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Rejoindre la ville la plus septentrionale de l’Hexagone pour y disputer son ultime match de l’année ne représente pas un voyage d’agrément pour les Auxerrois. D’autant que chez le promu qui occupe une méritoire douzième place, les Bourguignons y sont attendus comme le Père Noël. Histoire de le « dépouiller » de ses cadeaux tant les contres agressifs de l’adversaire pourraient faire mal à la défense icaunaise…  

AUXERRE : Rasséréné par la brillante quatrième place de son équipe au classement général, même s’il soutient mordicus que ce n’est qu’à la toute dernière journée de championnat qu’il fera les comptes, Jean-Marc FURLAN sait que le match opposant les Auxerrois à l’Union Sportive du Littoral de Dunkerque ne sera vraiment pas une partie de plaisir mardi aux alentours de 20 heures.

D’une part, il y a en guise de préambule un long déplacement à la pointe nord de la France. Fort heureusement assuré par voie aérienne même si certains éléments de l’équipe bourguignonne ne sont guère folichons à l’idée d’emprunter les airs pour s’y rendre !

D’autre part, le comité d’accueil in situ risque d’être musclé sur le terrain. C’est en effet l’une des marques de fabrique de la formation nordiste, réputée pour la hardiesse de son jeu physique et ses contres redoutables. Ce n’est pas pour rien que l’un des promus de la saison occupe la douzième place avant le terme de la phase aller dans cette Ligue 2.

Toujours est-il que l’entraîneur de l’AJ Auxerre se méfie de cette rencontre à l’extérieur qui pourrait menacer la belle série actuelle. Soit neuf rencontres de rang sans défaite.

Craignant que ses protégés aient la possession du ballon tout en s’exposant à de redoutables contres aux conséquences funestes, le coach n’a pas la tête aux vacances ! Loin s’en faut : il invite ses ouailles à ne pas se relâcher.

Certes, sur le papier, quand le quatrième d’une compétition affronte le douzième du classement, la balance semble plutôt favorable au premier nommé. Qu’en sera-t-il exactement demain soir au sortir de cette confrontation qui en cas d’invincibilité auxerroise permettrait aux Bourguignons de clore la première moitié de l’épreuve sur le podium !

 

 

 

 

La recherche de la performance pour être les premiers…

 

Triturant machinalement la branche de sa paire de lunettes bleues, le coach de l’AJA affiche toutefois une certaine décontraction avant de débuter la conférence de presse d’avant match.

L’adversaire est certes coriace et athlétique, mais il ne retient du football que le plaisir du jeu. Sans trop se mettre la pression.

Il le reconnaît sans ambages, « le foot, c’est un sport épuisant sur le plan psychologique car l’attente des résultats s’effectue à un niveau environnemental… ». En filigrane, il faut aller plus loin. Toujours plus loin. Sans s’arrimer à un vertueux plan comptable qui ne correspond finalement pas à grand-chose dans la réalité.

Après dix-huit mois de présence dans son nouveau club de prédilection, Jean-Marc FURLAN s’enracine dans ce même discours. Celui de la recherche de la performance qu’il ne cesse de demander à ses joueurs.

Sa soif d’emmagasiner les victoires est insatiable. La bonne dynamique actuelle vient corroborer ses envies. Le succès est au rendez-vous grâce à un collectif qui progresse. A force de travail et d’évolution mentale pour être les premiers.

Dommage que le public ne puisse assister à ces rencontres d’un bon niveau à cause de la pandémie à l’Abbé Deschamps. C’est l’un de ses principaux regrets au terme de cette année si étrange pour l’univers sportif.

Thierry BRET

 

 


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Le mécène François SCHNEIDER sera-t-il le nouveau messie de l’emploi et de l’attractivité culturo-touristique sur le territoire de l’Yonne dans les années à venir ? Tout contribue à le croire, si l’ambitieux concept rattaché au futur du domaine de Pontigny se concrétisait dans sa globalité. Cédé par la Région pour 1,8 million d’euros, ce haut-lieu cistercien est promis à un bel avenir. A condition, toutefois, de réunir les fonds et capitaux nécessaires en vue de sa profonde mutation économique…

AUXERRE : Comme cadeau de Noël fait à l’Yonne, il y a pire ! Mais, à quelques jours de la fête de la Nativité, beaucoup aimeraient y croire à l’écoute du panégyrique idyllique qui a été fait à propos de l’un des bastions patrimoniaux de notre territoire : le domaine de l’abbaye de Pontigny.

Jusque-là propriété exclusive de l’appareil institutionnel régional depuis 2003, cet espace aux origines séculaires et hautement spirituel sommeillait quelque peu dans une douce béatitude.

Or, il devrait en être tout autrement après sa cession entérinée le 11 décembre lors de l’assemblée plénière du vénérable organisme. Un choix qui a été validé à une très large majorité par les élus proches de la présidente socialiste Marie-Guite DUFAY. Son opposition s’abstenant ou votant contre à de rares exceptions…

Mis en vente selon la propre volonté du Conseil régional, le domaine de la fameuse abbaye cistercienne, l’une des plus importantes structures érigées à la gloire des adeptes de la règle de Saint-Benoît en France, a donc trouvé acquéreur. Soit la Fondation éponyme du mécène et industriel François SCHNEIDER. Un féru de l’art contemporain et des arts de vivre qui dispose déjà d’un univers conceptuel favorable à l’accueil d’artistes et à leur libre expression du côté de l’Alsace, à Wattwiller précisément dans le Haut-Rhin.

C’est là que le fondateur de la société « Grandes Sources de Wattwiller » a imaginé un projet encore plus abouti qu’il souhaite décliner en partie sur le site cistercien icaunais. Du moins, dans son approche culturelle et touristique.

Dans cet environnement propice à la méditation et à la saine oisiveté, l’homme d’affaires français qui possède des attaches dans l’Yonne souhaite revitaliser les lieux. Un espace, excusez du peu, de 9,5 hectares de terrain comprenant cinq mille mètres carrés de bâtiments à l’architecture cistercienne.

 

 

 

La « terre » comme déclinaison symbolique après celle de l’eau…

 

Alors que la partie adverse, c’est-à-dire la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre,  prétendait aussi acheter ce bien en proposant une cagnotte de 300 000 euros supplémentaires, c’est bel et bien l’offre de la fondation qui obtint gain de cause in fine le jour du vote auprès des élus de la majorité régionale.

Sans doute que l’idée de créer une école destinée à l’apprentissage de futurs prêtres ne reçut pas les mêmes échos favorables auprès des élus par rapport au deuxième concept à la dimension économique et environnementale évidente.

Toujours est-il que le mécène François SCHNEIDER, profitant d’une pseudo-conférence de presse pour dévoiler les grandes lignes de ce mirifique projet face aux acteurs du territoire, fera de ce domaine un centre d’art où se grefferont un complexe hôtelier haut de gamme, un restaurant à vocation gastronomique, un espace culturel mettant un sérieux coup de projecteur sur l’histoire du vignoble de Chablis et les origines du site (avec un musée dans la besace). Plusieurs salles de conférences équipées pour accueillir séminaires et autres colloques complèteront cet ensemble stratégique.

Bref, nul n’est besoin d’être prophète en son pays pour comprendre que le dossier de la Fondation SCHNEIDER qui nécessite des investissements importants (on avance déjà le chiffre de dix millions d’euros pour commencer), devrait être pourvoyeur de nombreux emplois à terme (on en recense déjà près de 70 dans la projection définitive du projet à trois ans), d’une forte attractivité culturelle, patrimoniale et touristique qui rayonnera bien au-delà des frontières bourguignonnes.   

 

        

La « terre » en sera son leitmotiv identitaire, décliné à toutes les sauces et selon les variantes choisies (éco-citoyenneté, productions agricoles locales, produits artisanaux commercialisés dans la boutique sur place…) à l’instar de celui de l’eau, symbole caractéristique du site de Wattwiller où coule cette substance naturelle qui permet d’étancher la soif de milliers de consommateurs.

François SCHNEIDER poursuivra-t-il sur ce raisonnement logique qui lui verrait un jour concevoir des infrastructures du même acabit se rapportant aux deux derniers éléments de cette référence à la cosmogonie (le feu et l’air) ?

Nul ne le sait, pour l’heure, évidemment !

Son ambition est, en revanche, de propulser le domaine de Pontigny sur une toute autre orbite qu’elle ne l’est à l’heure actuelle. Faisant converger sur place des artistes, des créateurs, des talents, le public (avec une jauge impressionnante qui oscille entre 100 000 visiteurs dès le lancement de ce complexe en 2023 à quatre fois plus de personnes moins de cinq années plus tard !), des partenaires issus des collectivités et surtout des investisseurs !

 

Un prévisionnel orienté autour de l’équilibre à cinq ans…

 

On l’aura compris le nerf de la guerre de ce projet aux ambitions alléchantes demeure l’argent. Le mécène n’en manque pas, visiblement. Mais, il sollicitera aussi les investisseurs locaux en ouvrant le capital de la future société qui portera le projet. Des subventions seront demandées aux partenaires territoriaux. On imagine allègrement qu’il sera nécessaire de disposer de plusieurs millions d’euros d’investissements à étaler dans le temps selon les chantiers à mettre en route pour atteindre le point d’équilibre prévu à cinq ans.

Quant au capital humain, François SCHNEIDER s’est entouré d’une équipe de choc pour piloter ce navire qui n’a rien d’un frêle esquif perdu dans la mer des Sargasses.

Le « capitaine au long cours » porteur du projet se nomme Bruno SCHOCH. Président du directoire de la société UNIBEL SA (structure de l’agro-alimentaire cotée à Paris), il a exercé ses multiples talents de manager dans le groupe fromager BEL.

C’est aussi une jeune femme, diplômée de Sup de Co Paris, Amandine SIMPHAL qui à 32 ans devient directrice du projet. Le troisième joker de François SCHNEIDER se nomme Jérôme GALLOT, un ancien de la Cour des Comptes qui gérera les relations avec les pouvoirs publics.

Outre le fondateur de la fondation, on trouvera également dans ce staff aux cinq têtes pensantes une figure connue et reconnue de l’univers entrepreneurial de l’Yonne, l’Auxerrois Michel PISANI, ancien président de la Maison de l’Entreprise et administrateur de l’agence Yonne Equipement. Un quintuor prêt à en découvre pour accomplir un rêve : redonner ses lettres de noblesse à ce site séculaire et intemporel...

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 

 


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Dans le cadre du Plan d’accélération pour l’année 2021, la Bourgogne Franche-Comté a décidé d’allouer une enveloppe d’1,5 million d’euros pour soutenir les projets portés par les agriculteurs. Priorité est ainsi faite au développement des circuits courts et aux produits locaux. La viticulture n’y perd pas au change…

DIJON (Côte d’Or) : Il s’agit peut-être de l’une des rares conséquences positives qui soit imputable à la présence du coronavirus sur notre sol. La crise de la COVID-19 aura permis en effet de revoir la manière dont nous gérons nos habitudes alimentaires au quotidien. Notamment lors du premier confinement.

Partout, sur le territoire régional, les consommateurs ont porté une attention toute particulière aux produits locaux et aux circuits courts. Une évolution des comportements qui se répercutera sur le travail des producteurs.   

Consciente de ces changements significatifs, la Région a décidé dans le cadre de son Plan d’accélération pour l’année 2021 d’être à l’écoute des professionnels de l’agriculture et de les accompagner à la réalisation de leurs nouveaux projets. Ceux qui offrent une certaine pérennité aux filières agricoles en créant des besoins et des marchés novateurs.

Cette manne financière qui s’élève à 1,5 million d’euros est la bienvenue dans ce contexte de crise particulièrement tendu.

 

 

La viticulture intègre les priorités grâce à l’oenotourisme…

 

Le volet de la viticulture n’est pas oublié pour autant par l’exécutif régional. Grâce à l’élaboration du schéma oenotourisme, c’est-à-dire un programme bâti entre 2021 et 2030 où la Bourgogne Franche-Comté souhaite jouer les premiers rôles en devenant la région leader de l’Hexagone.

Entamée depuis 2019, la réflexion prévoit un certain nombre d’actions (dix-neuf) déclinées autour de trois grandes priorités : la notoriété à l’échelon international et national, l’essor progressif de l’oenotourisme et l’anticipation des changements de gouvernance et d’influence pour mieux en affirmer sa prédominance dans le paysage régional.

 

 


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Le compte à rebours est déclenché pour la jeune prétendante au sésame suprême ! Dans vingt-quatre heures, Miss Bourgogne tentera de briguer la plus haute distinction de ce concours d’élégance et de beauté fétiche pour les puristes de l’idéal féminin : devenir la nouvelle Miss France 2021. Une épreuve mythique concoctée dans le cadre onirique du Puy-du-Fou, sans masque mais aussi sans public…

DIJON (Côte d’Or) : Faire le plein de voix pour décrocher un titre. Voilà la clé de la réussite de ce concours qui a traversé les âges sans prendre une ride : celui de l’élection de Miss France.

Cette édition pour désigner la reine de beauté et d’élégance 2021 se déroulera certes dans un contexte très particulier pour les naïades qui prétendent au titre. Même s’il n’est pas présent sur le lieu de la manifestation (le parc d’attractions du Puy-du-Fou cher à Philippe de VILLIERS), le public aura toutefois une belle carte à jouer pour l’obtention du résultat définitif.

En complément du jury désigné, le public pourra choisir sa candidate préférée en direct. Sachant qu’il y aura deux tours de scrutin lors de la soirée, ce samedi 19 décembre à partir de 21 heures.                                         

Le premier vote aura lieu après la sélection des douze miss, dans le but de désigner les cinq finalistes.

Les votes du public compteront à égalité avec ceux du jury  afin de désigner la grande gagnante et ses quatre dauphines. Les membres du jury ne pourront que donner leur avis personnel.

 

 

Comment procéder pour voter ?

 

C’est très simple : il suffit de téléphoner au 3680. Un service facturé à 0,99 euro maximum par appel plus le prix de l’appel. On peut joindre le concours en votant par SMS au 72500 avec les mêmes conditions tarifaires déjà citées. Le suivi de cet évènement se fera en direct sur l’antenne de TF1.

La jeune lauréate de Miss Saône-et-Loire 2020 et de Miss Bourgogne 2020 est, rappelons-le, étudiante en masters 2 en école de commerce. Elle travaille en alternance chez L’Oréal au sein du service marketing et business pour l’une des marques du groupe, DECLEOR.

Bourguignons, attribuez-lui vos suffrages parce que cette belle ambassadrice de notre territoire le vaut bien !

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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Le directeur du théâtre de La Closerie ne cache pas sa colère contre les décisions prises par le gouvernement de reconduire la fermeture des lieux de spectacle. Jusqu’à quand ? D’une part, une pétition circule sur la toile pour collecter le plus nombre de signatures. D’autre part, il sera présent dimanche matin devant la statue de Marie Noël pour protester et s’élever contre cette interdiction…Explications signées de sa plume.  

TRIBUNE: Par la voix du Premier ministre Jean CASTEX, le gouvernement vient, contre toute attente et contre toute logique, d’interdire la réouverture le 15 décembre 2020 des théâtres, des salles de spectacle...

Cette nouvelle interdiction a été prise sans concertation avec les professionnels du spectacle et de la culture, sans concertation avec les publics citoyens et en l’absence de la Ministre de la Culture, mais en présence remarquée du Ministre de l’Intérieur, chargé de présenter, en guise de pédagogie, et à la place de concertations, un arsenal de mesures répressives, coercitives…

Pourquoi fermer des lieux (théâtres, salles de spectacle, cinémas, musées…) qui sont souvent parmi les mieux organisés pour mettre en place et en pratique les mesures dites barrières au virus ?

Interdire l’ouverture des théâtres et des lieux de spectacle est un non-sens d’autant qu’à la demande des autorités, ils se sont largement équipés en matériel sanitaire ; ils ont aménagé leurs espaces et matérialisé la circulation…

Interdire les manifestations culturelles, artistiques et musicales avec du public n’a pas de sens et à l’évidence, c’est une aberration puisqu’il est depuis longtemps démontré qu’elles ont un effet bénéfique indéniable sur la santé (l’art-thérapie en apporte la preuve).

En tant qu’artiste, directeur d’une salle de spectacle, programmateur, je ne peux comprendre, tout comme un très grand nombre de confrères, l’intérêt, même sanitaire, de prolonger au-delà du 15 décembre 2020 la fermeture des théâtres, des scènes et des lieux de spectacle.

Que cherche-t-on réellement en maintenant la fermeture de ces lieux où s’exercent et se confrontent la vie sociale et culturelle ? Veut-on, comme le pensent certains, bâillonner toute forme d’expression ? 

D’autre part, les théâtres, les lieux de spectacle étant fermés, les artistes professionnels du spectacle vivant (tout genre et toutes disciplines confondus), n’ont bien entendu plus de contrat et plus aucun revenu provenant de leur travail.

Ils exigent, et c’est normal, de pouvoir exercer leur métier et d’en vivre. Les aides de l’état pour « compenser les pertes », puisées dans nos poches via les impôts, fort inégalement « réparties » d’ailleurs, ne peuvent compenser l’interdiction d’exercer leur art devant du public.

En lançant cette pétition, destinée au chef de l’État, au Premier Ministre et à la Ministre de la Culture, je demande la réouverture de tous les lieux culturels et de toutes les salles de spectacle comme initialement prévu le 15 décembre.

 

Gérard-André

 

Auteur-compositeur, interprète

Directeur du Théâtre de La Closerie

 


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