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Le SDEY assume son rôle de grand argentier en encourageant les collectivités locales vers la transition énergétique
janvier 25, 2020Nombreux furent les représentants des municipalités et des organes institutionnels à vouloir manifester leur présence lors de la cérémonie des vœux du Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne. Une animation traditionnelle qui a vu son mentor, le président Jean-Noël LOURY, saluer les initiatives prises par trois communes, bénéficiaires de précieux subsides à des fins d’aménagements profitables au développement durable et aux économies…
APPOIGNY : Un espace culturel noir de monde, des retrouvailles placées sous les auspices de la convivialité et de l’échange, un programme millimétré au cordeau : il n’en fallait pas davantage pour faire de cette réception annuelle un moment fort agréable dans le sérail icaunais.
Le grand show concocté par le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) débuta presqu’à l’heure, malgré les absences du préfet de l’Yonne Henri PREVOST et de la secrétaire générale de la vénérable institution, Françoise FUGIER, sous-préfète d’arrondissement d’Auxerre, tous deux excusés et retenus du côté de la Maison de l’entreprise où dans le même laps de temps le philosophe et homme politique Luc FERRY (il fut ministre de l’Education nationale) décryptait les méandres nébuleux de la troisième révolution industrielle qui nous frappe, celle inhérente à l’intelligence artificielle et à ses dérivées.
A contrario, et assis aux premiers rangs, le président du Département Patrick GENDRAUD, la sénatrice de l’Yonne, Dominique VERIEN ou encore le député de la première circonscription, Guillaume LARRIVE, se signalaient par leur présence physique.
Outre le discours du président qui détailla les objectifs et perspectives de la saison écoulée (nous y reviendrons ultérieurement), la soirée s’articulait autour de deux temps forts : la remise de chèques destinée à trois localités de notre territoire, et la signature d’une convention de partenariat, baptisée explicitement, « En route vers le gaz vert dans l’Yonne ».
Si la municipalité d’Avallon n’avait pas jugé bon de dépêcher l’un de ses représentants pour récupérer la précieuse obole devant le public, en revanche, Hubert BARBIEUX, édile de Vézelay, récemment promu au rang de chevalier de la Légion d’honneur, fut quant à lui bien présent au rendez-vous sous le feu nourri des projecteurs pour repartir avec son énorme chèque en fac-similé. Notons les excuses pour raison de santé de la mairesse de la localité d’Asquins, Isabelle GEORGELIN. Cette dernière s’était faite portée pâle.
Signature de la convention promouvant le gaz vert…
Jean-Noël LOURY évoqua à l’issue de cette distribution que le SDEY était très attaché à apporter les aides financières nécessaires aux communes qui s’engageaient sur la voie des transformations énergétiques synonymes d’économies.
La signature de la charte « En route vers le gaz vert dans l’Yonne » (nous y reviendrons également dans un autre article) a réuni sur la scène les composantes de cet accord, dont les présidents des chambres consulaires de l’Yonne Alain PEREZ (CCI) et Arnaud DELESTRE (Chambre d’agriculture). Ils apposèrent leurs griffes aux côtés de celles de Thierry GAY (GRDF Bourgogne Franche-Comté) et de Jean-Pierre BOUILHAC (SDEY). Jean-Noël LOURY devant parapher le document sous l’égide de la SEM Yonne Energie qu’il représentait…
Maryline GANDON
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Le cri d’alerte des tribunaux de commerce aux entrepreneurs : soyez informés des procédures !
janvier 23, 2020Curieux paradoxe que celui-ci. 95 % des entreprises de l’Hexagone méconnaissent l’ensemble des dispositifs qui existent et dont ils peuvent avoir recours en sollicitant l’intervention des tribunaux de commerce. Une anomalie informative considérable que les deux présidents en charge de l’honorable institution à Auxerre et à Sens ont voulu corriger lors de la cérémonie des vœux des chambres consulaires…
APPOIGNY : Par la voix de ses deux présidents en exercice, le Tribunal de Commerce fait de la pédagogie ! Invités par le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne Alain PEREZ, lors de la récente cérémonie des vœux inter consulaire, l’Auxerrois Pascal BAILLY et son homologue sénonais, Bruno RENARD, ont eu l’excellente idée de replacer le curseur de la communication à sa juste place.
Trop peu de chefs d’entreprises connaissent les modes opératoires de l’organisme et surtout les outils qui peuvent être mis à leur disposition afin de les aider à surmonter un cap difficile.
Avant que celui-ci ne se métamorphose en crise profonde, il est urgent de signifier sa situation auprès de l’instance juridique commerciale.
Cela est d’autant plus dommageable que 70 % des solutions préconisées pour extraire les entrepreneurs de l’ornière s’avèrent positives pour renflouer l’esquif professionnel sur lequel il semblait flotter.
Constatant avec désappointement cette ignorance, les magistrats des deux tribunaux de Commerce de l’Yonne ont décidé d’intensifier leurs actions de prévention et d’informations auprès des entrepreneurs. Pour que ceux-ci améliorent leur taux de réussite économique sur notre territoire.
Se succédant l’un à l’autre, à la tribune face à un auditoire de circonstance, Pascal BAILLY et Bruno RENARD ont alerté les entrepreneurs afin qu’ils agissent en toute transparence avant qu’il ne soit trop tard. Connaître les procédures de sauvegarde à l’amiable peut ainsi sauver une société d’une mort certaine.
Dès qu’un signe apparent à une difficulté clignote, se rendre au Tribunal de commerce correspond à une impérieuse nécessité.
La sensibilisation aux professionnels s’appuiera également sur l’apport d’une conférence interactive réalisée avec le concours du numérique prochainement. Un atout de plus pour que les messages relayés le soient en prise directe avec le terrain…
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La filière industrielle, un eldorado vecteur d’ascension sociale, dont il faut encourager l’essor pour André BEX…
janvier 23, 2020Chantre de l’emploi industriel et de sa valorisation par le biais de l’apprentissage et de l’alternance, le président du Pôle Formation Nièvre Yonne parle. Un succédané de ce que devrait être son intervention publique à la tribune de la Maison de l’Entreprise au moment des vœux, ce jeudi soir. L’homme s’interroge. Sur le devenir de la filière industrielle de notre territoire alors que les entreprises regorgent d’emplois dont elles ne trouvent pas preneur. Faute de volontaires qualifiés et surtout motivés pour tenir ces postes. Pourtant, les envies sont là. Palpables au niveau de ce centre de formation qui souhaite endiguer la morosité ambiante et proposer de construire un avenir meilleur à celles et ceux qui mouillent la chemise dans l’entrepreneuriat…
AUXERRE : André BEX serait plutôt du genre taiseux, d’ordinaire. Le personnage se veut plutôt discret et humble. Nonobstant, il est néanmoins l’une des chevilles ouvrières essentielles de la sphère industrielle qui agit au quotidien sur notre territoire.
Jeudi soir, aux côtés d’Etienne CANO, président du MEDEF, de Jean-Dominique DA GREGORIO, qui lui a succédé au poste de responsable de l’UIMM (Union des industries des métiers de la métallurgie en 2019) et de Claude VAUCOULOUX, délégué général de la Maison de l’Entreprise, l’ancien dirigeant de FIMM sera propulsé sur le devant de la scène. A la tribune de l’amphithéâtre face à un auditoire d’entrepreneurs et d’institutionnels à l’écoute du moindre de ses mots.
Aujourd’hui, membre de la caste des retraités très actifs, André BEX a pris les rênes du Pôle Formation technologique de l’industrie. Un challenge capital pour celui qui voue une admiration sans borne à celles et ceux qui intègrent la vie professionnelle en ayant emprunté la voie de l’apprentissage et de l’alternance.
« Il y a belle lurette que l’Allemagne a tout compris de l’insertion dans la vie active, lâche-t-il avec insistance, montrant qu’en la matière l’Hexagone peut encore prendre des leçons de son puissant voisin. Vous savez, ajoute-t-il, la formation sert à maintenir les compétences et à faire évoluer l’ensemble des collaborateurs des sociétés industrielles vers les nouvelles technologies. Elle ne s’adresse donc pas exclusivement aux demandeurs d’emploi. C’est l’une des missions régaliennes de la Maison de l’Entreprise et de son Pôle de formation que de vouloir développer le niveau de compétences des salariés de l’univers industriel de notre territoire… ».
Mis à mal au cours de l’exercice antérieur, la faute à l’Etat qui a su compliquer les choses en voulant changer la donne applicative au niveau de la formation, le Pôle repart pourtant de plus belle en 2020.
Toujours une présence maintenue à Sens…
L’ouverture à la concurrence aux entreprises qui désirent développer par elles-mêmes leur propre formation laisse son président dubitatif. Et imperméable. Tout autant que celui que les pouvoirs publics veulent accorder à l’Education nationale à ce propos.
« L’Education nationale n’a pas les compétences voulues de former les gens qui se destinent ensuite vers l’emploi. Ni même la philosophie. Je m’interroge car son approche est plutôt dogmatique où les notions d’apprendre à lire, à écrire et à compter ne suffisent pas car in fine, trop de jeunes gens éprouvent encore de sérieuses difficultés à s’intégrer. Le dogmatisme en matière de formation ne doit plus être. Il est nécessaire d’être réactif et posséder une vision pragmatique à l’avenir pour réussir sa formation professionnelle… ».
Malgré cela, l’Education nationale devrait créer cette typologie de centres qui pourrait concurrencer tôt ou tard le pôle nord-bourguignon.
Résolument optimiste, André BEX sait qu’il y aura sans doute d’autres efforts à réaliser afin que l’équilibre, base naturelle de l’édifice, soit respectée. Mais, il le martèle lors de son entretien : « Nous avons l’obligation de former des personnes qui rejoindront ensuite les entreprises de la métallurgie et de l’industrie. C’est pourquoi notre présence à Sens demeure d’actualité. Même si les espaces dédiés de l’ESY ont été fermés, notre organisme s’est porté acquéreur d’une centaine de mètres carrés de bureaux qui accueilleront d’ici peu le suivi des cours théoriques ainsi que des réunions professionnelles… ».
Répondre aux besoins immédiats de la métallurgie
L’aide au recrutement est une autre manière de justifier la mission vécue par le Pôle Formation 58 89. Et en la matière, l’organisme dispose de pléthore d’arguments favorables à son épanouissement, via les CAP, BP, Bac pro et BTS, dont il dispose. Y compris les cycles pédagogiques menant à la qualification d’ingénieur.
« On dit souvent que l’apprentissage reflète une mauvaise image autour de lui. Telle une voie de garage à suivre par des parias de l’Education nationale. Ce n’est pas vrai ! Même la filière industrielle souffre de cet effet gigogne alors qu’il n’y a jamais eu autant de postes à pourvoir de façon instantanée. Mais, j’attire aussi l’attention de ces entrepreneurs qui ne permettent plus à leurs salariés de conserver leur passion du métier. Pourtant, plus de vingt-cinq mille emplois ont vu le jour l’année dernière en France dans le secteur industriel. Ce n’est pas rien ! Quant aux salaires, ils sont corrects : les jobs de la métallurgie sont payés 13 % de mieux que pour la plupart des métiers proposés par l’industrie… ».
Toutefois, la motivation à laquelle tout le monde prétend ne se résume pas au seul salaire attribué. André BEX le conçoit : il est indispensable d’aider les collaborateurs à évoluer vers le haut, par le prisme de la formation, et surtout, par la reconnaissance humaine, un item dont la plupart des entrepreneurs de l’Hexagone, quel que soit le secteur d’activité, ont encore du mal en mettre en exergue…
Signe des temps : l’industrie à la pointe de la technologie semble interpeller les jeunes générations. Péremptoire, André BEX prévient pour autant : « Le numérique ne doit pas nous faire oublier l’intelligence humaine et la sensibilité que nous avons comme argument supplémentaire par rapport au numérique… ».
L’industrie filière d’avenir : la réponse est oui à deux cents pour cent !
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Séance de ciné pour les élèves hôteliers de Vauban, pour mieux suivre la trace du maître ?
janvier 21, 2020Un long-métrage, « Les Petits maîtres du Grand hôtel », sera à l’affiche de l’infrastructure cinématographique d’Auxerre ce vendredi 24 janvier à 13h45. Ce documentaire qui narre les coulisses de la filière hôtellerie/restauration, mâtinée en comédie musicale, est l’œuvre du réalisateur Icaunais, Jacques DESCHAMPS. Les élèves de la section hôtelière du lycée Vauban auront le privilège de le découvrir pour parfaire leurs connaissances de ce milieu professionnel…
AUXERRE : Tourné en Isère dans le lycée hôtelier de Grenoble, entre mai et juin 2017, ce film a pour vocation d’immerger les spectateurs au cœur d’une filière qui porte les valeurs fortes d’un savoir-faire à la française au-delà de nos frontières.
Il relate sous la forme d’un pastiche astucieux de comédie musicale et de documentaire l’univers de l’apprentissage. Vu et vécu par des jeunes gens qui se trouvent confrontés face à la réalité du quotidien. Pour parvenir, peut-être in fine, à exercer l’un des plus beaux métiers du monde ?
Réalisé par le cinéaste originaire de Puisaye, Jacques DESCHAMPS, « Les Petits maîtres du Grand Hôtel » offre un synopsis flamboyant parmi les maîtres d’hôtel, noble profession qui demeure la clé de voûte de l’hôtellerie/restauration.
Pour espérer un jour suivre les traces du champion du monde de la discipline, le Belge Lef VANHONNACKER qui à 42 ans a glaner ce titre suprême lors de l’épreuve organisée à Auxerre, les jeunes pousses du lycée des métiers Vauban ont besoin de comprendre et d’apprendre tous les arcanes liés à cette spécialité de la corporation.
Aussi, leur professeur en hôtellerie/restauration, Isabelle BRUGNON, les accompagnera lors de la séance du début d’après-midi pour qu’ils puissent s’exalter devant chacune des images de ce film révélateur de l’exigence des clients et de la dureté d’un job où il est indispensable de courir, servir et…sourire. Le propre de la perfection hôtelière…
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Sur un arbre perché : BOUTS DE BRANCHES fait prendre de la hauteur à ses constructions !
janvier 21, 2020Dès sa prime jeunesse, Thomas CERS, instigateur de cette jeune entreprise de la filière bois, passait la plupart de son temps dans les arbres. Une étrange passion, certes, qui l’a poussé vers des études de taille et soins aux arbres, puis d’élagage. Plus tard, dans le souci d’en apprendre davantage sur les végétaux, il devait suivre une formation de charpentier. Pour pouvoir réaliser son rêve d’aujourd’hui : l’édification de cabanes hautes perchées…
POILLY-SUR-THOLON : Place aux hébergements insolites ! Si, si, cela existe dans le landerneau départemental. Un exemple concret ? Celui de la structure professionnelle qui œuvre depuis mars 2016 dans deux domaines d’activités, à la fois complémentaires au vu de la matière première usitée et distincts quant à leur fonctionnalité : l’élagage et la conception de lieu d’accueil originaux.
BOUTS DE BRANCHES, appellation amusante pour désigner la raison sociale d’une TPE, se promène d’un domaine à l’autre de son activité avec maestria et facilité. L’élagage représente à ce jour environ 20 % du chiffre d’affaires en 2019. Mais, la création et fabrication d’hébergements insolites à partir de bois brut confère à l’entreprise la possibilité de s’épanouir dans un tout autre registre, celui de la menuiserie et de la charpente.
L’idée sommaire est la suivante. Quand cela est possible, la récupération de déchets liés à l’élagage et particulièrement les morceaux possédant des particularités (bois coudé, biscornue, fourche …) mais aussi certaines variétés, comme le platane qui rappelle la peau de serpent, l’acacia qui a l’aspect du bois flotté, mais à la robustesse éprouvée ou le bouleau pour sa couleur blanche, devient une impérieuse nécessité.
L’entité se démarque par ses constructions atypiques avec un style novateur, non traditionnel comme le toit en chapeau de sorcière par exemple. Elle souhaite équiper de plus en plus ces hébergements insolites dans les structures de loisirs, de tourismes, de parcs de château dans l’Yonne mais également au niveau de l’Hexagone.
Pour se faire, Thomas CERS s’appuie sur l’aide de sa compagne qui a repris une formation d’assistante de dirigeant d’entreprise artisanale, suivie à la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne.
Bénéficiaire d’un prêt d’honneur d’INITIACTIVE 89, l’entrepreneur travaille seul à la création et à la fabrication de ses pièces, avec des recrutements ponctuels au fil des chantiers. Il espère grossir son carnet de commandes afin d’embaucher à long terme.
Maryline GANDON
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