l’horizon…
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Avec ou sans liste de « Gilets jaunes », la triste farce européenne se perpétuera dans le temps…
janvier 28, 2019Peut-être avez-vous regardé au soir du jeudi 17 janvier, l’émission politique, intitulée « La France se parle », animée par la gracieuse Léa SALAME et le fringant Thomas SOTO. Quoi qu’il en soit, on a appris que l’une des porte-parole du mouvement contestataire des « Gilets jaunes », Ingrid LEVAVASSEUR, serait tête de liste aux prochaines élections européennes. C’est un signe de démocratie et après tout, pourquoi pas ? Toutefois, il y a un « mais » derrière l’initiative…
TRIBUNE : Venons-en d’abord aux faits. Quelle est la fonction du Parlement européen ? Quel est son pouvoir et quels sont ses fonctions ? Quel rapport existe-il entre le mouvement des « Gilets jaunes » et l’Europe, leurs revendications aussi diverses que multiples et le Parlement européen ? Qui parmi vous, est à même de répondre à ces questions, voire même à une seule de ces interrogations que l’on est en droit de se poser ?
On a lancé le Grand Débat national avec des cahiers de doléances dans les mairies. Le président a fait un beau discours inaugural pour promouvoir cet exercice. Est-il pour autant question de l’Europe lors de ces rencontres physiques et de cette consultation numérique ?
En revanche, le Rassemblement National espère prendre sa revanche sur les élections présidentielles en obtenant un score élevé aux européennes. Quel rapport y a-t-il entre les élections présidentielles en France et le Parlement européen ? Ces échéances continentales ont-elles, pour objet, de comptabiliser le score des différents partis politiques qui s’affrontent depuis des lustres dans l’Hexagone ?
Enfin, je vous soumets la question principale : quel est le programme d’Ingrid LEVAVASSEUR en matière de politique européenne et, d’une façon générale, quel est le rapport entre le mouvement et les revendications des « Gilets jaunes » et la politique de la Commission européenne et du Parlement européen ?
Voilà qui démontre, une fois de plus, que toutes les instances européennes ont très peu de place parmi les préoccupations actuelles des Français.
En fait, tout le monde sait que le Parlement européen, c’est-à-dire les élections européennes, sont un merveilleux moyen de caser « les copains et les coquins » qui ont été recalés au suffrage des élections nationales ou locales en France.
Ou, plus grave, qui n’ont pas pu trouver un emploi parmi l’un des multiples Comités, Hauts Conseils de ceci ou de cela. Tel que le Conseil économique social et environnemental ou le merveilleux « Conseil du Débat Public », présidé par Chantal JOUANNO où elle perçoit un salaire mirifique de 176 000 euros par an.
En ce qui concerne la répartition des places parmi tous ces comités nationaux et conseils multiples et divers, qu’ils soient « Hauts » ou « Bas », (les fameux comités Théodule chers au Général de GAULLE), je vous invite à lire l’ouvrage de la journaliste politique Ghislaine OTTENHEIMER : « Les Intouchables ». Une lecture passionnante à compléter avec « L’Oligarchie des incapables », opus signés des plumes de Sophie COIGNARD et Romain GUBERT. Vous serez alors proprement édifié(e)s !
Qu’il s’agisse de la présidence des grandes sociétés nationales ou des super-placards en or massif, où l’on se retrouve « entre amis », bien-pensants et bienveillants, le Parlement européen, à titre de comparaison, c’est l’aumône aux recalés !
En conclusion, Ingrid LEVAVASSEUR a trouvé ce qu’on appelle dans le langage populaire la possibilité d’obtenir « une bonne gâche » en cas de réussite !
Les « Gilets jaunes » qui l’auraient élue, découvriraient alors après coup que, si dans le vaudeville français, le jaune est la couleur des cocus, ce coloris spécifique pourrait bien identifier comme pour le « Sganarelle » de Molière cette caste de la population française : des « cocus », certes battus, mais contents !
Quant à Ingrid LEVAVASSEUR dans tout ça ? Ne vous inquiétez pas pour elle ! En cas d’élection, elle bénéficiera d’une bonne rémunération pour six ou huit voyages par an à prévoir à Strasbourg et pourra choisir parmi sa garde rapprochée des membres des « Gilets jaunes », bien dociles, qui deviendront ses futurs assistants parlementaires. Les dirigeants des partis politiques français lui expliqueront sans doute comment faire.
La farce européenne continuera ainsi d’être jouée. Qui paiera les violons du bal ? Posez-vous la question une fois de plus. Mais, sans doute, vous connaissez certainement déjà la réponse !
Emmanuel RACINE
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Levée de fonds fructueuse pour QAPE : plusieurs investisseurs injectent 2 millions d’euros à ses projets…
janvier 23, 2019Start-up innovante du secteur assuranciel, l’entité vient de réaliser un premier tour de table de deux millions d’euros auprès de plusieurs investisseurs. Une étape logique et obligatoire dans son cheminement. Elle va lui permettre d’accélérer le processus de croissance dont elle a besoin. Non seulement, les investissements consacrés à la recherche et au développement vont s’accroître. Mais, en outre, la structure, fondée en 2016 par ses deux dirigeants, Kim VU DINH et Julien MOUCHET, devrait nouer de probants partenariats à très brève échéance. Lui offrant un essor et une notoriété considérables…
TOUCY : QAPE a le vent en poupe et le fait savoir astucieusement ! Le spécialiste de l’ « Assur-Tech » qui a conçu et distribue la mutuelle santé « KOVERS » ne pouvait pas mieux débuter l’année. Plusieurs investisseurs viennent d’apporter leur soutien financier au développement de cette entreprise d’envergure nationale qui a pour credo d’innover le secteur de l’assurance.
Il faut croire que la gamme de produits et de services, déclinés par ses soins, a eu l’heur de séduire ces nouveaux partenaires. QAPE n’a jamais caché ses ambitions de placer le bénéfice de l’assuré au cœur de tous les enjeux. Un tour de table de deux millions d’euros lui est donc favorable. Quatre acteurs de l’économie ne s’y sont point trompés en cautionnant le plan de développement présenté par les deux gestionnaires de la start-up, Kim VU DINH et Julien MOUCHET.
Ainsi, CAPINNOVEST du groupe SIPAREX et BDR IT de la BPCE (Banque Populaire et Caisse d’Epargne) se sont jetés à l’eau en connaissance de cause et après étude minutieuse du dossier. Ils ont été rejoints dans le montage de l’opération par la BPI et des membres de « business angels ». Le résultat est à la hauteur des espérances et des ambitions des deux cofondateurs de la PME : une manne financière de deux millions d’euros.
Concentrer les efforts de développement sur la mutuelle « KOVERS »…
Cette enveloppe qui n’a rien de providentielle car mûrement réfléchie et obtenue avec raison servira à faire progresser la mutuelle « KOVERS », la vitrine technique et opérationnelle de la société. Son succès au plan hexagonal se confirme. Après trois années d’existence, « KOVERS » se définit comme une approche éthique et disruptive de la mutuelle. Révolutionnant ainsi le marché.
« Cette offre répond à la crise de confiance entre assurés et assureurs, précise Kim VU DINH, en donnant à l’assuré non seulement davantage de lisibilité sur les garanties et le coût de la santé. Mais, aussi un meilleur accès aux soins, grâce entre autres au concept de « e-santé » dès le premier niveau d’adhésion… ».
Ici, la priorisation des outils digitaux est fondamentale. Ils permettent de se reconnecter avec les valeurs fondamentales et originelles de la mutualisation.
Un précieux auxiliaire technologique qui devrait être proposé à d’autres acteurs du secteur de l’assurance.
Grâce à cette opération, QAPE poursuivra sa stratégie de croissance, accélérant l’acquisition d’assurés de « KOVERS » et lancer à grande échelle la commercialisation de ses innovations. L’optimisation continue des garanties permet de concilier qualité et accès aux soins avec performance économique. A ce titre, l’excellent rapport garanties/coût de « KOVERS » est obtenu grâce à l’optimisation des coûts d’acquisition et de gestion des contrats. Elle permet d’augmenter la part réelle des cotisations consacrées aux remboursements et services, se situant actuellement de 87 %.
A ce jour, par rapport à plus de mille offres comparées sur le marché, les assurés « KOVERS » bénéficient en moyenne de – 21 % d’économie sur les cotisations et de + 50 % sur les remboursements de dépenses de santé.
Ce qui, in fine, peut représenter jusqu’à mille euros d’économie sur un budget santé annuel ! Une approche non négligeable et innovante qui a permis à QAPE de vendre plus de cinq millions d’euros de primes d’assurance en moins de deux ans.
Renforcer les technologies issues de l’intelligence artificielle…
Dans cette perspective, QAPE va faire évoluer le service de comparatif d’assurance, qui est une aide à l’achat pour les assurés « KOVERS ». La structure renforcera notamment les technologies d’Intelligence Artificielle (IA) et de Big Data de « KOVERS ».
A cela s’ajoute, le développement des services numériques de simulation de dépenses et « profiling » de risque santé. Ils sont destinés aux assurés pour mieux gérer leur budget santé et leur choix d’assurance santé. QAPE fera évoluer les services d’e-santé aux assurés, en développant une plateforme d’intégration de services e-santé proposés par des tiers.
Devenir un acteur de référence incontournable en matière d’assurance…
Quant au développement commercial, il est envisagé avec sérénité par Julien MOUCHET. « Cette levée de fond favorisera le développement commercial de la société auprès des grandes marques de l’assurance au cours de ces prochains mois, précise-t-il, et de faire connaître et promouvoir ses solutions à un maximum d’assurés hors « KOVERS » ».
Au-delà des financements, les deux fondateurs de l’entité se montrent très confiants dans la capacité de leurs investisseurs à les accompagner dans la durée et à soutenir leurs valeurs. A l’issue de l’opération, la société QAPE restera majoritairement détenue par ses deux associés fondateurs.
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