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L’organisme de tutelle des professionnels de l’agriculture a organisé une journée de travail vécue sur le terrain afin de leur faire découvrir ou redécouvrir, grâce aux conseils prodigués par un expert de Haute-Marne, les bienfaits salvateurs du semis direct et ceux de l’agriculture de conservation. Ce fut aussi l’occasion pour le nouvel embauché, Louis GABAUD, conseiller en productions végétales, et animateur de ce nouveau groupe, d’expliquer les pratiques évolutives de cette agriculture résolument environnementale et économe…

 

LIGNY LE CHATEL : Alors que les discussions allaient bon train en préambule de cette journée de travail sur les nuisances occasionnées par la prolifération accrue des corbeaux et des corneilles au-dessus des champs (des espèces considérées par ailleurs comme nuisibles), la cinquantaine d’agriculteurs (céréaliers et éleveurs) invités à cette manifestation devaient se montrer très attentifs aux propos parfois techniques tenus autour de ce double thème, consacré aux semis directs et à l’agriculture de conservation.

Dans la pratique, deux sous-groupes se constitueront au terme de la première journée de mise en route de ce programme didactique qui appellera d’autres rencontres. L’un proposera un cycle complet aux côtés des experts et spécialistes de la question ; l’autre se focalisera plutôt, pour celles et ceux des professionnels ayant déjà quelques connaissances, à des visites approfondies parmi les plaines où le retour d’expérimentation s’effectuera via l’analyse des parcelles servant aux essais.

Comme devait l’expliciter Antonio PERREIRA, technicien expert de la Chambre d’agriculture de Haute-Marne, l’agriculture de conservation des sols et le développement des couverts végétaux (les fameux semis directs) facilitent la reconstitution des agrosystèmes, indispensables à la recherche de la performance des sols.

Mais, avant de parvenir à l’excellence de ces résultats, il s’agira pour le professionnel de faire face à un certain nombre de difficultés notoires, à commencer par la répartition équitable de la paille sur les sols cultivables. Chose peu aisée manifestement avec l’utilisation de machines ayant des grandeurs de coupe très disparates les unes des autres.

Haro contre les campagnols, mais présence bénéfique des vers de terre…

Nonobstant ce point de vue technique, le véritable ennemi, désigné par l’expert de Franche-Comté, n’est autre que le campagnol, petit rongeur extrêmement prolifique qui double sa population tous les deux mois et occasionne de sérieux dégâts parmi les plantations. La seule alternative à cette pullulation de l’espèce se présente sous la forme du travail des sols. Mais, en prenant certaines précautions afin de favoriser la fertilité du terrain. Il est nécessaire de développer l’élevage des précieux vers de terre, auxiliaires indirects de la réussite du développement de ces agrosystèmes si vertueux et bénéfiques à l’optimisation des sols.

« Le poids de vers de terre est un excellent indicateur de la biologie d’un terrain et de sa santé positive, commenta l’expert, il est impératif de préserver cette vie biologique mais cela demande de nombreuses compétences. Car, le système de production doit nourrir tout ce système. Sans le respect de ce processus, ce sera un échec cuisant… ».

Remplacer l’acier par des racines et le fuel par la photosynthèse…

Multipliant les exemples, Antonio PERREIRA s’incriminera contre les effets dévastateurs d’un travail réalisé trop en profondeur dans les sols. Celui-ci doit être appréhendé de manière superficielle avec l’appui du couvert végétal. Même s’il restera toujours à traiter la gestion des mauvaises herbes avec l’aide de produits chimiques tant qu’ils seront autorisés par l’Europe, la rotation des cultures ou la présence des couverts végétaux, pouvant les réduire à néant.

« Aujourd’hui, devait déplorer le représentant de la Chambre d’agriculture de Haute-Marne, 70 % de la destruction des vers de terre est imputable à un travail de sol trop profond induisant l’usage abusif des outils mécanisés… ».

Un autre attrait de l’agriculture de conservation et du développement des couverts végétaux reste le stockage du carbone et de l’azote dans les sols. Un enjeu environnemental essentiel à l’heure du développement durable tous azimuts.

La Politique agricole commune (PAC) européenne encourage l’essor de la pratique des couverts végétaux puisqu’elle s’inscrit dans la démarche des surfaces d’intérêt écologique (SIE). Les textes officiels sont formels : tout agriculteur doit dorénavant posséder  5 % de ses terres en SIE.

« La philosophie de ce concept se veut simple, devait conclure Antonio PERREIRA au terme de son intervention, il est nécessaire désormais de remplacer l’acier et l’abondance d’engins mécaniques par des racines et le fuel trop polluant par l’usage de la photosynthèse. Cela générera aussi de sérieuses économies en matière de consommation énergétique avec la diminution du fuel dépensé au quotidien dans les cultures… ».


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Le siège de l’entreprise artisanale à la renommée internationale sera le théâtre d’une cérémonie protocolaire très particulière, et sans doute emplie d’émotion, le 24 novembre prochain. Issu d’une famille de bouchers et d’éleveurs sur plusieurs générations, l’artisan de Sens, Jean DENAUX, recevra les insignes de Chevalier de l’Ordre national du Mérite des mains de la vice-présidente départementale de la célèbre institution, Odile LEPAPE, devant un aréopage de personnalités des milieux institutionnels et économiques de Bourgogne Franche-Comté. Un juste retour sur investissement pour ce professionnel d’un autre sérail, humble et respectueux des valeurs humaines, qui fournit aujourd’hui les plus belles tables gastronomiques de la planète grâce à ses viandes de sélection si extraordinaires au palais et affinées avec tant de succulence gustative…

SENS : Auréolé d’un « Coq d’Or », référence de belle facture dans le milieu des métiers de bouche en 2016, le chef d’entreprise de Sens bénéficiera de nouveaux honneurs ce vendredi 24 novembre en recevant une nouvelle distinction, amplement méritée pour sa quête perpétuelle de l’excellence professionnelle dans son métier de prédilection : la boucherie et l’affinage de viandes de grande qualité.

Entouré de sa famille, de ses proches et de ses nombreux amis, Jean DENAUX dont la réputation professionnelle est reconnue dans le monde entier auprès des chefs et grandes toques qui régalent les épicuriens de la planète de viandes labellisées à la française, intègrera un nouveau pallier de sa méritoire carrière : en devenant de facto Chevalier de l’Ordre national du Mérite. Une récompense honorifique qui traduit les vertus de l’excellence professionnelle en France.

Plébiscité par un ouvrage de référence sur les meilleurs bouchers de France…

Il était légitime que l’entrepreneur de l’Yonne choisisse le cœur habituel des opérations de sa réussite, c’est-à-dire les locaux de son entreprise artisanale zone des Vauguillettes à Sens, pour recevoir ce titre d’exception.  

Connaissant toutes les subtilités de la viande sous ses aspects qualitatifs, ses origines ou ses finesses si délicates au palais, Jean DENAUX est intarissable sur la culture de la viande en France.

En début d’année, les journalistes Franck RIBIERE et Vérane FREDIANI lui avaient consacré d’élogieuses pages dans leur magnifique ouvrage à la gloire de ce monde si caractéristique des artisans bouchers incontournables de l’Hexagone. Paru aux éditions de La Martinière, l’opus, « Steak in France », est devenu depuis une véritable bible pour les amateurs de produits carnés avertis à la recherche de la viande d’exception à la sublime qualité en bouche…

Mais, l’humilité de Jean DENAUX et son sens profond de la relation à l’autre favoriseront aussi les remerciements que l’heureux bénéficiaire de la précieuse distinction destinera à son épouse et à ses filles, fidèles d’entre les fidèles aux côtés du responsable de ce projet entrepreneurial incroyable, et à l’ensemble de ses collaborateurs (une vingtaine de personnes) qui ont contribué au succès de cette entreprise peu ordinaire dans le paysage bourguignon.

Des spécialistes en salaison et affinage de fromages pour construire son unité de production…

Moderne et pourtant attentif au respect des traditions de l’élevage et de l’affinage des produits, Jean DENAUX vit avec le souci de préserver un environnement malmené en réduisant la consommation énergétique grâce à un concept de bâtiment annexé à l’esprit du développement durable.

Affineur exclusif de la viande de bœuf de Charolles et de viandes d’appellation aux origines certifiées (AOC, Label Rouge, IGP…), l’artisan a conçu en 2013 un site de production exceptionnel de 1 400 mètres carrés à l’image de son talent et de ses ambitions.

Pour la réalisation de ce site hors normes, il s’est appuyé sur les conseils avisés d’experts en salaison et affinage de fromages. La présence de chambres froides, destinées à préserver une température, l’hygrométrie et la ventilation idoines à la maturation allant jusqu’à six mois, justifiait ces choix. En développant pour la première fois en France cette méthodologie, Jean DENAUX, avec son âme et tempérament de précurseur, a pu ainsi améliorer la tendreté de ses viandes de 40 %, tout en évitant la perte de poids du produit et en restant respectueux des qualités microbiologiques naturelles.

Rien d’étonnant qu’une quarantaine de pays de par le monde dont ceux de l’Asie du Sud-Est raffolent tant des vertus gustatives et qualitatives savoureuses de cette viande qui confine à l’excellence...


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Pour l’heure, et encore en l’état de prototype prêt à inonder le marché planétaire, le devenir de la caisse enregistreuse a été dévoilé par les responsables du leader international dans la conception et la fabrication d’équipements dédiés aux espaces commerciaux. Le concept « BUTTERFLY », révolutionnaire et ergonomique à plus d’un titre, permettra à une opératrice d’assurer la gestion de trois clients de manière simultanée grâce à l’apport de la digitalisation et d’une bonne dose d’ingénierie…

MONETEAU : Fluidifier les files d’attente en responsabilisant de plus en plus le consommateur lors de son passage crucial aux caisses enregistreuses d’une grande surface n’est pas aussi simple à gérer pour le responsable d’un établissement commercial. Pourtant, le processus explicatif présenté par Régis CAO, directeur du marketing du groupe HMY France et de son chef de produits, Mathieu DAUVISSAT, devrait satisfaire à terme les attentes de ces dirigeants d’entreprises de la GMS qui redoutent toujours les heures de pointe, fatidiques au moral des troupes évoluant derrière les caisses.

Une nouvelle machine aux performances déjà éprouvées

Muni de scanner, de systèmes de caméras et d’appareils photographiques intégrés, « BUTTERFLY » ne représente pas l’archétype habituel de la caisse enregistreuse d’autrefois, voire de maintenant. Plusieurs clients peuvent y déposer en symbiose parfaite le contenu de leurs caddies sur un tapis roulant que le consommateur déclenchera lui-même. Les deux tapis se faisant face.

La caisse du futur ne supprime pas la présence de l’opératrice qui peut enregistrer en simultanée les courses qui défilent sous un imposant scanner collectant les précieuses données si utiles pour la salariée : les prix des articles.

Une fois, le premier client évalué grâce à la scrupuleuse vérification de l’appareil numérique, le second peut alors enclencher de manière tactile à partir d’un écran positionné sur l’appareil la piste qui acheminera ses produits sous le scan. Tandis que le troisième client alimentera à son tour la piste laissée vacante par la première personne, qui elle, sera en phase de règlement auprès de l’opératrice.

Pendant que se répète ce processus intelligent, et rapide, celle-ci pourra contrôler les systèmes digitaux de surveillance embarqués à bord de la machine lui permettant de détecter la moindre infraction, notamment le vol des articles, phénomène récurrent en sortie de caisse.

Pourvue d’un design impeccable, la caisse enregistreuse nouvelle génération est aujourd’hui placée dans les starting-blocks, prêtes à être commercialisée sur le marché. Mais, pas n’importe lequel dans un premier temps…

Prioriser la commercialisation vers le marché national

« Nous souhaitons vraiment que ce concept « BUTTERFLY » se démocratise en priorité en France, auprès du réseau des grandes surfaces, avant de le vendre à l’international, explique Régis CAO, en évoquant la future stratégie marketing lié au produit ; plusieurs pays de l’Asie du Sud-Est (Corée du Sud, Japon…) mais également ceux de l’Amérique du Sud tels que le Brésil et l’Argentine veulent déjà miser sur ce produit et de manière très réactive. Idem de la part de la Turquie ! Or, nous attendons que les professionnels de la grande distribution française se manifestent et affichent leur plus vif intérêt vis-à-vis de notre nouvelle création… ». Ce qui ne saurait tarder puisque mi-novembre, plusieurs d’entre eux auront la faculté de découvrir sur le site de l’Yonne le dernier né de la gamme…

Malgré son appellation anglicisante, « BUTTERFLY » est bien le fruit d’une conception française. Quant à l’investissement consenti pour l’acquisition de ce type d’appareil, il n’est pas négligeable et se situerait dans une fourchette de prix oscillant entre 40 000 et 60 000 euros. La présence des atouts numériques et digitaux faisant l’attrait ultra moderne et sécurisant du produit explique en partie ce coût.

Présent depuis plus de cinquante ans aux côtés des entreprises qu’il accompagne, principalement celles du secteur alimentaire (Carrefour, Auchan…) mais aussi ADIDAS ou VODAFONE, HMY France n’a pas fini de surprendre les observateurs sur sa capacité à innover et à investir pour préserver sa place de numéro un européen sur ce segment très concurrentiel de l’agencement de magasins.

Ce gros faiseur à l’échelle mondiale réalise 500 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel via l’implantation d’une dizaine de sites industriels répartis sur tous les continents sauf l’Afrique. Il emploie plus de 4 000 collaborateurs dont 700 évoluent sur l’un des trois sites de l’Hexagone, celui de Monéteau…


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TOUCY : La présence de Michel KOTOVCHIKHINE, élu de la ville de Puisaye au soir de la conférence débat proposée par PRESENCE VERTE BOURGOGNE à la veille de la fameuse randonnée pédestre, était déjà un signe avant-coureur d’une hypothèse qui allait se confirmer quelques jours plus tard.

Après Joigny en 2015, Chablis l’année suivante et Auxerre le 01er octobre dernier, la randonnée caritative au profit des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, et soutenue par plusieurs structures professionnelles du secteur sanitaire du territoire, posera finalement ses jalons en terre de Puisaye.

 

Même si d’autres zones géographiques avaient été plus ou moins pressenties pour accueillir la logistique de cet événement pouvant recevoir entre 350 et 800 adeptes de la marche, qu’elle soit traditionnelle ou nordique.

Ce quatrième rendez-vous bénéficiera de circuits pédestres très agréables à pratiquer au vu de la configuration topographique de ce site champêtre, d’ordinaire très fréquenté par les Franciliens, voire les ressortissants Britanniques et Néerlandais qui disposent de nombreuses résidences secondaires. L’internationalisation de fait de « MARCHENSOL » sera-t-elle la principale nouveauté de cette prochaine édition ?

Discret sur les futurs préparatifs du futur épisode solidaire, Pierre HIPEAU, directeur général de la structure associative de PRESENCE VERTE BOURGOGNE, a seulement exprimé une tendance pour qualifier la manifestation de l’automne 2018 : elle devrait être, selon ses termes, « artistico, sportive et touristique ». On n’en saura pas davantage pour l’heure.

A contrario, une autre piste qui pourrait être d’ores et déjà exploitée de manière plus sérieuse serait la collaboration active du Comité de la Franck Pineau et de son responsable, Serge Le DOUSSAL, en vue d’introduire la présence de cyclotouristes sur la manifestation. Un prolongement qui se situerait dans une certaine logique puisque « MARCHENSOL » s’était ouvert aux pratiquants du running dès 2016.

Quant au bilan chiffré de la récente édition, à laquelle aura pris part in fine 400 marcheurs et coureurs, il se sera soldé par une récolte positive de 2 300 euros qui ont été offerts officiellement à Gérard CLEMENCELLE, président départemental de France Alzheimer 89, lors du Salon des Seniors à Auxerre, courant octobre. Un geste fort qui traduit l’intérêt constant des organisateurs de PRESENCE VERTE BOURGOGNE en faveur de l’association qui soutient chaque jour les aidants familiaux et surtout les malades…


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Détentrice à quatre reprises du plus prestigieux des trophées nationaux (1994, 1996, 2003 et 2005), l’AJ Auxerre entame la nouvelle campagne 2017/2018 avec certaines ambitions. Tout en considérant le réalisme de l’instant, compte tenu d’une multitude de blessures. Néanmoins, le moral est au beau fixe. Le club de Chamalières, pensionnaire de Nationale 3 (6ème), en fera peut-être les frais ce samedi 11 novembre dans une rencontre sans doute disputée dans des conditions climatiques plutôt hivernales selon les prévisions. Mais, l’accueil musclé du public, chauffé à blanc, et les velléités combatives des joueurs auvergnats n’altèrent en aucune mesure les motivations du coach bourguignon, Francis GILLOT, qui croit en la victoire…

AUXERRE : Entre l’AJ Auxerre et la Coupe de France, c’est une longue histoire d’amour. Auréolée de quatre valeureux succès obtenus face aux meilleures équipes de France. Bon nombre de supporters bourguignons se souviennent de ces instants magnifiques, gardant en mémoire le fruit des exploits sportifs de ces belles années vécues sous l’ère de Guy ROUX.

Ne pas sous-estimer l’adversaire et rester humble…

Or, à quelques heures d’un premier tour, qui emmènera l’équipe première à la périphérie de Clermont-Ferrand, Francis GILLOT qui a déjà soulevé le trophée avec les Girondins de Bordeaux en 2013, se prépare à vivre face aux footballeurs du FC Chamalières une rencontre délicate.

Il n’est jamais simple d’évoluer à l’extérieur, contre une équipe réputée plus faible sur le papier et qui donnera toutes ses tripes pour créer l’exploit retentissant, imputable à la « magie » et à la grandeur patrimoniale de l’épreuve.

« Ce match s’annonce complexe, analyse le coach bourguignon, avec ses chausse-trappes qu’il faudra savoir déjouer, un stade propice à l’effervescence chez les supporters adverses, et pourquoi pas des conditions météo dont il faudra s’accoutumer. Bref, nous avons à nous méfier, de ne pas sous-estimer l’adversaire et de rester dans l’humilité… ».

Malgré un effectif un peu  décimé pour cause de blessures, le retour de BARETTO ne pourra se faire d’ici Noël, l’entraîneur de l’AJ Auxerre comptera cependant sur le retour expérimenté de quelques valeurs sûres qui ont fait beaucoup d’efforts pour revenir à leurs meilleurs niveaux et intégrés le onze de départ. On pense notamment à DIALLO et à Mikaël TACALFRED.

« Ils devraient saisir leurs chances et essayer de se distinguer en marquant des buts : c’est l’essentiel aujourd’hui pour notre équipe. Peu importe la manière, il faut privilégier le résultat et gagner cette rencontre qualificative pour la prochaine échéance… ».

Le dilemme auvergnat du président…avec une préférence pour Auxerre !

Aller le plus loin possible dans cette mythique épreuve est pour l’heure le premier des objectifs de Francis GILLOT qui ne s’impose aucune contrainte psychologique sur le sujet. « L’importance du score m’est tout à fait égal : il faut l’emporter et poursuivre notre route, un point c’est tout ! ».

Reste que cette rencontre que l’on souhaite plaisante à suivre occasionne peut-être un petit dilemme pour le président de l’AJA, Francis GRAILLE, auvergnat pure souche. Sa connaissance de Chamalières montre que ce club est résolument sympathique et que le staff a d’ores et déjà prévu un après-match des plus conviviaux. Autour d’une potée ou d’un aligot ?


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