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Personne n’est dupe. Le plan de relance annoncé par Jean CASTEX le jeudi 03 septembre a été concocté par notre président de la République et son ministre de l’Economie. Un style amphigourique pour accoucher de mesures issues tout droit d’une politique de l’offre en occultant la demande, qu’elle vienne de l’intérieur du pays ou de l’extérieur. 160 000 emplois sont créés à la clef ? Face à la destruction du million d’emplois prévus sur 2020, c’est trop peu. En outre, si cela ne marche pas, les statistiques publiques intégreront les embauches de  l’année, prenant ainsi en compte les remplacements des départs en retraite !

TRIBUNE : Le plan de cent millions a été présenté. Mais, séance tenante, il faut déjà retirer les 20 millions de cautions données. Restent 80 millions à injecter réellement dans l’économie ! De la relance en trompe l’œil pour continuer la politique de l’ère Macron. Ce programme baptisé « France Relance » est plus proche des superlatifs et de la dialectique électorale que de l’efficacité démontrée !

Tous les secteurs de l’économie sont concernés et personne ne sera oublié, ni les artistes les plus riches, hormis peut-être les classes sociales les plus pauvres ! L’activité économique de la France est toujours à un niveau inférieur à celui d’avant la crise. La méfiance de l’avenir et le pessimisme national sont si prégnants que les Français poursuivent leurs engagements vers de l’épargne de précaution (85 milliards d’euros à ce jour). Le moral des ménages conditionne la consommation : aucune politique de la demande n’est prévue dans ce plan.

Par exemple, aucune embauche n’est prévue chez les enseignants, malgré les besoins ! Le soutien aux personnes précaires, 0,8 % de ce plan, intègre d’abord l’augmentation de la prime de la rentrée scolaire, le ticket restaurant universitaire à un euro, un peu d’argent pour le logement d’urgence et…point final !

Aucun soutien particulier ne concerne une population dont on connaît la forte propension à consommer vers des besoins élémentaires non satisfaits. On peut déduire que pour l’Etat, l’aide se concentre vers les entreprises. Ce choix a aggravé la récession en 1929 !

 

Seulement 30 milliards d’euros débloqués en 2021…

 

Si nous faisons un inventaire à la Prévert, nous obtenons 70 cibles concernées par la distribution du plan. L’écologie pèse pour 30 % sur le budget pour une efficacité encore à démontrer : la rentabilité des projets n’a jamais été au rendez-vous (l’hydrogène, la décarbonisation industrielle…). On soutient surtout les industries polluantes. Avec en prime un important cadeau fiscal qui leur est consacré avec la baisse massive des impôts pour la production, soit 20 milliards d’euro sur deux ans !

Le Premier ministre promet que les cent milliards seront remboursés en 2025 grâce aux bénéfices des entreprises et à la croissance du PIB. Des promesses électorales qui n’engagent que ceux qui les écoutent !

Le plan intègre des annonces déjà orchestrées depuis plusieurs mois (rénovation énergétique, l’organisation ferroviaire…). De plus, trente milliards, seulement, seront débloqués en 2021 !

Ce plan de relance, empreint de néolibéralisme à la française sans grande ambition novatrice et spectaculaire, risque de générer de la frustration et de la déception pour tous. Notamment pour les secteurs agricoles, de la santé, sans oublier la police et la justice pour l’insécurité.

Le plus grand frustré de cette histoire sera-t-il le nouveau Commissaire au plan, François BAYROU ! Le plan : il est écrit. La monnaie : il n’y en a plus ! Alors encore une structure vieille de plus de 70 ans, constituée de fonctionnaires et qui va encore coûter cher ! N’oublions pas l’histoire. Le commissariat au plan fut créé par Philippe PETAIN dans les années 40 et reprit par le Général de GAULLE en 1946 pour planifier et gérer le plan Marshall. A l’époque le commissariat était constitué de 20 % de fonctionnaires et de 80 % de contractuels. Question : avec François BAYROU, ce sont 100 % de fonctionnaires qui vont œuvrer ?! A méditer… 

 

Un plan qui va appesantir la dette…

 

Enfin, il est bon de préciser que c’est encore un plan de relance qui va peser lourd sur la dette. Entre 2 400 et 2 500 milliards d’euros pour plus 120 % du PIB. Personne ne s’en soucie. Les taux d’emprunts sont tellement bas, voire voisins de 0 % et même négatifs. Quant au patrimoine national « vendable » (hors la « Joconde », le Château de Versailles et les châteaux de la Loire…), il est supérieur à 2 500 milliards. Les investisseurs sur les marchés restent confiants. Mais quel est l’intérêt de renoncer au crédit lorsque les taux sont aussi bas ?

Bref, c’est encore une épée de Damoclès au-dessus des têtes : la remontée des taux sur les marchés de capitaux !

Dans ce plan, tous les sujets tabous ont été évités avec soin : l'augmentation des salaires, les embauches dans le secteur public. Le plan de relance de Jean CASTEX "néglige la demande de justice sociale" dénonce l'économiste Thomas PIKETTY pour qui il aurait fallu augmenter les salaires. Alors, est-ce encore une fois un plan au goût d'inachevé ?

Jean-Paul ALLOU

 


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Le groupe de grande distribution icaunais recherche de nouveaux collaborateurs en cette période de reprise des activités. Deux sites sont concernés par ce renfort d’effectif : l’entrepôt sec d’Avallon et celui localisé à Magny qui stocke les produits frais. Avis aux postulants : ils peuvent d’ores et déjà candidater pour tenter d’obtenir le Graal…et intégrer la « Tribu » !

AVALLON : C’est une invitation en bonne et due forme faite à celles et ceux qui, âgés de plus de 18 ans, sont en quête d’un emploi. SCHIEVER ouvre les portes menant à la fonction de préparateurs de commandes en ce mois de septembre. Avec à la clé, trente postes qui sont affectés sur deux sites de l’Yonne.

Le groupe d’envergure internationale n’a pas d’exigence particulière dans ce recrutement. C’est ce que confirme Sonia ROUTIER, responsable du service Développement Humain de l’entreprise.

Outre la nécessaire motivation (mais cela est de la pure logique lorsque l’on fait acte de candidature), la structure est prête à accueillir toute personne désireuse d’apprendre ce métier, celui de la préparation de commandes. Un métier indispensable aux bons rouages de la distribution de produits vers les consommateurs.

 

Banque Populaire

 

« Ces derniers mois, les Français ont pu constater à travers les médias combien certains métiers sont essentiels au quotidien… ».

Une fonction qui constitue l’un des maillons importants de la chaîne d’approvisionnement. SCHIEVER assurera la formation appropriée afin d’accompagner chaque nouvelle recrue dans sa prise de poste en leur permettant également de s’immiscer dans les coulisses des magasins où tous les gestes de cette organisation seront décortiqués.

Alors, pourquoi ne pas tenter cette expérience professionnelle enrichissante en optant pour un CDD dans une entité forte de 7 100 collaborateurs ?

 

En savoir plus :

 

Toute personne âgée de plus de 18 ans peut déposer sa candidature à l’adresse suivante, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Lettre de motivation et CV exigés.

 

 


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C’est incontestablement l’évènement phare de la rentrée dans le domaine de l’économie, de la transition écologique et…de l’automobile. Très loin d’un simple salon où il serait de bon ton de signer un bon de commande à l’issu d’un essai de véhicule électrique, le concept porté par l’UIMM, le MEDEF et GISAERO se veut novateur, didactique et informatif pour mieux appréhender les réels enjeux de la mobilité électrique. Telle qu’elle se présente devant nous…

INTERVIEW : Pourquoi un tel évènement porté par l’UIMM, le MEDEF et GISAERO ? On est loin des préoccupations purement industrielles de ces structures ?

Au contraire ! Nous sommes au cœur d’un sujet industriel qui trouve nécessairement des implications au niveau des entreprises du territoire icaunais. La question de la mobilité électrique et plus généralement de la mutation des usages du transport qui s’appuient aujourd’hui presqu’exclusivement sur les énergies « carbone », au profit de moyens décarbonés, notamment l’électrique, constitue aujourd’hui un sujet majeur pour l’industrie française. En ce sens d’ailleurs, les annonces du Premier Ministre Jean CASTEX relatives au plan de relance insistent largement sur la nécessité de décarboner l’industrie française et en font une condition quasi sine qua non pour l’attribution des aides aux entreprises.

 

Avez-vous rencontré des difficultés pour organiser ce premier rendez-vous consacré à ce sujet dans l’Yonne ?

 

Il faut se souvenir que cette manifestation était initialement programmée le 02 avril dernier en point d’orgue de la « Semaine de l’industrie ». Nous avons été contraints de la déprogrammer compte tenu de la situation sanitaire liée à la COVID-19 et nous nous sommes interrogés quant à la pertinence de sa reprogrammation le 10 septembre prochain. Très vite, s’est imposée à nous la nécessité de nous placer dans une dynamique positive et volontariste, en maintenant cette journée qui constituera sans aucun doute le point fondateur de notre positionnement sur ce sujet.

D’ailleurs et d’une manière unanime, l’ensemble des partenaires et parties prenantes réunis autour du projet ont souhaité le maintien de cette journée et n’ont à aucun moment émis la moindre réserve quant à sa pertinence. Nous oublierons donc bien vite les obstacles que nous aurons eu à franchir et nous ne retiendrons que cette volonté unanime d’action !

 

La mobilité électrique impacte réellement les stratégies managériales des entreprises ?

 

La mobilité, quels que soit ses modes, est une nécessité à la fois pour la population, dans des usages privés, comme pour l’entreprise pour des usages professionnels, lesquels d’ailleurs sont souvent de natures très diverses. La mobilité électrique doit donc être considérée avant tout comme un moyen et non comme une fin en soi. Elle ne doit pas modifier les usages mais intégrer l’exigence de décarbonation qui devra être associée aux déplacements. Ce qui compte avant tout pour l’entreprise, c’est donc bien de garantir que la mobilité de ses personnels s’effectuera dans les meilleures conditions. A ce titre, les employeurs se posent encore bien des questions quant aux solutions en général, et à l’électrique en particulier. C’est en ce sens que le sujet touche bien la dimension managériale.

 

Assiste-t-on à une réelle prise de conscience sur les évolutions de notre comportement ou est-ce encore un phénomène modal teinté d’utopie ?

 

C’est tout à fait l’objet de cette manifestation et nous attendons au cours de cette journée, un maximum d’éclairages de la part des experts qui participeront aux différentes tables rondes. La question leur est d’ores-et-déjà posée dans la base line de notre communication : « La mobilité électrique : du rêve à la réalité ? Tournant majeur ou effet de mode ? ».

 

 

Le plateau que vous réunissez est de premier choix en y mêlant les acteurs de l’automobile, l’Agence régionale économique, les spécialistes de l’énergie…L’objectif de ce rendez-vous était-il de posséder une vision la plus globale et transversale possible sur cet item ?

 

Nous tenons tout d’abord à saluer l’engagement de ces nombreuses personnalités et leur venue à Auxerre pour cette journée du 10 septembre. Cela montre à quel point le sujet est important et mobilisateur ! Il suscite l’intérêt d’un grand nombre d’acteurs qui gravitent à différents niveaux autour de ce sujet : les universitaires, les industriels, les pouvoirs publics au travers des différentes agences économiques…

Un tel plateau répondra forcément à notre souhait d’aller au fond du sujet grâce à l’éclairage que tous ces experts pourront nous apporter.

 

 

Michel FORISSIER sera le parrain, un peu fil Rouge, de cette manifestation. Un mot sur sa venue ?

 

C’est un grand honneur pour nous que d’accueillir Michel FORISSIER à Auxerre. Par ses fonctions d’envergure internationale, il est un acteur et un témoin majeur du développement de la filière électrique pour l’automobile. Sa compétence, cultivée tout au long d’une carrière entièrement dédiée à l’automobile ; sa connaissance très fine de la problématique de la transition énergétique associée aux mobilités, laquelle se nourrit d’ailleurs de la grande capacité de benchmark que lui offre sa position internationale, lui confèrent une légitimité indiscutable pour être le grand témoin de cette journée.

 

Le gouvernement accroît les initiatives en versant des primes pour inciter à la transition écologique dans nos moyens de locomotion. Pourtant, l’Etat ne sera pas représenté à votre animation. Serait-ce un paradoxe ?

 

Vous avez raison : l’Etat est un acteur majeur de la réussite de cette transition vers l’électrique. Il va sans dire que sans les aides qu’il verse pour l’achat d’un véhicule dit « propre », il serait extrêmement difficile, notamment aux Français les plus modestes, d’acquérir un tel véhicule. La question de l’achat d’un véhicule électrique se situe en toute fin de la chaîne de valeur et elle est bien évidemment très importante. Notre journée quant à elle, interroge plus, finalement, sur la philosophie générale de la mobilité. Bien entendu, il n’y a pas de notre part, la moindre volonté d’exclure l’Etat. D’ailleurs, le préfet de l’Yonne a été invité et j’espère qu’il lui sera possible de participer au moins à une partie de la journée, tout en étant bien conscient du nombre extraordinaire de sujets et problèmes qu’il doit traiter en ce moment. Et puis comme je le disais précédemment, les Agences de développement économique seront présentes.

Comment les organismes que vous représentez peuvent-ils inciter le tissu entrepreneurial de ce territoire à vivre mieux cette transition écologique ?

 

 

La transition écologique ne va assurément pas représenter, une option pour les entreprises. C’est une exigence qui va s’imposer à nous et l’entreprise doit constituer l’un des rouages essentiels de sa mise en œuvre. De par notre mission auprès des employeurs, nous sommes un acteur majeur de leur accompagnement, bien ancré au cœur de notre territoire. L’information, le conseil, l’incitation et l’accompagnement de nos adhérents, notamment sur un tel sujet qui se situe au carrefour des problématiques économiques, sociales et sociétales, va naturellement de soi. Tout au long de l’année, nous organisons, à l’instar de la journée du 10 septembre, des moments où les chefs d’entreprise sont en capacité de s’inscrire dans des actions conduisant leur entreprise vers ces domaines stratégiques. Et puis bien-sûr, notre souci permanent de nous inscrire dans une dynamique de marketing territorial trouve ici naturellement tout son sens.

 

En matière d’exemplarité, est-ce que les cadres de l’UIMM, MEDEF et GISAERO de l’Yonne roulent électrique ?

 

Si tant est qu’il échoit à la Maison de l’Entreprise une obligation d’exemplarité en la matière ! Pour autant et très sincèrement, ce n’est pas le cas aujourd’hui et notre flotte de véhicules de service reste aujourd’hui entièrement traditionnelle. La question, lors de son renouvellement, se posera, et à l’évidence, il nous faudra arbitrer, compte tenu à la fois de nos besoins, mais aussi et surtout des capacités offertes par les matériels, quelle sera la meilleure formule à mettre en œuvre pour répondre à nos usages de mobilité. Je compte d’ailleurs beaucoup sur tout ce qui se dira le 10 septembre pour éclairer ma prise de décision future en la matière.

 

Ce rendez-vous pourrait-il s’inscrire dans le marbre et devenir un incontournable annuellement ?

 

Notre volonté, par le maintien la semaine prochaine de cet événement dont l’audience est nationale, et ce malgré la situation sanitaire, est bien d’en faire l’événement économique de rentrée pour notre territoire.

Il s’inscrit dans notre volonté de déployer en permanence le marketing territorial au service de l’Yonne dont je parlais précédemment. C’est bien sûr l’occasion de mettre les entreprises icaunaises en avant, mais aussi le département. Le succès de l’édition 2020 conditionnera peu ou prou l’organisation d’une nouvelle manifestation à la rentrée 2021. Mais d’ores et déjà, de nombreux sujets sont susceptibles d’alimenter une prochaine édition. Et puis vous le savez, ce ne sont ni la volonté, ni l’imagination qui nous manquent !

 

 

 

Vous faites des émules, puisque le 16 septembre prochain, la Chambre des Métiers et de l’Artisanat organise sa propre vitrine sur une thématique similaire. Un groupe de presse régional envisage d’en faire autant au printemps…N’y a-t-il pas un risque d’en faire trop sur le sujet et de brouiller les messages en cas d’éclosion de ces évènementiels bien ciblés ?

 

La multiplication des initiatives autour du sujet de la mobilité électrique constitue assurément une preuve supplémentaire, si besoin est, de la pertinence de l’organisation de notre évènement. Il ne m’appartient pas de commenter le bien-fondé ou non, de ce qui est mis en œuvre par les uns et les autres. Mais encore une fois, la manifestation organisée à la Maison de l’Entreprise le 10 septembre prochain ne constitue pas une sorte de « salon de l’automobile électrique » au cours duquel il ne s’agirait que de remplir des bons de commande à l’issue des essais des véhicules des différentes marques. Notre volonté est d’aller au fond du sujet, pour que chacun au terme des débats ait enrichi sa capacité à juger si la mobilité électrique constitue bien le tournant majeur dont beaucoup se font les promoteurs, ou bien s’il ne s’agira finalement que d’un effet de mode qui retombera aussi vite qu’un soufflé sorti un peu trop tôt du four.

 

Enfin, en votre qualité de délégué général, quelles sont vos attentes en termes de bilan de ce rendez-vous ?

 

Au-delà de la qualité des débats et des échanges (dont je ne doute pas) qui auront lieu au cours de cette journée, je souhaite que chacune et chacun qui aura participé à l’événement se dise en repartant qu’il n’a vraiment pas perdu son temps et qu’il aura enrichi sa connaissance sur le sujet. Il me semble que c’est le bon moment pour trouver les réponses aux questions que toutes et tous nous nous posons.

Compte tenu du nombre important d’inscrits (exclusivement décideurs économiques et chefs d’entreprise) au moment où l’on se parle, nos objectifs quantitatifs sont d’ores et déjà atteints et je ne doute pas un seul instant que nos objectifs qualitatifs le seront eux aussi !

 

Propos recueillis par Thierry BRET

 

 


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EELV fait sa rentrée politique. A l’image de Maud NAVARRE. La formation qui a surfé sur le succès aux récentes élections municipales lance un appel pour construire une région Bourgogne Franche-Comté écologique, résiliente et solidaire en vue des échéances 2021. C'est un appel au rassemblement des forces politiques préoccupées par la préservation de l’environnement et la transition écologique…

TRIBUNE : « Depuis de nombreuses années, les écologistes d’Europe Ecologie Les Verts sensibilisent et alertent les citoyens sur la solidarité entre les hommes et les femmes, l’indispensable préservation des ressources naturelles, le respect du vivant et  la lutte contre les pollutions. Les 149 propositions de la Convention citoyenne pour le Climat et le succès écologiste des élections européennes et des élections municipales, y compris localement avec la victoire historique des écologistes et de leurs alliés à Besançon, montrent que la société est prête à un changement profond et rapide. Ce n’est qu’un début !

Face à la puissance des événements actuels, il y a urgence à agir pour résorber les chocs. 2019 a été la seconde année la plus chaude depuis le début de l’ère industrielle et 2020 bat déjà tous les records de température et de sécheresse. A la crise climatique s’est ajoutée une crise sanitaire avec une explosion des inégalités sociales, environnementales et territoriales.

La transformation écologique de la société et la nécessité d’accompagner la transition de nos modes de vie se traduisent depuis 2018 par une succession de mobilisations inédites : la jeunesse avec Greta THURNBERG, les Gilets jaunes, mais aussi les mobilisations féministes et contre le racisme.

La protection des êtres humains et du vivant en général n’est plus garantie par un système qui détruit nos moyens de subsistance et qui met en péril nos valeurs républicaines et démocratiques. En fragilisant nos sociétés, le productivisme libéral alimente la montée du repli sur soi et le nationalisme, ferments de l’extrême droite.

 

Transformer le succès des municipales en espoir pour les régionales…

 

Face au statu quo ultralibéral guidé par les lobbies industriels et financiers, qui se contente d’une écologie de déclaration, et face à l’extrême droite porteuse de rejet et de haine de l’autre, l’écologie politique est un projet d’espoir et de solutions innovantes, concrètes et crédibles déjà expérimentées en France, en Europe et dans le monde.

Notre responsabilité est maintenant de construire une société écologique qui protège ses habitants, qui garantit des emplois équitables, durables et locaux portés par la conversion écologique de l’économie : sortie des énergies fossiles et nucléaire, relocalisation de la production, soutien à la production et à la consommation agricole pour tendre vers l’autonomie alimentaire ; un système agricole qui s’inscrive dans un rapport nouveau à la nature, à l’animal et au vivant.

 

 

​Il faut transformer les victoires des municipales en espoir pour les élections régionales ! Saisissons-nous de cette échéance pour construire une offre politique franchement écologique  avec comme ambition une Région écologique, résiliente et solidaire, capable d’amortir les chocs climatiques, et de mettre en place les nouveaux équilibres sanitaires, économiques et sociaux pour bien vivre.

Un programme décliné en sept points…

C’est autour de sept axes forts qu’EELV propose d’élaborer collectivement un projet pour une  Région écologique, résiliente et solidaire :

  • Sauvegarder et créer des emplois d’avenirpar un vaste plan de transition qui accompagne la conversion écologique de l’économie vers une économie responsable : conditionnalité écologique et sociale des aides aux entreprises, formation ciblée sur les éco-filières avec des contrats de transition professionnelle, sur le démantèlement des centrales nucléaires et la gestion de leurs déchets, soutien à la rénovation des logements et promotion des énergies renouvelables, création d’un dispositif d’urgence à destination des compagnies artistiques et professionnels du spectacle fortement impactés par la crise sanitaire, soutien à l’économie sociale et solidaire et au tourisme social et solidaire, abandon des projets de Center-parcs.
  • Lutter contre les inégalités territoriales: développement des services publics de proximité en milieu rural et dans les quartiers populaires, dynamiser le territoire en renforçant l’action culturelle (aide à la création, soutien aux projets, promotion de la diversité culturelle), soutien aux actions de solidarité envers les familles modestes, lutte contre la précarité énergétique.
  • Accompagner la transition écologique de l’agriculture et de l’alimentationpour tendre vers l’autonomie alimentaire : Projet Alimentaire Régional, création d’un Pôle Régional de l’agriculture biologique locale, tendre vers 100% de produits bio dans les lycées en fin de mandat, deux repas hebdomadaires uniquement végétaux ainsi qu’une alternative végétarienne dans les cantines tous les jours, soutien aux plateformes de livraison et de distribution locale.
  • Accélérer l’éco-mobilité: mettre en place des dispositifs de gratuité dans les TER, un plan vélo régional, maintien des haltes ferroviaires à intégrer dans les réseaux de transports urbains des intercommunalités, soutien des alternatives à la voiture individuelle (nœuds intermodaux, covoiturage et auto-partage), arrêt des subventions aux aéroports régionaux.
  • Préserver et agir puissamment en faveur de la biodiversité et du bien-être animal: hausse significative des aides à l’Agence régionale de la biodiversité, aux parcs naturels régionaux et à l’introduction de la nature en ville, à la sanctuarisation de l’eau, révision du contrat régional Forêt/bois, prise en compte de la condition animale dans les politiques publiques.
  • Anticiper les risques environnementaux et sanitairesliés au changement climatique et aux risques nucléaires et chimiques : plan régional de prévention des risques, campagne de sensibilisation et achats de matériel adéquat.
  • Impliquer les habitants dans les orientations et décisions de la Région: concertation régionale de type « Grenelle » en début de mandat pour une vision partagée, créer des fabriques citoyennes pour consulter les habitants sur des projets structurants : services publics, aménagement écologique du territoire… ».

Le Collectif régional EELV

 


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Depuis le début de l’année, une trentaine de juments, étalons, poneys et ânes ont été attaqués et sauvagement mutilés : oreilles coupées, lacérations, yeux arrachés, museaux tranchés, mutilations génitales. Ces actes d’une extrême cruauté sont en explosion depuis le début du mois d’août et la Bourgogne Franche-Comté n’est pas épargnée par ce phénomène aussi invraisemblable qu’abominable.

TRIBUNE: Lundi 24 août, deux poneys et un cheval handicapé ont été lacérés à l’arme blanche au refuge « Le Ranch de l’espoir »  à Charny-Orée-de-Puisaye. En voulant protéger ses bêtes face aux deux agresseurs, le président du refuge, Nicolas DEMAJEAN a été blessé. Le portrait-robot de l’un des barbares a été diffusé par la presse.

Le week-end dernier dans le Jura, les tortures infligées à trois chevaux dans les communes de Courlans, Ranchette et Leschères s’ajoutaient à l’attaque d’une jument à Thoiria.

A Cluny en Saône-et-Loire, une jeune pouliche de 18 mois a été retrouvée avec un œil en moins et l’ensemble de l’appareil génital arraché. Mardi 25 août, un habitant de Saint-Vallier a découvert sa ponette de 14 mois morte dans son pré. L’autopsie a révélé que l’animal avait eu l’oreille coupée, le crâne explosé, le museau tranché et le diaphragme explosé.

 

Que les pouvoirs publics agissent vite et fermement…

 

Les élus du groupe Rassemblement national apportent leur plus vif soutien aux propriétaires de chevaux, éleveurs et directeurs de centres équestres victimes de ces raids immondes. Ils témoignent leur solidarité à tous les amoureux du cheval qui n’est pas seulement la plus noble conquête de l’homme mais aussi et surtout un animal domestique attachant qui illumine le quotidien de nombreux Français.

 

 

A la suite de la multiplication de ces sauvageries, les conseillers régionaux RN demandent aux pouvoirs publics d’agir rapidement et fermement pour enrayer cette série macabre.

En visite en Saône-et-Loire, le ministre de l’agriculture Julien DENORMANDIE a déclaré que « justice sera faite ». Pour protéger les animaux et lutter contre cette barbarie d’un nouveau genre, il est urgent de durcir les sanctions contre les individus qui font le choix de la « décivilisation ». 

 

Passer aux actes pour arrêter le massacre…

 

Par l’intermédiaire d’une proposition de loi de son député Bruno BILDE en date du 11 septembre 2019, le Rassemblement National avait demandé la modification de l’article 521-1 du code pénal : « Le fait, publiquement ou non, d’exercer des sévices graves, ou de nature sexuelle, ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de quinze ans d’emprisonnement et de 100 000 euros d’amende. »

Dans la lutte contre l’ensauvagement, passons des mots aux actes !

Julien ODOUL

Président du groupe Rassemblement National

 


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