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Premier centre de formation professionnelle dans l’immobilier en France, l’ESI (Ecole supérieure de l’immobilier) fêtera sa quinzième année d’existence en 2019. Portée sur les fonts baptismaux par la FNAIM, l’établissement pédagogique prépare les acteurs de cette filière incontournable de l’économie aux enjeux de demain et à une profonde mutation intellectuelle et comportementale de ses membres. En y injectant davantage de méthodologies ultra modernes qui ont recours aux outils de la digitalisation et du numérique…Rencontre avec son directeur, le Sénonais Thierry CHEMINANT.

COURBEVOIE (Hauts-de-Seine): L’Ecole supérieure de l’immobilier est-elle une référence dans cette branche professionnelle ?

Oui, on peut l’affirmer. L’ESI a été créée par la FNAIM en 2004 sur un modèle dual : une structure de formation mariant à la fois formation initiale et formation continue. Quinze ans après, les faits sont là : 400 étudiants en formation initiale, tous en alternance, et plus de 35 000 adultes sont formés chaque année. Ce qui fait de nous aujourd’hui le premier centre de formation professionnelle dans l’immobilier en France. Et la première école à ne dispenser que des formations pour l’immobilier en alternance qui, toutes donnent, accès aux cartes professionnelles.    

Quelle est sa genèse ? Quel est son mode de fonctionnement ?

Il fallait répondre à deux besoins identifiés : former les futurs professionnels de l’immobilier et former les acteurs déjà en poste dans les entreprises du secteur. Le concept mis en avant à l’époque est que pour être crédible en formation continue, il faut pouvoir démontrer qu’on sait faire de l’enseignement supérieur.

Dès lors, nous avons mis en place au fils des ans, six partenariats avec des Universités françaises, nous permettant de délivrer au sein de l’ESI seize diplômes d’Etat, tous en alternance (professionnalisation ou apprentissage). Ce modèle est bel et bien unique. Nous allons ainsi du BTS professions immobilières au Master 2. Tous les étudiants sont basés dans nos locaux à Courbevoie. Pour ce qui concerne la formation continue, nous proposons aujourd’hui un catalogue de plus de 400 formations entièrement dédiées à l’immobilier. Ce qui représente pour 2018, l’organisation de plus de mille sessions de formations sur la France métropolitaine et Outre-mer (Martinique, Guadeloupe, Guyane et la Réunion).

Pour se faire, nous bénéficions du soutien de nos chambres FNAIM, réparties sur l’ensemble du territoire qui sont nos centres de formation en région. Ce maillage territorial unique pour une organisation professionnelle telle que la FNAIM, est pour nous un atout majeur de notre développement et de notre présence au plus près des territoires. Par ailleurs, nous avons développé depuis 2016 une offre de formation 100 % en ligne sous forme de classes virtuelles (autrement dit « webinaires » ou « visio-conférences synchrones). Aujourd’hui, notre catalogue digital, fort de plus de soixante thématiques, attire plus de quatre mille apprenants par an.

L’ESI est-elle entièrement adossée à la FNAIM ? Des professionnels non-affiliés peuvent-ils bénéficier de ces formations ?

L’ESI émane de la FNAIM et appartient entièrement à la FNAIM. C’est notre ADN ! Nous formons tous les adhérents de la FNAIM qui le souhaitent et depuis quelques années, nous sommes ouverts aux entreprises non adhérentes, qui paient un tarif différent bien sûr. Tout le monde peut venir se former chez nous. Je veux également préciser que nous avons des programmes qui s’adressent spécifiquement aux demandeurs d’emploi en reconversion professionnelle. A ce titre, nous en accueillons plusieurs centaines par an.

Que proposerez-vous en matière d’offres de formation pour l’année 2019 ?

Nos catalogues 2019 viennent de sortir fin novembre. Nous avons renouveler près du tiers des programmes. Comme chaque année, l’accent a été mis sur l’éco rénovation énergétique et les nouvelles dispositions de la loi ELAN, entre autres.

Côté étudiants, nous avons proposé  à la rentrée plusieurs parcours nouveaux en licence et master.

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La crédibilité de l’offre, gage de sérieux et de professionnalisme…

L’instauration de la loi ALUR oblige les professionnels de l’immobilier à suivre des formations continues. Comment cela se concrétise-t-il au quotidien ?

Pour nous, cela s’est traduit par un accroissement très important de notre activité en formation continue depuis 2016, de l’ordre de plus 20 % par an. Depuis deux ans, nous avons beaucoup plus d’apprenants dans les sessions et nous avons un taux de maintien de plus de 80 % desdites sessions inter-entreprises.

Si l’on prend comme point de repère les années 2017 et 2018, quels sont les chiffres clés qui caractérisent vos missions ?

L’ESI en 2018, c’est plus de mille sessions de formations en présentiel sur l’ensemble du territoire, y compris l’ultramarin, dans nos cinquante centres de formations accueillis dans les chambres syndicales FNAIM. Soit près de 35 000 jours/stagiaires, et plus de 4 000 personnes formées à travers notre digital Learning (webinaires), sans oublier nos 400 étudiants tous en alternance, préparant du BTS professions immobilières au Master 2.

Le taux de placement des personnes ayant suivi vos séances pédagogiques s’élève à 100 % lorsqu’elles désirent intégrer la vie active. L’ESI dispose nécessairement d’une précieuse « aura » pour obtenir de tels résultats ?

On peut dire qu’aujourd’hui, l’ESI a su prouver la qualité de son modèle et la crédibilité de son offre de formation, faisant de nous un des principaux acteurs de la formation aux métiers de l’immobilier.

Est-il nécessaire pour un jeune qui souhaite se diriger vers cette filière professionnelle de posséder le maximum de diplômes pour réussir ?

Non, pas forcément. Même si les métiers de l’immobilier sont de plus en plus exigeants, avec un encadrement règlementaire qui ne cesse d’évoluer, j’en veux pour preuve la promulgation de la loi ELAN, fin novembre. Nous proposons des parcours accessibles dès le niveau bac, jusqu’à des Masters qui nécessitent un bac + 4. Tout est question de volonté, de motivation et d’intérêt pour ces professions qui sont exigeantes, certes, mais passionnantes. Surtout, il s’agit d’aider les ménages ou les entreprises à se loger, ce qui est un acte récurent et pérenne.

L’ESI propose 17 formations diplômantes et 400 thématiques. Quelles sont-elles ?

Le BTS professions immobilières, puis en partenariat pédagogique avec nos Universités partenaires (Perpignan, Lorraine, Limoges, Aix Marseille, Dijon, Paris VIII): six licences professionnelles, quatre Masters 1 et six Masters 2, tous 100 % immobilier, urbanisme et/ou gestion patrimoniale. Vous avez le détail sur notre site www.groupe-esi.fr...

Par manque de temps, peut-être par ignorance, les professionnels ont parfois du mal à se dégager de leurs contraintes pour suivre une formation, ou envoyer leurs collaborateurs. Comment remédier à cela ?

Déjà, la formation n’est pas une perte de temps. C’est un investissement qui permet de toujours mieux répondre aux exigences de ses clients. La meilleure des réponses pour les « sur- bookés », c’est la formation digitale à travers nos « webinaires ». On se forme, depuis son bureau, en « visio-conférence synchrone », sans déplacement. C’est le formateur qui vient « virtuellement »  à vous ! C’est un énorme gain de temps…

« Avec Jean-François BUET, le président de l’ESI, il n’y a pas de problème entre Bourguignons ! »

Votre siège social est situé à Courbevoie. Une facilité, sans doute, pour faire converger tous les apprenants vers la capitale et l’Ile de France ?

C’est un choix qui répondait à notre cahier des charges et nos contraintes financières. Courbevoie, c’est la Défense. Mais, c’est une ville agréable à dix minutes de Paris centre par les transports !

Disposez-vous de représentativité à travers l’Hexagone ?

Nous sommes présents pour la formation continue à travers nos cinquante centres de formation dans nos chambres syndicales. Mais, nous allons proposer dès le premier semestre 2019 un modèle qui va nous rapprocher encore plus des territoires…

Financièrement, quel est votre modèle économique ?

Nous sommes une entreprise comme les autres. La FNAIM a beaucoup investi au départ pour lancer ce projet. Aujourd’hui, nous sommes fiers de pouvoir être un centre d’activité à l’équilibre et qui, je le crois, permet à la FNAIM de faire un réel retour sur investissement.

Comment voyez-vous la formation dans les années à venir ?

La nouvelle loi sur « la liberté de choisir son avenir professionnel », promulguée le 05 septembre dernier, est une révolution copernicienne, comme il est bon de dire… Elle contient des éléments positifs. D’autres qui appellent à la vigilance. Je pourrai vous en dire plus quand les quatre-vingts décrets que nous attendons seront parus. Ce que je peux affirmer, c’est que nous sommes prêts à gérer ce nouveau biotope réglementaire au service de nos adhérents FNAIM et de nos autres clients.

L’ancien président de la FNAIM, Jean-François BUET, est désormais le président de l’ESI. Comment fonctionne votre binôme au sein de l’ESI ?

Entre bourguignons, il n’y a pas de problème ! Jean-François BUET m’a recruté il y a quinze ans (il était à l’époque président de la FNAIM par intérim). Nous avons eu le temps d’apprendre à nous connaître, et je crois, à nous apprécier. La formation est un enjeu majeur pour la FNAIM, et notre nouveau président fédéral Jean-Marc TORROLLION, de même que son président-adjoint, Loïc CANTIN. Ils travaillent également étroitement avec nous sur les dossiers.

Maîtriser la formation, gage d’excellence, demeure-t-il le meilleur moyen de faire front à la concurrence exacerbée qui sévit à l’heure actuelle sur votre secteur d’activité ?

Notre modèle a fait ses preuves désormais, nous essayons d’être « agiles » face à notre environnement. Il en va de même pour les professionnels qui viennent se former chez nous. La marque « ESI », associée à la FNAIM, est aujourd’hui reconnue et représente un gage de sérieux et compétence. Notre travail de plus de quinze années est en train de porter ses fruits.


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S’inspirant de principes technologiques utilisés pour les aspirateurs industriels, la gamme de poids lourd « IVECO 8X4 TRIDEM » se destine à la réalisation de terrassements par aspiration. Rares sont aujourd’hui les entreprises positionnées sur ce segment d’activité qui en possèdent un spécimen. Pourtant, l’apport de ce processus innovant est multiple pour ses utilisateurs. Procédé s’inscrivant dans la droite ligne du développement durable et de la sécurisation des chantiers, l’emploi de cette typologie de poids lourd fournit une palette d’avantages éclectiques dont bénéficie depuis le 06 décembre dernier la société « DRTP », structure entrepreneuriale de Saint-Florentin, qui vient de faire l’acquisition de son premier exemplaire…

SAINT-FLORENTIN : Préservation des réseaux enterrés existants, réduction significative de la durée des travaux, protection des racines, sources nourricières naturelles des végétaux…la liste des bénéfices offerts par l’emploi de ce véhicule IVECO hors norme est loin d’être exhaustive.

Depuis quelques jours, le personnel de l’entreprise DRTP (DUBOST Réseaux Travaux Publics) apprécie les multiples avantages de ce poids lourd, nouvelle génération, qui offre un particularisme étonnant : une fonction « aspirante ».

A l’aide d’un tuyau flexible de 250 mm de diamètre, les déblais sont ainsi aspirés avec une relative aisance par les opérateurs sur les chantiers, avant qu’ils ne se déposent directement dans la benne prévue à cet effet pour y être évacués.

Outre le gain de temps indiscutable pour l’entrepreneur, la sécurité s’en trouve considérablement optimisée : le personnel d’exécution n’ayant plus besoin de descendre dans la tranchée. Ce processus technique lui garantit de facto la propreté de ses chantiers !

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Le premier véhicule, d’une plus longue série d’acquisitions…

Spécialiste des interventions visant à installer l’éclairage public, la pose de canalisations et de réseaux (électricité, gaz, eau potable, télécommunication,…), DRTP a trouvé avec l’achat de ce nouveau véhicule un précieux auxiliaire pour conforter la qualité de ses services et de ses prestations parmi son environnement professionnel.

Disposant d’une flotte de poids lourds, forte d’une trentaine de véhicules à l’estampille du constructeur IVECO, la PME de Saint-Florentin n’a pas hésité à investir une enveloppe budgétaire de 450 000 euros pour acquérir ce modèle unique en son genre.

Précurseur en la matière en Bourgogne Franche-Comté, et soucieux de la protection environnementale, son PDG Eric CHARTON a été séduit par les qualités techniques offertes par cet engin. Propulsant plus de 500 chevaux, le nouvel « IVECO 8x4 TRIDEM » ne devrait pas être le seul à rejoindre la panoplie de ces véhicules motorisés dans l’entreprise. Le dirigeant de DRTP envisage d’autres acquisitions à moyenne échéance pour doter les différentes agences que compte la structure en France. Plus précisément, dans l’Aisne, à proximité de Laon. Mais, aussi en terre champenoise, près d’Epernay et dans l’Ain, à Trévoux.


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En un laps de temps restreint, l’organisme consulaire a collecté les avis de 800 chefs d’entreprise artisanale après avoir lancé une consultation à l’échelle de la Bourgogne. Connaître l’impact réel sur l’activité des artisans était nécessaire pour en mesurer les conséquences économiques…et les incidences collatérales

AUXERRE : Quatre jours ont été suffisants pour récupérer les commentaires de 800 entrepreneurs artisanaux implantés en Bourgogne. Les réponses ne laissent pas de place au doute. 51 % des entreprises interrogées enregistrent une baisse anormale de leur chiffre d’affaires. Cette baisse est comprise entre 10 % et 50 % du chiffre d’affaires pour la moitié de celles qui observent une diminution. 32 % des entreprises ont été gênées dans leurs déplacements professionnels. 25 % de ces sources ont eu à déplorer des difficultés d’approvisionnement. Enfin, autre enseignement significatif, hormis quelques cas très isolés, les entreprises n’ont pas subi de dégradations.

Chargés de la communication sur le territoire de l’Yonne, Isabelle DUMONT et Vincent DURAND, précisent par le biais d’un communiqué de presse que « les entreprises qui en ont fait la demande seront toutes recontactées par la Chambre de Métiers et de l’Artisanat. Elles bénéficieront d’une aide pour faire le point sur la situation de leur entreprise. La chambre consulaire se chargera de les diriger, si nécessaire, vers les dispositifs d’aides mis en place par le gouvernement, nos partenaires ou par la Chambre de Métiers et de l’Artisanat… ».

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Echanges des consulaires avec Bruno LEMAIRE…

Les instances nationales des Chambres de Métiers et de l’Artisanat ont eu l’opportunité de pouvoir rencontrer le ministre de l’Economie, Bruno LEMAIRE, pour que des mesures soient prises afin de limiter les effets de cette crise sur la trésorerie fragilisée de nombreuses entreprises artisanales.

De plus, les Chambres de Métiers et de l’Artisanat ont mis en œuvre une procédure exceptionnelle pour que les entreprises, dont l’activité est gravement empêchée par des troubles à l’ordre public, puissent bénéficier de l’intervention du Fonds de calamités et catastrophes naturelles.


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Satisfait par la pertinence des retombées relationnelles issues de cette rencontre entre spécialistes nationaux des filières de l’acoustique, du vibratoire et du son, Serge GARCIA a entériné, avec l’aval de la commission ad hoc, la reconduction du concept pour 2019. Soutenue par ses deux partenaires, la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne et la communauté du Grand Sénonais, défiSON, structure organisatrice, élargira davantage la cible des futurs prospects au monde estudiantin et aux entrepreneurs de la région…

SENS : Quels enseignements concrets doit-on tirer de la première mouture de « S.E. N.S. », la manifestation orchestrée par « défiSON » à la mi-octobre, autour de la découverte des filières de l’électrique, du numérique et du son ?

Fruit d’une longue maturation intellectuelle et logistique, ce rendez-vous avait pour objectif de proposer une immersion pragmatique parmi un univers dont beaucoup ignorent encore toutes les subtilités.

Traitements de pathologies lourdes en matière de santé ou utilisation de techniques particulières dans les procédés industriels, automobiles ou agricoles, les applications offertes par la vingtaine d’exposants professionnels n’auront pas manqué d’interpeller les visiteurs, le plus souvent béotiens, de ce colloque.

Même les élus et institutionnels ne cachaient pas leur profond étonnement devant tant de possibilités démonstratives, voire ludiques, qui étaient livrées à leur sagacité.

Il est vrai que la structure « défiSON », instigatrice de cette première nationale, n’avait pas ergoté sur les moyens. Ni sur la représentativité qualitative des participants.

Plusieurs ténors internationaux, leaders dans leur domaine d’activité, avaient répondu favorablement à l’invitation. Ce fut le cas de l’espagnol TERRATECH, de l’américain TELEDYNE LECROY ou du suisse FICHTER CONNECTORS. In fine, 27 sociétés avaient dépêché au nord de l’Yonne leurs dirigeants ou cadres supérieurs.

La présence de laboratoires et d’universitaires (DRIVE de Nevers, la plateforme de l’IUT d’Auxerre ou le pôle plastronique/électronique du lycée de Sens) renforcèrent le crédit recherche et pédagogie de cette manifestation.  

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Déjà la signature de plusieurs contrats…

Sans que cela soit déflorer de manière officielle, l’évènement « S.E.N.S. » aura été le catalyseur positif pour initier des accords de projets. Deux contrats de coopération, signés entre des entreprises du territoire et des prestataires présents sur le salon, devaient être ainsi ratifiés.

Porteur au niveau de l’image, le colloque a servi de repères utiles pour de nombreuses instances régionales. Il accrédite aussi le rôle prégnant de « défiSON » dans le développement des filières de l’acoustique, du vibratoire et du son parmi notre environnement économique.

Soucieuse d’optimiser les partenariats à l’échelle hexagonale, l’entité associative paraphera en mars prochain un accord collaboratif avec le Laboratoire acoustique universitaire du Mans (Sarthe), plus connu sous le vocable « LAUM ».

D’autres rapprochements ont été concrétisés, par ailleurs, cette année, avec des conventions validées auprès d’I-TRANS (le pôle de compétitivité sur les transports de Lille) et ACSIEL, le syndicat des professionnels de la valeur électronique.

Il n’est pas exclu que l’association icaunaise ne déploie ses ailes vers d’autres sphères référentes dans ce segment de l’activité technologique aux côtés de l’Aérospatiale Valley de Toulouse ou du concept « Nicéphore Niepce Cité » de Chalon-sur-Saône.

Un site qu’affectionne plus particulièrement Serge GARCIA qui y donnera une conférence sur le son, envisagé dans le cadre de l’architecture, la recherche et le développement et l’industrie, très prochainement…

 


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La troisième édition du Salon de l’éclairage public se déroulera en date du 16 mai 2019. Organisé par le Syndicat départemental des énergies de l’Yonne, l’évènement permettra aux collectivités (élus et responsables des services techniques) de découvrir les produits et prestations innovants proposés par les entreprises spécialisées sur ce segment économique. Ce rendez-vous servira de guide utile pour les élus désireux de rénover leur parc d’éclairage public et réduire de facto leur facture énergétique…

AUXERRE : Après le succès de la précédente manifestation, organisée le 22 mars 2018 salle des Joinchères à Venoy, il était exclu pour ses organisateurs de ne pas réitérer l’exercice dès l’année prochaine.

Point d’orgue de son agenda 2019, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) reconduira donc l’animation en bénéficiant des mêmes lieux et d’une logistique similaire qui se prêtent à la configuration idéale de ce colloque.  

La saison dernière, une vingtaine d’exposants, des structures professionnelles positionnées sur le domaine de l’éclairage public, occupaient des ateliers démonstratifs afin d’y développer une information concise servant à entretenir la sagacité des élus et de leurs responsables des services techniques.

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Seize prétendants aux distinctions la saison dernière…

L’objectif de ce salon repose, doit-on le rappeler, sur la présentation de nouveautés technologiques facilitant la qualité optimale de l’éclairage public. Tout en réduisant la facture énergétique des communes.

Plus de 150 édiles de l’Yonne avaient pris part au printemps dernier à cette initiative intelligente qui demeure l’un des temps forts de l’activité du SDEY avec les assises annuelles, offrant réflexions et débats.

L’évènement devrait se clore par la remise des Trophées de l’éclairage public. Cette cérémonie protocolaire honore les localités qui ont su valoriser, aux côtés des équipes du SDEY, la transition énergétique en maîtrisant les budgets. Notamment en termes de sécurité, d’esthétisme, d’économies d’énergie et mise en valeur du patrimoine neuf ou ancien.

En mars 2018, seize municipalités avaient déposé un dossier de candidature afin d’espérer glaner l’un des précieux sésames officiels…

 


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