Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Engagé de la première heure pour soutenir le projet élyséen du candidat Emmanuel MACRON, le référent de La République en Marche dans l’Yonne a été reconduit à son poste pour un mandat supplémentaire de deux ans. Une période faste en échéances électorales avec l’organisation de quatre des scrutins essentiels qui régissent la vie politique de l’Hexagone…

AUXERRE: Chômage et farniente s’abstenir pour le référent icaunais de La République en Marche au cours de ces vingt-quatre prochains mois ! Le renouvellement de mandat de Patrice TAMPIED AZURZA sur une période de deux ans correspond à la tenue de quatre des élections fondamentales qui rythment la vie démocratique de notre pays.

Autant dire que l’historique premier référent du parti présidentiel désigné sur notre territoire devrait être passablement occupé dans les semaines et mois à venir, notamment en vue des futures départementales et régionales de 2021. Rappelons qu’en raison de la crise sanitaire actuelle et de son impact évident sur notre quotidien, ces deux échéances ont été décalées de mars à juin pour optimiser leur organisation.

D’ici là, le référent de l’Yonne aura eu tout le loisir de peaufiner la stratégie du parti présidentiel. En sa qualité de responsable du Conseil territorial LREM Yonne ainsi que du Comité politique.

 

 

 

 

Un binôme avec Jean-Baptiste LEMOYNE pour les départementales…

 

Aux côtés du Secrétaire d’Etat en charge du tourisme, Jean-Baptiste LEMOYNE (le conseiller départemental de l’Yonne a été nommé coordinateur de LREM sur son territoire de prédilection), Patrice TAMPIED AZURZA travaillera aux enjeux de ces départementales 2021.

Il en fera de même avec le député de la Côte d’Or voisine, Didier PARIS, nommé chef de file de LREM en Bourgogne Franche-Comté dans le cadre des Régionales.

La décision de renouveler sa confiance au référent icaunais a été prononcée le 14 décembre dernier lors de la tenue du bureau exécutif des Marcheurs. Conformément aux statuts, ce sera le dernier mandat pour l’actuel référent qui rendra son tablier après cinq ans d’investissement en octobre 2022.

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Agréable pour les sens, l’opération s’est très vite muée en démonstration pédagogique. L’atelier « Vente à emporter de l’assiette à la barquette » a eu gain de cause de la curiosité exacerbée des restaurateurs eux-mêmes, venus nombreux faire leurs emplettes chez leur partenaire, l’enseigne METRO. Une initiative à porter aux crédits des spécialistes de l’art culinaire…

AUXERRE: Parmi les arts de la table les plus appréciables des épicuriens qui forgent les réputations des grandes maisons, celui du dressage demeure de très loin primordial.

C’est la mise en bouche garantie avant l’heure quand le plat est présenté à l’œil expert de l’esthète. Une incitation à la gourmandise absolue qui ne peut que titiller les sens et les papilles. Qu’ils soient olfactifs, gustatifs, visuels, voire celui du toucher pour en qualifier la substantifique matière.

Alors quand l’enseigne METRO propose avec la complicité de quelques férus des arts culinaires et de la gastronomie de concocter une animation ludique pour soutenir les professionnels de la restauration en déshérence avec la conjoncture actuelle, l’idée n’en est que plus lumineuse.

D’autant que ces artisans ne disposent plus à l’heure actuelle comme atouts majeurs dans leur maigre jeu à déployer que la vente à emporter pour valoriser leur savoir-faire et leur maestria.

Oui mais voilà : pour que perdure les grandes traditions des arts de la table offertes par les toques et autres maitres queues qui sévissent d’ordinaire derrière leurs fourneaux auprès de cette clientèle en manque de sensations gustatives et de décorum, il faut leur apporter un sérieux plus. Un supplément d’âme qui a lui seul peut faire toute la différence !

Il se nomme le dressage. C’est la note bleue et ultime de l’instrumentiste ; la subtile touche que l’artiste confère à son exaltation picturale sous le sceau de la créativité.

 

 

 

Retrouver le coup de griffe du restaurateur au fond de son assiette…

 

Prenez à titre d’exemple quelques recettes savamment préparées par le chef du Rive Gauche à Joigny, Jérôme JOUBERT, et l’un des pédagogues reconnus du lycée des métiers Vauban à Auxerre, François HENNARD. Accueillis par l’excellent responsable de METRO Auxerre, Philippe BULANT, à l’origine de cette initiative, ils ont concocté un velouté de potimarron en guise d’entrée, assorti d’un petit dôme de choux de Bruxelles accompagné de saumon fumée nappé d’un coulis au wasabi et de feuilles de roquette éparses.

Puis, ajoutez-y comme plats de résistance un magret de canard avec ses champignons et ses frégola, des pâtes typiques dont sont si friands les îliens de la sauvage Sardaigne. Ou un suprême de volaille cuisiné avec la même garniture. Le dessert se décline en sublimant la saveur sucrée d’une poire Belle Hélène travaillée avec une petite mousse et ses billes de poires.

Ensuite, il s’agira de présenter délicatement, tout en respectant la noblesse de ces mets, le dressage à l’assiette et de le transposer dans la barquette faisant office de contenant, ustensile indispensable à la vente à emporter.

Car, l’idée de cette opération aux vertus pédagogiques se situe à ce niveau : initier celles et ceux des restaurateurs qui peuvent encore exercer leur métier malgré la sinistrose actuelle aux valeurs décoratives et évocatrices de leurs recettes. Que leur clientèle dégustera chez soi, mais en retrouvant la griffe et le coup de patte de son auteur !

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Rejoindre la ville la plus septentrionale de l’Hexagone pour y disputer son ultime match de l’année ne représente pas un voyage d’agrément pour les Auxerrois. D’autant que chez le promu qui occupe une méritoire douzième place, les Bourguignons y sont attendus comme le Père Noël. Histoire de le « dépouiller » de ses cadeaux tant les contres agressifs de l’adversaire pourraient faire mal à la défense icaunaise…  

AUXERRE : Rasséréné par la brillante quatrième place de son équipe au classement général, même s’il soutient mordicus que ce n’est qu’à la toute dernière journée de championnat qu’il fera les comptes, Jean-Marc FURLAN sait que le match opposant les Auxerrois à l’Union Sportive du Littoral de Dunkerque ne sera vraiment pas une partie de plaisir mardi aux alentours de 20 heures.

D’une part, il y a en guise de préambule un long déplacement à la pointe nord de la France. Fort heureusement assuré par voie aérienne même si certains éléments de l’équipe bourguignonne ne sont guère folichons à l’idée d’emprunter les airs pour s’y rendre !

D’autre part, le comité d’accueil in situ risque d’être musclé sur le terrain. C’est en effet l’une des marques de fabrique de la formation nordiste, réputée pour la hardiesse de son jeu physique et ses contres redoutables. Ce n’est pas pour rien que l’un des promus de la saison occupe la douzième place avant le terme de la phase aller dans cette Ligue 2.

Toujours est-il que l’entraîneur de l’AJ Auxerre se méfie de cette rencontre à l’extérieur qui pourrait menacer la belle série actuelle. Soit neuf rencontres de rang sans défaite.

Craignant que ses protégés aient la possession du ballon tout en s’exposant à de redoutables contres aux conséquences funestes, le coach n’a pas la tête aux vacances ! Loin s’en faut : il invite ses ouailles à ne pas se relâcher.

Certes, sur le papier, quand le quatrième d’une compétition affronte le douzième du classement, la balance semble plutôt favorable au premier nommé. Qu’en sera-t-il exactement demain soir au sortir de cette confrontation qui en cas d’invincibilité auxerroise permettrait aux Bourguignons de clore la première moitié de l’épreuve sur le podium !

 

 

 

 

La recherche de la performance pour être les premiers…

 

Triturant machinalement la branche de sa paire de lunettes bleues, le coach de l’AJA affiche toutefois une certaine décontraction avant de débuter la conférence de presse d’avant match.

L’adversaire est certes coriace et athlétique, mais il ne retient du football que le plaisir du jeu. Sans trop se mettre la pression.

Il le reconnaît sans ambages, « le foot, c’est un sport épuisant sur le plan psychologique car l’attente des résultats s’effectue à un niveau environnemental… ». En filigrane, il faut aller plus loin. Toujours plus loin. Sans s’arrimer à un vertueux plan comptable qui ne correspond finalement pas à grand-chose dans la réalité.

Après dix-huit mois de présence dans son nouveau club de prédilection, Jean-Marc FURLAN s’enracine dans ce même discours. Celui de la recherche de la performance qu’il ne cesse de demander à ses joueurs.

Sa soif d’emmagasiner les victoires est insatiable. La bonne dynamique actuelle vient corroborer ses envies. Le succès est au rendez-vous grâce à un collectif qui progresse. A force de travail et d’évolution mentale pour être les premiers.

Dommage que le public ne puisse assister à ces rencontres d’un bon niveau à cause de la pandémie à l’Abbé Deschamps. C’est l’un de ses principaux regrets au terme de cette année si étrange pour l’univers sportif.

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le mécène François SCHNEIDER sera-t-il le nouveau messie de l’emploi et de l’attractivité culturo-touristique sur le territoire de l’Yonne dans les années à venir ? Tout contribue à le croire, si l’ambitieux concept rattaché au futur du domaine de Pontigny se concrétisait dans sa globalité. Cédé par la Région pour 1,8 million d’euros, ce haut-lieu cistercien est promis à un bel avenir. A condition, toutefois, de réunir les fonds et capitaux nécessaires en vue de sa profonde mutation économique…

AUXERRE : Comme cadeau de Noël fait à l’Yonne, il y a pire ! Mais, à quelques jours de la fête de la Nativité, beaucoup aimeraient y croire à l’écoute du panégyrique idyllique qui a été fait à propos de l’un des bastions patrimoniaux de notre territoire : le domaine de l’abbaye de Pontigny.

Jusque-là propriété exclusive de l’appareil institutionnel régional depuis 2003, cet espace aux origines séculaires et hautement spirituel sommeillait quelque peu dans une douce béatitude.

Or, il devrait en être tout autrement après sa cession entérinée le 11 décembre lors de l’assemblée plénière du vénérable organisme. Un choix qui a été validé à une très large majorité par les élus proches de la présidente socialiste Marie-Guite DUFAY. Son opposition s’abstenant ou votant contre à de rares exceptions…

Mis en vente selon la propre volonté du Conseil régional, le domaine de la fameuse abbaye cistercienne, l’une des plus importantes structures érigées à la gloire des adeptes de la règle de Saint-Benoît en France, a donc trouvé acquéreur. Soit la Fondation éponyme du mécène et industriel François SCHNEIDER. Un féru de l’art contemporain et des arts de vivre qui dispose déjà d’un univers conceptuel favorable à l’accueil d’artistes et à leur libre expression du côté de l’Alsace, à Wattwiller précisément dans le Haut-Rhin.

C’est là que le fondateur de la société « Grandes Sources de Wattwiller » a imaginé un projet encore plus abouti qu’il souhaite décliner en partie sur le site cistercien icaunais. Du moins, dans son approche culturelle et touristique.

Dans cet environnement propice à la méditation et à la saine oisiveté, l’homme d’affaires français qui possède des attaches dans l’Yonne souhaite revitaliser les lieux. Un espace, excusez du peu, de 9,5 hectares de terrain comprenant cinq mille mètres carrés de bâtiments à l’architecture cistercienne.

 

 

 

La « terre » comme déclinaison symbolique après celle de l’eau…

 

Alors que la partie adverse, c’est-à-dire la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre,  prétendait aussi acheter ce bien en proposant une cagnotte de 300 000 euros supplémentaires, c’est bel et bien l’offre de la fondation qui obtint gain de cause in fine le jour du vote auprès des élus de la majorité régionale.

Sans doute que l’idée de créer une école destinée à l’apprentissage de futurs prêtres ne reçut pas les mêmes échos favorables auprès des élus par rapport au deuxième concept à la dimension économique et environnementale évidente.

Toujours est-il que le mécène François SCHNEIDER, profitant d’une pseudo-conférence de presse pour dévoiler les grandes lignes de ce mirifique projet face aux acteurs du territoire, fera de ce domaine un centre d’art où se grefferont un complexe hôtelier haut de gamme, un restaurant à vocation gastronomique, un espace culturel mettant un sérieux coup de projecteur sur l’histoire du vignoble de Chablis et les origines du site (avec un musée dans la besace). Plusieurs salles de conférences équipées pour accueillir séminaires et autres colloques complèteront cet ensemble stratégique.

Bref, nul n’est besoin d’être prophète en son pays pour comprendre que le dossier de la Fondation SCHNEIDER qui nécessite des investissements importants (on avance déjà le chiffre de dix millions d’euros pour commencer), devrait être pourvoyeur de nombreux emplois à terme (on en recense déjà près de 70 dans la projection définitive du projet à trois ans), d’une forte attractivité culturelle, patrimoniale et touristique qui rayonnera bien au-delà des frontières bourguignonnes.   

 

        

La « terre » en sera son leitmotiv identitaire, décliné à toutes les sauces et selon les variantes choisies (éco-citoyenneté, productions agricoles locales, produits artisanaux commercialisés dans la boutique sur place…) à l’instar de celui de l’eau, symbole caractéristique du site de Wattwiller où coule cette substance naturelle qui permet d’étancher la soif de milliers de consommateurs.

François SCHNEIDER poursuivra-t-il sur ce raisonnement logique qui lui verrait un jour concevoir des infrastructures du même acabit se rapportant aux deux derniers éléments de cette référence à la cosmogonie (le feu et l’air) ?

Nul ne le sait, pour l’heure, évidemment !

Son ambition est, en revanche, de propulser le domaine de Pontigny sur une toute autre orbite qu’elle ne l’est à l’heure actuelle. Faisant converger sur place des artistes, des créateurs, des talents, le public (avec une jauge impressionnante qui oscille entre 100 000 visiteurs dès le lancement de ce complexe en 2023 à quatre fois plus de personnes moins de cinq années plus tard !), des partenaires issus des collectivités et surtout des investisseurs !

 

Un prévisionnel orienté autour de l’équilibre à cinq ans…

 

On l’aura compris le nerf de la guerre de ce projet aux ambitions alléchantes demeure l’argent. Le mécène n’en manque pas, visiblement. Mais, il sollicitera aussi les investisseurs locaux en ouvrant le capital de la future société qui portera le projet. Des subventions seront demandées aux partenaires territoriaux. On imagine allègrement qu’il sera nécessaire de disposer de plusieurs millions d’euros d’investissements à étaler dans le temps selon les chantiers à mettre en route pour atteindre le point d’équilibre prévu à cinq ans.

Quant au capital humain, François SCHNEIDER s’est entouré d’une équipe de choc pour piloter ce navire qui n’a rien d’un frêle esquif perdu dans la mer des Sargasses.

Le « capitaine au long cours » porteur du projet se nomme Bruno SCHOCH. Président du directoire de la société UNIBEL SA (structure de l’agro-alimentaire cotée à Paris), il a exercé ses multiples talents de manager dans le groupe fromager BEL.

C’est aussi une jeune femme, diplômée de Sup de Co Paris, Amandine SIMPHAL qui à 32 ans devient directrice du projet. Le troisième joker de François SCHNEIDER se nomme Jérôme GALLOT, un ancien de la Cour des Comptes qui gérera les relations avec les pouvoirs publics.

Outre le fondateur de la fondation, on trouvera également dans ce staff aux cinq têtes pensantes une figure connue et reconnue de l’univers entrepreneurial de l’Yonne, l’Auxerrois Michel PISANI, ancien président de la Maison de l’Entreprise et administrateur de l’agence Yonne Equipement. Un quintuor prêt à en découvre pour accomplir un rêve : redonner ses lettres de noblesse à ce site séculaire et intemporel...

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Dans le cadre du Plan d’accélération pour l’année 2021, la Bourgogne Franche-Comté a décidé d’allouer une enveloppe d’1,5 million d’euros pour soutenir les projets portés par les agriculteurs. Priorité est ainsi faite au développement des circuits courts et aux produits locaux. La viticulture n’y perd pas au change…

DIJON (Côte d’Or) : Il s’agit peut-être de l’une des rares conséquences positives qui soit imputable à la présence du coronavirus sur notre sol. La crise de la COVID-19 aura permis en effet de revoir la manière dont nous gérons nos habitudes alimentaires au quotidien. Notamment lors du premier confinement.

Partout, sur le territoire régional, les consommateurs ont porté une attention toute particulière aux produits locaux et aux circuits courts. Une évolution des comportements qui se répercutera sur le travail des producteurs.   

Consciente de ces changements significatifs, la Région a décidé dans le cadre de son Plan d’accélération pour l’année 2021 d’être à l’écoute des professionnels de l’agriculture et de les accompagner à la réalisation de leurs nouveaux projets. Ceux qui offrent une certaine pérennité aux filières agricoles en créant des besoins et des marchés novateurs.

Cette manne financière qui s’élève à 1,5 million d’euros est la bienvenue dans ce contexte de crise particulièrement tendu.

 

 

La viticulture intègre les priorités grâce à l’oenotourisme…

 

Le volet de la viticulture n’est pas oublié pour autant par l’exécutif régional. Grâce à l’élaboration du schéma oenotourisme, c’est-à-dire un programme bâti entre 2021 et 2030 où la Bourgogne Franche-Comté souhaite jouer les premiers rôles en devenant la région leader de l’Hexagone.

Entamée depuis 2019, la réflexion prévoit un certain nombre d’actions (dix-neuf) déclinées autour de trois grandes priorités : la notoriété à l’échelon international et national, l’essor progressif de l’oenotourisme et l’anticipation des changements de gouvernance et d’influence pour mieux en affirmer sa prédominance dans le paysage régional.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil