Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

L’amour de la gastronomie et de ses valeurs est un fil d’Ariane qu’ils ont en commun. Depuis 2015, l’enseigne METRO et le référent des arts de vivre à la française, le guide MICHELIN, se distinguent lors de cérémonies où se remettent les fameuses plaques au coloris rouge vif à la toque, nouvellement étoilée ou ayant su faire perdurer cette honorifique distinction. En témoigne le rituel vécu dimanche soir au Domaine de RONCEMAY par le chef Patrick GAUTHIER (« La Madeleine »)…

 

DOMAINE DE RONCEMAY : Emu, le chef de « La Madeleine » ? Sans aucun doute. En tout cas, il était profondément satisfait de se retrouver en pareille circonstance pour recevoir des mains de la direction de la Halle de METRO Auxerre cette glorieuse distinction, la plaque au coloris vermillon rappelant son étoile qui a été obtenue cette année encore, dans le fameux petit guide rouge au célébrissime patronyme universel, c’est-à-dire « Michelin ».

Un Patrick GAUTHIER qui malgré les trente ans d’exercice dans le métier qu’il affectionne tant ne cachait pas sa joie de recevoir de la part de Philippe BULANT, directeur de l’enseigne auxerroise, ce glorieux sésame à poser en devanture de la façade de l’établissement sénonais. Le restaurant « La Madeleine » a gagné cette année encore – le contraire eut été surprenant – les louanges des inspecteurs du fameux guide qui fait la pluie et le beau temps dans le sérail de la gastronomie française depuis des lustres.

 

La recherche des bons produits : le dénominateur commun…

 

Même s’il est étoilé depuis trois décennies maintenant, Patrick GAUTHIER a reçu sa plaque commémorative, dans le charmant cadre du Domaine de RONCEMAY – il sera accueilli par Thierry GARRET hôte de ces lieux -, avec toujours autant de plaisir à l’identique de celle obtenue au premier jour. Une distinction qu’il a partagée en présence de plusieurs membres de ses équipes, dont la cheffe du « Crieur de Vin », la dynamique Cécile PUECHBROUSSOUX, mais aussi les collaborateurs de METRO Auxerre, réunis autour de leur directeur, Philippe BULANT ; ce dernier devant mettre le cap, à partir du 02 mai, vers la Savoie pour y reprendre la destinée de la halle d’Albertville.

 

 

« On a tous un point commun, soulignera le chef de Sens, c’est la recherche permanente des bons produits et la découverte de ces ingrédients à travailler avec respect jusqu’au fond de l’assiette… ».

Quant à la remise collective avec l’ensemble des chefs étoilés du quart Grand-Est de l’Hexagone, assurée par MICHELIN, elle s’effectuera à Reims le 22 mai dans l’une des tables de prestige de la capitale de la Champagne, chez « LALLEMAND ». On devrait y retrouver les deux autres détenteurs icaunais de ces étoiles, « La Côte Saint-Jacques » (double étoile) et le Château de Vault-de-Lugny.

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Seul en scène, guitare acoustique à la main, le vieux barde de l’Yonne, défenseur de la grande chanson hexagonale, poussera de sa voix grave et rocailleuse le public vers ses ultimes retranchements, empreints de nostalgie, en l’écoutant interpréter une vingtaine de chansons du répertoire de l’auteur de « Nuit et Brouillard ». Une balade au gré des airs connus et méconnus du chanteur décédé il y a treize ans lors de deux récitals uniques. Son « Ferrat » à lui revisité, à en perdre la raison…

 

CERISIERS: Peut-être, depuis la terre ardéchoise (Antraigues-sur-Volane) où il est inhumé depuis maintenant treize ans, observera-t-il la moustache frissonnante avec une certaine délectation cette nouvelle initiative artistique du troubadour de l’Yonne, faisant honneur à ses chansons ? Ou peut-être pas ! Question de croyance à dire vrai !

Quoi qu’il en soit, l’auteur et interprète de « La Montagne » est un chanteur qui indubitablement aura compté et compte toujours pour notre Gérard-André départemental, qui ne cesse d’année en année d’évoquer sa mémoire en chansons et de réveiller nos souvenirs les plus lointains lors de tours de chant dont il a le secret, assuré avec maestria et gentillesse, accueillant les mélomanes les plus avertis…

Il en sera sans doute de même ce week-end à Cerisiers à la Ferme du Fays. Un endroit propice aux retrouvailles culturelles de belle facture.

Se présentant en solo sur la scène, accompagné de son fidèle instrument – sa guitare sèche qui lui donne le tempo et la rythmique -, sans doute affublé de sa fameuse tenue chemise rouge et gilet noir, Gérard-André réalisera encore des prouesses vocales - à faire pâlir les jeunes pousses issues de certaines émissions audiovisuelles qui s’inventent de « futurs » et surtout éphémères talents ! – en enchaînant des titres inoubliables issus du répertoire éclectique et onirique de Jean FERRAT. Il y aura aussi en ces heures sombres où le combat social refait surface à la une de l’actualité des morceaux plus engagés et humanistes.

 

Des airs incontournables et des morceaux moins connus…

 

Ainsi, le set proposé lors de ces deux concerts devrait comprendre « Potemkine », « Comprendre », « Je vous aime », « Ma France », « Une femme honnête », « Maria », l’inusable « Nuit et Brouillard », « Berceuse », « Pauvre Boris », « On ne voit pas le temps passer »…

C’est la vie quotidienne de la société française du vingtième siècle qui est dépeinte ici avec subtilité à travers ces textes, mais aussi des personnages, des artistes et des évènements qui ont marqué ce siècle...

Les puristes retrouveront les grands poèmes de Louis ARAGON, mis en musique par Jean FERRAT, qui feront également partie de cette création : « Les poètes », « Que serais-je sans toi ? », « J'entends, j'entends », « Heureux celui qui meurt d'aimer », « Aimer à perdre la raison »… Dans cette nouvelle version de son récital, Gérard-André intègre aussi d’autres chansons dont « Y aurait-il » de l’Icaunais Pierre LOUKI et « Ma Môme ».

On saluera aussi le travail de l’arrangeur, compositeur, pianiste et chef d’orchestre, Patrick VASORI qui collabore avec Gérard-André de longue date. Les bandes enregistrées l’attesteront : c’est du bel ouvrage.

 

 

En savoir plus :

 

« FERRAT à perdre la raison »

Une création de Gérard-André

De ce que j’ai vécu à ce que j’imagine.

Titre d’origine du spectacle créé à Paris en mars 2006.

Samedi 15 avril à 20h30 et dimanche 16 avril à 15h30 :

À la Ferme du Fays,

Cerisiers

9, chemin de Dilo 89320

Réservation des places, par e-mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. // par tel : 03.86.47.28.16

Participation aux frais : libre

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Succédant à Guillaume LLORCA, elle ajoute avec cette responsabilité une nouvelle ligne honorifique à son palmarès, la Sénonaise Valérie WALTER-BARTIAL. L’ancienne présidente des Femmes Chefs d’Entreprises (FCE) de l’Yonne vient d’hériter depuis peu d’un nouveau titre de gloire, imputable à 100 % à l’exercice de son métier de géomètre expert, devenant ainsi la nouvelle présidente hexagonale de la filière.

 

SENS ; Depuis juin 2018, en sa qualité de vice-présidente de l’organisme, Valérie WALTER-BARTIAL aura eu le temps de peaufiner à loisir sa future candidature au poste suprême de cette structure, représentant les intérêts des géomètres experts de justice de France. Cette fois-ci est donc la bonne pour l’ancienne présidente du réseau des FCE de l’Yonne, des Femmes Chefs ou Cheffes d’Entreprise, qui prend la suite de Guillaume LLORCA, son prédécesseur avec qui elle aura fait équipe durant cinq années.

L’iconographie officielle présente la nouvelle responsable affichant un large sourire aux lèvres alors qu’elle est vêtue d’un flamboyant ensemble au coloris pourpre. Une couleur, symbole du pouvoir et de la puissance, mais aussi du raffinement et de l’élégance, ce qui sied très bien à l’entrepreneuse sénonaise…

Publiée sur les réseaux sociaux, la photographie a suscité une noria de commentaires élogieux de la part du sérail économique de l’Yonne.

Originaire de Strasbourg, la nouvelle responsable de la Compagnie nationale des géomètres experts de justice a créé son cabinet à Sens en 1999, aux côtés de Stéphane BARTIAL. Son objectif est d’apporter son expertise en matière de bornages, de relevés topographiques, dans le foncier, les divisions, les mises en copropriétés, les diagnostics énergétiques, etc.

Une maîtresse femme qui en connaît un rayon sur son métier, le plus de tous, il va sans dire…

En savoir plus

Bureau national de la CNGEJ

Valérie WALTER-BARTIAL, présidente

Jean-Benoît PUPPO-CAPODANO, premier vice-président

Jean-François DALBIN, deuxième vice-président

Laure PIETRI, secrétaire

Denis BRACHET, trésorier

Michel-Patrick LAGOUTTE et Guillaume LLORCA, présidents d’honneur.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

C’est le modèle à date le plus vendu par le constructeur d’Outre-Rhin. Digne successeur du fameux « GLK », cette nouvelle famille de SUV, esthétique et puissante, apparue en 2008 sur les marchés planétaires, s’est écoulée à plus de 2,5 millions d’exemplaires dans sa version initiale. Sa nouvelle configuration, dévoilée lors de multiples salons internationaux en 2022, interpelle avec sagacité les férus de la marque à l’étoile qui le découvrent en concessions. Notre rédaction a testé ce joyau de technologie, de confort affirmé et de prouesses techniques en version « off road » par temps de pluie…Un véhicule qui nous a procuré d’excellentes sensations.

 

AUXERRE : Voilà un SUV fougueux, téméraire et fiable à souhait qui ne craint pas de franchir les chemins boueux et gorgés de pluie sur un itinéraire insolite emprunté hors les murs de la ville à travers champs et forêts ! Sensations garanties et excitation assurée pour le pilote de ce modèle très confortable à l’estampille de Mercedes-Benz !

Testée en ville, sur les routes nationales et départementales mais aussi sur les chemins de traverse qui font le charme de nos paysages champêtres et bucoliques d’arrière-pays (la Puisaye-Forterre) par temps pluvieux, cette version relookée du SUV GLC de la marque allemande s’est avérée très positive pour mieux cerner le volontarisme de l’ingénierie d’Outre-Rhin. Celui de procurer un maximum de plaisir pour ses conducteurs autant en mode tout terrain que sur l’asphalte ordinaire. On suppose que sur autoroute la pointe de vitesse proposée par ce véhicule à la stabilité remarquable devait être fort appréciable également !

Troisième génération d’une famille de modèles automobiles sorties des usines de Stuttgart depuis 2008, le GLC a été officiellement lancé à l’automne dernier sur le marché consumériste. Une nouvelle variante qui marque déjà les esprits des fidèles de l’enseigne.

 

 

Un bon feeling dès la prise en main…

 

Dès l’installation sur le siège conducteur, on se sent à l’aise et sécure dans cet habitacle ciselé aux petits oignons côté esthétisme. Les explications fournies en masse par le commercial de la concession auxerroise (Etoile 89 du groupe CHOPARD) allèchent déjà les babines de votre serviteur avant même d’avoir poussé le bouton de l’incontournable « stop & go ».

Entre raffinement et soin devant satisfaire les occupants du véhicule, tant à l’avant qu’à l’arrière, un écran tactile d’une douzaine de pouces permettant de naviguer d’une simple petite pression exercée par l’index sur un copieux programme d’indications déroulant et de renseignements fort utiles au conducteur, un décorum bon teint au niveau des coloris d’ambiance – selon les goûts et les envies du jour, voire ses humeurs, l’habitacle se colore en rose, en vert, en jaune ou en violine, créant ainsi un univers chromatique décalé et original à satiété-, le contact initial avec ce véhicule, décliné ici en version diesel, est plus qu’enthousiasmant.

Même la position du pilote sur son siège mérite que l’on s’y attarde quelque peu ! L’ordinateur de bord calcule à partir de votre poids fourni par vos soins au préalable la bonne attitude à avoir derrière le volant en matière de gestuelle – l’idéal pour éviter les mauvaises postures et les contractions néfastes à la longue pour celles et ceux qui souffriraient de troubles musculaires du squelette - selon les différents segments du siège qui se règlent ainsi en autant de variantes sur mesure ! Mais, jusqu’où les ingénieux concepteurs de l’automobile ultra moderne poussent-ils les ultimes retranchements en termes de confort ?!

 

 

 

Mention bien, également, pour le volant. Agréable à la préhension, il apporte une connotation un tantinet sportive à l’ensemble. Peu commun dans les SUV. Les commandes tactiles qui y sont associées offrent au niveau de votre champ de vision l’opportunité d’obtenir d’autres renseignements ou de façons de conduire (mode économique, mode sportif, etc.). Cerise sur le gâteau : les éléments informatifs se rapportant à la vitesse du véhicule mais aussi les panneaux signalétiques rencontrés apparaissent dans le prolongement de votre regard face à la route, par simple effet de transparence sur la vitre avant. Idéal en termes de réactivité !

Le son fourni par les enceintes est de belle facture (spatialisé dans l’habitacle et provenant de toute part) et permet d’apprécier à leur juste valeur vos morceaux de musique préférés issus de votre « « Apple Car Play » à l’instar d’un vieux tube des DOORS de 1967 (« Alabama Song ») où la voix de Jim MORRISON envahit pleinement la voiture comme s’il sortait d’outre-tombe comme s’il était assis à côté de vous !

La sélection des stations radio s’effectue en déroulant les icônes représentatives des enseignes avec le doigt. Le système est pas mal, toutefois, il requiert une attention accrue lorsque l’on conduit.

 

 

Une excellente tenue de route pour affronter le tout-terrain…

 

Considéré par le constructeur germanique comme le SUV le plus dynamique sur tous les terrains, il était impensable de ne pas aller l’essayer sur des chemins cahoteux surtout par conditions météorologiques favorables, c’est-à-dire par temps de pluie et de vent. Vive les giboulées de mars qui procurent de belles sensations. La maniabilité du véhicule est de bon aloi et encourageant pour effectuer à plusieurs reprises un petit circuit à travers champs et bois avec un peu de dénivelé et des devers parfois glissants du fait de la pluviométrie salvatrice à Dame Nature.

Une plaque de boue et rien, pas le moindre signe de faiblesse du dernier-né de la gamme SUV de Mercedes qui poursuit sa progression sans coup férir.

Il suffit d’appuyer sur une petite touche et hop, le tour est joué. L’automobile se mue en mode de locomotion rassurant, pouvant aborder les obstacles – même des branchages tombés des forêts avoisinantes qui occupent le milieu du chemin – et permettre ainsi sans encombre à ses testeurs du jour de continuer leur progression aventureuse avec contentement.

 

 

Les capacités tout-terrain du modèle s’avèrent excellentes. On se sent serein derrière le volant même à l’amorce d’une forte averse et d’une traversée sans embûche d’une zone boisée où règne la pénombre. Un plus est alors observé, avec l’allumage automatique des feux avant qui apportent un éclairage optimum.

Quant aux jantes, leur largeur impressionnante assure au niveau visuel et procure une bonne stabilité du véhicule même lors de passages délicats à franchir. Cela optimise davantage l’aspect sportif de ce petit joyau de la digitalisation et de la technologie, un effet qui est renforcé avec la présence avantageuse du marchepied en acier, flatteur à l’esthétique.

Un aperçu sur le coffre. Profond, spacieux, il peut accueillir jusqu’à 1 640 litres de bagages, il suffit pour cela de coucher les sièges arrière. Idéal pour les longs déplacements requérant l’usage de nombreuses valises. De longs voyages réalisés dans le calme et l’absence de sonorisation de ce moteur diesel dont on n’entend quasiment aucun bruit. C’est tout juste si l’on se demande parfois s’il est en mode fonctionnel…

La motorisation, parlons-en, est de belle envergure. Peu consommateur en carburant malgré le volume et le poids de ce véhicule (près de deux tonnes), soit entre 6,7 et 7 l, ce moteur diesel quatre cylindres se montre puissant avec ses 197 chevaux et très réactif à l’accélération. Son couple est de 550 Nm. Le passage du zéro à cent est de 8 secondes.

 

 

Elle vous accompagne partout en lui disant « Hey Mercedes »…

 

Equipé de la seconde génération du système info divertissement MBUX, le GLC s’active de manière pratique en sollicitant vocalement l’assistant adaptatif « Hey Mercedes ». Une voix à la suavité féminine qui prend alors en compte vos desiderata opérationnels en offrant une palette de prestations pratico-pratiques à la conduite. Notons également la présence des caméras avant et arrière, indispensables aides au stationnement dans les zones urbaines.

Autre particularisme attrayant, l’assistant de distance actif DISTRONIC. Il peut maintenir automatiquement une distance prédéfinie avec les véhicules qui précèdent celui que vous conduisez. Idem pour l’assistance active de direction qui aide le conducteur à rester dans sa voie même à des vitesses pouvant dépasser les 210 km heure. Gare à l’amende en cas de verbalisation…

Voilà dans les grandes lignes – on vous laisse le soin de tester par vous-même ce joli fleuron de la marque allemande – les points séduisants de ce modèle que l’on peut toucher à partir de 60 000 euros sans les options. Certaines apparaissaient comme indispensables à l’instar du toit ouvrant.

Un SUV familial capable de très agréables prouesses sur tout-terrain, idéal pour s’amuser au volant et éprouver de belles sensations sur la route. Véhicule facile à conduire y compris en ville avec les nombreuses assistances intelligentes. Le plus jeune des testeurs, âgé de 18 ans, n’y a pas été dans la demi-mesure côté verdict, accordant un 18 sur 20 au véhicule. La vérité ne sort elle pas de la bouche des enfants dit l’adage…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’entrecôte saignante, accompagnée de sa garniture de petits légumes et son monceau de frites, la fricassée d’escargots baignant dans son beurre persillé ou le dessert gargantuesque nappé d’un chaud chocolat liquide à en saliver d’avance ne leur font pas peurs ! Ce sont de fins gourmets, des esthètes des arts de la table, des défenseurs des traditions gastronomiques séculaires, issues le plus souvent des recettes de nos grands-mères et encore magnifiées par les chefs d’aujourd’hui : ce sont les représentants de l’association « Gourmand’ Yonne » !

 

APPOIGNY : Ont-ils pour certains d’entre eux – toute proportion gardée quant aux similitudes avec le scénario exact de l’œuvre ! - parmi leurs références cinématographiques préférées le célèbre film ayant marqué l’année 1973 à l’estampille de l’Italien Marco FERRERI : « La Grande Bouffe » ?!

Hormis l’aspect sulfureux et inconcevable au plan de l’éthique, voire de la morale de ce long métrage ayant fait couler beaucoup d’encre à l’époque mais qui se regarde néanmoins avec appétit, il existe un point commun indéniable avec les adhérents de la jeune structure associative départementale : ce plaisir incommensurable de partager entre amis les moments intenses de la vie autour d’une table, copieusement garnie de surcroît de bonnes victuailles et de produits de qualité ! A les déguster jusqu’à plus faim !

On disait à l’époque de la monarchie capétienne lors de ces festins de roi : « faire bombance ». On dira plutôt aujourd’hui en analysant d’un peu plus près la doctrine voulue par cette association : valoriser les arts de la table, la qualité de ce qu’il y a dans l’assiette et surtout initier le plus grand nombre au subtil rituel du bien-manger et du bien-boire…

 

 

La fine fleur des spécialistes de la gastronomie icaunaise…

 

Esthètes culinaires, amateurs de bonne cuisine, fins gastronomes – et pas forcément en culottes courtes comme le narrait jadis une campagne publicitaire audiovisuelle ! -, épicuriens, hédonistes… : bref, il était naturel que tout ce petit monde, constituant une caste importante de la population icaunaise – elle est de plus en plus nombreuse par ailleurs ! – se retrouve tôt ou tard au sein d’une structure ad hoc.

Ainsi est apparue « Gourmand’ Yonne », la bien-nommée ! Dès l’origine, un trio de choc qui en prendra très vite le gouvernail afin de hisser le grand foc pour mieux voguer vers les rivages insoupçonnables des multiples plaisirs de la table…Et le faire savoir, à grands coups d’évènementiels.

On y retrouve une pointure de la restauration, la « toque » du « Rive Gauche » à Joigny, l’excellent Jérôme JOUBERT – on ne présente plus le garçon et sa cuisine d’une belle subtilité et grande fraîcheur – qui préside l’ensemble ; le dénominateur commun en fil d’Ariane professionnel qu’il est depuis tant d’années dans le sérail, Philippe BULANT, à la tête du magasin « METRO » à Auxerre ou encore l’incorrigible critique gastronomique qui fit autrefois les grandes heures de France Bleu Auxerre aux côtés de la souriante Nathalie RIVAUD avec ses prises de parole épiques et pas piquées des hannetons comme l’aurait dit le regretté Michel AUDIARD, ce fameux Gauthier PAJONA, que les lecteurs de ces colonnes et de cette rubrique en particulier connaissent très bien !

 

 

 

 

Un maître de cérémonie à l’érudition gastronomique stupéfiante et teintée d’un humour parfois féroce si cela n’est pas à son goût, au moment des intronisations…

A ces « Trois Mousquetaires » de la fine fourchette et du verbe haut pour mettre en exergue une recette particulière, un établissement du cru ou une nouvelle cuvée à découvrir, se sont ajoutés au démarrage de cette expérience vivifiante mais moins figées et protocolaires qu’une confrérie habituelle un Jean-Pierre SAUNIER – l’ex-patron de l’incontournable « Rendez-Vous » auxerrois aujourd’hui retraité des fourneaux -, sa fille, Claire, à la baguette désormais de l’établissement paternel ou encore la dynamique entrepreneuse Fanny VIAUT, à la tête de l’agence de communication « Communik & Vous » qui a débuté sa prometteuse carrière de relations publiques en se consacrant à la promotion des restaurants de la place. De quoi la mettre en appétit par la suite, tout en conservant la ligne !

 

 

Un bel aéropage de plus de soixante membres en deux ans !

 

Grâce à la nouvelle promotion 2023, placée sous le signe du « chocolat » au niveau de son nom de baptême, « Gourmand’ Yonne » peut désormais s’enorgueillir de posséder un bel aréopage de plus de soixante représentants. Des figures locales et départementales issues des milieux économiques, institutionnels, pédagogiques, artisanat, etc. Voire politique avec les deux intronisés du jour : Nicolas SORET, édile de Joigny – une localité de référence gastronomique incontestable dans l’Yonne – et l’ancienne députée Michèle CROUZET.

En l’espace de deux années chrono après avoir déposé son acte de naissance à la préfecture en qualité d’association de type 1901, c’est une belle réussite et un coup d’éclat qui ne laisse personne sur sa faim – il ne manquerait plus que cela ! - : chapeau bas, au niveau de la progression des effectifs. Même le CAC 40 n’y arrive pas quant à ses indicateurs boursiers malgré l’envolée des cours des matières premières !

Naturellement, la cérémonie d’admission de ces nouveaux impétrants ne pouvait se tenir ailleurs que chez « FESTINS » dont la réputation des recettes traiteur et des canapés de cocktail n’est plus à présenter !

Enfin, cerise sur le gâteau – c’est le cas de le dire, non ?! – la soirée festive fut honorée de la présence de la ravissante « Miss Yonne 2024 », la jeune et sympathique Maëlle PERREAU qui affichera un large sourire tout au long de la cérémonie…Sans doute, a-t-elle fait abstraction du règlement parfois un peu sévère inhérent à sa fonction pour déguster en toute liberté quelques belles recettes de plats faisant office de cocktail, présentées par Matthieu CHAPUIS, hôte de la soirée !

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil