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L’économique y trouvera son compte : Jean-Marc SYLVESTRE grand ordonnateur des vœux à la mode auxerroise
février 02, 2022Le come-back auxerrois de cet esthète de l’économie s’effectuera dans des conditions peu ordinaires, aux manettes d’un plateau audiovisuel mais sans public. Qu’à cela ne tienne ! Cela ne devrait pas perturber outre mesure l’ex-responsable de l’information économique de TF1 qui en a vu d’autres tout au long de sa carrière ! Remplaçant au pied levé son confrère Jean-Pierre PERNAUT, souffrant, Jean-Marc SYLVESTRE jouera donc les présentateurs vedette de « L’Auxerrois à la Une ».
AUXERRE : Décidément, entre la Ville d’Auxerre et le vivier ultra éclectique et disponible des journalistes ayant exercé chez TF1 présents sur le marché de l’animation, le filon relationnel est inépuisable !
In fine, au soir du 09 février, nouvelle date validée par les organisateurs de la cérémonie des vœux et de la présentation des grands projets structurels de l’Agglo à dix ans, ce n’est donc plus Jean-Pierre PERNAUT qui endossera le rôle de « Monsieur Loyal » face caméras mais bel et bien l’expert es économie, Jean-Marc SYLVESTRE.
Un visage connu et reconnu dans le landerneau médiatique, universitaire ayant enseigné à la faculté de Caen à ses débuts avant de converger vers le journalisme et possédant un doctorat dans sa matière de prédilection, excusez du peu !
Editorialiste durant 22 ans sur France Inter, cofondateur de LCI, promu à de hautes responsabilités au sein de TF1, Jean-Marc SYLVESTRE est loin d’être un néophyte dans sa spécialité. Celles et ceux qui suivent ses chroniques régulières sur son blog, les ondes ou sur les plateaux de télé, où la macro et la micro-économie se dévoilent au grand public avec aisance dans le verbe et plaisir de l’écoute, en savent quelque chose.
L’économie au cœur de ce plateau de télévision ?
Désigné par l’Université Paris Dauphine meilleur journaliste de l’année 2008, ce personnage qui aime allier la pédagogie au sens de l’analyse revient donc à Auxerre, après avoir enchanté à l’époque, c’était en janvier 2017 –nous y étions ! -, le public de décideurs économiques de la Maison de l’Entreprise lors d’une mémorable conférence inhérente à la digitalisation et ses effets. Encore un joli coup de projecteur sur Auxerre, imputable à Claude VAUCOULOUX qui dispose d’un carnet d’adresse bien construit !
Au même titre qu’un Nicolas BOUZOU ou un Christophe BARBIER, Jean-Marc SYLVESTRE propose également ses services, comme tout bon communicant qui se respecte, aux organismes consulaires, entités économiques et collectivités pour animer débats et controverses. Surtout, en ce qui le concerne, sur des sujets inhérents à l’économie et à l’évolution de la société.
Sa présence, en lieu et place de JPP (de nouveau affecté par la maladie comme cela fut annoncé en décembre par la presse), n’est donc pas une surprise en soi.
Doit-on y voir, au préalable, un réajustement des items qui seront déclinés lors de ce rendez-vous en visioconférence ? Ce n’est pas impossible. La dimension économique devrait largement dominé les interventions des orateurs successifs invités sur ce plateau de télévision locale, dont les patronymes sont encore tenus au secret. Histoire de préserver l’effet de surprise et de faire le buzz positivement le jour J ?
La flèche ironique de l’élu Mathieu DEBAIN…
Quoi qu’il en soit, le changement de présentateur n’a pas tardé à faire réagir les réseaux sociaux. En particulier celles et ceux qui s’offusquent toujours de la tenue de ce grand barnum, même si l’aspect ouvert au public n’est plus d’actualité, faute à la COVID.
Ironiques, les commentaires de l’élu auxerrois de l’opposition, Mathieu DEBAIN, publiés sur sa page Facebook, prêtes à sourire, si par mégarde Jean-Marc SYLVESTRE venait à annuler sa présence en dernière minute.
« Je recommande à la municipalité de choisir la célèbre journaliste de « Cash Investigations » Elise LUCET dont l’émission enquête sur les dérives financières… ».
Sacré Mathieu ! Voilà une suggestion forte à propos pour assurer la relève, sauf que la professionnelle n’a jamais exercé ses talents sur TF1 ! Ce qui n’est donc pas le bon filon en termes de choix pour la Ville d’Auxerre !
Thierry BRET
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Un cycle de conférences débute : l’élevage, cœur de cible stratégique de la Chambre d’Agriculture et d’ALYSE
février 01, 2022L’évènement s’étale sur quatre journées. Dont deux en Puisaye, le reliquat se faisant sur le Tonnerrois. Une zone géographique qu’affectionnent les responsables de la chambre départementale agricole. Ils y ont expérimenté ces derniers mois le projet « 360 degrés » avec la communauté de communes. Mais là, du 07 au 10 février, changement de registre. Les bâtiments d’élevage seront au centre des prérogatives…
AUXERRE : Cinq visites d’exploitation constitueront le socle de ce copieux programme instructif. Elles seront assorties de causeries et témoignages variés autour de problématiques permettant de mieux appréhender la réalité de l’installation des jeunes agriculteurs dans l’élevage. C’est le menu non alimentaire mais pourtant très digeste que propose la semaine prochaine la Chambre départementale d’Agriculture de l’Yonne.
Un cycle de conférences, conçu avec le précieux concours du réseau Innov’ Action et de la coopérative ALYSE, servira de solide armature à ce projet ; le premier de l’année permettant de renouer les liens de l’écoute et de la discussion.
L’objectif du projet est simple : faire toute la lumière sur l’installation des jeunes éleveurs ayant opté pour la filière. L’une des plus complexes qui soit proposée parmi le panel de métiers issus du milieu agricole.
Le partage de bons trucs et astuces pour les éleveurs…
Ces portes ouvertes dans les bâtiments d’élevage traduiront dans les faits la nouvelle dynamique impulsée par la chambre consulaire et l’un de ses partenaires essentiels, la coopérative ALYSE. Vouloir optimiser la communication en 2022.
Trois lieux ont été choisis pour cela : Provency, Moutiers-en-Puisaye et Noyers-sur-Serein. Accueillies dans cinq établissements tenus par de jeunes agriculteurs, ces conférences possèdent pour fil rouge un dénominateur commun : le partage d’expérience et de savoir-faire dont pourrait profiter l’auditoire.
Initié en Côte d’Or, ce cycle a rencontré un joli succès, plus que d’estime avec la présence de près d’un millier de visiteurs ! Certes, l’Yonne n’est pas comparable à son voisin méridional.
« En fait, résume Arnaud DELESTRE, président de l’organe institutionnel, ce rendez-vous est propice au partage des bons trucs et astuces nécessaires à une installation réussie dans la filière… ».
D’autant que les renseignements sont très attendus des jeunes professionnels ayant osé franchir le pas.
Préparer la relève alors que les cartes vont être brassées d’ici dix ans…
Parmi les items de cette édition 2022, la dynamique de l’élevage de caprins et d’ovins constituera l’une des priorités de ce cycle. Une tendance exponentielle observée depuis plusieurs mois. On y parlera aussi de l’engraissement des génisses, de l’emploi d’appareillage facilitant la traite et le confort de l’éleveur, de la directive nitrates et de ses impacts sur les exploitations, voire de la transformation en élargissant la gamme de produits laitiers afin de se différencier.
Petit coup de projecteur spécifique : une animation organisée autour de la valeur ajoutée pour un néophyte de la filière qui en viendrait à créer sa propre fromagerie !
Quand on sait que 50 % des agriculteurs actuels pourront prétendre à la retraite dans la décennie à venir et que 70 % du cheptel de bovins sont détenus par des personnes âgées de plus de 55 ans, on se dit effectivement que l’anticipation permettant de bien préparer la relève devient urgente !
Thierry BRET
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Nouvelle mobilisation dans la rue le 27 janvier : les oubliés du « quoi qu’il en coûte » veulent se faire entendre au grand jour
janvier 22, 2022Après la grève des syndicats de l’Education nationale le 13 janvier dernier où des dizaines de milliers de manifestants défilaient dans l’Hexagone, une nouvelle journée de mobilisation interprofessionnelle est prévue le jeudi 27 janvier. Dans l’Yonne, c’est la veillée d’armes pour l’intersyndicale CGT-FO-FSU-Solidaires. Elle appelle à se rassembler le matin à Sens et l’après-midi à Auxerre. Objectif : la défense des salaires et de l’emploi.
AUXERRE : Si, exaspérés par la gestion de la crise de la COVID et l’accumulation de protocoles sanitaires, enseignants, personnels et parents d’élèves ont été nombreux à descendre dans la rue le 13 janvier dernier, combien seront-ils de manifestants jeudi prochain à répondre à l’appel ?
Dans l’Yonne, les états-majors des syndicats qui défileront ce jour-là, se préparent déjà activement, misant sur une grève massive réunissant agents du service public et salariés du privé, mais aussi jeunes et retraités.
Dans un contexte économique fortement dégradé qui a vu le retour de l’inflation, avec notamment une hausse des prix des produits manufacturés ou alimentaires, conjuguée à la surchauffe de ceux de l’énergie, les revendications sont multiples : augmentation du SMIC, revalorisation des salaires dans le privé comme dans le public, augmentation des pensions et des minima sociaux, défense de l’emploi…
Pour Philippe WANTE, secrétaire départemental FSU, l’équation est simple : « inflation plus salaires bloqués conduisent à une baisse du pouvoir d’achat, c’est automatique ».
L’enseignant du collège Jacques Prévert à Migennes a vu au fil des mois se dégrader l’attractivité du métier, faute de salaires appropriés, dénonçant une situation qui conduit à une pénurie d’enseignants et au recours massif de contractuels : « le statut de la fonction publique était réservé avant à un concours, ouvert à tous et qui protégeait à la fois le fonctionnaire et les usagers. Aujourd’hui, on baisse les exigences à l’embauche, cela permet d’employer des CDD sans les faire bénéficier de formations, pour un service dégradé, c’est du délire ! Par ailleurs, il y a plein d’endroits sans enseignants faute de pouvoir les remplacer, la pandémie n’ayant fait que mettre un coup de projecteur sur l’existant et les parents sont légitimement inquiets sur l’enseignement apporté à leurs enfants... ».
Des salaires à l’embauche tirés vers le bas…
Même constat à La Poste pour Aicha KHARBACH, secrétaire adjointe de FO 89 : « on remplace les titulaires qui partent par des CDD ou de l’intérim, des personnes peu ou pas formées, avec du courrier en souffrance et c’est catastrophique. Ce qui m’affole, c’est que les autres administrations comme l’Hôpital ou l’Education nationale se retrouvent aujourd’hui dans le même schéma qui a commencé à La Poste il y a une trentaine d’années… ».
Également dans le collimateur des organisations syndicales : les conditions d’embauche, avec notamment un salaire minimum qui devient la norme un peu partout alors même que le niveau de compétences demandées n’a jamais été aussi haut, comme le rappelle Véronique DEGOIX-GUTTIN, secrétaire générale de la CGT 89 : « les exigences de qualification à l’embauche sont de plus en plus nombreuses pour des salaires de plus en plus bas. Il suffit pour s’en convaincre d’aller sur le site de Pôle Emploi et consulter les annonces proposées dans le département… »
La réunion de la dernière chance dans le secteur des transports…
Les perturbations annoncées impacteront également les transports, avec pour la SNCF, un préavis de grève couvrant la période du mercredi 26 janvier à 19 heures jusqu’au vendredi 28 janvier à 8 heures.
Un mouvement auquel devraient se joindre les salariés du transport routier, mécontents des propositions faites dans le cadre des négociations en cours, rappelle Romain SEBILLAUT, de l’Union syndicale Solidaires 89 : « les patrons proposaient 5 % sur deux ans, du coup, toutes les organisations syndicales ont quitté les réunions. Celle du 31 janvier prochain sera celle de la dernière chance… ».
Cette nouvelle journée d’action du 27 janvier débutera dans l’Yonne à Sens le matin, avec un rassemblement à 10 heures, devant la sous-préfecture, suivi l’après-midi par un défilé à Auxerre, qui s’élancera à 14 heures Place de l’Arquebuse pour se terminer comme à l’accoutumée, devant la préfecture.
Dominique BERNERD
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L’Etat de grâce pour les Laboratoires MACORS bénéficiaires d’une aide de 800 000 euros pour l’innovation
janvier 20, 2022Sous le masque, le sourire ! Sans même le voir, on le devine. Arborant avec fierté le label France Relance que vient de lui remettre en main propre le représentant de l’Etat, le chairman du Laboratoire MACORS Eric DELAYE ne peut être que satisfait de la journée. En obtenant une subvention de 800 000 euros de l’Etat, la structure peut nourrir de belles ambitions en 2022 et poursuivre ses investissements.
AUXERRE : Tout est résumé ou presque par la phrase du préfet Henri PREVOST en clôture de cette visite officielle consacrée à l’une des belles pépites industrielles, implantée en périphérie de la ville.
« C’est vraiment un excellent exemple de ce que permet le Plan de Relance pour rendre plus compétitives les entreprises… ».
Quelques minutes auparavant, le représentant de l’Etat venait de remettre le fameux trophée de plexiglass à son hôte, le dirigeant de la structure entrepreneuriale. L’objet symbolise le soutien de la Nation à l’une de ces entreprises qui intervient dans le domaine de l’industrie et en favorise l’innovation.
Du petit lait à déguster avec délectation pour les forces encadrantes de Laboratoire MACORS Auxerre, l’un des quatre sites de production de la société en France. Une entité qui est depuis 1990 à l’apanage du groupe industriel hexagonal, GALIEN, l’un des spécialistes dans la fabrication de produits pharmaceutiques.
Une aide qui intègre le programme France 2030…
A l’instar des trois autres unités de production, réparties en Bourgogne septentrionale (Nevers, Sens et Monéteau où s’affaire une dizaine de personnes), GALIEN dispose d’une force de frappe impressionnante pour répondre à la demande galopante de produits issus de la pharmacopée.
Plus de 50 % des spécialités thérapeutiques conçues par les laboratoires MACORS s’exportent dans plus d’une quarantaine de pays. Quand on parle des vertus bénéfiques de l’industrialisation !
Un chapitre que ne manqua pas de soulever le haut fonctionnaire en charge de la gouvernance préfectorale. Expliquant le bien-fondé de ce Plan de Relance à multiples ogives qui cible particulièrement bien les projets novateurs.
Aider à grand renfort de subventions et de subsides les entreprises d’aujourd’hui, celles qui sont en parfaite possession de leurs moyens en matière d’objectifs, c’est nécessairement poser les jalons utiles du programme France 2030, exposé il y a peu par le Président de la République Emmanuel MACRON.
Le plaisir de l’Etat à accompagner les entreprises innovantes…
Dans le cas présent, le schéma est on ne peut plus séduisant de l’avis du locataire de la préfecture. « Dans le secteur du médicament, un domaine extrêmement stratégique au vu du contexte actuel, il est important de pouvoir avoir la maîtrise de ces productions en termes de quantité et de qualité ! ».
Par conséquent, soutenir financièrement une chaîne logistique favorisant la fabrication de médicaments s’inscrirait presque parmi les axes prioritaires !
Une jubilation quasi palpable dans les propos du préfet de l’Yonne qui n’hésitera pas à formuler la phrase suivante : « C’est un plaisir pour l’Etat d’accompagner les laboratoires MACORS dans cette voie ». Celle du soutien à l’innovation industrielle, nécessairement pourvoyeuse d’emplois !
Un aspect que le préfet de l’Yonne aborda volontiers au moment de son laïus.
« Pour accompagner la volonté de réindustrialiser le pays, il faut aussi s’appuyer sur de la main d’œuvre. L’industrie a changé et elle offre de belles opportunités en matière de recrutement ! ».
Alléger les tâches humaines complexes grâce à des investissements en matériel…
Des arguments qui firent mouche parmi l’assistance alors que le laboratoire MACORS Auxerre est en perpétuelle quête de besoins humains, en moyenne une trentaine d’intérimaires mais aussi des techniciens à embaucher dès que possible.
« Il faut proscrire de nos pensées que l’industrie ne proposerait que des tâches difficiles, ajouta Henri PREVOST, c’était le cas par le passé. Aujourd’hui, grâce aux investissements très importants qui permettent d’accompagner les structures dans leur modernisation, certaines tâches délicates sont allégées. En valorisant le travail de l’homme en entreprise, cela contribue à rendre plus attractifs encore ses postes à pourvoir ».
Précisément, et grâce à l’enveloppe issue du Plan de Relance, suite à l’appel à projet « Industrie du futur », le Laboratoire MACORS Auxerre pourra remplacer certaines machines de production et améliorer les processus de fabrication, tout en se dotant de nouveaux logiciels plus performants.
Un programme d’investissement s’élevant à 4,4 millions d’euros dont 800 000 euros sont apportés par l’Etat via cette opération de soutien dans la corbeille de la mariée.
Précisons que dans l’Yonne, quarante-et-une entreprises industrielles ont bénéficié de ce dispositif ; des aides de plus de 4,8 millions d’euros in fine. Des actions concrètes pour l’Etat.
Thierry BRET
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De bonnes ondes pour ECOLLANT : la start-up de l’Yonne figure aux « Carnets de campagne » de France Inter
janvier 19, 2022Pour une surprise, elle fut de taille. Invité à répondre aux questions formulées par le journaliste de France Inter, Philippe BERTRAND (Carnets de Campagne), le dirigeant de la start-up icaunaise Eric DELAFONTENELLE ne se doutait pas avant ce contact téléphonique que la jeune entreprise spécialisée dans le recyclage de textile sensibiliserait une radio nationale. C’est chose faite avec une diffusion programmée de cet enregistrement ce vendredi 21 janvier aux alentours de 12h30…
AUXERRE : Emission radiophonique d’une quinzaine de minutes, diffusée du lundi au vendredi juste avant le « Jeu des mille euros » sur France Inter, « Carnets de campagne » fait la part belle à celles et à ceux qui développent des initiatives locales abouties dans l’univers culturel, social et économique. Avec un focus appuyé sur l’économie solidaire.
C’est donc tout naturellement après le relais d’une information parue sur le quotidien « Les Echos » que l’emblématique station de la Maison de la Radio s’est intéressée au sujet du jour, à savoir la start-up de l’Yonne ECOLLANT, placée récemment sous le feu des projecteurs médiatiques car figurant parmi la liste des structures entrepreneuriales bénéficiaires du plan de relance de l’Etat. Une information qui avait été relayée en son temps dans les colonnes de Presse Evasion.
Il y a quelques jours, entre 14 et 16 heures, le dirigeant de la start-up Eric DELAFONTENELLE eut la surprise d’être joint par notre confrère Philippe BERTRAND, animateur de ladite chronique.
La première interview accordée pour un média national…
Au téléphone, le journaliste de la radio lui posa quelques interrogations relatives à l’activité de la société et les raisons pour lesquelles les institutionnels (et en particulier l’ADEME) ont décidé d’accompagner le projet de développement d’ECOLLANT moyennant le plan de relance (une enveloppe d’environ 500 000 euros). Il y eut aussi un couplet sur le Pôle environnemental d’Auxerre où se situe le siège social de l’entité. L’une des deux entreprises à y être domiciliée.
Au terme d’un entretien cordial d’une dizaine de minutes, Eric DELAFONTENELLE réalisa en fait que c’était la première fois qu’il accordait une interview à un média de l’Hexagone !
Le dirigeant de la structure aura vécu là une grande première : il a hâte d’écouter le fruit de cet échange, diffusé ce vendredi 21 janvier à 12h30 dans la fameuse émission. Une excellente entrée en matière au plan de la communication pour bien débuter l’an neuf !
Thierry BRET
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