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Le service commercial de l’agence YONNE TOURISME, Yonne Réservation, vient d’éditer une nouvelle brochure destinée aux groupes, baptisée « Made in Yonne 2018 ». Tirée à 12 500 exemplaires, et diffusée auprès de 115 029 prospects et clients depuis le début de la période automnale, la plaquette dévoile une sélection de 22 excursions et séjours gastronomiques révélateurs de la richesse patrimoniale et culturelle de notre département…

AUXERRE : Distribué également tout au long de l’année auprès de ses points d’accueil, ce document n’a d’autre vocation que de susciter l’envie de venir et de découvrir en les approfondissant les subtilités culturelles et touristiques de ce territoire du nord de la Bourgogne.

Présentée officiellement à la presse, cette nouvelle édition explique dans le moindre détail l’ensemble des circuits et séjours qui demeurent les valeurs sûres de l’offre touristique déclinée sur l’Yonne. Mais, au-delà des références traditionnelles, l’agence de développement du tourisme suggère aussi de s’immerger vers des séjours à la carte, voire d’emprunter des chemins de traverse moins connus que les parcours classiques.

Et justement, parmi les grandes nouveautés de cette future saison 2018, quatre créations étayeront le contenu de ce catalogue de très belle facture. La première d’entre elles n’est autre qu’une journée gourmande avec démonstration de cuisine, permettant d’acquérir les astuces et tours de main d’une ancienne toque ayant officiée au palais de…l’Elysée !

Seconde subtilité : le site archéologique des Fontaines salées au sud d’Auxerre avec la découverte originale de son nouveau centre d’interprétation. Colette, le mythe du personnage, son œuvre, et son parcours atypique, constitueront le troisième volet passionnant à découvrir dès la saison prochaine en parallèle de l’ouverture de son domicile à Saint-Sauveur en Puisaye.

Enfin, note culturelle oblige et en partenariat avec l’Office du tourisme de Migennes, le cabaret de l’Escale ouvrira ses coulisses afin de mieux imprégner les visiteurs de ce lieu chargé d’histoire où firent leurs débuts Charles Aznavour ou Johnny Hallyday…

Toujours prompte à jouer la carte de la modernité technologique, l’agence Yonne Tourisme propose d’approfondir les connaissances de ces programmes en renvoyant les curieux vers des flashs codes offrant davantage d’informations et de renseignements utiles…

 


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De passage dans l’Yonne ce 28 octobre et invité à inaugurer l’extension du siège social de la CAPEB à Auxerre, le président national de la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment s’est montré optimiste pour les perspectives de sa filière à l’orée de 2018. A condition, toutefois, que les signes favorables à la reprise se maintiennent durablement. Mais, il prévient aussitôt que cette dynamique et le retour aux carnets de commandes mieux garnis sont assujettis aux décisions gouvernementales à valider lors du projet de loi de finances pour l’année prochaine…

 

AUXERRE : « Le mode opératoire de la réussite du bâtiment, c’est simple : cela peut se comparer à un véhicule alimenté au Diesel ayant besoin de préchauffage. Si cela fonctionne bien à l’allumage, alors le véhicule atteindra très vite son rythme de croisière… ».

Muni de ses nombreux dossiers, le président de la CAPEB France constate que la reprise tant attendue est bel et bien là. Mais, sans trop d’exagération. Un frémissement subtil qui se traduit néanmoins par les chiffres. Au terme de l’année 2017, ce sont 4 000 nouveaux emplois qui iront grossir les effectifs des petites entreprises de ce secteur d’activité artisanal ayant souffert de la terrible crise des « subprimes » depuis 2008.

« Si nous relançons l’activité de manière pérenne et que la confiance revienne, alors nous pourrons créer de l’emploi et inciter nos jeunes vers l’apprentissage afin d’inverser la courbe du chômage… ».

En l’espace d’une décade, le bâtiment aura perdu près de 50 000 postes parmi ses entreprises. Sauf en 2016. Où l’actif et le passif en matière de solde d’emploi devaient se stabiliser. Un premier signe devant engendrer l’exercice en cours…

Le crédit d’impôt sur la transition énergétique parmi les priorités…

La reprise actuelle sur le marché de la construction, les programmes incitatifs à la rénovation énergétique, la baisse encore relative des charges dans les entreprises et la hausse du pouvoir d’achat chez certaines catégories socio-professionnelles offrent une conjonction favorable à la relance économique. « Mais, attention, insiste le président de la CAPEB, les crédits à l’investissement s’amenuisent depuis quelques mois : cela est très inquiétant… ».

La sonnerie de son portable ramène Patrick LIEBUS à d’autres préoccupations. Celui des combats quotidiens qu’il livre avec pugnacité à la défense des intérêts de ses adhérents. Le premier d’entre eux concerne le crédit d’impôt sur la transition énergétique, débattu la semaine dernière encore à l’Assemblée nationale. Le gouvernement a déposé un amendement à l’article 8 concernant les modifications immédiates voulues sur la diminution de ce crédit, sur les fenêtres, les portes et les chaudières à fioul. Pour l’heure, rien n’évoluera jusqu’à la fin de l’année. En attendant de nouvelles directives…

« Les artisans doivent le savoir : un client qui a bénéficié d’un devis détaillé de la part d’un professionnel et qui propose un acompte en guise de validation des futurs travaux pourra les réaliser aux mêmes conditions l’année prochaine si les documents sont entérinés d’ici la fin de 2017... ».

Prévue en novembre, une rencontre quadripartite entre les ministères du logement, de la transition énergétique, et des finances, à laquelle seront associés les représentants des syndicats patronaux du bâtiment, CAPEB et FFB, permettra de redéfinir le contenu applicatif du crédit d’impôt en 2018.  Mais, d’autres discussions sont ouvertes sur l’apprentissage, la formation professionnelle et l’assurance chômage avec le Premier ministre Edouard PHILIPPE qui enregistre un déficit de 39 millions d’euros. S’inspirant de l’exemple concret de nos voisins suisses et néerlandais, notamment en matière d’apprentissage, ces rencontres s’effectueraient de manière bilatérale avec les partenaires des filières professionnelles qui auraient leurs opinions à émettre.

Un tour d’horizon des grands dossiers du moment…

Concernant les ordonnances autour de la réforme du Code du Travail, Patrick LIEBUS estime que « c’est une très belle avancée ». Renchérissant à ses propos, il observe « qu’il y a une réelle prise en compte de l’artisanat et de la TPE. Cela correspond à nos souhaits et nous permet de trouver des solutions tangibles afin de sécuriser l’entreprise. Je pense aux embauches et aux risques de désaveu avec un salarié. Pour éviter les problèmes : il y aura l’existence d’un CERFA qui énoncera les règles devant être respectées avant d’engager le processus d’un licenciement… ».

Quant au RSI, le président de la CAPB est favorable à son adossement au régime général mais sous certaines conditions, à savoir sans hausse des cotisations et en conservant les mêmes prestations. « Nous devons rester gestionnaires de cet outil en notre qualité d’indépendants. La mise en place des deux années de transition me semble très importante afin d’éviter les défaillances… ». Enfin, devait-il conclure sur ce thème : « le régime général devra s’assurer que le système informatique soit en capacité de gérer de manière optimale ce futur adossement… ».

Que pense réellement Patrick LIEBUS du compte pénibilité ? Réponse de l’intéressé : « il faut tenir compte des conditions de travail et permettre aux salariés et aux artisans de pouvoir partir avant à la retraite. Cela suppose là aussi des moyens de contrôle accrus et fiables ». La suspension du dossier concernant le prélèvement à la source se justifie pour le président de la CAPEB : « Il n’est pas question que nos entreprises artisanales puissent devenir des préleveurs d’impôts sur le dos de nos salariés, cela engendrait immanquablement des risques de conflit dans nos entreprises… ».

Contrôler les travailleurs détachés grâce à une plateforme européenne…

Reste le dernier volet de ce long entretien : la révision de la directive sur les travailleurs détachés. « A ce propos, beaucoup de travail doit être encore fait en France mais aussi dans le reste de l’Europe. Aujourd’hui, les orientations vont dans le bon sens, avec la limitation du temps de détachement, l’obligation d’un formulaire « A1 » délivré par le régime de sécurité sociale du pays d’envoi qui déterminera si un salarié est affilié au régime général de son pays depuis trois mois, avant d’être détaché dans un autre pays. L’objectif est de sécuriser le salarié détaché lui-même et de lutter avec efficience contre les travailleurs illégaux qui arrivent en nombre sur le territoire. D’ailleurs, à ce titre, la durée de détachement se fera sur un an avec six mois renouvelables grâce à un accord de l’Etat du lieu de détachement. Enfin, la rémunération doit correspondre à l’équivalence du salarié selon sa qualification. Les primes de déplacement et de restauration devant être payés à part…. ».

Patrick LIEBUS en appelle de ses tous vœux à la création d’une plateforme européenne de gestion et de contrôle qui coordonnerait les travailleurs détachés à travers leurs diverses missions professionnelles. Concluant que ce sujet ô combien actuel ne devrait trouver de véritables solutions que lors de sa mise en exergue : en 2022…


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Se rendre chez le 17ème du classement de Ligue 2 ne sera pas chose aussi facile pour les protégés de Francis GILLOT au soir de ce vendredi 27 octobre. Au plan comptable, cinq petits points séparent ces deux formations qui ont connu des fortunes similaires depuis le début du championnat. Même si aujourd’hui, le club bourguignon a repris quelques couleurs en se hissant à la onzième position de ce tableau pour le moins disputé. Mais après son laborieux faux pas contre le Racing Club de Lens (6 à 0), l’équipe de l’Ain aura à cœur de se racheter devant un public chauffé à blanc et en espoir de revanche. Gare à la nasse qui pourrait se refermer inexorablement sur les joueurs auxerrois si ces derniers manquaient d’humilité…

 

AUXERRE : Même si l’international polonais Ludovic OBRANIAK ne sera pas encore aligné sur la feuille de match, les footballeurs auxerrois connaissent néanmoins un net regain de forme depuis plusieurs journées. Et de méritantes victoires obtenues contre des adversaires plutôt coriaces et ayant fait jeu égal avec le team de Francis GILLOT !

Cependant, beaucoup s’interrogent sur la durée de cette dynamique actuelle. Le moral regagne petit à petit le lot des supporters. Quant aux joueurs, ils ont su démontrer sur la pelouse qu’ils étaient capables du meilleur après avoir connu le pire le mois dernier.

Le podium en ligne de mire si les victoires s’enchaînent…

Le coach a retrouvé le sourire même s’il confirme ne pas se contenter que de cela. « Nous ne sommes pas encore à 100 % de nos aptitudes, explique-t-il en conférence de presse, mais nous progressons de manière positive. Les joueurs, y compris les plus jeunes encore peu habitués à ces rencontres de haut niveau, ont su prendre à bras le corps leurs responsabilités. Les entraînements s’effectuent dans le plus grand des sérieux. Si nous poursuivons sur cette lancée, j’ai bon espoir de revenir sur les cinq ou six premiers du peloton de tête…en glanant le maximum de points ».

Il est vrai que la distance est déjà tangible entre le Stade de Reims qui caracole au sommet du classement avec ses 27 points (dix de mieux que l’AJ Auxerre), l’AC Ajaccio (second) et le Paris Football Club (troisième) et l’ensemble de leurs poursuivants. Mais, à bien analyser le haut de tableau de ce championnat : Nîmes (4ème) et Lorient (5ème) ne sont guère éloignés de l’unique pensionnaire bourguignon en Ligue 2.

« Nous avons une marge de progression importante, ajoute Francis GILLOT, et nous devenons plus serein rencontre après rencontre… ».

De là à dire que l’AJ Auxerre puisse prétendre tenir les rôles de premier choix dans cette compétition au cours de ces prochaines semaines n’est pas improbable. Peut-être, comme devait le suggérer l’entraîneur de l’équipe première, « que certains clubs du haut de tableau connaîtront une baisse de régime avant Noël…».

Se méfier du sursaut vengeur de Bourg Péronnas…

Il faudrait alors en profiter avec efficacité pour accumuler les victoires, synonymes de points salvateurs au compteur. Mais, l’étape immédiate de ce long cheminement vers les sommets se nomme Bourg Péronnas. Après le naufrage de l’équipe face à Lens (6-0), les Bressans n’auront qu’une seule envie : se reprendre avec férocité surtout devant leur public.

« Cette équipe possède de très belles qualités offensives, constate Francis GILLOT, ils vont se créer de nombreuses occasions : nous devrons alors les surprendre par des contres assassins… ».

Mais de l’avis du coach auxerrois, jouer chez eux après un tel coup de semonce ne pouvait plus mal tomber pour lui et ses hommes. L’engagement devrait être total lors de cette partie et gare à la casse côté blessures.

« Nous sommes prêts dans nos têtes afin de ne pas être surpris d’un accueil trop viril…A nous de conserver toute notre vigilance à l’arrière ».

Concluant sur l’adversaire du jour, désigné par le sort à l’occasion du 7ème tour de la Coupe de France (11 et 12 novembre), le club de Chamalières (National 2), Francis GILLOT se montre somme toute méfiant.

« C’est une compétition que j’affectionne beaucoup. Il nous faudra aborder ce premier tour avec de l’enthousiasme et de l’exigence, après on se donnera à fond pour espérer ramener ce trophée à la maison… ».

Et loquace de préciser qu’il demanderait des renseignements plus complets au président Francis GRAILLE, originaire de l’Auvergne, où évolue le club du Puy de Dôme !


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La petite structure associative, pur produit des années 1980 et de ce mouvement libérateur sur les ondes voulu par François MITERRAND, est aujourd’hui mâture et rayonne comme l’une des plus belles représentations radiophoniques du territoire de l’Yonne. Observatrice de la vie locale, assurant le suivi factuel de nombreux événements, la structure reste toutefois dépendante des fameux contrats aidés dont la récente remise en question pourrait lui être funeste si la chose en restait là. Alors que les perspectives et le mode opératoire actuels contribuent à son succès…

 

SENS : Trente-cinq ans. Pour un média local, c'est l'âge de raison. Pour un média local associatif, avoir trente-cinq ans d'existence, c’est une marque de résilience. Radio STOLLIAHC a organisé en cet honneur, une réception à la Salle de la Poterne, à Sens, où étaient invités officiels, personnalités politiques, chefs d'entreprises, acteurs des milieux culturel et sportif et bien évidemment les salariés et bénévoles ayant contribué à l'aventure STOLLIAHC.

L'effervescence ambiante a atteint son apothéose lorsque l’édile de Sens, Marie-Louise FORT a entonné un « Happy Birthday » à l'issue d'un discours où elle est revenue sur les joies et les peines que lui ont provoqué la radio locale au travers de sa couverture de la vie locale.

Une station pionnière dans le paysage de la presse départementale

« Je crois en la liberté d'expression » a conclu l'élue. En prenant à la fin des années 80 le pari de faire de l'information locale sa marque de fabrique, STOLLIAHC FM a vu passer à ses micros, plusieurs générations de politiciens, générant de nombreux débats, lesquels étaient rendus disponibles durant la soirée grâce à des archives disposées en format K7, minidisque et CD.

« Avec la libération des ondes en 1982, on a eu pour la première fois, des campagnes locales des municipales radiodiffusées » rappelait André CHAUSSAT, maire de Sens entre 1979 et 1983. La radio locale de Sens a fait ainsi partie des pionniers, avec TRIAGE à Migennes et Radio AVALLON, provoquant un changement dans le paysage et la culture du journalisme et des médias en province.

Ce rapport plus direct avec la vie locale n'est pas pour autant source de jouissance économique. La marque de fabrique de ces radios est d'avoir survécu à des périodes de vaches maigres. « Notre premier studio a été installé dans un garage à vélo mis à disposition par la SA HLM - bailleur social, ex-BRENNUS HABITAT- notre matériel a été compilé grâce au système D » se souvient Jean-Pierre HANRYON premier président de la radio locale de Sens. « On devait toujours être sur le qui-vive, on utilisait des lecteurs K7 et des platines vinyles. Il fallait toujours être prêt à appuyer sur le bouton lecture dès qu'un son s'arrêtait sinon c'était le blanc ! Et on en a souvent eu (rires) » témoigne un technicien de la première heure.

Un rapprochement salvateur avec PACIFIC FM…

À la libéralisation des ondes, l'État joignait l'obligation de ne pas réaliser de publicités. Cette loi, contournée par certaines radios dès le milieu des années 80, a rapidement créée une disparité des richesses générant des ogres nommés NRJ, Skyrock et Fun Radio, et des petits luttant pour survivre. Trouvant sa place dans la deuxième catégorie, STOLLIAHC est déjà passé aux bords du dépôt de bilan. D'où la résilience. Fin des années 80, le concours de PACIFIC FM permit de gagner du temps et des moyens. On parlait alors de Pacific-Stolliahc FM. En 1989, ce réseau national a été racheté par le groupe NRJ, forçant STOLLIAHC à retrouver une autonomie financière.

Durant la décennie suivante, avec une grille de programme complétée par des séquences de la banque de Rire et Chansons, le média Sénonais, présent tous azimuts, solidifie sa position, avant l'épisode TDF. L'opérateur, alors filiale de France Télécom, veut prendre le contrôle de l'antenne relais de STOLLIAHC. Il fallut lutter, faire valoir tout son poids dans la vie locale et mener un combat judiciaire pour obtenir gain de cause. Ce qui a été une victoire aura tout de même laissé des plumes. En 1995, la radio eu à délocaliser son siège en périphérie de Sens, au Foyer des Jeunes Travailleurs, tout en poursuivant sa quête de contenus riches et diversifiées. Le quatrième déménagement et pas le dernier…

Un horizon incertain malgré des objectifs positifs…

Depuis 2004, STOLLIAHC a trouvé demeure au 50 rue Thénard, retrouvant une présence en centre-ville. Variant à la marge son modèle économique, générant un nombre important d'évènements, brocantes et salons, STOLLIAHC, comme toutes les associations, reste dépendante des contrats aidés. Les diverses annonces de l'année a échaudé la direction.

« Si nous n'avons pas de contrats aidés, nous ne pourrons pas poursuivre nos missions » élude Jean-Louis PECHINE, président du média depuis 1999. Cette ligne directrice et ces objectifs mènent la radio à disposer à ce stade de son propre programme musical privilégiant la pop alternative et de plus de dix heures de programmes d'informations locales en semaine sans compter les émissions spéciales.

Haeckel BEKKA et Thierry BRET


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Changement de statut bénéfique pour la jeune agence de communication icaunaise ! Ayant troqué son positionnement d’autoentreprise qu’elle arborait depuis ses débuts il y a trois ans pour celui beaucoup plus confortable de SARL, la structure, pilotée par Fanny VIAUT, prend de la hauteur et gagne en maturité. La TPE ne cesse d’engranger les missions stratégiques attrayantes. D’une part, auprès du leader européen de la distribution de matériaux et produits pour la rénovation et la construction, BigMat, et, d’autre part, avec la représentation associative des commerçants et des entreprises de Quétigny (Côte d’Or), pour laquelle la jeune femme vient de concevoir le graphisme du premier numéro d’un magazine paru à près de 110 000 exemplaires…    

 

AUXERRE : Il est déjà très loin le temps de l’enseignement supérieur et des cours théoriques qui permettaient de découvrir le monde de l’entreprise ! Agée d’une vingtaine d’années, l’ex-étudiante, Fanny VIAUT, qui avait porté sur les fonts baptismaux de la création sa jeune société le 04 décembre 2015, en parallèle d’un brillant cursus pédagogique, caracole aujourd’hui parmi le peloton de tête des agences de communication bourguignonnes, désireuses de se démarquer, au plus haut niveau !

De la création à la refonte de sites Internet, à l’animation des réseaux sociaux, voire à la conception de campagnes « hardword » ou celle des fondamentaux de la communication destinés au « print » (visuels, logos, flyers et brochures), COMMUNIK & VOUS additionne les tâches tout en poursuivant sa métamorphose en écurie performante, et ce en l’espace de quelques mois.

BigMat, le club des entreprises de Quétigny et la CCI de l’Yonne comme partenaires…

Le choix d’un nouveau statut n’explique pas tout, fort heureusement. Depuis le 14 juillet (date à la fibre patriotique), la jeune entrepreneuse vit pleinement sa condition de responsable de SARL. L’apport d’une stagiaire qui pourrait déboucher sur la création d’un poste plein, donne des ailes à la communicante d’Auxerre.

Prestataire de services pour le compte de l’enseigne BigMat, poids lourd de référence dans le milieu de la distribution d’équipements et de matériaux destinés à la rénovation et la construction du bâtiment et travaux publics, et de son référent icaunais, BigMat GOURMAND, Fanny VIAUT optimise la gestion des réseaux sociaux de ce groupe pour développer sa politique de communication vers les entreprises clientes et prospectes de la société. Chargée du « community management », la gérante de COMMUNIK & VOUS rayonne sur l’ensemble du maillage territorial que compte ce groupe (plus de 300 boutiques pour plus de 4 000 collaborateurs et un chiffre d’affaires dépassant le milliard d’euros…).

La conception graphiste d’un premier magazine sur le Grand Dijon…

Et cette belle progression des activités ne se cantonne pas à cela ! En septembre, la jeune dirigeante a pris part au lancement du premier magazine à vocation commerciale et marketing du QUETIGNY Club Entreprise, « Le Mag 1 », conceptualisant les aspects graphiques et la mise en page de cet opus distribué sur le Grand Dijon à plus de cent mille exemplaires.

Enfin, et pour être tout à fait complet avec son actualité, COMMUNIK & VOUS a débuté en parallèle de cet emploi du temps hyper dense une collaboration intensive avec le pôle formation de la Chambre de Commerce et de l’Industrie de l’Yonne, sur les réseaux sociaux. Cela allait de soi !


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