Depuis déjà trois saisons, le centre de formation du club de football, pensionnaire de Ligue 2, multiplie les gestes de séduction auprès du monde de l’entreprise. Outre ses fonctions pédagogiques envers les jeunes pousses, le complexe accueille régulièrement des séances de formation, déclinées sous la forme de séminaires. A raison de rendez-vous qui s’organisent au moins une fois par semaine dans les locaux de l’infrastructure auxerroise.
AUXERRE : Et cela devrait encore s’accélérer dans les mois à venir. Disposant d’un site formaté pour recevoir des groupes de cadres ou de dirigeants d’entreprise, le club sportif de l’Yonne ne veut pas occulter l’essor de ces programmes dans sa stratégie actuelle. Même si cela l’éloigne quelque peu de la discipline sportive qu’il représente. Néanmoins, le football n’est jamais très loin des offres de packaging initiées par les services de SPORTFIVE, la structure positionnée sur le développement de la publicité et du marketing au bénéfice de l’AJ Auxerre, filiale du groupe LAGARDERE.
Nombreuses sont les entreprises du département de l’Yonne, voire de Bourgogne Franche-Comté ou de l’Ile de France qui viennent s’immerger à raison d’une demi-journée de travail, voire d’une journée entière sur le site. Mais, la réservation de l’infrastructure à la semaine reste du domaine du possible. Récemment, le centre de formation a accueilli un événement de grande envergure (plus d’une centaine de participants y convergeaient) proposé par la Fédération régionale des entreprises de propreté (FEP).
Outre la mise à disposition des structures logistiques, les entreprises et leurs collaborateurs peuvent aussi bénéficier de quelques accessits plutôt agréables comme la visite du centre pédagogique (des salles de cours aux espaces de balnéothérapie et sportifs) ainsi qu’un ensemble d’animations clôturant en règle générale les séances de travail : les fameuses séquences de tirs au but personnalisées, voire des manifestations ludiques organisées avec les partenaires du club autour d’activités diverses telles que le laser-game ou le karting.
D’ailleurs, dès que le chiffre d’affaires voulu sera atteint, il ne serait pas impossible que la filière marketing et promotionnelle du club auxerrois, SPORTFIVE, réexamine ses objectifs à la hausse en intégrant de nouvelles embauches. Le spécialiste de la commercialisation des espaces publicitaires du club observe les bienfaits de ce nouvel engouement pour le complexe de l’AJA de la part des chefs d’entreprises locaux. Un complément légitime aux fameuses séances de speed dating trimestrielles organisées dans les salons du club Europe chaque saison…
Quel est le point commun entre les villes de RECANATI (Italie), JAISALMER (Inde), ULURU (Australie) et VEZELAY (France) ? Elles intègrent toutes le palmarès des dix premières destinations mondiales, catégorie « Sites à découvrir hors des sentiers battus », répertoriées par le spécialiste des voyages, BOOKING.com.
VEZELAY : Selon une étude internationale menée par ses soins, le site d’appréciation touristique a décelé un réel intérêt pour des voyageurs qui ont envie en 2017 de profiter d’expériences insolites et novatrices en empruntant des itinéraires encore peu fréquentés par le tourisme de masse.
Reconnue par l’UNESCO, la localité icaunaise de Vézelay se positionne à la huitième place de ce top dix, classement international de références iconoclastes où figurent également des sites appréciés par la plupart des globe-trotters à l’instar de FLORES (Guatemala), VILJANDI (Estonie) ou AIT BENHADDOU (Maroc).
Ce résultat, obtenu par la plateforme d’hébergements touristiques, est le fruit d’un examen minutieux de la base de données des commentaires émanant des voyageurs fidèles à BOOKING.com.
Elle aura permis d’établir ce palmarès original des destinations où les touristes réaliseront des séjours de découverte culturelle et patrimoniale dans un proche avenir.
Ce sont au total 34 000 voyageurs originaires de 17 pays qui ont été interrogés. 66 % d’entre eux souhaitent séjourner dans des lieux leur offrant l’opportunité de nouvelles découvertes culturelles. Vézelay a retenu un intérêt légitime de la part de ces voyageurs enclins à s’enrichir intellectuellement…
La société coopérative de production de l’Yonne n’a rien d’une vieille dame. Bien au contraire ! Malgré ses 70 ans, l’imprimerie a su mettre en place de nouvelles stratégies novatrices tout en consentant des moyens financiers importants dans l’investissements. Une politique qui lui permet de jouer désormais un rôle majeur dans le paysage français.
SENS : Le 26 juin 1947, l’édition du journal « Le Sénonais Libéré », ancêtre de l’actuel média départemental « L’Indépendant du Sénonais », accordait dans ses colonnes une large place à la création d’une toute jeune société. Celle-ci célèbre cette année son soixante-dixième anniversaire : il s’agit de CHEVILLON IMPRIMEUR.
Mais, à cette époque lointaine, la structure professionnelle de l’Yonne septentrionale ne se nommait pas encore de la sorte. Et surtout, elle ne possédait pas le particularisme opérationnel qui en fait une valeur sûre dans ce giron corporatiste, devenir une SCOP (une société coopérative de production). Autrefois localisée rue de l’Ecrivain à Sens, la société d’imprimerie artisanale CHEVILLON exerçait son métier dans le plus pur respect de la filière. Et semble-t-il avec déjà beaucoup de réussite pour l’époque.
Nonobstant, il faudra en fait patienter quelques décennies et basculer de l’autre côté du millénaire pour que les dirigeants d’alors adoptent une autre philosophie dans l’approche managériale de l’entité. Ce n’est qu’au tout début des années 2000 que CHEVILLON IMPRIMEUR optera pour un statut de société coopérative de production à part entière.
Au vu de la réussite obtenue, tant au plan des résultats financiers que de la cohésion des équipes, personne n’a eu à souffrir ni de ces orientations stratégiques ni à les regretter. CHEVILLON a commémoré cet anniversaire au printemps. Ce type d’événement est propice en règle générale au renouvellement des choses et des idées, mais cela est aussi favorable à la continuité des concepts fonctionnels.
Accroître sa présence sur le territoire de l’Yonne représente l’une des stratégies à atteindre avant le terme de l’année pour le magazine gratuit au format A5. Pour ce faire, le porteur du projet, Christophe DEBURGHRAVE, fait la place belle aux métiers des filières gourmandes et aux arts de vivre. N’hésitant pas à solliciter les services du plus célèbre des critiques gastronomiques du département, notre confrère Gauthier PAJONA…
AUXERRE : La hausse des recettes publicitaires, enregistrée depuis plusieurs mois, permet au média icaunais OUSORTON, porté par l’Auxerrois Christophe DEBURGHRAVE depuis bientôt deux ans, de dépasser les 35 000 exemplaires au terme de ce premier semestre. Mais, ce chiffre déjà très satisfaisant pourrait encore être optimisé.
Conçu sous la forme d’un magazine papier de format A5, ce média mensuel, positionné sur l’actualité des animations et événementiels du territoire de l’Yonne (cinéma, théâtre, concerts…) ouvre dorénavant ses colonnes aux informations relatives aux arts de vivre. Ce choix stratégique offre de nouvelles perspectives évolutives pour le média indépendant.
Désormais, les professionnels de la restauration, des traiteurs et des métiers de bouche figureront en bonne posture dans les rubriques dédiées de ce support tant au plan rédactionnel que sous la forme d’encarts marketing. La ligne éditoriale de ces nouvelles chroniques reviendra à un exégète du bien-vivre régional, Gauthier PAJONA, la voix de France Bleu Auxerre ouverte à la valorisation de la gastronomie et aux produits du terroir.
Mais, les innovations de cette fin de semestre ne se limitent pas seulement à ces tendances arts de vivre. A la fin du printemps, Christophe DEBURGHRAVE devait ajouter deux éditions supplémentaires à son magazine en jouant davantage la carte de la proximité : l’une couvrant le nord du département, l’autre par complémentarité s’intéressant plus spécifiquement au sud de l’Yonne…
Des additifs qui n’empêcheront nullement les partenaires publicitaires inconditionnels de ce média de rayonner dans une vision globale au niveau de la territorialité.
Quant aux chiffres présentés par le directeur de la publication du titre, ils se déclinent vers un optimisme enthousiaste avec plus de 100 000 visiteurs ayant fréquenté la version numérique du média pour l’année 2016 et un total de 500 000 pages vues sur le site. Des éléments positifs qui confortent le responsable du média dans ses orientations actuelles avant de nouveaux projets devant être identifiées en septembre…
Proposée sur le marché français depuis le 11 juin, la petite dernière du constructeur transalpin joue la carte de l’attractivité pour séduire les consommateurs, notamment les femmes et les plus jeunes. S’inspirant de la GIULIA au niveau de la calandre, ce modèle dévoilé lors du dernier Salon de Genève embarque à son bord le dernier cri de la technologie : le nouveau système Uconnect plutôt performant.
TRAPPES (78) : Grâce à ses cinq finitions et autant de motorisations qui équipent la nouvelle mouture de ce modèle très stylisé, MITO devrait faire parler d’elle au cours de ces prochains mois en France. En simplifiant sa gamme et en lui accordant davantage de technologie embarquée, le groupe FCA (FIAT CHRYSLER AUTOMOBILES), dont dépend la fougueuse marque ALFA ROMEO, frappe un grand coup pour appâter les aficionados de ces « belles italiennes », toujours à la mode.
Incluant avec son offre de lancement une garantie de 3 ans ou de 100 000 kilomètres, les deux variantes déclinées sur le marché de l’Hexagone se négocient à partir de 15 490 euros pour la version essence 1.4 MPI et ses 78 chevaux, et au-delà de 20 500 euros pour le moteur Diesel, propulsant le châssis avec ses 95 chevaux (1.3 JTDm).
Cette nouvelle motorisation est d’ailleurs inédite sur la gamme. Sa puissance est à la hausse, enregistrant une plus-value de 10 chevaux supplémentaires par rapport à la précédente génération. Sobre au niveau de la consommation, la version 2017 l’est également dans le rejet des émissions de Co2, mesurées à 89 g/km seulement. Grâce à son accélération permettant de passer de 0 à 100 km/h en un laps de temps de 12,5 secondes, le véhicule peut atteindre très vite une vitesse de pointe excédant les 180 km/h. Ce propulseur s’additionne aux motorisations essence 1.4 litres de 78, 140 ou 170 chevaux et le 0.9 litre Turbo Twin Air exprimant ses 105 chevaux. Il existe aussi pour les puristes une version bi fuel essence/GPL de 120 chevaux.
L’habitacle du véhicule bénéficie de nouvelles selleries, couplant le tissu et le simili cuir pour la finition Super et en tissu Alcantara surpiqué de rouge (le coloris mythique chez ALFA ROMEO) sur la VELOCE.
Quant à l’innovant système tactile Uconnect de 5 pouces intégré dans le tableau de bord, il dispose d’une connexion Bluetooth pour l’utilisation du téléphone mains-libres et du streaming audio, doté d’une prise auxiliaire, d’un port USB, de commandes vocales, d’un lecteur de SMS et selon les pays, du dispositif DAB pour l’écoute de la radio en qualité numérique. De nouveaux services facilitant la connexion à son smartphone apparaissent à partir de la finition Super. Au total, ALFA ROMEO propose 5 finitions depuis l’accès optimisé par MITO à la finition VELOCE qui remplace la Quadrifoglio Verde et affiche un caractère résolument sportif.
Cette citadine à l’allure sympathique va permettre au constructeur italien de gagner de nouvelles parts de marché sur un segment fortement concurrentiel.