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RATATATA étend sa zone de couverture pour doper la visibilité des petits commerces…
septembre 03, 2017
Après le succès observé sur le Florentinois, le support numérique Icaunais ajoute de nouvelles zones de chalandise dans sa panoplie afin d’optimiser la découverte des commerces traditionnels auprès des particuliers. Le Sénonais et le Chablisien bénéficient désormais de leurs propres éditions dont les annonces sont elles aussi relayées via les réseaux sociaux. Le Tonnerrois constituera la prochaine étape de ce programme ingénieux avant que l’ensemble du territoire de l’Yonne ne soit couvert par cette offre commerciale de proximité…
AUXERRE : Baptisé « RATATATA », en souvenir du roulement de tambour prodigué autrefois par le garde-champêtre lors de ses tournées matinales dans les communes, cet outil de communication numérique permet d’accompagner les commerces de proximité dans leur stratégie marketing.
Plus d’un an après son lancement (juin 2016), survenu sur le secteur de Saint-Florentin, ce support possède déjà ses inconditionnels. Des artisans et commerçant, certes, mais pas seulement puisque les collectivités de la zone (22 communes pour un fort potentiel d’habitants) diffusent elles-aussi leurs annonces promotionnelles sur ce média.
Constatant les tendances prometteuses de l’outil, le spécialiste de communication numérique et consultant, Joël CHAUDY, qui porte ce projet à travers son cabinet J.CONSEIL, a élargi son socle sectoriel. Deux cantons supplémentaires de l’Yonne ont été ajoutés depuis : le Sénonais et le Chablisien.
S’appuyer sur la VDI ou la franchise à l’avenir
« Le mode opératoire de « RATATATA » reste le même : il s’apparente à un service mutualisé qui offre à ses annonceurs un accès facile pour alimenter FACEBOOK. Les réseaux sociaux ne doivent plus être ignorés des indépendants que représentent les commerces de proximité, les artisans, voire certaines associations. Un Français sur deux consulte avec régularité constante le multimédia aujourd’hui. Par le biais d’un ordinateur ou grâce à une application destinée aux smartphones » précise Joël CHAUDY.
Le bilan se veut positif. Non seulement ce service répond aux attentes des utilisateurs particuliers, mais en outre, il accroît l’attractivité des commerçants avec davantage de flux dans leurs boutiques. Cette bourse d’annonces locales requiert une souscription à la base, demandée aux futurs adhérents. Ces derniers perçoivent prospectus et vitrophanie afin de faire connaître leur appartenance à ce réseau.
Le concept génèrera sans doute de l’emploi. Son responsable étudie à l’heure actuelle la possibilité de contractualiser des postes de conseillers commerciaux dans les secteurs respectifs où l’organe est implanté. Selon les principes de la VDI, la vente directe indépendante. Le modèle pouvant se délocaliser hors de l’Yonne, l’hypothèse de son développement par la franchise n’est pas utopique.
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Patrick GENDRAUD : « Le Conseil départemental doit partager ses devoirs aux côtés de l’Education nationale… »
septembre 03, 2017Reprise des activités scolaires oblige, le chef de l’exécutif de l’Yonne sillonne cette semaine le territoire afin de s’entretenir avec l’ensemble des acteurs professionnels et institutionnels de l’éducation. Un contact initial a eu lieu dès le 31 août à Pont sur Yonne en présence des médias. Une communication servant à rappeler que le travail, main dans la main, avec l’Inspection d’académie représentait une priorité essentielle pour le président. Il s’est aussi fendu de quelques messages pertinents, voire enthousiastes pour que chacun aborde mieux l’avenir…
PONT SUR YONNE : « Nous essayons au quotidien de faire le maximum pour que les élèves du territoire de l’Yonne soient accompagnés de la meilleure manière possible durant leur parcours… ».
Volubile et plutôt à l’aise face aux journalistes, le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD a balayé d’un net revers de la main le pessimisme récurrent qui habite nos concitoyens depuis déjà pas mal de temps. Surtout en s’attachant à un thème qui lui tient particulièrement à cœur : les enjeux de l’éducation.
« Dans notre pays, je considère que les scolaires sont assez bien lotis et disposent d’infrastructures potables pour y suivre leur enseignement, si je compare cet état de fait avec d’autres contrées européennes. Que dire, à titre d’exemple, des conditions d’apprentissage, elles y ont excellentes. Nos élèves sont tout de même gâtés…et notre devoir est de répondre aux responsables d’établissements pour subvenir à leurs besoins puisque telle est notre mission…alors, cessons d’être pessimistes et mettons à profit l’aspect positif des choses ! »
Les devoirs du Département vis-à-vis de l’éducation
En marge de sa visite au collège Restif de la Bretonne de Pont sur Yonne et de la présentation faite des aménagements de la SEGPA (Section d’enseignement général et professionnel adapté), le nouveau président du Département a voulu se montrer rassurant auprès de la secrétaire générale de l’Inspection d’académie sur ses futures intentions. Malgré les contraintes budgétaires imposées de manière drastique depuis cinq ans par l’Etat (une dotation en baisse de 30 millions d’euros), l’organe institutionnel icaunais tient toujours ses engagements.
« Nous avons un devoir partagé avec l’Education nationale, devait-il expliquer, cette dernière gère la phase pédagogique tandis que le Conseil départemental assure le confort des élèves en améliorant et en construisant de nouveaux bâtiments… ».
Les dotations de fonctionnement mais aussi celles en mobilier et matériel, y compris l’informatique, ainsi que la gestion des personnels techniques, de la restauration scolaire et du recrutement incombent à l’instance départementale.
« Face à un contexte économique tendu, devait ajouter le président, le maintien de l’enveloppe totale des dotations de fonctionnement reste à l’identique que la saison passée… ».
En 2016, cette enveloppe budgétaire s’élevait à 6,2 millions d’euros. La somme se répartissant pour les collèges publics à hauteur de 4,8 millions d’euros et 1,4 million pour les établissements du privé. Détaillant cette manne financière conséquente, Patrick GENDRAUD évoqua ensuite l’enveloppe consacrée aux investissements en matériel et mobilier en 2017 : 212 000 euros destinés au plan numérique, 340 500 euros pour les équipements informatiques, 231 000 euros de mobilier scolaire et technique Puis, le pôle restauration avec 151 000 euros. Soit un budget global de 934 500 euros.
Un programme de réhabilitations d’environ 10,5 millions par an
Depuis 2011, le Conseil départemental a engagé une vaste opération autour des collèges. D’importants investissements y ont été consentis. La saison dernière, des travaux de réhabilitations se sont déroulés à Chablis (9,3 millions) ou à Aillant sur Tholon (10,6 millions). Auxquels s’ajoutent la cité scolaire de Toucy avec des travaux estimés à 2,5 millions avec le soutien de la Région, la réfection du collège Monpezat à Sens (4,4 millions) ou l’amélioration thermique du collège Denfert Rochereau à Auxerre, pour un coût définitif de 16,1 millions.
Sur un budget global qui s’élève à 430 millions d’euros, et une fois retirée la partie sociale et la masse salariale, le Département consacre 130 millions d’euros pour assurer l’entretien et l’amélioration des 33 collèges de l’Yonne. Et répond ainsi à ses devoirs et obligations…
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SILVAREM confirme sa présence au Salon du chocolat à Paris
septembre 01, 2017La PME de Saint-Julien du Sault, spécialisée dans l’importation, le conditionnement et la distribution de fruits secs auprès des circuits professionnels, occupera un stand lors de ce rendez-vous incontournable des métiers de bouche, fréquenté par les artisans, chocolatiers, pâtissiers et grossistes de France. Ce sera une excellente opportunité pour son dirigeant, Benoît CHAIX, de montrer le savoir-faire de cette entreprise, âgée de 75 ans…
SAINT-JULIEN-DU-SAULT : Du 28 octobre au 01er novembre, le responsable de la société SILVAREM, filiale française du groupe STELLIFERRI (FERRERO)-leader européen de la transformation de noisette avec 40 000 tonnes par an, se mobilisera sur l’un des événementiels importants de cet automne, le Salon du chocolat à Paris, porte de Versailles.
L’opportunité sera excellente pour lui et ses collaborateurs d’y croiser un large public, toujours très friand de découvrir les nouvelles subtilités gustatives des confiseries en tout genre. Mais, la cible qui interpelle le plus l’entrepreneur de l’Yonne restera les artisans de la pâtisserie, chocolaterie et confiserie.
Auxquels, il est nécessaire d’ajouter les industriels de l’agro-alimentaire, les transformateurs, les biscuitiers, et les grossistes.
Pesant 11 millions d’euros de chiffre d’affaires, SILVAREM importe, conditionne et distribue ces produits auprès des circuits professionnels. Soit environ 1 200 tonnes annuelles de fruits secs dont 80 % de noisettes et d’amandes. Ces produits provenant pour l’essentiel d’Italie et de Turquie.
Employant huit salariés dont une responsable de qualité, l’entreprise de l’Yonne possède une forte clientèle d’industriels. 20 % de ses partenaires sont issues de la filière distribution avec quelques références en la matière parmi ceux-ci, à l’instar de POMONA. La structure se développe davantage à l’international depuis quelques saisons avec une clientèle pro, basée en Allemagne et en Suisse.
Dans l’actualité quasi immédiate de la société, signalons le lancement du nouveau site multimédia au 01er octobre. A vocation semi-marchand, il permettra de mieux cibler les 800 artisans, boulangers, pâtissiers mais aussi restaurateurs, chocolatiers, glaciers et biscuitiers, déjà clients, qui se servent auprès du conditionneur. Ce site, presque finalisé en cette fin d’été, est l’œuvre du groupe ELIOS, une entreprise originaire d’Orléans.
Son intérêt sera de présenter les cours très fluctuants des fruits secs, des fiches techniques sur les diverses références de produits composant une gamme de 500 possibilités ainsi que la politique tarifaire.
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Les marchés publics, c’est facile grâce aux cycles d’informations de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat !
août 31, 2017Jugés le plus souvent trop complexes, voire indigestes par une large majorité d’entrepreneurs, les marchés publics garantissent néanmoins une recrudescence du volume d’affaires pour les artisans qui souhaitent se frotter aux appels d’offres. Dans le cadre de ses Rendez-vous de l’Artisanat, il était logique que la chambre consulaire de l’Yonne se penche en profondeur sur la question en démystifiant ce thème…
AUXERRE : L’appel d’offre. Le terme engendre parfois de la nervosité, voire beaucoup de stress, pour les conjointes collaboratrices des artisans. En règle générale, ce sont elles qui, patiemment, compulsent et remplissent les liasses de documents afin de monter le précieux dossier qui permettra à leur époux entrepreneur de décrocher le ou les lots nécessaires, synonymes de business !
Or, la plupart de ces chefs d’entreprise n’osent s’aventurer vers ce marché potentiel qui leur tend les bras. Parmi les dix-sept personnes présentes à la première des trois réunions explicatives proposées par les techniciens de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne, aucune n’avait encore franchi le Rubicon.
Cela n’aura nullement empêché les interrogations de fuser, preuve que la diversification des activités pour les professionnels de ce secteur passe aussi par ce biais.
Sollicitant les interventions de deux spécialistes de Territoires Numériques, la Chambre départementale voulait apporter le maximum de précisions à ses adhérents lors de cette séance de travail. Durant près de deux heures, Krim HABIBY et Bertrand DUFOUR, se définissant ambassadeurs de proximité, ont approfondi avec démonstration à l’appui les fondamentaux des marchés publics.
En trois volets, les intervenants balayaient les matières principales à découvrir avant de se lancer dans cette démarche : la plateforme « e-bourgogne », l’ensemble des services déclinés par son intermédiaire, les MPS (marchés publics simplifiés) et le DUME, soit pour les non-puristes de la chose et c’était le cas parmi l’assistance, le Document unique de marché européen.
« e-bourgogne » : la plateforme à consulter gratuitement
Formulaire par lequel les entreprises candidates à un marché public déclarent leurs capacités et leur aptitude à y participer, ce dernier devrait considérablement simplifier les procédures administratives imposées aux sociétés désireuses de candidater.
A l’avenir, l’obligation de répondre de manière électronique aux marchés publics aura pour heureuse conséquence de bouleverser ce système, facilitant l’accès aux besoins des collectivités dans la plupart des cas. A ce titre, la Chambre de Métiers et de l’Artisanat délivre une clé favorisant cette signature électronique, valable deux ans pour un coût de 75 euros. Ce support garantit l’identification du signataire et sa fonction. Mais, son pouvoir fonctionnel s’étend aussi à la déclaration de la TVA.
Quant à la plateforme « e-bourgogne », créée par la Région et ses quatre départements sous la forme d’un groupement d’intérêt public, elle propose des services aux collectivités dont une salle de marché public, baptisée « place de marché ». Sa consultation est gratuite pour les entreprises de Bourgogne Franche-Comté. Un choix voulu par ses fondateurs qui souhaitaient mettre à la disposition des entrepreneurs de leur territoire l’ensemble des marchés, y compris ceux commandités par l’Etat.
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Le chocolatier Pascal CAFFET juge les candidats de l’émission, Qui sera le prochain grand pâtissier ?
août 30, 2017Champion du monde des métiers du dessert et Meilleur ouvrier de France, l’artisan Aubois Pascal CAFFET a inauguré la nouvelle saison de ce rendez-vous ludique proposé sur France 2. La première des quatre émissions, diffusée en prime time le 29 août, était accueillie à Troyes dans la maison mère de cet artisan à la renommée internationale et reconnu pour l’approche savoureuse qu’il a su apporter au praliné. Ses conseils, trucs et astuces ont été écoutés avec intérêt par les jeunes talents de demain…
TROYES (10) : L’expérience était novatrice pour l’une des figures emblématiques de la chocolaterie/pâtisserie française. En acceptant de recevoir dans ses murs, l’émission de France Télévision qui entame ainsi sa quatrième année d’existence, Pascal CAFFET, dans le style si caractéristique et chaleureux qui est le sien, a su trouver les mots justes pour encourager les créatifs de demain.
Neuf d’entre eux ont eu tout le loisir de boire les paroles sacrées de ce maître de l’artisanat, aujourd’hui apprécié en France, mais aussi en Italie et au Japon où plusieurs boutiques assurent la promotion de ses succulents produits. Il est vrai que ce confiseur hors pair ne s’approvisionne qu’avec des fèves de cacao issues des plus belles récoltes de la planète. Brésil, Venezuela ou Guatemala mais aussi les essences de l’Afrique équatoriale : le must !
N’hésitant jamais à remettre en cause ce métier qu’il vit avec passion et qu’il souhaite renouveler, l’artisan aubois se forme au contact des meilleurs. La Maison Peltier, temple de la gourmandise, le reçoit à Paris. Quant à ses premiers pas chez Gaston Lenôtre, ils lui permettent de côtoyer la fine des fleurs des chocolatiers de l’Hexagone.
Sortant des sentiers battus, Pascal CAFFET aime transmettre sa passion aux autres. Il l’explique lui-même : « La transmission des valeurs professionnelles est ancrée dans les fondements de l’entreprise qui forme, à chaque nouvelle année, nombre d’apprentis chocolatiers pâtissiers. Nous les guidons ensuite vers les plus hauts sommets nationaux et internationaux… ».
L’entrepreneur de Troyes a même créé ses propres trophées en 1997 pour accréditer ce soutien permanent aux jeunes pousses. Depuis, ce concours est devenu l’un des plus réputés de France. Président de l’association nationale d’un des meilleurs ouvriers de France dans la catégorie pâtisserie confiserie, le responsable de cette structure familiale, apparue il y a 37 ans, s’est vu remettre le label d’entreprise du patrimoine vivant en 2014.
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