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Alors qu’elle est génératrice de 1 800 emplois sur le seul département de l’Yonne dans les secteurs de l’industrie du papier et du carton (un tiers de ses effectifs), la filière bois souffre d’une réelle inertie en matière de prospective économique. A l’instar des bois français, les grumes ont le plus souvent des destinations européennes car elles sont de moins en moins travaillées sur notre territoire. Un paradoxe complexe et étrange lorsque l’on sait que la forêt en France occupe 50 % des terres disponibles et 30 % de sa superficie. Chaque année, le déficit de ce segment d’activité atteint des abysses, plus de cinq milliards d’euros en 2017 ! De l’avis des spécialistes, il aurait fallu investir davantage dans la forêt. Et, ce ne sont pas les 70 millions de plants annuels qui permettront à la filière de rebondir alors que dans le même temps, l’Allemagne et la Pologne excellent dans leur politique de réintroduction des essences avec respectivement 300 millions et un milliard de plants ajoutés chaque année…

AUXERRE : Par manque d’innovation et d’investissements, et surtout d’une bonne dose de volonté, la filière bois, autrefois porteuse de réelles ambitions, ne cesse depuis de broyer du noir. Alors que l’activité sciage concernait 4,4 millions de mètre cube en 1973, son volume a vertigineusement chuté en 2015, s’établissant à 1,3 million de mètre cube.

« Logique, confie Vincent NAUDET, ancien président de la filière bois en France (FNB), on ne cesse d’importer du bois de sciage de pays florissants sur ce marché, à l’exemple de l’Allemagne et de la Pologne… ».

Produits en France, dans des régions comme le Morvan à l’échelle de la Bourgogne Franche-Comté, les bois sont transformés à l’étranger et nous reviennent ensuite sous diverses variantes. Le comble de l’aberration quand on sait que l’économie circulaire a pris le dessus sur bon nombre de modes opératoires aujourd’hui dans notre société de consommation.

Dans ce domaine comme pour tant d’autres, les effets de la mondialisation se font ressentir de manière impitoyable. Et impactent avec les conséquences que l’on imagine les entrepreneurs du cru.

Rassembler les collectivités forestières au sein d’une structure dédiée…

Jouant les orateurs convaincants face aux élus de l’Yonne, lors de l’assemblée générale des maires de notre département, l’édile d’Avallon, Jean-Yves CAULLET, président de l’Office national des Forêts (ONF), a rappelé les enjeux économiques liés à cette ressource naturelle que représente le bois.

« Le travail de l’Association départementale des communes forestières de l’Yonne est précisément de fédérer toutes les collectivités qui possèdent sur leur périmètre des forêts. C’est-à-dire 193 communes du département. Or, seules 44 d’entre elles nous ont rejoints pour défendre les intérêts de ce levier économique territorial. C’est trop peu quand on sait que l’on doit défendre et protéger les emplois de ces personnes qui officient au sein des 320 structures évoluant sur ce segment… ».

Il est vrai qu’en la matière, le département de l’Yonne dispose de certains atouts non négligeables. Avec 30 % de son territoire couvert de forêts (soit 227 000 ha et privés à 78 %), la partie la plus septentrionale de la Bourgogne dispose de 43 millions de m3 de bois sur pieds dont 88 % de feuillus avec les chênes qui représentent plus de la moitié de ce patrimoine forestier. Un quart de la récolte se destine d’ailleurs au bois énergie. Quant à la forêt naturelle, elle n’a pas de commune valeur avec celle qui a été plantée. Et son traitement rapporte nettement moins…

« Personnellement, renchérit Vincent NAUDET, je considère que l’Etat fait bien son travail au même titre que la société forestière de la Caisse de dépôts qui gère un patrimoine forestier important. Mais, les propriétaires privés ne l’effectuent pas aussi bien dans cette approche de la valorisation des domaines… ».

Anticiper les bouleversements liés aux impacts climatiques…

Côté emploi, même si certains secteurs industriels représentent encore 350 postes à plein temps sur le territoire icaunais (le sciage, la fabrication de meubles et la construction bois), l’ancien responsable de la Fédération nationale du bois n’est néanmoins guère optimiste à long terme : « je me fais du souci pour toutes ces industries qui créent et nourrissent des emplois dans les territoires ruraux. Il est grand temps de traiter le problème de l’investissement et de l’innovation sur ce secteur s’ils souhaitent perdurer…».

D’autant qu’une autre problématique, encore plus cruciale et irréversible, pointe le bout de son nez à la fenêtre de la météo : le changement du climat et ses effets induits sur des territoires comme les nôtres.

« La vitesse de ces bouleversement sur la végétation se constate par des niveaux kilométriques de dix kilomètres en dix kilomètres chaque année. Cela suppose en matière de plantation qu’il va falloir s’adapter très vite à cet état de fait en raisonnant sur une fourchette oscillatoire comprise entre 50 et 100 ans… ».

Dans le cas contraire, si rien n’est pris en compte dans la politique de reboisement, les forêts françaises ne seraient plus aussi productives et plus du tout adaptées aux besoins réels des industriels de l’époque qui utiliseront des essences compatibles avec l’influence climatique du moment.

A titre indicatif, ce sont les résineux qui aujourd’hui sont les variantes arboricoles les plus demandées sur le marché de la Bourgogne Franche-Comté, en particulier le douglas qui nécessite entre 40 et 50 ans de maturité avant la coupe.

Exonérée des droits de mutation et de l’ISF, concédant un avantage sur le revenu, avec le revenu forestier, la forêt demeure toutefois un attrait incitatif en matière de fiscalité.

« En France, beaucoup de personnes sont devenues propriétaires de domaines forestiers afin de transférer leur patrimoine en évitant les droits de mutation. Mais, aujourd’hui, face à ces changements de paradigme, le propriétaire forestier doit être davantage à l’écoute. Car le choix de la forêt et de ses futures plantations ne doit rien aux fruits du hasard : ce sont les futures générations qui bénéficieront des avantages liés à leurs exploitations… ».

Développer la plantation à outrance dans un souci de reboisement et d’exploitation industrielle afin de fixer dans les zones rurales l’emploi représente une nécessité absolue. Pour mieux assurer la transition énergétique de demain, sauvegarder le travail et ne plus être dépendant de l’importation.

Par exemple, le bois plaquette favorise une revalorisation des résineux ou de parties de l’arbre peu valorisées. Mais, autre bémol, les difficultés de structuration de la filière liées à la variation de coût des énergies fossiles et l’absence d’opérateur structurant telle qu’une scierie de belle capacité à connotation industrielle dans l’Yonne freinent la maturation de la filière. Reste que des projets de valorisation de biomasse issue des haies sont à l’étude sur notre département à l’heure actuelle. Représentent-ils encore une piste de réflexion positive pour la réhabilitation de la valeur du bois et de la forêt dans notre environnement économique ? L’avenir nous le dira…

 


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Le Salon de l’Agriculture se profile à très court terme à Paris porte de Versailles. Il occupera l’intérêt des forces politiques et médiatiques comme le veut la tradition au cours de ces prochains jours. Pour autant, l’évènement ne permettra pas de faire oublier les douze mois de transition que fut 2017 après la catastrophique année 2016. Une période qui aura laissé de sérieuses traces auprès des filières agricoles et viticoles de l’Yonne, confrontées aux intempéries multiples : gel, inondations, grêle, excès d’eau. Soit une perte de 50 % de chiffre d’affaires pour les exploitations qui espéraient beaucoup mieux de cette année antérieure. Mais, cela n’aura pas été le cas avec au contraire des difficultés qui sont demeurées les mêmes, voire qui ont empiré. Fragilisant un peu plus l’agriculture départementale qui n’avait pas besoin de cette conjonction infernale d’aléas climatiques, tarifaires et sanitaires pour se refaire une santé durable...

AUXERRE : Se poser les bonnes interrogations est devenu nécessaire à l’heure actuelle dès que l’on évoque la pérennité du secteur agricole en France. Malheureusement pour les professionnels, confrontés à la multiplicité des aléas de toute sorte depuis plusieurs saisons, la problématique reste entière. Et l’attente des premières préconisations issues des Etats généraux de l’Alimentation voulus par le gouvernement d’Edouard PHILIPPE dernièrement n’en est que plus importante. Car, les orientations agricoles définies par la gouvernance de l’Etat français doivent aboutir à quelque chose de radicalement concret en s’intéressant à l’évolution indispensable des exploitations. Le verdict devrait être connu d’ici le terme du premier trimestre.

En attendant, les spécialistes et les professionnels de la filière, à l’instar du président de la chambre d’agriculture de l’Yonne, Etienne HENRIOT, ronge leurs freins. « Comment cela va-t-il réellement se traduire dans les faits ? Nous n’en savons rien, déclare-t-il sans ambages, mais la protection des revenus des agriculteurs est aujourd’hui notre grande priorité… ».

L’évolution de la compétitivité du modèle agricole européen se trouve dans le viseur des professionnels qui espèrent des actes aux bonnes intentions. « Un président de la République qui construit des discours où tout le monde est content et satisfait ne solutionne pas forcément les problématiques ! Le loup est une espèce de plus en plus présente dans notre écosystème à la grande joie des protecteurs de l’environnement et des écologistes. Certes ! Mais, dans le même temps, il faut bien que les bergers vivent de leur métier en préservant leurs troupeaux… ».

Bref, la cohérence est de rigueur pour le président de la Chambre départementale qui souhaite que la revalorisation des prix de vente soit enfin au rendez-vous afin de permettre une nette amélioration de la situation financière des exploitations.

RéAgir 89 : un dispositif d’écoute et d’entraide très fonctionnel…

Quant aux agriculteurs vivant en plein marasme économique, ils peuvent bénéficier de la cellule de suivi, « RéAgir 89 », où de nombreux partenaires des filières agricoles et du monde institutionnel se donnent rendez-vous de manière constante pour accompagner les dossiers. Quatre-vingt-dix contacts alarmants auront ainsi été initiés sur la seule année 2017. In fine, sept professionnels seront dans l’obligation de suspendre leurs activités. « On s’attendait néanmoins à un chiffre beaucoup plus important, relativise Etienne HENRIOT, malgré les aides de la PAC (Politique agricole commune), bon nombre d’agriculteurs sont dans le rouge au niveau de l’endettement. C’est quasi invivable en terme de trésorerie pour certains. Cependant, il existe un phénomène de résilience qui s’installe petit à petit. Sachant que nous souhaitons tous que l’année agricole/viticole 2018 soit meilleure. Par exemple, des agriculteurs du Tonnerrois ont réalisé moins de chiffre d’affaires en 2017 que l’année précédente. Forcément, cela nous interpelle… ».

D’autres dispositifs d’accompagnements ont été mis en œuvre face aux difficultés des exploitations : les allègements fiscaux et sociaux avec les concours de l’Etat et de la Mutualité Sociale Agricole (MSA), accompagnement du paiement d’intrants par les organismes économiques, gratuité d’interventions stratégiques proposées par des structures de conseils comme CERFRANCE.

S’il est martelé dans les propos que les solutions miracles n’existent pas, des initiatives judicieuses sont tout de même tentées. A commencer par la promotion de la diversité des cultures et l’allongement de la rotation de celles-ci au plan environnemental.

« Le chanvre, avec le développement de structures comme EURO CHANVRE et CHANVRIERE qui installent de nouvelles usines plus proches de nous, représente une belle opportunité à ne pas négliger, poursuit le président de la chambre consulaire, a contrario, nous achoppons sur des marchés qui ne sont pas extensibles comme le pois ou l’avoine nue. Quant à la betterave, elle a enregistré une hausse de la surface de production (une cinquantaine de producteurs sur le département de l’Yonne) et a réalisé de très bons rendements. Mais, la volatilité des prix demeure une réelle problématique comme pour les céréales… ».

Bilan mitigé pour les diverses productions de l’Yonne

Pour les grandes cultures, certains secteurs à l’instar du Tonnerrois et des Plateaux de Bourgogne ont à nouveau subi un triste sort du fait d’éléments météorologiques complexes. Les cultures d’automne (maïs, tournesol, chanvre…) ont confirmé leurs bons rendements. Mais, la baisse historique des cours mondiaux pratiqués sur les céréales aura donné un coup d’arrêt spectaculaire à toute espérance de voir le rattrapage des conséquences néfastes de l’exercice 2016.

Si les prix ont certes flambé du côté de la viticulture, les difficultés de trésorerie sont demeurées identiques. Les volumes n’étant plus là, les marchés à l’export ont reculé et récupéré par une concurrence exacerbée faute de pouvoir répondre aux attentes du marché.

L’élevage n’a pas été épargné par les vicissitudes conjoncturelles. La sempiternelle problématique de la faiblesse des cours sur le lait et la viande est revenue à la une de l’actualité sans que de réelles avancées soient faites avec les distributeurs.

Un point détaillé sur la régionalisation des chambres d’agriculture…

Intervenu le 01er juillet 2017, le rapprochement des chambres consulaires de Bourgogne et de Franche-Comté a généré le transfert des chambres départementales vers des entités régionales des personnels affectés aux missions dites de support : la comptabilité, les finances, les ressources humaines, l’informatique, les études économiques…).

La future organisation d’un séminaire permettant de tirer les premiers enseignements de cette fusion devrait s’inscrire à l’ordre du jour de ce prochain semestre. Il y sera aussi question de l’application du texte de la loi « ESSOC », loi pour un état au service d’une société de confiance, qui prévoit dans son article 19 la possibilité pour le réseau des Chambres d’agriculture d’expérimenter de nouveaux modes organisationnels par regroupement en employeur unique, voire en structuration budgétaire unique.

Sur le volet de la méthanisation, Etienne HENRIOT rappela qu’il existait quelques grands projets qui se poursuivent avec des coopératives d’élevage sur le MIGENNOIS ou en Puisaye. Même si le problème d’alimentation des structures de méthanisation limite le nombre de projets car cela apparaît comme un véritable frein à leur développement, l’Yonne demeure le département de Bourgogne Franche-Comté où leur nombre est le plus élevé avec une dizaine de structures fonctionnelles.

Enfin, la région est aussi l’une des rares à avoir adopté le principe d’une règlementation des produits phytosanitaires à proximité des lieux d’habitation et des établissements publics à partir d’un arrêté préfectoral.


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Lors de la joute initiale, durant la phase des matches « aller », l’AJ Auxerre avait su disposer du FC Lorient sur la plus petite des marges bénéficiaires, grâce à un score étriqué d’un but à zéro. Samedi à 15 heures, les protégés de Pablo CORREA renouvelleront-ils l’exploit en terre d’Armorique face à une grosse cylindrée de la Ligue 2 qui n’aspire qu’à retrouver l’élite ? Occupant une prometteuse douzième place qui peut leur permettre de rêver de clore ce championnat sur une excellente dynamique, et confirmer celle entamée depuis le début de l’année imputable à la venue du coach franco-uruguayen, les footballeurs de l’Yonne ne partent pas battus. Loin de là : ils ont d’incontestables atouts à faire valoir.

AUXERRE : « Aujourd’hui (vendredi 16 février), il y a deux bonnes nouvelles qui apparaissent à mes yeux : le retour du soleil et le fait que BARETTO ait pu évoluer sur le terrain en reprenant l’entraînement. Même s’il n’est pas encore apte à intégrer pour l’heure la composition d’une feuille de match… ».

Souriant, détendu, et confiant, le coach auxerrois brosse en quelques mots de bienvenue la tendance actuelle du côté du mental de ses hommes avant le délicat déplacement de l’AJ Auxerre en terre bretonne.

Jouer au FC Lorient ne s’apparente guère à une partie de plaisir, loin s’en faut. Surtout que les Bretons n’ont pas caché leur intention de tenter le tout pour le tout dans cette ultime ligne droite pour recoller au peloton de tête et rejoindre les prétendants à l’accession directe, voire au match de barrage opposant le troisième du classement au dix-huitième de Ligue 1.

Comptant dix points d’écart par rapport aux Bourguignons, le FC Lorient, septième,  devra néanmoins se débarrasser, certes sur sa pelouse, du trublion de ce début d’année, l’AJ Auxerre.

Des joueurs en confiance peuvent réaliser un joli coup…

Pour Pablo CORREA, aucune alternative n’a de sens si ce n’est la victoire. Péremptoire, il explique lors de la traditionnelle conférence de presse d’avant-match que ses joueurs doivent apprendre à se mesurer à de telles équipes, celles des cadors qui jouent le gain de la partie à chaque rencontre.

Après l’AC Ajaccio, cette opposition présente de réelles similitudes. « Nous devons être dans la performance et ne pas nous poser trop de questions… ».

Invaincue en championnat depuis le début de l’année, l’AJA éprouve en revanche de sérieuses difficultés pour vaincre les équipes de haut de tableau. Manque de confiance, crainte de l’adversaire ?

« Il faut mettre les joueurs en confiance, c’est mon objectif, répond Pablo CORREA, et continuer à travailler pour espérer ramener un bon résultat de ce déplacement ».

Le soleil est de retour et le coach franco-sud-américain rêve de victoire et d’un joli coup ce samedi à 15 heures. Il faudra patienter près de deux heures avant que cette rencontre passionnante ne livre son verdict…


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Le 13 octobre 1918, de nouvelles infrastructures, celles que nous connaissons aujourd’hui en lieu et place du complexe de l’Abbé Deschamps, accueillaient les équipes sportives de ce jeune club baptisé AJ Auxerre, apparu en 1905. Cent années plus tard, alors que la formation professionnelle sous la houlette de son nouvel entraîneur franco-uruguayen Pablo CORREA s’apprête à livrer une rencontre importante chez le voisin du Loiret, l’US Orléans, les dirigeants envisagent de commémorer l’évènement de la meilleure manière qu’il soit : par le biais d’un événementiel digne de ce nom et en présence des partenaires chinois…

AUXERRE : 2018 deviendra-telle l’année des jolies réussites pour l’unique club professionnel de football de l’Yonne ? Après la tonitruante victoire acquise lors de la 21ème journée de Ligue 2 aux dépens de Niort, obtenue sur un score sans appel de cinq buts à rien, l’AJA s’enflammera-t-elle comme autrefois lorsqu’elle disputait sous les ors de la Champions League des rencontres européennes aux souvenirs mémorables ?

Il faudra bien sûr s’armer de patience et s’accorder encore beaucoup de temps avant de retrouver, peut-être un jour, l’élite et les soirées sportives d’antan. Certes, mais obtenir du temps, c’est ce que réclame précisément le nouvel homme fort du club, le coach Pablo CORREA. Petit à petit, il pose sa stratégie et met en place une méthodologie qui lui a déjà souri par le passé. Lorsqu’il officiait dans un poste similaire au service de l’AS Nancy Lorraine.

« Il serait dangereux de croire pour notre collectif que l’ensemble des 17 rencontres à disputer d’ici le terme de ce championnat se conclura sur le même résultat. Moi, je suis là pour que le groupe soit réaliste et qu’il prenne confiance en lui. Mais, pas de manière irréfléchie… ».

 Privilégier la recherche de la régularité et non celle de la performance…

L’un des maîtres mots qui revient sans cesse dans le discours du franco-uruguayen, c’est l’humilité. Rappelant qu’il est impératif de faire abstraction du classement, Pablo CORREA défend une ligne pragmatique qui consiste à considérer match après match la teneur et les potentialités de l’adversaire sans trop se projeter sur les conséquences finales. « Nous ne devons pas nous tromper d’objectifs : chaque victoire doit nous insuffler de nouvelles forces permettant d’accroître les bases d’une future réussite… ».

Ce vendredi, à l’extérieur, dans ce court déplacement à Orléans qui ferait presque office de derby, l’AJ Auxerre a bien l’intention d’abattre ses atouts cartes sur table et de ne pas faire de la figuration face à un concurrent à sa portée. Le quatorzième du classement ne représente pas un seuil insurmontable. Néanmoins, les protégés de Pablo CORREA devront retrouver le chemin des filets. Comme ils l’ont fait à cinq reprises face à Niort. Confirmant ainsi ce renouveau que beaucoup de supporters espèrent.

« L’équipe doit retrouver une vraie dynamique, sa cohésion et poursuivre sur cette voie, ajoute le coach qui compte autant sur les velléités offensives de son attaque que le sérieux de sa défense. Nous attendons de nos joueurs une progression semaine après semaine. Je ne voudrais pas que les joueurs soient battus sans qu’ils n’aient rien essayé pour contrer l’adversaire… ».

Dans la capitale du Loiret, l’AJ Auxerre n’endossera pas le maillot de favori de cette rencontre un peu particulière. Orléans demeure un club très difficile à manœuvrer sur sa base arrière avec de belles qualités offensives. Hormis quelques absences imputables à de mauvaises grippes, le coach emmènera avec lui dix-neuf garçons. Même si le onze du début de match risque de ressembler à s’y méprendre à celui de la précédente rencontre.

Evoquant les tenants et aboutissants du mercato d’hiver et après une rencontre avec les dirigeants liés au recrutement, Pablo CORREA reste sur l’expectative. « Tous les problèmes ne sont pas résolus. Même si nous avons besoin d’un nouveau joueur pour renforcer la ligne de l’attaque, il faut aussi considérer que l’intégration d’un nouveau membre en cours de saison n’est jamais chose aisée. Nous sommes vraiment en réflexion sur ce point à l’heure actuelle… ».

L’AJ Auxerre affrontera-t-elle une équipe chinoise en 2018 ?

Quelques jours auparavant, lors de la séance de vœux aux partenaires, le président Francis GRAILLE a évoqué les surprises majeures de la future année. Et son désir, aux côtés de l’actionnaire James ZHOU, de vouloir faire fructifier de la manière la plus fervente possible ce rapprochement avec la Chine depuis que les intérêts de l’industriel asiatique convergent avec ceux du club bourguignon.

Cela prendra forme sous différents aspects. D’une part, Bernard DAVID, le responsable du centre de formation du club devrait effectuer en janvier une première séance de formation dans l’ex-Empire du Milieu. Quant à l’intégration du premier joueur professionnel chinois en France, elle entre dans le domaine du possible au sein de l’AJA. Mais, rien ne devait filtrer quant à l’exactitude de la date sur cette nouvelle digne d’un scoop !

En revanche, le centenaire du stade de l’Abbé Deschamps, lui, sera bien célébré dans le courant 2018. Francis GRAILLE ayant désigné un responsable, un « Monsieur centenaire », qui se chargera de gérer le dossier d’organisation du projet. Parmi les réjouissances possibles : une rencontre footballistique opposant l’équipe première à une formation chinoise. Exotisme et attractivité garantis !


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Trois petits tours de piste et puis s’en va. Certes, pas de manière définitive, mais juste de façon aléatoire afin de recharger les accus et de mieux s’investir aux préparatifs de la probable édition 2019, accueillie à Toucy. Faute de solides soutiens émanant de partenaires professionnels, issus de la filière des services à la personne, le directeur régional de PRESENCE VERTE Bourgogne, Pierre HIPEAU, a abandonné avec regrets et par jet de l’éponge l’idée d’écrire le quatrième volet consécutif de la saga « MARCHENSOL » le 23 septembre en Puisaye comme il avait été préalablement annoncé par voie de presse. Le peu d’enthousiasme des partenaires à constituer un comité de pilotage qui aurait eu pour mission de coordonner la logistique de cet évènement caritatif en faveur des malades d’Alzheimer a conduit sine die le responsable du rallye solidaire à prendre une décision irréversible : son annulation en 2018. Et de programmer son retour à l’automne 2019 en revoyant peut-être la formule…

AUXERRE : Avant même qu’il ne bascule au seuil de l’an neuf, Pierre HIPEAU devait prendre aux termes des ultimes jours de 2017 une résolution importante concernant le porte-étendard communicatif de son association, MARCHENSOL, en annonçant son report inéluctable de douze mois.

Cassant ainsi, et par la force des choses, la cadence annuelle qu’il s’était imposé à lui-même ainsi qu’aux équipes collaboratrices de PRESENCE VERTE de concocter chaque année ce rassemblement familial et sportif au service d’une cause juste. Le soutien par le don de soi en y participant et par le versement d’une obole à l’inscription au profit de la structure qui défend les intérêts des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, France Alzheimer 89.

Trop esseulé pour assumer une telle charge de travail…

Ce n’est pas de gaité de cœur que le directeur régional du spécialiste de la téléassistance, à l’origine de ce concept depuis 2015, a entériné sa décision. S’appuyant sur les échanges constructifs qu’il a eus avec son conseil d’administration, au demeurant très satisfait de l’orientation positive prise par cet évènement depuis sa création, le responsable de ces randonnées pédestres de la solidarité souhaitait, en revanche, davantage d’implications de la part de ses partenaires professionnels qu’il côtoie de manière quotidienne dans son activité.

Pour l’organisateur de ce concept original qui avait vu la présence de 700 participants lors de l’édition 2016 sur l’idyllique parcours dessiné au cœur du vignoble de Chablis et de 400 marcheurs et coureurs mobilisés l’année suivante à Auxerre, la charge de travail était trop importante à assumer seul. Tant au plan moral avec la pression constante que l’on imagine aisément dès que le compte-à-rebours était enclenché qu’au niveau du temps nécessaire à la conception du projet d’un exercice à l’autre car trop chronophage au final.

Seconde interrogation de poids pour ce féru de randonnée et de trail : comment concilier la saine gestion de l’événement qui nécessite une rigueur extrême dans sa phase organisationnelle et conduire la destinée, en parallèle, d’une entité, certes associative, mais qui gère le destin professionnel de onze salariés et réalise plus d’un million d’euros de chiffre d’affaires à l’année ?

Un sérieux dilemme qui pouvait trouver un semblant de réponse avec la mise en place d’un comité de pilotage faisant office d’organe décisionnaire.

« Le postulat était simple, explique Pierre HIPEAU, il s’agissait seulement de créer un groupe de travail à l’aide de cinq personnes issus du sérail des services à la personne pour conférer un cadre exécutif à l’ensemble… ».

Le silence de partenaires peu enclins à s’investir ?

La douzaine d’entreprises partenaires reçoit ensuite l’invitation par mail à rejoindre ce comité sur la base du volontariat le 19 décembre dernier. Quelques jours plus tard, Pierre HIPEAU ne pourra que déchanter : hormis une réponse qui s’avère positive, personne ne répondra à la sollicitation d’intégrer l’outil directif du concept.

Un tantinet amer, Pierre HIPEAU, n’en reste pas moins lucide et n’incrimine pas ses interlocuteurs restés « muets » : « Tous ont des occupations importantes qui génèrent du chiffre d’affaires tout en assurant la gestion du personnel. MARCHENSOL est une indéniable réussite au niveau de sa répercussion populaire et médiatique mais je n’ai pas réussi à créer l’adhésion des partenaires professionnels autour de ce concept et de sa marque. C’est dommageable à plus d’un titre. Aujourd’hui, je ne peux plus assumer seul la coordination de cette manifestation ; mes partenaires ont été informés de ce besoin de réfléchir à plusieurs strates. Or, ils ne se sont pas manifestés… ».

De guerre lasse, Pierre HIPEAU n’a alors d’autres alternatives que de botter en touche. Prévenant au passage l’ensemble de ses partenaires institutionnels et bénéficiaires de l’œuvre de ce report. Et d’envisager le retour en grâce de son concept à l’automne 2019.

« D’autant qu’il était prévu de compléter le programme de nos randonnées habituelles avec un parcours vélo grâce à une collaboration active avec le Comité de la Franck Pineau et son président, Serge LE DOUSSAL, concède Pierre HIPEAU, la ville de Toucy se prêtera très bien à cette nouvelle configuration… ».

Désireux de mûrir avec beaucoup de recul la prochaine édition, le responsable de PRESENCE VERTE Bourgogne en arrêtera les lignes fondamentales au sortir de l’été 2018. Un laps de temps qu’il juge indispensable à ses yeux pour remodeler un concept qui a encore beaucoup à apporter dans le paysage de la solidarité de notre territoire…


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