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A vrai dire, il fallait y penser ! Rendre plus esthétique son parc de transformateurs pour qu’il s’agrège du mieux possible parmi le paysage dans un souci environnemental repose sur une démarche originale. Celle que porte depuis plusieurs mois déjà le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne qui inaugurera ce mercredi deux de ses ouvrages dans sa variante embellie…

 

AUXERRE : On ne cherche plus à les cacher ! Mais, bel et bien à les voir de plus près afin de les admirer en tant que réceptacle artistique. Les transformateurs utilisés pour transporter l’électricité sur différentes distances au sein du réseau de connexions se métamorphosent les uns après les autres sur notre territoire. Accueillant sur leurs parois des réalisations colorées ne manquant pas d’attirer le regard.

Dans un souci de rendre plus harmonieuse ces installations indispensables à la distribution de l’électricité, le SDEY a choisi d’embellir ces structures conformément à un état d’esprit bien dans l’air du temps, celui de la R.S.E.

Deux nouvelles installations ayant bénéficié de ce relookage appréciable seront donc officiellement inaugurées ce 15 septembre.

 

 

La première à Charny-Orée-de-Puisaye, dès 11 heures, où Elodie MENARD, maire de la localité, accueillera les représentants du syndicat d’énergies, Jean-Noël LOURY, président et Patrick BUTTNER, son vice-président, lors de cette cérémonie protocolaire.

La seconde réalisation sera dévoilée sur la commune de Boeurs-en-Othe. Plus exactement sur le hameau de la Grande Jaronnée, où le transformateur a également bénéficié de cette opération d’embellissement.

Depuis le début de l’année, ce sont une vingtaine de ces installations réparties dans tout le département qui ont eu recours à cet habillage artistique.

Un double effet visuel appréciable pour les riverains tant au niveau de l’amélioration de leur cadre de vie que de la lutte contre les incivilités qui prennent souvent la forme de tags et graffitis disgracieux.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Au bout de cinq années de forcing auprès des services de l’Etat, la maire de Sens Marie-Louise FORT est enfin parvenue à obtenir l’autorisation d’aménager l’extension des Jardins de l’Orangerie, ancien havre de paix des archevêques jusque-là laissé à l’abandon. Inauguré depuis peu, c’est une incontestable réussite pour les férus de patrimoine et de verdure…

 

SENS : Cultivés par des communautés religieuses depuis le Moyen-Âge, les jardins de curé étaient de véritables havres de paix qui joignaient l’utile à l’agréable. Se mêlaient de nombreuses plantations, de fruits et légumes, de fleurs traditionnelles servant à la décoration de l’église, de plantes médicinales et potagères, bordées par du buis. Ils leur permettaient de subvenir à leurs besoins quotidiens, médicaux et alimentaires, mais ils leur offraient aussi un lieu de détente.

Au nombre de 30 000 au XIXème siècle, ils ne sont plus qu’une poignée à l’heure actuelle, notamment en raison du changement de mœurs, de l’avènement de la télévision ou encore de l’urbanisation. Encore que, depuis quelques années, un réel engouement pour ces espaces verdoyants sortis d’une autre époque semble émerger chez les amoureux du jardinage. D’ailleurs, les conseils pour créer son propre jardin de ce style foisonnent sur la toile.

 

Il faudra attendre le XXIème siècle pour revoir un jardin de curé à Sens…

 

L’extension des Jardins de l’Orangerie a endossé de nombreux rôles à travers les siècles. Au XVIIIème, l’archevêque de Sens, Mgr LANGUET de GERGY décide d’agrandir cet espace de verdure en réalisant de nombreux travaux. Mais après la Révolution, les jardins sont laissés à l’abandon, puis réhabilités par Mgr de la FARE, sous la Restauration.

Au début du XXème siècle, avec la séparation de l’Eglise et de l’Etat, l’ensemble archiépiscopal laisse place à un « sanctuaire de l’enseignement pour jeunes filles » comme le raconte Marie-Louise FORT. Le jardin devient une cour de récréation et l’Orangerie, un gymnase. Il se mue ensuite en « un vaste dépôt municipal ».

Le jardin de curé ne renaîtra finalement de ses cendres qu’au XXIème siècle. Il trône désormais parmi quelques rescapés de son espèce, dont celui du peintre Claude MONET à Giverny, l’un des plus charmants. 

 

 

La ville de Sens se réapproprie cette tradition ancestrale…

 

« Ici, les jardiniers ont encore pu donner libre court à leur imagination en proposant une composition savante de plantes médicinales, tinctoriales, aromatiques et potagères » a déclaré Marie-Louise FORT lors de l’inauguration de ce nouvel espace d’agrément.

La ville de Sens s’était donnée pour objectif de faire revivre l’un de ces jardins qui jouxtaient autrefois les abbayes, couvents ou monastères. Non sans effort car elle œuvrait depuis cinq ans afin de persuader la DRAC (Direction régionale des Affaires culturelles) de Bourgogne de l’utilité d’une telle initiative. Celle-ci venant enrichir le patrimoine floral et historique du territoire sénonais.

Le parcours de ce projet fut davantage semé d’embûches, étalé sur de nombreux mois, et freiné par les mesures de confinement. Il voit finalement le jour cet été après plus de 2 000 heures de travail, coûtant au total 105 000 euros.

 

 

La ville souhaite faire de l’acier Corten sa marque de fabrique…

 

Le service des parcs, jardins et espaces verts a pu, une nouvelle fois, faire la preuve de son talent horticole en aménageant ce  jardin. Du design à la culture, le service a entièrement mené ce projet hors normes, sauf pour la sécurité incendie, prise en charge par une entreprise externe. La municipalité tenait à favoriser des matériaux et des matières premières françaises, voire locales.

Issue du sud de l’Yonne, la pierre de Bourgogne orne notamment la fontaine. Elle est un élément essentiel de cette installation. Tout comme l’acier Corten avec lequel ont été fabriqués les bacs, fournis par la société ATECH, basée dans les pays de la Loire.

Le responsable du service, Aurélien LOISEAU, précisa, en outre, qu’il « existe une ligne rouge entre chaque espace vert » grâce à l’utilisation de l’acier Corten. Les quatre grandes lettres de la ville de Sens, apposées au mur du quai Schweitzer et souhaitant la bienvenue aux bateliers, sont d’ailleurs aussi faites de cette matière.  « Dans tous nos projets, on va l’intégrer au fur et à mesure… ». Sage résolution !

 

Floriane BOIVIN

 

 

 


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Faire une pause. Histoire de recharger les batteries après des discussions stratégiques qui permettent de mieux peaufiner la rentrée. C’est ce que le bureau de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne s’est accordé après les retrouvailles du conseil d’administration. Ils ont ainsi profité de la soirée « guinguette » se déroulant au CIFA de l’Yonne. Convivial et salvateur pour renforcer les liens d’une équipe !

 

AUXERRE: Morosité s’abstenir pour les membres du Conseil d’administration de la CPME de l’Yonne ! Ils ont eu le plaisir de se plonger, après leur première séance de travail de la nouvelle saison, dans l’atmosphère « guinguette » proposée au CIFA pour marquer le terme des finales nationales des WORLDSKILLS Cuisine.

Les figures emblématiques de l’organisation patronale représentant les intérêts des petites et moyennes entreprises dans l’Yonne ont pris part aux réjouissances inspirées de cet état d’esprit cocardier, façon place du village et aux sonorités du musette. Une idée savoureuse de Delphine ENGELVIN, l’une des chevilles ouvrières du centre de formation départemental.

Le président Olivier TRICON et ses camarades ont pu découvrir quelques subtiles saveurs de la richesse gastronomique (et vineuse) locale. En toute décontraction après une réunion de rentrée ayant comme fil d’Ariane les futures élections consulaires, devant les mobiliser au cours de ces prochaines semaines.

 

 

Aux côtés du conseiller départemental Christophe BONNEFOND et des responsables du CIFA, le président Michel TONNELLIER et du directeur Marcel FONTBONNE, le bureau de la CPME a pris le temps de poser pour la photo famille. Visuel sur lequel apparaît également le double candidat (département et région) Baptiste CLERIN qui postule en sa qualité de tête de liste de la proposition mutuelle portée par la FFB et la CPME aux échéances des Chambres de Métiers et de l’Artisanat.

On notait aussi la présence parmi l’assistance de l’une des encadrantes du MEDEF, Florence POULAIN, absente de la séance photo.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Il s’est extrait à toute vitesse des starting-blocks, le président de la CAPEB de l’Yonne. Porte-étendard de la « Voix des Artisans », l’une des deux listes en course pour ravir le Graal suprême au terme des élections aux Chambres de Métiers et de l’Artisanat (du 01 au 14 octobre), Jean-Pierre RICHARD se fait le chantre de la démocratie, de la proximité et de l’indépendance. Une profession de foi qui fleure bon l’esprit de famille, chère à la filière…

 

AUXERRE : A l’estampille de l’U2P (Union des entreprises de proximité), la liste « La Voix des Artisans » se présente aux élections de la chambre consulaire durant la première quinzaine d’octobre (la Chambre de Métiers et de l’Artisanat). Localement, elle est conduite par le président de la Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment Jean-Pierre RICHARD sur le département de l’Yonne.

Cette figure professionnelle connue et reconnue dans le landerneau officie également au sein de la sphère nationale de la vénérable institution CAPEB.

A la tête d’une liste composée de trente-six candidats, le représentant de ce syndicat professionnel a débuté sa campagne officielle depuis une dizaine de jours. Optant pour les vertus bienfaitrices de la proximité et la concertation.

Depuis le 01er septembre, celui qui est à la tête de la CAPEB Yonne depuis une décennie a commencé un cycle de rencontres, ciblant les artisans et commerçants de notre territoire. Ces derniers lui réservent un accueil que l’intéressé qualifie de « très qualitatif ».

 

 

Opposé à toute idée de fusion entre les CCI et les Chambres de Métiers et de l’Artisanat…

 

« Les contacts que j’ai pris sont enchantés de voir quelqu’un s’intéresser à eux, à leurs problématiques après la pandémie qui nous a mis à rude épreuve, explique-t-il, je fais partie intégrante de leur famille professionnelle. C’est le plus important… ».

Lors de ces échanges, le candidat leur explique la stratégie déclinée par l’U2P. Leur évoquant ses combats (limiter la fiscalité nationale et locale, améliorer la protection sociale et le pouvoir d’achat des artisans, placer l’artisanat au cœur des politiques publiques, lutter contre les difficultés d’embauche, encadrer davantage le travail détaché et les plateformes de commerce en ligne, etc.).

Opposé à tout rapprochement fusionnel entre les CCI et les Chambres de Métiers, Jean-Pierre RICHARD plaide pour la conservation des particularismes qui permettent de faire le distinguo entre l’artisanat et le commerce.

La préservation du personnel au sein de la chambre consulaire revient en boucle parmi les leitmotivs qui expliquent l’engagement chevillé au corps de ce personnage ne pratiquant jamais la langue de bois.

Chantre de l’indépendance et de la liberté d’esprit, d’action et de parole, la tête de liste de « La Voix des Artisans » veut faire entendre la sienne en multipliant les approches personnalisées au gré de pérégrinations qui le conduisent à travers le département.

A date, Jean-Pierre RICHARD a déjà parcouru plus de deux mille kilomètres avec son véhicule, sillonnant méthodiquement chaque commune de l’Yonne pour y croiser sur sa route les membres de sa filière professionnelle. Sa « famille », comme il se plaît à le dire. La grande famille des artisans et commerçants dont il souhaite obtenir les suffrages face à la liste concurrente qu'il présente à l'estampille du MEDEF et de la CPME. Ce qui est inexact puisque la CPME s'est ralliée à la Fédération française du Bâtiment (FFB) sur le département de l'Yonne...

 

Thierry BRET

 


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Après la Dordogne, les Yvelines et les Bouches-du-Rhône, la secrétaire d’Etat en charge des Personnes handicapées a choisi de se déplacer une matinée dans l’Yonne. Elle y a expliqué la stratégie du gouvernement concernant l’ouverture des établissements médico-sociaux vers le milieu scolaire traditionnel. Une révolution de palais pour les familles qui ne peut se faire sans la mutualisation de tous les services de l’Etat et des élus locaux…

 

VINCELLES : L’école, c’est le creuset de la République ! La formule déjà usitée est connue de tous. Mais, elle n’en est pas moins une véritable réalité pour assurer le brassage des populations et des savoirs en faisant accepter les différences. Et, c’est par ce prisme naturel et obligatoire vécu par tous les individus jusqu’à l’âge de 16 ans que le gouvernement entend bien raffermir sa politique du vivre ensemble à l’avenir. Notamment grâce à l’ouverture des établissements médico-sociaux vers le milieu scolaire traditionnel.

Avec toutefois, une subtilité : le déploiement d’unités d’enseignement externalisées s’inscrit comme une priorité inéluctable pour y parvenir. A l’image de ce qui se pratique déjà à l’école de primaire de Vincelles, bourgade située au sud d’Auxerre.

Là, dans cet antre de la pédagogie distillée aux têtes blondes effectuant leurs premiers apprentissages dans la vie scolaire, l’EPNAK (Etablissement public national Antoine KOENIGSWARTER) gère deux unités d’enseignement spécialisées. Elles y  accueillent vingt-deux enfants, atteintes d’un handicap.

 

  

Construire un grand service public de l’école inclusive…

 

« Je veux que l’on accélère vraiment cette transformation de l’école, souligne la secrétaire d’Etat Sophie CLUZEL lors de son point presse devant ponctuer sa visite de l’établissement scolaire, d’ailleurs, je tiens à saluer l’exemplarité de l’élu local de s’être impliqué à la réalisation de ce projet de société inclusive… ».

Du petit lait à déguster sans modération pour l’intéressé Guido ROMANO, placé sous le feu des projecteurs et qui a pris les rênes de la municipalité aux élections de 2020.  

Apprendre à mieux se connaître entre valides et personnes non valides passe naturellement par l’école.

« C’est l’endroit de la compréhension et de la confiance, ajoute la ministre, on vit ensemble, on grandit ensemble en parfaite cohésion… ».

Travailler ensemble, c’est aussi y associer tous les partenaires qui agissent dans ce domaine. Les services de l’Etat, en premier lieu. Via l’Education nationale. Mais aussi, l’Agence régionale de santé (ARS) ou la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie.

« Nous sommes en train de construire ce grand service public de l’école inclusive, rappelle Sophie CLUZEL, en développant la qualité de la coopération entre ces différents acteurs pour outiller et former les enseignants, les accompagnants d’enfants et les professionnels du secteur médico-social… ».

 

 

Ce parcours de l’école inclusive ne se cantonne pas uniquement au primaire. Il suit le schéma de scolarisation légitime en y englobant le collège et le lycée. Bref : une refonte de l’école de la République de fond en comble et à tous les étages de la fusée ! Sans omettre le périscolaire. Il était temps !

« Il nous faut travailler le droit commun, ajoute la secrétaire d’Etat,  ces enfants doivent être regardés et considérés comme n’importe quel enfant. Cela passe par l’accès facilité aux centres de loisirs, à la culture, à la pratique des activités sportives, à la vie sociale et plus tard, à la politique du logement... ».

Sillonnant l’Hexagone depuis plusieurs semaines pour apprécier la pertinence du concept déjà testé par endroit, un projet bâti en accointance avec le ministère de l’Education nationale, la représentante du gouvernement veut essaimer avec toutes les associations gestionnaires de droit privé.

« Nous avons aujourd'hui près de 13 milliards d’euros de financement des établissements médico-sociaux et des services. Je souhaite que cette enveloppe budgétaire soit au service des prestations directes auprès des enfants et non pas affectés à la réhabilitation de murs vieillissants. Cet argent sera réutilisé pour bâtir des écoles, collèges et lycées de demain… ».

 

 

Des recrutements en perspective pour accompagner les enfants…

 

Le pays observait-il un réel retard sur le sujet depuis tant d’années ? Ce n’est pas la vision même de la secrétaire d’Etat.

« Ce n'est pas un retard en soi. C’est plutôt un fait historique que d'avoir travaillé différemment avec le secteur du médico-social dans lequel il y a encore 80 000 enfants. Je vous rappelle que 400 000 enfants sont scolarisés lors de cette rentrée. C'est 25 % de plus qu'en 2017. C'est aussi 35 % de moyens d'accompagnement supplémentaires d'aides humaines. Dans le cas des accompagnants d'élèves en situation de handicap, ce sont 2 000 places de service d'accompagnement qui se sont ouvertes cette année. Cette transformation de la vie scolaire grâce à l’inclusion est bien une réalité. Et moi, ce que je souhaite, c'est l'accélérer ! ».

Reste la problématique de l’encadrement. Les témoignages de nombreux parents convergent tous en ce sens : il est compliqué de disposer d’encadrants. Quant à leurs remplacements en cas de soucis de santé ou autres, ils ne sont pas toujours assurés.

Consciente de la difficulté, Sophie CLUZEL a tenu à rassurer les parents d’élèves présents lors de cet échange convivial autour d’un café.

 

 

« Nous recrutons quatre mille accompagnants d’élèves en situation de handicap, devait-elle préciser, sachant que tous les enfants n’ont pas besoin d’être systématiquement suivis de près par un encadrant... ».

Une chose est claire dans la stratégie expliquée par Sophie CLUZEL. L’Etat préfère injecter de l’argent vers les missions assurées par les professionnels plutôt que de l’engager dans la rénovation de structures d’accueil immobilières, à l’instar du fameux « château » de l’Institut Médico-Educatif (IME) de Vincelles, devenu totalement obsolète dans sa fonctionnalité.

Le bien vivre ensemble a donc un prix : celui du modernisme dans sa conception pédagogique et de l’inclusion de ces jeunes enfants au cœur du système scolaire traditionnel. C’est le choix du gouvernement. Et certainement, celui des familles qui ne veulent plus que leurs progénitures vivent en marge de la société.

 

 

En savoir plus :

Il existe un numéro de téléphone permettant aux parents et aux familles d’obtenir des réponses à leur questionnement :

0 805 805 110

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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