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OXO 89 : tous les voyants sont au vert en cette période de rentrée
septembre 25, 2018Le spécialiste de la bureautique, de l’informatique et de la commercialisation de fournitures de bureaux et d’ustensiles scolaires entame ce nouvel exercice avec beaucoup d’optimisme. De jolis contrats sont venus confirmer récemment la bonne vitalité de cette structure professionnelle, en place à Auxerre et dans l’Yonne depuis plus d’une décade. Les perspectives de développement se présentent sous de bons auspices pour son dirigeant, David PARIZOT. Ce dernier, responsable de la communication du « Club 15 », outil relationnel au service du Rugby Club Auxerrois, a effectué sa rentrée officielle il y a quelques jours sur le Sénonais lors d’une rencontre qui réunissait les chefs d’entreprise inféodés au réseau Entreprendre Bourgogne…
GRON : Détendu et satisfait de reprendre ses activités professionnelles, et promotionnelles en faveur de son club sportif de prédilection, le RCA (Rugby Auxerre Club) dont il anime le club d’affaires, David PARIZOT a débuté cette période de rentrée sous de bons alois. La société qu’il dirige depuis plus de dix ans ne connaît pas d’essoufflement dans sa propension à exercer son professionnalisme.
Bureautique, informatique, solutions technologiques, matériel de reprographie…OXO 89 est également passée maître dans l’art et la manière de vendre des fournitures. Qu’elles soient purement scolaires ou destinées à agrémenter les bureaux administratifs. Professions libérales, organismes publics, entreprises de services et industrielles mais aussi particuliers lui ont fait confiance dans cette relation privilégiée que cet entrepreneur communiquant a su décliner depuis tant d’années autour de lui.
De belles opérations avec le tissu professionnel local…
Profitant des retrouvailles du réseau Entreprendre Bourgogne, accueilli par un autre acteur économique qui possède le vent en poupe (Christophe ALLEMANDOU, PDG de PLASTIKPACK et actionnaire de la nouvelle société FRAPAK), David PARIZOT a eu l’opportunité de s’exprimer par notre intermédiaire sur sa rentrée économique.
« Les perspectives sont excellentes, devait-il préciser, nous avons conclu de belles opérations avec des partenaires professionnels… ».
Ainsi, près de 150 fauteuils de bureaux ont été acquis récemment par le leader mondial de la pompe industrielle MOUVEX afin d’équiper ses locaux. Une opération similaire aura permis au groupe de concessions RENAULT, SODIVA, de se doter de sièges confortables et de mobilier neuf pour équiper ses vitrines commerciales.
Prêt à anticiper sur les besoins de demain…
Pesant plus de 2,2 millions d’euros de chiffre d’affaires, OXO 89 dont le siège social est implanté à Perrigny emploie à l’heure actuelle une dizaine de collaborateurs. La rentrée scolaire aura été une excellente source de revenus pour l’enseigne. Elle propose des milliers de références de produits par le biais de la voie numérique.
« Nous avons connu une progression de notre chiffre au niveau de la vente de fourniture globale, ajoute David PARIZOT, le marché scolaire nous aura permis de diversifier nos activités en y affirmant notre compétence… ».
Dernièrement, le lycée de Saulieu (Côte d’Or) a sollicité la structure pour la vente et la pose d’un vidéo projecteur, de systèmes numériques tactiles et équipement WIFI.
Un nouvel enjeu est apparu également dans l’approche stratégique du métier : la dématérialisation des archives et des factures. Malgré une concurrence exacerbée, OXO 89 tire son épingle du jeu. Y compris sur le volet des obligations relatives à la pratique de la RGPD.
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Régis LHOMME (CCLTB) : « Les pouvoirs publics doivent prendre conscience des vertus bénéfiques offertes par les solutions alternatives »
septembre 24, 2018Corrélé fortement au développement économique et sociétal d’un territoire, le déploiement du numérique constitue l’un des enjeux majeurs auxquels les pouvoirs publics doivent s’attaquer de pied ferme. Or, la plupart des gouvernances étatiques s’étant succédées au fil de ces dernières années ont pris soin d’ignorer la fracture numérique, pourtant soulignée par Jacques CHIRAC. Aujourd’hui, le constat est observable avec désappointement : il nous place avec un bonnet d’âne parmi les derniers rangs des nations européennes encore inaccessibles ou presque aux vertus de la 4G. Alors que dans certaines sphères technologiques, on évoque déjà la 5G, voire la 6G ! Vice-président en charge du développement économique et numérique de la Communauté de communes Le Tonnerrois en Bourgogne, Régis LHOMME est la cheville ouvrière du plateau conférence qui sera donné le 11 octobre prochain autour des évolutions alternatives usitées partout en France pour résoudre ces problématiques de couverture…
TONNERRE : Pourquoi la Communauté de communes dont vous êtes le vice-président en charge du développement économique et du numérique a-t-elle souhaité organiser cette table ronde à destination des forces vives de l’économie et des institutionnels de l’Yonne ?
Parce que nous avons des solutions simples pour donner accès à l’Internet sur des territoires délaissées par la République et qui n’ont pas de solutions à court terme. Il n’est pas besoin d’épiloguer sur le handicap que cela représente tant pour les particuliers avec la dépréciation de l’immobilier, que pour les entreprises qui nous disent que c’est le plus grand frein à leur déploiement après le bassin d’emplois…
Depuis trois ans, le Tonnerrois a déployé cette technologie préconisée par l’opérateur numérique WE ACCESS sur le territoire. Quel en est le bilan aujourd’hui ?
Globalement positif, sur les 52 communes de la CCLTB, 28 étaient en totale déshérence et sans aucun service. Nous avons donné l’accès à 16 d’entre elles. Les communes suivantes seront servies dans les mois qui viennent. A côté de cela, nous avons équipé une vingtaine d’entreprises qui étaient en souffrance, proposant soit un service standard, soit un service professionnel avec une connexion synchrone, du débit montant et descendant identique. Je souhaite aussi mentionner que nous offrons le même service aux écoles gérées par la Communauté de communes qui avaient souvent un accès Internet aléatoire, voire inexistant.
Pourquoi avoir choisi cette structure plutôt que d’être passé par l’un des quatre opérateurs historiques, spécialistes en ce domaine ?
Tout simplement parce que les territoires ruraux ne sont pas dans le radar des opérateurs historiques. Ils n’avaient aucune offre à nous proposer.
« La France est l’un des plus mauvais élèves en Europe… »
Comment analysez-vous la situation de la couverture du numérique très haut débit aujourd’hui dans notre département ? Voire en France ?
Le jugement ne peut être que sévère. La France est un des mauvais élèves de l’Europe. Elle a d’ailleurs été épinglée dans un rapport de la Commission européenne (Digital Economy Society Index 2017) avec une couverture 4G qui la plaçait au 27ème rang sur 28 pays en Europe pour l’économie numérique globale. Un autre exemple, le rapport ARIASE nous place au 18ème rang avec – par exemple – fin 2016 seulement 11 % des foyers ayant accès à la fibre. Le retard est lié aux choix des gouvernements successifs qui n’ont pas fait les efforts nécessaires, laissant les opérateurs privés devenir les maîtres du jeu.
Concernant l’Yonne, le retard est aussi évident. Après avoir réalisé que la fibre ne pourrait être installée partout, les budgets ne permettent que de la montée en débit, utilisant le cuivre, avec des résultats très divers compte tenu de l’état du réseau cuivre. Les solutions alternatives comme la voie hertzienne, facile à mettre en œuvre et à coûts contenus ne semblent pas être considérées par les pouvoirs publics. Ils sont donc mis en œuvre par des collectivités comme des communautés de communes ou des régions à l’instar de la Bourgogne Franche-Comté.
Pourquoi un tel retard alors que dès 1995 le président de la République de l’époque, Jacques CHIRAC, évoquait la lutte contre la fracture sociale et numérique ?
Nos politiques ont beaucoup parlé et peu agit. Alors que d’autres pays prenaient le problème avec plus de pragmatisme, on en paye maintenant le prix.
Dans ce dossier, vous faites figure de cavalier solitaire dans le déploiement de cet accès au numérique par la voie hertzienne. En votre qualité de collectivité, comment peut-on expliquer l’absence de subsides financiers de la part des autres grands acteurs institutionnels concernés par ce sujet (Etat, Région, Département…) ?
En fait, je ne crois pas que nous fassions réellement cavalier solitaire. Il y a en France près de 200 opérateurs alternatifs en plus des quatre structures historiques. Si nous avons choisi WE ACCESS, c’est parce que ces professionnels avaient déjà équipé avec succès d’autres communautés de communes, comme le Larzac. Concernant l’absence de subsides, nous avons eu chaque fois la même réponse. C’est-à-dire : « Nous comprenons votre problème, mais ce type d’action n’est pas intégré dans le Schéma Régional de Développement Numérique.. ». Sans tenir compte que ce schéma ne prévoyait rien pour notre territoire.
Depuis plusieurs mois, collectivités et entrepreneurs s’abonnent à votre proposition, qui s’avère moins onéreuse et plus fonctionnelle que les autres. Comment réagissent ces abonnés qui jusque-là éprouvaient de sérieuses difficultés ? Est-ce que les particuliers sont également concernés ?
Globalement le retour est très positif, même si nous devons encore améliorer le service. Cela vaut pour les entreprises comme pour les particuliers.
« Nous sommes dans une situation d’urgence économique… »
L’objectif avec cette démarche est-il de faire du prosélytisme à tout crin autour de ce procédé qui est au final méconnu ?
Non. Nous pensons que ce ne peut être qu’une solution transitoire pour quelques années en attendant l’évolution des technologies. Mais, nous croyons aussi que les usagers, entreprises ou particuliers, ne peuvent pas attendre. Nous sommes dans une réelle situation d’urgence économique et sociale.
Un important budget est consacré à ce déploiement. Est-ce suffisant en l’état ? Combien faudrait-il pour équiper l’ensemble de notre territoire ?
Nous faisons le maximum de ce que notre collectivité peut abonder. C’est suffisant pour le Tonnerrois. Mais, nous regrettons du peu d’intérêt des pouvoirs publics pour cette solution. Ils ont un plan et n’en sortent pas, même si – pour le Tonnerrois – ce plan ne prévoit rien de concret ; soit quelques montés en débit auxquelles nous ne croyons pas…
Pire, nous espérions de la flexibilité car nous souhaitons monter trois nouveaux pylônes. Nous étions prêts, techniquement, pour les mettre en service avant la fin de l’année. Mais, un nouveau processus administratif risque de ralentir fortement cette opération, qui se fera, mais on ne sait pas à quelle échéance dans le temps…
Qu’espérez-vous en termes de réaction et de commentaires avec cette première soirée explicative du 11 octobre ?
Je pense que nous avons le savoir-faire mais pas le faire-savoir. Si cette soirée pouvait faire prendre conscience de l’urgence de la situation, et qu’il existe des solutions concrètes. Nous souhaitons que les pouvoirs publics s’y intéressent. A ce titre-là, nous aurions atteint notre objectif.
Le numérique très haut débit représente-t-il un sérieux enjeu politique sur notre département ?
Cela me semble évident, car c’est fortement corrélé au développement économique. Si nous voulons attirer des entreprises, favoriser l’emploi et désenclaver la ruralité, cela ne peut se faire qu’en donnant à tous l’égalité devant la fracture numérique. Combien d’emplois pourraient-ils être crées dans l’Yonne par l’apport du télétravail ? Combien de nouvelles entreprises s’installeraient si elles avaient accès aux mêmes services qu’en zone périurbaines ? C’est pour moi un enjeu politique majeur et qui ne doit pas être restreint à l’axe géographique « Auxerre/Sens ».
Quelles seront les prochaines étapes que vous envisagez de provoquer pour continuer ce travail informatif auprès des usagers professionnels et personnels ?
C’est un travail de fourmi. Mais, nous continuerons. Il reste au moins douze communes à équiper. A chaque fois, nous faisons une réunion d’information auprès des habitants et des entreprises concernées. La communication de la Communauté de Communes reflète aussi cette activité.
En définitive, nous souhaiterions réellement une prise de conscience des pouvoirs publics qui devraient apporter davantage de soutien, pas seulement financier lorsque qu’une collectivité est dans l’obligation de se substituer à l’Etat pour un enjeu d’une telle importance.
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6 000 euros pour survivre et réaliser son rêve le plus beau : créer son commerce de loisirs créatifs MOREAU CREATIONS…
septembre 18, 2018Désireuse de porter sa société de loisirs créatifs, Pauline MOREAU, jeune femme de 25 ans, atteinte d’une maladie orpheline depuis sa prime jeunesse (une « histiocytose » paralysante contractée depuis l’âge de six mois) tente tant bien que mal de réunir la somme de cinq mille euros auprès de partenaires institutionnels, économiques et de particuliers. C’est le minimum nécessaire à son épanouissement personnel. Car, une fois recueillie, cette enveloppe budgétaire lui permettrait de caresser le rêve le plus abouti de son existence, à travers sa propre structure professionnelle, en ouvrant son commerce…
THIZY : L’emplacement de la future vitrine commerciale est déjà réservé. Le magasin de loisirs créatifs de Pauline MOREAU se situerait au cœur de la ville d’Avallon. C’est là, que cette jeune femme originaire de la Nièvre, installée dans une petite bourgade de l’Avallonnais, y vendrait différents matériels servant à exacerber l’imaginaire et la dextérité manuelle de ses clientes. Encre, papier, tampons, porcelaines, décorations…tout ce qui compte pour les loisirs créatifs trouveraient une place privilégiée dans cette vitrine.
Cerise sur le gâteau, on y achèterait aussi des produits créés dans toute la France et confectionnés par une vingtaine d’artisans, déjà engagés verbalement à ses côtés. Depuis la coutellerie en manche de résine jusqu’aux jolis bijoux insolites à la mosaïque et les services de tasse. Un éclectisme de bon ton et de choix dans ce qui ressemblerait à une petite boutique du bonheur pour la jeune femme.
« J’accueillerai des expositions de peintres, j’animerai aussi des ateliers autour de la carterie et du scrapbooking, confie avec un large sourire, Pauline, l’appellation de la société a été trouvée avec aisance : ce sera MOREAU CREATIONS ! ».
En cours de conception, le site multimédia devrait être fonctionnel fin septembre. Sans parler d’une visibilité active vers les réseaux sociaux. Pauline est dans l’air du temps. Même si celui-ci lui pèse…
Une lettre ouverte destinée à Emmanuel MACRON…
Echafaudant son projet depuis le mois de mai, la jeune femme a conçu un business plan en conformité avec le développement de ce projet conceptuel unique sur la ville. Hormis une mercerie, aucune boutique n’offre à l’heure actuelle cette typologie de prestations dans la sous-préfecture de l’Yonne.
Les besoins financiers ne sont pas excessifs. Loyer, caution, aménagement intérieur du local de 110 mètres carrés, besoins en fournitures constituent le gros des dépenses à venir. Soit un prévisionnel global de 15 000 euros.
« Du fait de mon handicap à 80 %, concède-t-elle avec tristesse, je n’ai pas eu accès aux prêts bancaires. Ni tenant plus et face à l’inertie des réseaux bancaires, j’ai écrit une lettre au président de la République française afin de lui exposer ma situation… ».
Une réponse fut apportée par son chef de cabinet lors d’une discussion téléphonique. Un dossier de demande de subventions a été instruit. Et transmis au préfet de l’Yonne. Ce dernier devait remettre ledit dossier à la DIRECCTE et à Pôle Emploi. Car, il existe des fonds d’intervention à la création de commerces. Interpellée, la Ville d’Avallon s’est engagée à offrir la future signalétique pour indiquer le lieu précis de ce commerce.
Quant à la Région, elle pourrait apporter un subside précieux en prenant en considération que cette activité commerciale possède un attrait avec des activités touristiques, par le biais de la vente de cadeaux. Enfin, la Chambre de Métiers et de l’Artisanat est montée également au créneau, soutenant le concept, qui pourrait s’inscrire aussi dans la catégorie des métiers d’art.
Parallèlement, Pauline MOREAU n’est pas demeurée inactive. Elle s’est tournée vers une plate-forme de financement participatif, sollicitant au passage les internautes à encourager la pertinence de son projet entrepreneurial. Lancée en juillet, l’initiative n’a rapporté que la modique somme de 560 euros à l’heure actuelle. Un coup d’épée dans l’eau peu convainquant puisque ce sont les amis et les membres de la famille de la jeune femme qui ont daigné mettre quelques euros dans la corbeille.
Faire bouger les lignes en s’appuyant sur les médias…
« Je veux être utile à la société, clame-t-elle avec véhémence, ce projet est un combat contre tous les immobilismes qui touchent les valides et surtout les invalides ! Monter cette entreprise est un projet vital pour moi. Sinon, je vais couler alors que j’ai une folle envie de me lancer dans cette aventure… ».
Remontée tel un coucou suisse, Pauline ajoute dorénavant le culot à sa quête légitime. En requérant le soutien des médias et des commerçants.
La chaîne de télévision TF1 que la jeune femme a contacté est prête à dépêcher une équipe de tournage à l’ouverture de son commerce. France Télévision possède déjà les rudiments de l’information. La presse régionale a assuré le relais nécessaire auprès de l’opinion publique. Quant aux commerçants de cette zone géographique (Avallon et L’Isle sur Serein), la plupart ont eu accès à l’information en la faisant circuler parmi leurs réseaux de proximité.
Aujourd’hui, il manque une somme de 6 000 euros pour démarrer de manière objective l’activité. Handicapée moteur au niveau des membres inférieurs, Pauline MOREAU ne conçoit pas l’once d’une seconde de ne pas travailler et de ne pas vivre comme les valides en pleine possession de leurs moyens.
Sa passion des loisirs créatifs est plus forte que tout. Elle l’a aidée à surmonter une montagne d’épreuves emmagasinée durant les douze années de chimiothérapie que la jeune femme a subies pour se soigner de cette maladie rare. Trois personnes en France sont atteintes de cette pathologie qui ne toucherait que des femmes. Sans qu’il n’y ait l’ombre d’une explication rationnelle de la part des scientifiques.
Son ultime combat est clairement identifié dans sa tête. L’ouverture de la société « MOREAU CREATIONS » et rendre pérenne et opérationnel ce futur commerce qui pourrait surfer de façon positive sur le marché très porteur des loisirs créatifs…
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Yves CHEVILLON (EDF Bourgogne Franche-Comté) mènera la 3ème transition énergétique au plus près du terrain…
septembre 17, 2018Diplômé de Sciences Politiques Paris, le nouveau délégué régional pour le groupe EDF en Bourgogne Franche-Comté, nommé depuis le 14 septembre, occupait jusque-là les fonctions de directeur de la branche commerce pour les régions Grand Est et Bourgogne Franche-Comté. A 58 ans, il devient le promoteur des nouvelles ambitions du groupe en faveur de l’usage de solutions énergétiques en phase avec les enjeux du développement durable actuels…
DIJON (Côte d’Or) : Basé en Bourgogne depuis une dizaine d’années, Yves CHEVILLON débute la nouvelle saison sous les meilleurs auspices. Lui qui a déjà géré la transformation d’EDF Commerce Est pour les régions Grand Est et Bourgogne Franche-Comté, suite à l’ouverture des marchés. Il accède désormais à de nouvelles responsabilités en ce mois de septembre fructueux.
Nommé délégué régional pour le Groupe EDF sur notre contrée, ce féru de Sciences Politiques, puisqu’il a été diplômé de la prestigieuse école de Paris, aura en charge de mener, au plus proche du terrain, la troisième transition énergétique.
Promouvoir les nouvelles solutions énergétiques innovantes et performantes…
Un challenge professionnel de poids que cet exégète des enjeux environnementaux et économiques de la région souhaite relever avec conviction et efficacité.
« Je suis très heureux d’accueillir cette nomination dans une région que j’affectionne depuis plusieurs années et qui m’a si bien accueilli, précise-t-il.
Responsable de la division clientèle en Lorraine, puis affecté en Corrèze en qualité de chef du service des ressources humaines, Yves CHEVILLON a ensuite évolué à Paris. Il exercera son savoir-faire en tant que chef de cabinet de la direction Commerciale, regroupant les grands comptes.
Attaché à la promotion de solutions énergétiques novatrices et performantes, le nouveau délégué régional s’était déjà investi dès 2017 dans le cadre des ambitions propres à EDF sur l’emploi de nouvelles technologies dans le cadre des Plans Solaire et Plans Stockage.
Lancés dans le but de respecter davantage les enjeux environnementaux, ces stratégies auront permis de répondre avec efficience aux besoins des clients.
Yves CHEVILLON effectuera l’une de ses premières apparitions publiques, depuis sa nomination, le vendredi 25 septembre au Palais des Congrès de Dijon, dans le cadre de l’évènement « Big Up4 Start Up » où il rencontrera les médias lors d’un petit déjeuner de presse. Un évènement soutenu par EDF Bourgogne Franche-Comté en faveur des entrepreneurs locaux…
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Les églises l’inspirent : Laurent VOULZY en quête de résonance entre ciel et terre à la cathédrale de Sens…
septembre 17, 2018Accompagné de Michel AMSELLEM aux claviers et de Naomi GREENE, chanteuse, harpiste et guitariste, l’artiste débutera une tournée de vingt-cinq concerts exceptionnels parmi différents sites religieux de France et de Belgique par la cathédrale Saint-Etienne de Sens, le jeudi 27 septembre. Une immersion éthérée dans le monde du sacré que Laurent VOULZY affectionne plus particulièrement. Lui qui a déjà interprété ses plus grands succès à la Basilique de Saint-Denis ou à la Saint-Johns Smith Square Church de Londres, près de Westminster…Une date exceptionnelle avant un second retour dans l’Yonne, le 16 novembre à Auxerre.
SENS : Après une série de récitals, complets en termes de fréquentation, au début de l’été, Laurent VOULZY qui se fait rare dans le département de l’Yonne, aura l’opportunité de fouler par deux occasions le sol de ce territoire du nord de la Bourgogne. Une première fois, le jeudi 27 septembre en la cathédrale Saint-Etienne de Sens en soirée. Avant de revenir jouer à Auxerre, le vendredi 16 novembre, à quelques jours de la clôture de cette tournée exceptionnelle.
Les puristes de belles mélodies harmonieuses et de compositions cristallines devraient se délecter à l’écoute de ces tours de chant, qui seront proposés dans des lieux hors du commun, très éloignés du monde profane.
Après la sortie de l’album « Lys & Love » (paru le 28 novembre 2011) et son immense succès (plus de 300 000 exemplaires commercialisés ce qui valut à l’artiste d’être certifié trois fois disque de platine), une tournée s’en suivit. Celle-ci avait débuté par la Basilique de Saint-Denis. Mais, c’est en l’église Saint-Eustache à Paris que furent enregistrés CD et DVD de la prestation.
Au début de l’été, l’auteur-compositeur-interprète de « Jeanne » ou de « Ma seule amour » où l’on notait la présence surprenante du chanteur des WHO, Roger DALTREY, s’est produit dans la collégiale Notre-Dame de Dole, les églises Notre-Dame de l’Annonciation à Lyon et Saint-Jean à Grenoble, avant de poursuivre par Vienne (cathédrale Saint-Maurice) et Carpentras (Saint-Siffrein).
« Chanteur en ces lieux procure un bonheur immense… »
Interrogé sur cette présence scénique et musicale dans les églises et cathédrales de France et de Belgique, Laurent VOULZY a précisé qu’il aimait se rendre dans ces lieux religieux où les bruits extérieurs qu’on entend parfois semblent irréels.
« On franchit la porte et on est hors du temps. Entre ciel et terre. L’église est un peu comme un vaisseau spatial, plantée là, au milieu des villes et des villages. Y jouer, et y chanter représente un bonheur car ce lieu n’est pas neutre. Ses murs, ses voûtes, ses vitraux, ses piliers nous imposent leur résonance. Ce sont des partenaires avec lesquels il faut compter… ».
L’actualité du comparse et complice d’Alain SOUCHON est riche en cette période de rentrée. Laurent VOULZY travaille sur une pièce musicale et chantée autour de Jeanne d’Arc. Décidément, un personnage pour qu’il voue une admiration sans borne, lui qui adore cette époque chevaleresque de notre histoire…
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